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Michel Denisot

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Michel Denisot
Image illustrative de l’article Michel Denisot
Michel Denisot animant Le Grand Journal sur Canal+ le 19 mai 2010 durant le Festival de Cannes.

Naissance (79 ans)
Buzançais, (France)
Nationalité Française
Profession Journaliste
Autres activités
Historique
Télévision Première chaîne de l'ORTF
Troisième chaîne couleur de l'ORTF
TF1
Canal+

Michel Denisot, né le à Buzançais (Indre)[1], est un journaliste, animateur, réalisateur et producteur de télévision français.

Après un début de carrière à l'ORTF comme journaliste pigiste, il devient animateur et commentateur sportif ainsi que présentateur de journal, notamment pour les éditions du 13h aux côtés d'Yves Mourousi sur TF1 (1975-1977) puis il rejoint le service des sports de la Une, jusqu'en juillet 1984.

En août 1984, il rejoint la chaîne Canal+ nouvellement créée le . Il anime la première émission de la chaîne et première quotidienne matinale de la télévision française, Le 7/9, juste après l'ouverture de l'antenne inaugurée par André Rousselet[2]. Il poursuit une carrière d'animateur et de producteur télévisuel, notamment en présentant des émissions d'information, d'interviews et de décryptage sur Canal+ avec Zénith, Mon Zénith à moi, La Grande Famille puis Télés Dimanche.

D' à , il présente l'émission d’information et de divertissement Le Grand Journal chaque soir de la semaine, qui renouvelle la voie tracée par l'émission emblématique de la chaine cryptée, Nulle part ailleurs, mais avec une dominante plus axée sur l'actualité immédiate et politique.

Il exerce également diverses fonctions dirigeantes au sein du groupe Canal+ et a présidé deux clubs de football français, dont le Paris Saint-Germain.

En , tout en continuant ses activités sur Canal+, il devient le directeur de la rédaction de la version française du magazine Vanity Fair. Pour se consacrer à ce nouveau travail, il quitte en la présentation du Grand Journal, émission reprise ensuite par Antoine de Caunes. Il annonce dans son éditorial mensuel d' qu'il quitte le magazine après 78 numéros.

En 2019, il réalise son premier film, Toute ressemblance, portant sur les coulisses de l'univers télévisuel, avec pour rôle principal Franck Dubosc.

Depuis 2020, il anime une émission mensuelle, Le Grand Comex, sur la nouvelle chaîne d’information économique B SMART créée par Stéphane Soumier.

En mars 2021, il redevient président d'un club de football en acceptant de reprendre la direction de son club de cœur, la Berrichonne de Châteauroux, qu'il a déjà dirigé entre 2004 et 2008[3], un poste qu'il annonce quitter en avril 2023.

Enfance, formation et débuts

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Michel Denisot a cinq ans[1] lorsque son père, garagiste à Saint-Genou, dans l'Indre[4], meurt. Sa mère travaille au garage familial, puis dans une épicerie et enfin à la Caisse d'allocations familiales[4].

Élève médiocre, il redouble trois fois la classe de première et deux fois celle de terminale. Il repasse le baccalauréat à trois reprises, sans jamais l'obtenir, et ne possède aucun diplôme[5]. À l'âge de quinze ans[6] et après deux années d'études au centre d'apprentissage CARTIF[Note 1][réf. souhaitée], il commence sa carrière de journaliste en tant que correspondant pigiste dans la presse locale à Châteauroux[1].

À partir de 1968, il est pigiste à la station régionale de l'ORTF de Limoges[1]. Il travaille aussi pour les stations de Poitiers, Bordeaux et Reims[4]. Dès 1969, il rejoint l'équipe du jeu Le Schmilblic, produit et présenté par Guy Lux[7].

Journaliste à TF1 (1972-1984)

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En 1972, Michel Denisot quitte le Berry et part s'installer à Paris. Il rejoint la première chaîne de l'ORTF (future TF1) comme « grouillot » (homme à tout faire) : il porte alors les cafés ou les jus d'orange à Jean Lanzi et autres Jean-Pierre Elkabbach[8].

