Breuilaufa
Breuilaufa | |||||
L'église et l'ancienne commanderie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Bellac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature | ||||
Maire Mandat |
Franck Maitre 2020-2026 |
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Code postal | 87300 | ||||
Code commune | 87022 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Breuilaufais | ||||
Population municipale |
116 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 25 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 02′ 36″ nord, 1° 06′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 236 m Max. 315 m |
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Superficie | 4,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bellac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.breuilaufa.fr | ||||
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Breuilaufa (prononcer [bʁœjofa]; Lo Bruèlh au Fag en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Breuilaufais[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]C'est une petite commune du nord de la Haute-Vienne. Elle compte environ 154 habitants. On peut y voir une église gothique comportant quelques éléments romans (chapiteaux du chœur), principalement connue pour sa statue en cuivre doré en partie émaillé de la Vierge à l'Enfant (de nouveau exposée dans l'église depuis la rénovation de celle-ci en 2012), ainsi qu'une commanderie des hospitaliers partiellement restaurée.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Poitou-Charentes » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »0[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nantiat à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Breuilaufa est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), terres arables (15,5 %), forêts (8,4 %), zones urbanisées (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Breuilaufa est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 31,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Breuilaufa est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]D'après certaines traditions[Lesquelles ?], le nom Breuilaufa viendrait du « breuil aux fées », soit la forêt aux fées : on raconte que deux paysans ont vu un soir des fées dans la forêt de la commune. Il est beaucoup plus probable qu'il s'agissait en fait du « bois des hêtres », brolium fagi.
Ce nom viendrait du celte brogilo, petit bois, du latin brogilus, de l’occitan brolh, bruelh ainsi que de l’occitan fau et du latin fagum, le hêtre. Littéralement « petit bois de hêtres »[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]Le village doit son existence à l'installation d'une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[21] qui construisirent probablement à la fin du XIIe ou au XIIIe siècle une église et une demeure pour le commandeur, dont le manoir de la fin du Moyen Âge, existant encore à côté de l'église, est l'évolution. Cette commanderie qui faisait partie de la langue d'Auvergne devint plus tard un membre de la commanderie du Palais (Limoges)[22],[Note 3].
Il y avait trois moulins dont le moulin banal dit du Pont et celui de La Doure, le troisième au cœur du bourg était affermé. Le commandeur détenait la haute, moyenne et basse justice, son autorité et les rentes et dîmes qu'il percevait s'étendaient aux paroisses et villages de Berneuil, Chamboret, Nantiat et Vaulry et sur l'ancien fief noble du Chatain (Chastaing). En 1587, le château de la commanderie était occupé par des soldats protestants[24]. Dans le courant du XIIIe siècle, l'église fut décorée d'un ensemble d'objets en orfèvrerie de cuivre, émaillé ou non, fabriqués à Limoges. Beaucoup étaient encore conservés au XVIIe siècle (pyxide, reliquaires, croix, chandeliers, etc.). Il ne reste aujourd'hui que l'extraordinaire Vierge à L'Enfant en bois recouvert de cuivre doré, peut-être à l'origine une vierge eucharistique, qui fut longtemps conservée en tant que statue de dévotion.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]La commune, très petite, a vu son école communale fermée il y a quelques années, au profit de celles des communes voisines de Cieux, Chamboret et Vaulry.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2021, la commune comptait 116 habitants[Note 4], en évolution de −15,33 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'édifice date du XIIIe siècle. Des chapiteaux datant peut-être du XIIe siècle sont réemployés dans le chœur, seule partie voûtée. La voûte de la nef s'est en effet écroulé avec une partie du clocher au XVIIe siècle et n'a jamais été reconstruite. Cet accident explique les remaniements du clocher mur et de la façade occidentale.
- L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1978[31].
- Vierge à l'Enfant en cuivre doré, XIIIe siècle (présentée dans l'église) classée à titre d'objet[32].
- Deux des dolmens de la Betoulle[33].
- Château des Essarts.
- Ancienne mine dite de Vaulry, en vérité établie sur le territoire communal de Breuilaufa. Il s'agit d'un site industriel connu dès l'Antiquité, où l'on atteste l'exploitation de cassitérite, de wolframite, d'arsénopyrite et de löllingite, jusque dans les années 1940[34].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armoiries de Breuilaufa se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- J.-F. Boyer et V. Notin, « L’église hospitalière de Breuilaufa et "l’image de Notre-Dame en bosse de bronze doré fort biau" », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. 130, , p. 55-90 (présentation en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la commune
- Breuilaufa sur le portail géographique du Limousin (archive)
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- D'après l'archiviste de la Haute-Vienne Maurice Ardant, Breuilaufa a aussi fait partie des membres de Morterolles[23]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sur Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Breuilaufa et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nantiat » (commune de Nantiat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nantiat » (commune de Nantiat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Breuilaufa ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Breuilaufa », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- http://www.nieuletalentoursenlimousin.fr/le-musee/notre-territoire/toponymie/nouvel-article-186.html
- Jean-Marc Roger, « La réforme de l'Hôpital par Jean XXII : Le démembrement des prieurés de Saint-Gilles et de France (21 juillet 1317) », dans Helen Nicholson, On the Margins of Crusading : The Military Orders, the Papacy and the christian world, Ashgate, , 4e éd., 224 p. (ISBN 978-1-4094-3217-3, présentation en ligne), p. 109 (note 51)En 1310, le frère Aimery Marchès ou Marchais était commandeur des maisons de l'Hôpital de Bourganeuf et de Breuilaufa : « religioso viro, fratre Aymerico March. preceptore domorum Hospitalis Sancti Johannis Jherosolimitani de Burgo novo et Brolhio Ffagi »..
- Marie-Claire Pontier, « Inventaire analytique des archives départementales de la Haute-Vienne: 39 H - Fonds des Commanderies de l’ordre de Malte (1195-1791) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur archives.haute-vienne.fr, (consulté le )Au moins depuis 1447 où on trouve frère Louis Mancarius, commandeur du Palais, de Breuilaufa et de Puybonnieux (39 H 27)..
- Maurice Ardant (archiviste), « Chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. IX, , p. 166 (lire en ligne).
- Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, , p. 109-110, lire en ligne sur Gallica.
- (fr) « Les maires de la commune sur francegenweb.org » (consulté le ).
- (fr)[PDF]Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Eglise de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00100257, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Statuette : Vierge à l'Enfant », notice no PM78000771, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Dolmens n° 3 et 4 de la Betoulle », notice no PA00100256, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Mairie de Breuilaufa, « Les anciennes mines de Vaulry », sur breuilaufa.fr (consulté le ).