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Champs-Romain

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Champs-Romain
Champs-Romain
La mairie de Champs-Romain.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais (nouvelle)
Maire
Mandat
Serge Viroulet
2020-2026
Code postal 24470
Code commune 24101
Démographie
Population
municipale
283 hab. (2021 en évolution de −5,98 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 55″ nord, 0° 46′ 34″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 344 m
Superficie 20,33 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Champs-Romain

Champs-Romain est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie

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Généralités

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Dans le nord du département de la Dordogne, dans le Nontronnais, la commune de Champs-Romain est bordée par la Dronne.

Traversé par la route départementale (RD) 83, le bourg de Champs-Romain est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres au nord-nord-est de Saint-Pardoux-la-Rivière et neuf kilomètres à l'est de Nontron.

Le territoire communal est également desservi par les RD 79, 85 et 96.

Communes limitrophes

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Champs-Romain est limitrophe de quatre autres communes. À l'ouest, le territoire de Nontron est distant d'environ 25 mètres.


Géologie et relief

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Champs-Romain est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l'ère primaire, antérieurement au Carbonifère[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée ξ1, se compose de micaschistes lamelleux à deux micas, parfois grenats et silicates d'alumine (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 711 - Châlus » et « no 735 - Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Champs-Romain.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 155 m et 344 m[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans l'unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[10],[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,33 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,75 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par la Dronne, le Manet, le ruisseau de la Malincourie, le ruisseau de Lachenaud, le ruisseau de la Grandmère, et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[16],[Carte 1].

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[17],[18]. Elle borde intégralement la commune au sud sur plus de cinq kilomètres et demi, face à Saint-Saud-Lacoussière et Saint-Pardoux-la-Rivière.

Son affluent de rive droite le ruisseau de la Malincourie marque la limite communale au sud-est sur près de deux kilomètres et demi face à Saint-Saud-Lacoussière.

Autre affluent de rive droite de la Dronne, le ruisseau de Lachenaud[Note 4] sert de limite territoriale au sud-ouest sur plus de deux kilomètres et demi face à Saint-Pardoux-la-Rivière.

Son affluent de rive gauche le Manet[Note 4] traverse la commune du nord-est au sud-ouest sur près de huit kilomètres et demi.

Affluent de rive droite du Manet, le ruisseau de la Grand-Mère, ou de la Grand-Mère, prend sa source dans l'ouest du territoire communal qu'il baigne sur plus d'un kilomètre et demi.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente », dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[19]. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

La quasi-totalité du territoire communal dépend du SAGE Isle - Dronne. Seule une mince bande à l'ouest, le long de la RD 85, en limite de Savignac-de-Nontron est rattachée au SAGE Charente.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 089 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Coquille à 16 km à vol d'oiseau[25], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 178,8 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

Au , Champs-Romain est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29]. Elle est située hors unité urbaine[30] et hors attraction des villes[31],[32].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), prairies (20 %), terres arables (5,5 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Champs-Romain est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[36],[34].

Champs-Romain est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champs-Romain.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 44 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[42].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[34].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Champs-Romain est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[43].

En occitan, la commune porte le nom de Los Champs e Romenh[44].

En 1875, la commune de Romain prend le nom de Champs-Romain.

Politique et administration

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Intercommunalité

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Fin 1995, Champs-Romain intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1988 ? Jean-Pierre Biaussa    
         
    Pierre Bonnard    
mars 2001 mars 2008 Élisabeth Bonnard DVD  
mars 2008[47] mai 2020 Guy Lastère SE[48] Cadre à La Poste
mai 2020 En cours Serge Viroulet    

Équipements et services publics

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Enseignement

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Début 2024, la commune de Champs-Romain est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes d'Abjat-sur-Bandiat et Saint-Saud-Lacoussière au niveau des classes de primaire ; il n'y plus d'école à Champs-Romain et les deux autres communes ont chacune deux classes[49].

Dans le domaine judiciaire, Champs-Romain relève[50] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].

En 2021, la commune comptait 283 habitants[Note 6], en évolution de −5,98 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
730377775736777810763831865
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7137158417627648339209741 030
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0071 024929806728697649556503
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
433410373332331328318317308
2017 2021 - - - - - - -
286283-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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  • Salon du livre du château Le Verdoyer (5e édition en [54]).

En 2015[55], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 122 personnes, soit 40,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (seize) a fortement augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,9 %.

Établissements

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Au , la commune compte quarante établissements[56], dont quinze au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, neuf dans la construction, quatre dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[57].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église et le monument aux morts.
  • L'église Saint-Avit[58].
  • Le saut du Chalard sur la Dronne.
  • Le château du Verdoyer

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason à dessiner Blason
Tiercé en chevron: au 1er d'azur à la tierce d'argent soutenue de deux étoiles d'argent adextrées d'un paon passant d'or et senestrées d'un lion du même lampassé de gueules, au 2e d'or au chevron d'azur chargé de trois tours d'argent, maçonnées de sable reliées entre elles par des jumelles d'argent posées dans le sens du chevron, au 3e d'argent à trois ancres de pourpre; le tout sommé d'un comble d'argent chargé de trois fleurs de lis d'or[59].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le ruisseau de Larret , affluent de rive gauche de la Dronne, n'arrose pas la commune de Champs-Romain située entièrement en rive droite.
  4. a et b Selon le Sandre et le Géoportail, l'affluent de la Dronne se nomme le ruisseau de Lachenaud qui a pour affluent le Manet, alors que le SIGES indique l'inverse.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Champs-Romain » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. « Carte géologique de Champs-Romain » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Champs-Romain », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 711 - Châlus de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 735 - Thiviers de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Repères géographiques du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Périgord limousin », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
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  18. Sandre, « la Dronne »
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  20. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
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