En 1973, il participe à la nouvelle troisième chaîne de l'ORTF (futur FR3 puis France 3)[9] avant de revenir sur TF1 en 1975 pour coprésenter le Journal télévisé de 13 heures avec Yves Mourousi et Claude Pierrard pendant deux ans et demi jusqu'en 1977[1].

En 1977, ce grand passionné de football intègre le service des sports de TF1 où il est commentateur de football pendant sept ans[10]. Il anime notamment, de 1982 à 1983 l'émission spécialisée nommée Téléfoot et Champions de 1983 à 1984 (avec des variétés). Il assure aussi le commentaire des grandes affiches de football[1]. Il commente ainsi la première rencontre du Paris Saint-Germain Football Club (PSG) diffusée à la télévision[10] : le , le PSG remporte la finale de la Coupe de France face à Saint-Étienne (2-2, 6 tirs au but à 5)[11]. Il commente certains matchs de la Coupe du monde 1982 avec Henri Michel. Entre 1980 et 1982, il présente également le jeu estival La Bonne conduite, consacré à la sécurité routière[12].

Journaliste, animateur, producteur et dirigeant à Canal+ (1984-2013)

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Présentation d’émissions

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Michel Denisot au festival de Cannes 1996.

En 1984, Michel Denisot quitte TF1 à l'arrivée d'Hervé Bourges pour rejoindre Canal+, la nouvelle chaîne cryptée présidée par André Rousselet et dirigée par Pierre Lescure[8]. Il devient producteur et présentateur de plusieurs émissions :

  • 1984 - 1985 : Le 7/9
    • Première émission de télévision matinale en France[13] et première émission diffusée sur l'antenne de Canal+ en compagnie de Laëtitia Germain, qui présente alors la météo sur cette même chaîne[14].
  • 1985 - 1987 : Zénith[9]
  • 1987 - 1992 : Mon Zénith à moi[15]
  • 1992 : Le Journal du cinéma[13]
  • 1988 - 1990 : Demain[9]
  • 1990 - 1991 : La Grande Famille[9]
  • 1992 - [16],[9] : Télés Dimanche
    • Émission où son protégé Marc-Olivier Fogiel est chroniqueur[1], émission que ce dernier reprendra à sa suite[17] ; présentée comme la première émission de télévision sur les médias[18]
  • 1996 - 1998 : À part ça[9].

Parallèlement, il commente des matches de football avec Charles Biétry[1]. Passionné de cinéma, il devient directeur artistique des cérémonies du Festival de Cannes en 1993 et de la cérémonie des César du cinéma en 1994[13].

Parallèlement à Canal+, il présente entre et l'émission Ciné-Stars sur TF1. Il s'agit alors d'une production Ellipse[19].

Postes dirigeants

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Michel Denisot en 1999.

De 1998 à 2005, Michel Denisot occupe différents postes de dirigeants au sein du groupe Canal+.

À l'été 2005, il abandonne ces différentes fonctions pour se concentrer sur son émission quotidienne Le Grand Journal[25],[26]. En 2011, il précise : « Je n'étais pas à ma place. Je ne suis pas un homme de marketing »[18].

Retour à la présentation

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À partir de , Michel Denisot est de retour à la télévision pour animer Le Grand Journal chaque soir sur Canal+[27] de 19 h à 20 h, puis également, à partir de la rentrée 2005, de 20 h à 20 h 45, après Les Guignols de l'info.

En 2005, il refuse de prendre sa retraite, expliquant que Le Grand Journal doit continuer avec lui. Il avait aussi des projets à propos du football.[réf. nécessaire]

Dans ce talk show quotidien diffusé sur la case historique de Nulle part ailleurs, il reçoit, avec son équipe de chroniqueurs, des personnalités qui font l'actualité[25]. Produite par Renaud Le Van Kim, l'émission connaît une certaine progression au fil des années jusqu'en 2012 où son audience chute sensiblement[28], tout en étant toutefois régulièrement critiquée. Ainsi, Télérama la considère comme « le temple de la promo télévisuelle »[29].

