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Geispitzen

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Geispitzen
Geispitzen
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Geispitzen
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Saint-Louis Agglomération
Maire
Mandat
Christian Baumlin
2020-2026
Code postal 68510
Code commune 68103
Démographie
Gentilé Geispitzenois
Population
municipale
509 hab. (2021 en évolution de +15,16 % par rapport à 2015)
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 06″ nord, 7° 25′ 18″ est
Altitude Min. 246 m
Max. 333 m
Superficie 6,02 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bale - Saint-Louis (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brunstatt-Didenheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Geispitzen
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Geispitzen
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Geispitzen

Geispitzen (prononcer [gaiʃpitsən] ; Geischpìtza en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Le territoire de Geispitzen a connu une occupation humaine dès le Néolithique. Plus tard, deux établissements gallo-romains y ont été repérés ; en effet, il reste sur le territoire de la commune des vestiges de la voie romaine Kembs-Besançon[1]. Un village, disparu avant l'époque médiévale, se situait également au lieu-dit Altrad[2]. La première mention du nom de la commune remonte à l'an 1267. Le village a bénéficié de deux périodes de construction remarquables : l'une à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle, la seconde à la fin du XVIIe siècle après la guerre de Trente Ans. Le village a subi de nombreuses destructions pendant la Seconde Guerre mondiale. Un lotissement y voit le jour vers 1970.

Ses habitants sont appelés les Geispitzenoises et Geispitzenois.

Le nom Geispitzen est l’adaptation franco-allemande du nom alsacien Geischpìtza, antérieurement d’origine latine.

En l’an 1188, on retrouve le nom de Cespite (du latin cæspitem, accusatif de cæspes, « motte de gazon » ; « maisonnette fabriquée avec des mottes gazon » ; « terrain gazonné » ou « pelouse » ; « contrée verdoyante »).

À partir de 1580, le nom devient tel qu’on le connaît aujourd’hui : Geispitzen, car réformé selon une fausse étymologie germanisante pensée sur le radical *spitz (c’est-à-dire « pointe »), l’Alsace faisant alors partie du Saint-Empire[3].

Géographie

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La commune de Geispitzen est située sur le territoire français, en Alsace, à environ 25 km de la frontière allemande, et environ 20 km au nord de la ville suisse de Bâle. Côté français, elle est située à environ 20 km au sud de Mulhouse, et 500 km à vol d'oiseau de Paris. Strasbourg, capitale régionale et siège du Parlement européen est, quant à elle, située à 127 km du village.

Communes limitrophes de Geispitzen
Schlierbach
Geispitzen Kembs
Kœtzingue Waltenheim Sierentz

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse ; elle n'est drainée par aucun cours d'eau[4],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Geispitzen[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 619 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Geispitzen est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bâle - Saint-Louis (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), terres arables (40,2 %), zones urbanisées (5,1 %), eaux continentales[Note 4] (0,4 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Origines : Le ban de Geispitzen connut une occupation néolithique rubanée. Deux établissements gallo-romains y ont été repérés. Par ailleurs on y a relevé des vestiges de la voie romaine Kembs-Besançon[1]. Le lieu-dit « Beim hohem Stein » rappelle le souvenir d'une borne plantée le long de cette route. Un village, disparu avant l'époque médiévale, se situait au lieu-dit Altrad[2]. La première mention du nom de la commune remonte à l'an 1267.

Seigneurs : Geispitzen faisait partie des biens patronymiques des Habsbourg intégré au bailliage de Haut-Landser. La famille de Waldner-Freundstein y détenait des possessions.

Paroisse : Geispitzen possédait une chapelle dédiée à saint Germain, dont le droit de collation revenait jusqu'à la Révolution aux nobles de Waldner-Sierentz. Filiale de la paroisse de la Hochkirch de Sierentz elle relevait du chapitre rural Inter-Colles de Bâle. Il fallut attendre l'année 1807 pour la création d’une paroisse indépendante et la construction de l'église Saint-Jean-Baptiste.

Développement : Le village bénéficia de deux périodes de construction remarquables, l'une à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle, la deuxième à la fin du XVIe siècle après la guerre de Trente Ans. La population double pendant la seconde moitié du XVIIe siècle. Un siècle plus tard, elle chute à nouveau pour ne remonter qu'à partir de 1970. Néanmoins, Geispitzen n'est aujourd'hui qu'un village-dortoir qui ne connaît aucune activité commerciale ni artisanale et où seules subsistent 5 exploitations agricoles.

