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La Colombe (Manche)

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La Colombe
La Colombe (Manche)
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Villedieu Intercom
Maire
Mandat
vacant
2023-2026
Code postal 50800
Code commune 50137
Démographie
Gentilé Colombais
Population
municipale
628 hab. (2021 en évolution de +1,13 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 28″ nord, 1° 10′ 57″ ouest
Altitude Min. 88 m
Max. 247 m
Superficie 14,37 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Colombe
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La Colombe

La Colombe est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 628 habitants[1].

Géographie

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En Bocage normand, la commune est au sud du pays saint-lois, à proximité du Bocage virois. Son bourg est à 5 km au nord-est de Villedieu-les-Poêles et à 6 km au sud de Percy[2].

Le territoire est traversé par la route départementale no 999 (ancienne route nationale 799, à cet endroit voie de la Liberté) reliant Villedieu-les-Poêles au sud à Saint-Lô au nord. La commune est bordée à l'est par la D 975 (ancienne route nationale 175 Caen-Rennes). Le bourg est relié à ces deux axes par la D 485 qui se prolonge à l'ouest vers La Bloutière. Au sud-est, coupant la D 975, la D 552 permet de rejoindre Beslon. Traversant également le bourg, la D 452 permet l'accès à l'échangeur 38 de l'autoroute A84 — occupant le sud du territoire — par la D 999 et conduit vers Le Chefresne au nord. À l'ouest, la D 453 relie La Bloutière à Villedieu-les-Poêles par la D 999.

La Colombe est dans le bassin de la Sienne qui délimite le territoire à l'ouest. Trois de ses affluents parcourent le territoire communal : le Tancray qui marque la limite au nord, un modeste ruisseau prenant sa source à proximité du bourg et un ru de quelques centaines de mètres sillonnant le vallon de la Bourdonnière.

Le point culminant (247 / 249 m) se situe à l'est, au lieu-dit la Bruyère du Montcatel. Le point le plus bas (88 m) correspond à la sortie de la Sienne du territoire, à l'ouest. La commune est bocagère.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 071 mm, avec 14,8 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cerisy-la-Salle à 18 km à vol d'oiseau[7], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , La Colombe est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,3 %), zones agricoles hétérogènes (25,5 %), terres arables (15,7 %), zones urbanisées (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), forêts (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Columbam vers 1035[16], Columba au XIIIe siècle[17].

René Lepelley y décèle le latin columna et l'ancien français colombe, « colonne », qui a donné le français colombage[18]. Cette appellation fait peut-être référence, comme le suggère François de Beaurepaire, à une ancienne borne miliaire[19].

Le gentilé est Colombais[20].

Politique et administration

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1792   Gilles Martin    
…1795 1795… Louis Mourier    
  1797 Julien Martin    
1797 1798 Jean Pierre Lepesant    
1798 1799 Pierre Philippe Pitel    
1799 1800 Jean François Costil    
1800 1825[21] Pierre Philippe Pitel    
1825 1830 Emmanuel Le Poytevin-Dumoutier    
1830 1835 Gilles Dubreuil    
1835 1870[21] Guillaume Lemaître    
1870 1888[21] Désiré Lepesant    
1889 1889[21] Jules Furet    
1889 1911 Achille Deschamps    
1911 1927 Jules Bellenger    
1927 1929 Victor Jardin    
1929 1932 Albert Mauduit    
1932 1951 Pascal Lefèvre[21]    
1951 1959 Georges Bellenger    
1959 1983 Louis Jardin    
1983 1995 Mickaël Lefèvre    
juin 1995[22] juillet 2020 Marcel Bourdon[23] DVD Agriculteur, conseiller général
juillet 2020[24] juillet 2023[25] Isabelle Champbertauld SE Formatrice en gestion d’entreprise
Une partie des données est issue de l'ouvrage "601 communes et lieux de vie de la Manche"[26].

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[24].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 628 habitants[Note 2], en évolution de +1,13 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). La Colombe a compté jusqu'à 1 167 habitants en 1821.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9979279411 1671 0531 1351 1291 1151 133
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0601 0511 055960944916919915842
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
769832795701712723700638685
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
627583569560563559611619614
2017 2021 - - - - - - -
631628-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Ferme cidricole de la Janière.

Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame des XIVe, XVIe et XVIe siècles. Bien que restaurée, elle a conservée en partie son style XIIIe d'origine. La tour est le long de la nef, et l'avant-porche, avec deux pierres tombales du XVIIe siècle, ainsi que l'intérieur sont gothique.
Elle abrite deux œuvres classées au titre objet aux monuments historiques : une Vierge à l'Enfant assise[31] et une verrière Vie de la Vierge du XIVe[32], ainsi que des vitraux de la vie du christ et écus blasonnés du XVIe et à l'effigie de dom Furet (1914) et des fonts baptismaux du XVIe sculptés en granit.
  • Croix de cimetière du XIXe siècle.
  • Croix de chemins près du Houx du XIXe siècle, près de la Roche (1834) et au hameau (plus ancienne) et à l'Hôtel Chalmet du XXe siècle.
  • Site de l'ancien château de la Roche-Tesson détruit en 1427 lors de la guerre de Cent Ans par le duc de Gloucester qui le juge « vieux et insoutenable »[33].
Le château porte le nom d'une puissante famille qui lui a donné son nom et qui s'était déjà illustrée avant la conquête de l'Angleterre[33]. Il fut avant eux la possession de la famille Néel de Saint-Sauveur. Néel II de Saint-Sauveur, dans l'acte de fondation de l'abbaye de Saint-Sauveur, dit « In castro nostro Rochiæ quod situm est in parochià de Columbà »[34]. En 1145 Léticia Néél apporte en dot la place fortifiée de la Roche à Jourdain Tesson. En 1178, Robert de Torigni affirme que le château était dans la dépendance de l'abbaye du Mont-Saint-Michel. Selon Gerville, le château aurait été donné à l'abbaye par un Néel de Saint-Sauveur qui s'y était fait moine : « Anno 1178 obiit Jordanus Taisson [Jourdain Tesson] cui successit Radulfus [Raoul V Tesson] filius ejus qui fecit hominium abbati montis apud montem de Castello suo de Rocà et de Columbà ». Il fut attribué à Bertrand du Guesclin après qu'il l'eut conquis et qu'il conserva jusqu'à sa mort en 1380. Son frère, Olivier du Guesclin ( 1405) fut après lui seigneur de la Roche-Tesson[35]. Puis la baronnie de la Roche fut donné par le roi Charles VI à son dernier fils, Louis de France, duc de Guyenne, dauphin de Viennois. En 1410, la place a pour capitaine Guillaume Duglécin  [sic], qui reçoit pour cela, du vicomte de Coutances, cent livres de gages par an. Lors de l'occupation Anglaise de la Normandie, le roi d'Angleterre Henri V donne la baronnie à Jean Cheyne. En 1450, elle revint probablement au domaine de la couronne.
En 1524, François Ier la donne à Jacques de Matignon, le père du maréchal. Charles Goyon de Matignon (1564-1648), comte de Torigni était également baron de la Roche-Tesson[26]. La famille de Matignon le conservera jusqu'à la Révolution[36].
Il ne subsiste du château, qui était environné de profonds fossés, et situé sur un éperon dominant la vallée de la Sienne, long de 300 mètres, que les soubassements d'une tour et quelques murailles[37].
La place forte était située en face du château de Rollos à La Bloutière dont elle n'était séparée que par le fleuve[34].
La baronnie de la Roche-Tesson s'étendait aux paroisses de Montabot, Percy, Chevry, l'Orbehaye, Maupertuis et le Chefresne[38].
Près du château, un hameau était occupé par des fabricants d'airain partis par la suite à Villedieu[33].
  • Manoir de Bordes du XVIe siècle.
  • La Dorée du XVIe siècle.
  • Anciens moulins de la Planche Denise, du Gué, de la Roche, de Bordes, à tan.
Pour mémoire
  • Ancienne chapelle au lieu-dit l'Hermitage.
  • Ancien prieuré au lieu-dit la Couperie. Au XIIIe siècle, le chevalier Guillaume Corbet, aumôna[Note 3] l'église de Margueray à payer une aumône au prieuré de la Couperie de La Colombe[39].

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 62.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 280.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. En droit ancien : condamner en justice[39].
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  7. « Orthodromie entre La Colombe et Cerisy-la-Salle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Colombe ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny », sur Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1443.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  18. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2, BNF 36174448), p. 97.
  19. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 103.
  20. « Colombe (La) », sur archives-manche.fr, Archives départementales de la Manche (consulté le ).
  21. a b c d et e Décédé en exercice.
  22. « Cantonales : Marcel Bourdon, candidat divers droite », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. Réélection 2014 : « La Colombe (50800) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. a et b « La Colombe. Isabelle Champbertauld, maire, succède à Marcel Bourdon », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. La Colombe : démission de la maire Isabelle Champbertauld.
  26. a et b Gautier 2014, p. 280.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Statue : Vierge à l'Enfant assise, dite Notre-Dame de la colombe », notice no PM50000246, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. « Verrière : Vie de la Vierge », notice no PM50000245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. a b et c Delattre, 2002, p. 62.
  34. a et b Charles de Gerville, « Recherches sur les anciens châteaux du département de la Manche : Arrondissement de Saint-Lô », dans Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, Mancel (Caen) - Ponthieu et Delaunay (Paris), (lire en ligne sur Gallica.), p. 188
  35. Gerville 1829, p. 191 [lire en ligne sur Gallica].
  36. Gerville 1829, p. 193 [lire en ligne sur Gallica].
  37. André Plaisse, La grande chevauchée guerrière d'Édouard III en 1346, Cherbourg, Éditions Isoète, , 111 p. (ISBN 2-905385-58-8), p. 60.
  38. Gerville 1829, p. 194 [lire en ligne sur Gallica].
  39. a et b Gautier 2014, p. 390.