Michel Denisot en , lors du banquet des 5 000[30] sur le parvis de l'hôtel de ville de Paris.

En 2012, il décide de changer la formule et l'équipe du Grand journal, se séparant notamment de sa protégée Ariane Massenet[31]. L'émission accuse à cette époque une perte d'audience atteignant -13 % par rapport à l'année précédente principalement en raison de la concurrence des rendez-vous concurrents[32] : C à vous sur France 5, Vous êtes en direct sur NRJ 12 et Touche pas à mon poste ! sur D8.

Le , il indique qu'il souhaite arrêter d'animer Le Grand Journal à la fin de la saison, à cause de la baisse d'audience, mais aussi à cause de la grande peur qu'il a eue pendant la semaine spéciale festival de Cannes, où un homme dans le public a lancé une grenade factice et tiré des balles à blanc, causant un mouvement de panique sur le plateau et l'interruption de l'émission[33]. Les chroniqueurs ayant travaillé à ses côtés pendant les neuf saisons lui rendent hommage lors de l'émission du . Antoine de Caunes le remplace à partir de la saison 10 (2013-2014).

Carrière de dirigeant de club de football (1989-2023)

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Entre 1989 et 2008, Michel Denisot préside successivement deux clubs de football : La Berrichonne de Châteauroux, dans l'Indre, département dont il est originaire, et le Paris Saint-Germain Football Club (PSG), alors propriété du groupe Canal+ :

De 1989 à 1991, il est le président de La Berrichonne de Châteauroux[34] ; le club monte en deuxième division et se professionnalise.

En , il devient président délégué du Paris Saint-Germain, évoluant en première division[35]. Mais, en , il est remplacé par Charles Biétry[36] en dépit d'un palmarès à la tête de cette équipe (un championnat de France, une Coupe européenne et six Coupes nationales) :

En 2002[34], il redevient président de La Berrichonne de Châteauroux, jusqu'en 2008[37]. En 2004, le club est finaliste de la Coupe de France de football.

En 2009, il refuse de revenir à la direction du PSG[38], revendu entretemps par Canal+. À ce sujet, il précisera en 2011 : « Je préfère conserver des souvenirs heureux plutôt que de leur adjoindre d'éventuelles déceptions »[18].

En mars 2021, il redevient président de Châteauroux pour la troisième fois après avoir été choisi par le groupe saoudien United World, propriétaire à hauteur de 80 % du club[39]. Le , il annonce quitter cette fonction[40].

Directeur de la rédaction de Vanity Fair (depuis 2012)

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En , tout en continuant ses activités sur Canal+, Michel Denisot devient directeur de la rédaction de la version française du magazine Vanity Fair[41].

Animation depuis 2017

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De 2017 à 2018, Michel Denisot anime l'émission En off sur Paris Première[42].

En 2018, il anime Le Journal du Festival et Profession... sur Canal+[43],[44].

Réalisateur

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En 2018, Michel Denisot se lance dans la réalisation de son premier film, Toute ressemblance, portant sur les coulisses de l'univers télévisuel, avec pour rôle principal Franck Dubosc[45]. Le film sort en salles le .

Vie privée

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Marié en 1974 à Martine Patier , attachée de presse[4], Michel Denisot a deux filles, nées en 1979 et en 1980[46]. Sa cadette, Louise Denisot, est animatrice sur Cuisine+ à partir de [47].

Passionné de sport hippique[48], il possède six chevaux de course[1]. Il produit du vin dans le Val de Loire à Valençay (Indre) où il possède un vignoble de 4 hectares[13].

Il est approché par le parti La république en marche qui lui propose une investiture pour les élections législatives de 2022, mais il refuse la proposition[49].

Animateur de télévision

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Filmographie

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 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.

