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Esclainvillers

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Esclainvillers
Esclainvillers
Petit patrimoine.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Alain Surhomme
2020-2026
Code postal 80250
Code commune 80283
Démographie
Gentilé Esclainvillois
Population
municipale
161 hab. (2021 en évolution de −3,01 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 41′ 26″ nord, 2° 23′ 43″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 158 m
Superficie 5,58 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Esclainvillers
Géolocalisation sur la carte : France
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Esclainvillers
Géolocalisation sur la carte : Somme
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Esclainvillers
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Esclainvillers
Liens
Site web https://esclainvillers.fr

Esclainvillers est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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Description

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Desservi par les routes départementales 188 et 4188, Esclainvillers est un village de plateau situé, par la route, à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de Montdidier et 8 km d'Ailly-sur-Noye.

Le sol est argilo-siliceux, assez peu perméable. Au lieu-dit les Vignes, le sous-sol est davantage sablonneux et calcaire[1]. Le territoire est marqué par les vallées de la Noye, de Saint-Aubin et d'Ainval[2].

Un espace boisé couvre l'est du territoire communal, là où le relief est le plus accidenté[2].

Fin XIXe siècle, l'eau est puisée dans une nappe phréatique située alors à 70 m de profondeur. Quatre mares complétaient les puits. On y tirait encore l'eau destinée à la fabrication du cidre[1].

La commune s'est dotée d'une carte communale en 2011[2].

En 2019, le village est desservi par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 41, Montdidier - Ailly-sur-Noye - Amiens)[3].

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Esclainvillers[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-LES-MERLES (60) - alt : 94m, lat : 49°39'01"N, lon : 2°22'14"E
Records établis sur la période du 01-04-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,1 2,6 3,9 7,2 10 12 12 9,5 7,3 4,2 1,8 6,1
Température moyenne (°C) 3,9 4,4 7 9,5 12,9 16 18,2 18,2 15,1 11,5 7,2 4,4 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,7 11,5 15,2 18,6 21,9 24,5 24,5 20,6 15,6 10,3 7 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,6
07.01.09
−12,9
07.02.12
−11,5
13.03.13
−6,6
07.04.21
−3,2
03.05.21
−2
05.06.1991
2,3
04.07.1990
2,1
08.08.1990
−1,3
30.09.18
−6,2
28.10.03
−10,8
24.11.1998
−17,2
18.12.10
−18,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
27.01.03
20
24.02.1990
24,3
31.03.21
27,1
19.04.18
30,8
27.05.05
36,4
18.06.22
41,5
25.07.19
39,7
06.08.03
34,7
08.09.23
29,2
01.10.11
20,1
01.11.14
17
07.12.00
41,5
2019
Précipitations (mm) 52,4 42,9 46,1 43,2 57,4 54,2 59,7 58,1 49,1 57,8 57,2 69,8 647,9
Source : « Fiche 60555002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Esclainvillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,7 %), forêts (12,4 %), zones urbanisées (5,9 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

D'après les registres, Esclainvillers s'écrivait Esclemviller en 1105 ; Esclenviler en 1301 ; Esclinvilliers en 1567 ; Esclinviller en 1648 ; Esclainviller en 1657 ; Eclainviller en 1733 ; Esclainvillers en 1757 ; Eclinviller en 1778 ; Eclinvillers[15].

Le nom du village pourrait venir du nom d'une femme germanique Ascila et du latin villare, ferme[16].

Le village est cité dès 1105.

Dès 1209, l'existence d'un prieuré est signalée. Les revenus sont donnés au seigneur de Folleville, en 1472, par Charles le Téméraire.

Au XIIIe siècle, Adélaïde d'Esclainvillers vend une partie de sa terre à l'abbaye Saint-Faron de Meaux[1] qui a créé un prieuré sur le territoire du village.

En 1505, Jean d'Esclainvillers possède en partie la seigneurie, l'autre partie appartenant à l'abbaye de Saint-Faron[16].

La famille de Séricourt en devient propriétaire à son tour en 1583 et la garde pendant trois siècles[1]. En 1665, le village avait son école[1].

Au XVIIe, le hameau de Saint-Martin et sa chapelle sont détruits.

À la fin de l'Ancien Régime, la plupart des habitants filaient la laine, et, au XIXe siècle, l'industrie du bois disparaît. Il ne reste alors que peu de tourneurs. En hiver, les femmes confectionnaient des chaussons de lisière pour Paillart (0,80 à 1,25 F la journée)[16].

La commune subit des destructions pendant la Première Guerre mondiale[17].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton d'Ailly-sur-Noye[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton est conservé et s'agrandit, passant de 22 à 54 communes.

Intercommunalité

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La commune était membre de la petite communauté de communes du Val de Noye, créée en 2001.

Dans le cadre de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit notamment que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir normalement un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme la préfète dévoile en octobre 2015 son projet de schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[19],[20]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[21] de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[22], et, fin janvier, le tribunal administratif d'Amiens rejette la requête en référé de Jean-Claude Leclabart, ex-président de l'ex-communauté de communes du Val de Noye contestant, sur un fond de conflit de personnes[23],[24] la légalité de l'arrêté de fusion des anciennes intercommunalités, qui arguait que les communes de l'ex-Val de Noye n'auraient pas été informées de l'étendue des compétences transférées, de la répartition des sièges entre elles et surtout, de la réalité de la situation financière de la CCALM[25],[26].

