New Zealand Geographic
New Zealand Geographic | ||
Discipline | Géographie | |
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Langue | Anglais | |
Publication | ||
Maison d’édition | Kowhai Media (Nouvelle-Zélande) | |
Période de publication | depuis janvier 1989 | |
Fréquence | bimestriel | |
Libre accès | oui | |
Indexation | ||
ISSN | 0113-9967 | |
OCLC | 1045727354 | |
Liens | ||
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La New Zealand Geographic est une revue publiée en Nouvelle-Zélande. Comme son nom l'indique, elle est spécialisée dans les sujets de géographie.
Historique
[modifier | modifier le code]Kennedy Warne et John Woods décident en 1988 de fonder la revue ; Kennedy Warne en devient aussitôt le rédacteur en chef et le reste durant quinze ans[1],[2],[3].
En juillet-août 2008, la rédaction annonce la fondation de la société géographique néo-zélandaise — « New Zealand Geographic Society » — rebaptisée par la suite New Zealand Geographic Trust. Le but de cette société est de « [soutenir et protéger] la vie, la culture et les sciences néo-zélandaises » en faisant la promotion du « patrimoine naturel et culturel de la Nouvelle-Zélande »[4].
En 2008 également, la revue lance un concours de photographie, Photographer of the Year, qui devient de plus en plus populaire d'année en année. En 2021, le concours reçoit ainsi six mille candidatures[5].
En 2016, sous la direction de James Frankham, le New Zealand Geographic et Natural History New Zealand s'associent pour lancer un service de streaming en ligne. Le nouveau service offre environ dix mille images d'archive et cent soixante heures de documentaires[6],[7].
Lors du Webstar Magazine Media Awards 2018, le magazine remporte le prix du « magazine de l'année »[8].
Administration et ligne éditoriale
[modifier | modifier le code]L'éditeur de la revue est l'entreprise de médias Kowhai Media[2].
Entre 1989 et 2022, seuls quatre rédacteurs en chef se succèdent à la tête du journal : Kennedy Warne, Warren Judd, James Frankham et Rebekah White[2].
Lors de son entrée en fonction, la nouvelle rédactrice en chef Rebekah White déplore que la ligne éditoriale du magazine ne soit pas pleinement reconnue. Le public néo-zélandais considère la revue comme une publication sur la nature et la vie sauvage, et négligent son intérêt dans des articles d'investigation sur des questions sociales comme les sans-abri, la dépendance à la méthamphétamine, la croissance démographique ou la gestion des déchets et du recyclage[9].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Naomi Arnold, « Podcast: The Get #7 – Kennedy Warne on writing stories for National Geographic », The Spinoff (en), (lire en ligne).
- (en) « About us », New Zealand Geographic (consulté le ).
- (en) Naomi Arnold, « New Zealand Geographic », Radio New Zealand, (lire en ligne).
- (en) Ron Johnston, « Popular geographies and geographical imaginations: contemporary English-language geographical magazines », GeoJournal (en), vol. 74, , p. 347-362 (ISSN 1572-9893, DOI 10.1007/s10708-009-9293-6, lire en ligne).
- (en) Damien Venuto, « Stuff photographer scoops New Zealand Geographic Photographer of the Year award », Stuff, (lire en ligne).
- (en) Damien Venuto, « Matching eyeballs to videos: New Zealand Geographic and NHNZ team up to launch online streaming service », StopPress, (lire en ligne).
- (en) Damien Venuto, « Natural history out of the vaults and onto the net », Radio New Zealand, (lire en ligne).
- (en) « Webstar Magazine Media Awards 2018: NZ Geographic takes home Supreme Magazine of the Year and Bauer’s Nicky Dewe wins Supreme Editor of the Year », StopPress, (lire en ligne).
- (en) Jihee Junn, « Changes at Kowhai: Pro Photographer folds, Frankham steps down as NZ Geographic editor », StopPress, (lire en ligne).