Œuvres détruites : La première mairie-école était située jusqu'en 1900 à l'emplacement de la maison au no 3 rue du Général Koenig. Une fontaine, située au carrefour des rues du Général de Gaulle et du Général Koenig, fut édifiée en 1868 par le maître tailleur de pierre Urs Bargetzi de Soleure (Suisse). La fontaine se composait d'une auge de 5 m de long et d'une colonne. Elle fut détruite vers 1965 puis remplacée par une fontaine moderne. Par ailleurs, 6 puits publics avec auges situés dans les rues ont disparu. L'établissement de cure fondé en 1893 par le curé Ellerbach, disciple du curé Kneipp, fut détruit en 1915 par faits de guerre.

Œuvres non-étudiées : Oratoire rue de la Chapelle (reconstruit en 1969 en souvenir d'un précédent oratoire de 1855, situé au carrefour de la rue du Général de Gaulle et de la rue des Fleurs). Borne datée 1658 et portant les armoiries du village : « d'azur à une croix haussée alésée et à double traverse d'or... »

Héraldique

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Blason de Geispitzen

Les armes de Geispitzen se blasonnent ainsi :
« D’azur à la croix de Lorraine d’or accostée de deux branches de chêne d’argent englantées d’or. »

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Albert Dollmann    
mars 2001 2008 Gérard Issner    
mars 2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Christian Baumlin[17]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Ingénieur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].

En 2021, la commune comptait 509 habitants[Note 5], en évolution de +15,16 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
362350390470463477481477473
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
407430444434413425406409400
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
406386378334316324325291294
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
298303306395441418412424448
2021 - - - - - - - -
509--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Population provisoire pour 2006 : 412.
  • Population en 2013 : 485.
  • Population en 2019 : 502.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Geispitzen » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Christian Cloppet, « Les voies romaines du Rhône au Rhin et dans l’est de la Gaule : les sources écrites », Ktèma, vol. 14, no 1,‎ , p. 95–104 (DOI 10.3406/ktema.1989.2602, lire en ligne, consulté le )
  2. a et b Société industrielle de Mulhouse (France), Bulletin de la Société industrielle de Mulhouse, (lire en ligne)
  3. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Etymologie de 35.000 noms de lieux, vol. 1 : « Formations préceltiques, celtiques, romanes. », Genève, Librairie Droz, , 704 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), IV : « Formations latines ou romanes » (§ 5001-11862), p. 376.
  4. « Fiche communale de Geispitzen », sur Système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Geispitzen et Mulhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Geispitzen ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bâle - Saint-Louis (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Bibliographie

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  • Jacques Baquol et Paul Ristelhuber, L'Alsace ancienne et moderne, ou Dictionnaire topographique, historique et statistique du Haut et du Bas-Rhin, Strasbourg, Salomon, (lire en ligne), p. 145-146.
  • (de) Médard Barth, Handbuch der elsässischen Kirchen im Mittelalter, Strasbourg, Société d'histoire de l'église d'Alsace, , p. 418.
  • (de) Médard Barth, Elsass, das Land der Orgeln, im 19. Jahrhundert, Haguenau, Société d'histoire de l'église d'Alsace, , p. 198.
  • (de) Joseph M. B. Clauss, Historisch-topographisches Wörterbuch des Elsass, Saverne, A. Fuchs, , p. 377.
  • Antoine Gardner et Marc Grodwohl, La maison paysanne du Sundgau, Colmar, Alsatia, (1re éd. 1979), p. 57, 125, 130, 223.
  • Marc Grodwohl, « La Maison gothique du XVe siècle en pierre dans le Sundgau », Espace alsacien, no 3,‎ , p. 17-30.
  • Oscar Heimburger, « Les noms des lieux-dits du ban de Geispitzen », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ , p. 71-81.
  • Pie Meyer-Siat, « Les Frantz, facteurs d'orgues dans le Sundgau », Annuaire de la Société d'histoire sundgauvienne, t. 34,‎ , p. 135-153.
  • Claude Munch et Paul-Bernard Munch, Landser, un canton par ses cartes postales, 1898-1948, Sierentz, , p. 27-29.
  • Gérard Rapp, « Geispitzen au fil des siècles », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ , p. 20-27.
  • Gérard Rapp, « Le clocher de Geispitzen, son histoire », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ .
  • Gérard Rapp, « La Hochkirch et Geispitzen », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ , p. 55-60.
  • Gérard Rapp, « L'influence et importance de l'eau sur la vie à Geispitzen », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ , p. 67-77.
  • Gérard Rapp, « Chapelles et églises à Geispitzen », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ .
  • Fernand Vanobberghen, « Une maison d'école à Geispitzen 1834-1856 », Annuaire de la Société d'histoire de Hochkirch,‎ , p. 34-42.

Liens externes

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