Apparitions dans son propre rôle

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Réalisateur

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Publications

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  • Nicolas Sarkozy et Michel Denisot (entretiens avec), Au bout de la passion, l'équilibre, Paris, éditions Albin Michel, , 242 p. (ISBN 2-226-07616-6)
    Avant l'élection présidentielle de 1995, Michel Denisot publie un livre d'entretiens avec Nicolas Sarkozy, à l'époque lieutenant du candidat Édouard Balladur. En 2007, après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence, le journaliste précise qu'en 1995, certains de ses confrères ont critiqué ce coup de pouce mais que les mêmes « ont rejoint depuis, le camp de Sarkozy »[54]. Il est resté un ami très proche de Nicolas Sarkozy depuis cette époque[55].
  • Michel Denisot, Brèves de vies, Paris, Fayard, coll. « Documents », , 288 p. (ISBN 2213682062)
  • Michel Denisot, On peut rire de tout - sauf en mangeant de la semoule !, Paris, Plon, coll. « Documents », , 176 p. (ISBN 2259312683)
    Cet ouvrage, qui condense des blagues et mèmes issus des réseaux sociaux, suscite une polémique au sens où l'auteur semble s'être dispensé de demander une autorisation de diffusion aux auteurs de plusieurs montages[56],[57].
  • Michel Denisot, Toute premières fois, Ils ont tous commencé sur Canal, Flammarion, , 400 p. (ISBN 9782080457486)

Distinction

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En , Michel Denisot est fait Chevalier de la Légion d'honneur[58],[59] par le président Jacques Chirac, pour son action à la tête du PSG[8].

Notes et références

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  1. Centre d'apprentissage régional des techniques d’impression et de finition (site internet du CARTIF).