La communauté de communes Avre-Luce-Noye, à laquelle appartient désormais la commune, est ainsi créée le .

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Guilbert Mangot[réf. nécessaire]    
1989 2001 Pierre Lamané[réf. nécessaire]    
mars 2001 En cours
(au 17 juillet 2020)
Alain Surhomme LFI Vice-président de la CC Avre-Luce-Noye (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 161 habitants[Note 3], en évolution de −3,01 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
251267274274289304302338333
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
299321274289261262234219207
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
226223208182183168163164143
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
117117117114125130128137144
2014 2019 2021 - - - - - -
167166161------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Aucun niveau d'enseignement n'est dispensé à Esclainvillers. La maternelle se situe à Quiry-le-Sec et Coullemelle ; les classes élémentaires à Grivesnes et Sourdon. Les collégiens se rendent à Ailly-sur-Noye, Montdidier et Moreuil et les lycéens vers Montdidier et Amiens. La communauté de communes gère la compétence pour les transports scolaires[2].

En 2011, la commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal réunissant neuf communes. Les collégiens se rendent à Ailly-sur-Noye, Montdidier et Moreuil et les lycéens vont à Montdidier ou Amiens.

Dans le cadre du regroupement pédagogique intercommunal (RPI ) de Quiry-le-Sec, Folleville, Chirmont, Sourdon, Esclainvillers, Villers-Tournelle, Coullemelle, Malpart, et Grivesnes, les élèves pris en charge localement relèvent des classes de maternelle[31].


En 2024, seules les communes de Coulemelle, Grivesnes, Quiry-le-Sec et Sourdon possèdent une école. Le RPI accueille 120 élèves ; la cantine est rénovée dans la salle des fêtes de Coullemelle[32].

La communauté de communes gère la compétence pour les transports scolaires.

Associations

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La commune compte cinq associations en 2011[2] :

  • le Comité des fêtes ;
  • la société de chasse ;
  • l'amicale de chasse ;
  • le Judo Club Picpus ;
  • le Taekwondo.

Équipements sportifs

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La commune est équipée d'un terrain de football, d'un terrain de pétanque et d'un dojo pour la pratique du judo dans la salle multifonctions[2].

Un itinéraire balisé de promenade traverse le village : le Val-de-Noye[2].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Faron[33], avec un chœur du XVIe siècle à trois pans. Sa porte est conçue en anse de panier. La nef à collatéral est jouxtée d'une tour carrée à flèche aiguë. Elle renferme une chaire de 1737 et des fonts baptismaux en pierre ainsi qu'une statue du XVIIe siècle[34] et divers bras-reliquaire du XIVe ou du XVe siècle[35],[36] de saint Fiacre, patron des jardiniers.
  • À proximité de l'église, se trouve un porche Renaissance en brique et pierre.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Esclainvillers » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Lambre, fin XIXe siècle, archives départementales de la Somme, Amiens Lire la notice en ligne, sur le site des archives départementales.
  2. a b c d e f et g Lire en ligne le rapport de présentation de la carte communale.
  3. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Esclainvillers et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 337 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. a b et c Émile Lhomme de Rouvrel, « Découvrez quelques éléments du passé de nos villages », Les Échos - Le journal du District du Val de Noye, no 6,‎ , p. 4-5 (lire en ligne).
  17. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  20. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  21. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  22. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  23. Cécile Latinovic, « Fusion entre l'Avre, Luce et Moreuil et le Val de Noye: la hache de guerre est déterrée : Les pics de Pierre Boulanger à l'encontre de son homologue du Val de Noye n'ont pas manqué, jeudi 29 septembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Il a ensuite tapé plus fort sur Jean-Claude Leclabart, à qui il reproche «  d'être à l'origine d'articles de presse dans lesquels il nous critique  » estime-t-il. «  Je ne supporterai jamais la présidence qui est de l'autre côté  », martèle le président d'Avre, Luce et Moreuil, faisant référence, une fois de plus, à Jean-Claude Leclabart ».
  24. Delphine Richard, « Fusion Avre, Luce et Moreuil avec Val de Noye: « J'ai déposé un recours contre l'État », affirme Jean-Claude Leclabart », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Jean-Claude Leclabart, le président du Val de Noye, ne briguera pas la présidence de la CCALN. Il s'en explique et attaque ouvertement Pierre Boulange ».
  25. David Vandevoorde, « Les dettes de l'Avre-Luce-Moreuil au cœur des débats au tribunal », Le Courrier picard, région d'Amiens,‎ (lire en ligne).
  26. David Vandevoorde, « La fusion n'est pas suspendue mais… : La justice a rejeté la requête de l'ex-Val de Noye. D'autres suivent et le nouveau territoire,la communauté de communes Avre-Luce-Noye (CCALN), patine. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. « Esclainvillers 80250 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Sur le site de la communauté de communes du Val-de-Noye.
  32. « La cantine complètement rénovée », Courrier picard,‎ , p. 12.
  33. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise d'Esclainvillers (Canton d'Ailly-sur-Noye), d'après nature, 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  34. « Statue : Saint-Fiacre », notice no PM80000580, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. « >Bras-reliquaire : saint Fiacre », notice no PM80002196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. « >Bras-reliquaire : saint Fiacre », notice no PM80001633, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.