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Anne Savelli

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Anne Savelli
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Biographie
Naissance
Nationalité
Activité

Anne Savelli, née en 1967 à Paris, est une auteure française.

Née en 1967 à Paris, Anne Savelli étudie les lettres modernes et l'audiovisuel à la Sorbonne[1].

Elle exerce différents métiers dans le domaine du livre et débute en 1998 la rédaction de son premier ouvrage, Fenêtres : Open Space, qui sort en 2007[1].

Parmi les thèmes récurrents dans ses ouvrages figurent entre autres la ville, l’importance du lieu et la virtualité, l’enfermement et la mémoire[1].

Publications

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  • Fenêtres : Open Space, Le Mot et le Reste,
    • Le livre parle du travail, des conditions de travail et de la difficulté qu'il y a parfois à aller travailler[2].
    • Extrait : « Une femme note sur un carnet ce qu'elle voit défiler derrière les fenêtres de la rame du métro : souvent des fenêtres derrière lesquelles s'ébauchent des gestes ... »[3].
  • Cowboy Junkies / The Trinity Session, Le Mot et le Reste,
    • l'ouvrage est « consacré à un groupe de rock et folk canadien »[4].
  • Frank, Stock, , 304 p.
    • Pour Pascal Jourdana, du magazine Le Matricule des anges, le livre « restitue la vie des squatters, le rapport à l’administration pénitentiaire, le désarroi des proches, la cruauté des villes, la difficulté à sortir de l’errance… » et « est aussi une réflexion sur l’écriture et sur la lecture »[5].
  • Décor Lafayette, Éditions Inculte, [6].
  • Décor Daguerre, Éditions de l'Attente, [7].
  • Saint-Germain-en-Laye, Éditions de l'Attente, , 132 p.
    • Camille Cloarec (Le Matricule des anges), écrit : « L’originalité de sa composition, qui mêle fragments poétiques, anecdotes autobiographiques, paragraphes documentés, donne toute sa force au recueil. »[8].
    • La revue Les Notes Bibliographiques note à propos du roman : « Cent trente-trois pages de pure poésie : les mots jouent, s’accolent, se déploient en farandole, se télescopent. »[9].
  • Musée Marilyn, éditions Inculte, , 432 p.
    • Selon Alain Nicolas, de L'Humanité, son livre « offre le sensible et vivant portrait d’une icône indémodable »[10].
    • Tiphaine Samoyault écrit dans Le Monde qu'Anne Savelli, a au moins deux points communs avec Joyce Carol Oates : « elle admire son sujet sans jamais le réduire, et elle en fait une réserve d’invention formelle et de réflexion éthique. »[11].
    • Selon Jérôme Orsoni (Le Temps), « l’ouvrage se révèle une fouille archéologique de notre époque. »[12].
    • Christine Marcandier écrit dans Diacritik, à propos de cet ouvrage « Ce n’est pas Marilyn telle que vous ne l’avez jamais vue, mais vue des millions de fois et pourtant jamais regardée. »[13].
    • Pour la revue Les Notes Bibliographiques, Anne Savelli : « s’immerge dans une exposition imaginaire sur Marilyn Monroe et ses photographes. »[14].

Références

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  1. a b et c Marie Bobin, « Anne Savelli », sur Entre la page et l’écran
  2. « Anne Savelli : « Écrire, une façon d'être libre » », sur Ouest-France,
  3. « Fenêtres Open Space », La Quinzaine littéraire, nos 937 à 948,‎ , p. 28 (lire en ligne)
  4. Stefan Schopferer, « Anne Savelli », sur la-marelle.org,
  5. Pascal Jourdana, « Franck, en boucles », sur lmda.net,
  6. Christine Marcandier, « 1Book1Day : Anne Savelli « Décor Lafayette » », sur diacritik.com, (consulté le )
  7. Christine Marcandier, « « Qui suis-je ? » : Anne Savelli, Décor Daguerre. Autobiographie d’un décor parisien », sur diacritik.com,
  8. Camille Cloarec, « Retour au pays natal », sur lmda.net,
  9. J.G., M.D., « Saint-Germain-en-Laye », sur les-notes.fr,
  10. Alain Nicolas, « Photo : Marilyn Monroe au-delà des apparences », sur humanite.fr,
  11. Tiphaine Samoyault, « « Musée Marilyn », d’Anne Savelli : le feuilleton littéraire de Tiphaine Samoyault », sur lemonde.fr,
  12. Jérôme Orsoni, « Anne Savelli imagine la vie fictive de Norma Jean Baker dans «Musée Marilyn» : Dans son dernier livre, l’auteur déconstruit le processus d’iconisation de Marilyn Monroe – qui l’a fait naître tout en la conduisant à sa perte », sur letemps.ch,
  13. Christine Marcandier, « Anne Savelli : « Plutôt qu’une planche-contact, tu es un livre, sais-tu ? » (Musée Marilyn) », sur diacritik.com,
  14. J.H. et B.T., « Musée Marilyn », sur les-notes.fr,

Liens externes

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