Références

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  1. a b c d e f g h i j et k « Michel Denisot », sur premiere.fr (consulté le )
  2. « Canal+ : Michel Denisot serait (à son tour) sur le départ », 20 minutes.fr, 22 juin 2016.
  3. « Michel Denisot, nouveau président de Châteauroux ? - Fil Info - Ligue 2 - Football », sur Sport24, (consulté le )
  4. a b c et d Pierre Veilletet, « Michel + : Denisot enfin décrypté », Médias, no 14,‎ (lire en ligne)
  5. Brèves de vies, Fayard, 2014
  6. « Biographie Michel Denisot », sur cheriefm.fr (consulté le )
  7. « Michel Denisot en bref », sur Nouvelobs.com,
  8. a b et c « Michel Denisot à livre ouvert », sur nouvelobs.com,
  9. a b c d e f g h i j et k « Michel Denisot », sur Ozap.com (consulté le )
  10. a et b Biographie de Michel Denisot, Gala.fr (consulté le 24 septembre 2017).
  11. Vivien Brunel, « PSG - Saint-Étienne : la finale historique de 1982 », sur psgmag.net,
  12. « La Bonne conduite - L'Encyclopédie des Émissions TV », sur Toutelatele.com (consulté le )
  13. a b c d et e Roland Mihaïl et Antoine Silber, « Michel Denisot », L'Express,‎ (lire en ligne)
  14. Alexandre Raveleau, « Canal+ fête ses 25 ans avec Michel Denisot », sur programme-tv.com,
  15. a et b « Michel Denisot - Archives vidéo et radio Ina.fr », sur Ina.fr (consulté le )
  16. a et b [1] sur humanite.fr,
  17. [2] Portrait de Fogiel dans Libération
  18. a b et c Michel-Antoine Burnier et Bernard Zekri, « Michel Denisot: portrait d’un indestructible », sur Les Inrockuptibles,
  19. « Ciné-Stars - L'Encyclopédie des émissions TV », sur Toutelatele.com (consulté le )
  20. « Michel Denisot », sur Stratégies,
  21. « Jean-Pierre Paoli, PDG d'Eurosport France », sur Stratégies,
  22. « Michel Denisot, directeur général délégué de Canal+ », sur Stratégies,
  23. « Groupe Canal+ : Michel Denisot remplace Bibiane Godfroid », sur Stratégies,
  24. a et b Jérôme Roulet, Alexandre Raveleau, Emilie Lopez, « Ma Première Télé> Michel Denisot », sur toutelatele.com,
  25. a et b Benoît Daragon, « Michel Denisot : « Plus que jamais je porte le maillot de Canal ! » », sur Ozap.com,
  26. « Alexandre Bompard remplace Michel Denisot à la direction des sports de Canal+ », sur Stratégies,
  27. « "Le Grand Journal", c'est fini: 13 ans d'histoire en 13 vidéos mémorables », sur LExpress.fr, (consulté le )
  28. [3] « Le Grand Journal de Michel Denisot sur la sellette », Le Figaro, 5 juin 2013.
  29. Isabelle Poitte, « “Le grand journal” ? Météo, promo, dodo », Télérama, no 3143,‎ (lire en ligne)
  30. « economie.gouv.fr/fete-gastrono… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. « Disparition du "Grand Journal" sur Canal Plus : pourquoi Michel Denisot devait le saborder » ; Thierry de Cabarrus pour Le Plus du Nouvel Observateur, sur le site leplus.nouvelobs.com - 2 juin 2012.
  32. Nicolas Richaud, « Pourquoi le « Grand Journal » finit avec 10 fois moins d’audience que Yann Barthès », lesechos,‎ (lire en ligne)
  33. Yves Jaegle, « Michel Denisot : « Pourquoi j'arrête le Grand Journal » », sur Le Parisien.fr, .
  34. a et b « Denisot revient à Châteauroux », sur sport.fr,
  35. « Michel Denisot, un des derniers barons de Canal », sur telesatellite.com,
  36. « L'histoire du PSG », sur psgstat.fr (consulté le )
  37. « Foot : Michel Denisot quitte Châteauroux », sur Le Figaro.fr,
  38. « Le présentateur de Canal + a refusé de prendre la tête du club parisien », sur Gala.fr,
  39. « Michel Denisot nouveau président de Châteauroux », sur L'Équipe (consulté le )
  40. « Michel Denisot n'est plus le président de Châteauroux », sur lequipe.fr, L'Équipe, .
  41. Enguérand Renault, « Michel Denisot va diriger le Vanity Fair français », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  42. Benoît Daragon, « «En off» : Michel Denisot recueille confidences sur confidences », sur LeParisien.fr, (consulté le )
  43. Renaud Machart, « « Profession… écrivain.e » : cuisine et dépendances à la table de Michel Denisot », sur lemonde.fr, (consulté le )
  44. « Michel Denisot : un festival de professions ! », sur radioclassique.fr, (consulté le )
  45. « Franck Dubosc tape dans l'œil de Michel Denisot qui prépare son premier film », .
  46. Maëlle Boudet, « Célébrités : ces couples qui durent », sur planet.fr,
  47. « Les débuts télé de Louise Denisot et Margaux Sabatier », sur premiere.fr,
  48. « Un jour avec… Michel Denisot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Equidia.fr (consulté le )
  49. « Législatives : approché par la macronie, Denisot ne sera pas candidat sous l'étiquette LREM », sur Europe 1,
  50. Notice du film sur IMDb.
  51. Ce film X a été réalisé pour fêter le vingtième anniversaire de Canal + ; Michel Denisot y fait une apparition comme d'autres animateurs de la chaîne, et ne participe pas aux scènes pornographiques.
  52. « Michel Denisot » (présentation), sur l'Internet Movie Database, consulté le 5 mars 2012
  53. (en) « Les yeux jaunes des crocodiles (2014) - IMDb » (consulté le )
  54. Emmanuel Berretta, « Entretien - Michel Denisot : « Je rêve d'un Jacques Chirac présentant le Grand Journal » », sur Le Point,
  55. Julien Salingue, « Suspension d’Audrey Pulvar : l’arbre qui cache la forêt », sur Acrimed,
  56. Noah Moulinet, « Des créateurs s’étonnent d’être repris dans le livre de Michel Denisot sans leur accord » Accès payant, sur linforme.com, (consulté le ).
  57. Tom Kerkour, « Michel Denisot accusé d'avoir utilisé pour son livre des blagues sans l'aval de leurs auteurs », sur ozap.com, (consulté le ).
  58. Décret du 13 juillet 1998 portant promotion et nomination
  59. Conseil d'État de la République et du canton de Genève (Suisse), « Point de presse du 18 novembre 1998 : Félicitations à Monsieur Michel Denisot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ge.ch,

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Article connexe

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Liens externes

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