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Préaux (Mayenne)

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Préaux
Préaux (Mayenne)
L'église Saint-Martin.
Blason de Préaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Château-Gontier
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Meslay-Grez
Maire
Mandat
Roland Foucault
2020-2026
Code postal 53340
Code commune 53184
Démographie
Gentilé Préauxois
Population
municipale
162 hab. (2021 en évolution de −2,99 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 56′ 09″ nord, 0° 27′ 58″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 82 m
Superficie 9,58 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Meslay-du-Maine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Préaux
Géolocalisation sur la carte : France
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Préaux
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Préaux
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Préaux

Préaux est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 162 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie

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Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Loup-du-Dorat à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 760,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Préaux est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,6 %), prairies (32,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), forêts (3,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Pratellis en 643 et de Pradellis en 802[13]. Le toponyme serait issu du bas latin pratellum, « petit pré »[13].

Le gentilé est Préauxois[14].

En 802, Charlemagne rend et confirme à l’église du Mans Préaux (De villa Pradellis)[15]. En 832, Louis le Pieux en assure les revenus au clergé : De villa Pradellis[16],[17].

On trouve le nom de Préaux dans une foule de titres et documents anciens ; mais l’attribution des textes à la paroisse de Préaux paraît difficile.

S'il faut en croire l’avocat de M. de Hardouin, partie adverse de M. René de Chantepie, voici quelle serait l'origine du titre des seigneurs de Préaux que les membres de cette famille s'attribuaient, 1706.

Les seigneurs de Laval ont été les premiers seigneurs de Préaux, et ils vendirent leurs droits aux de Chantepie. Les de Chantepie portaient depuis longtemps le titre de sieurs sinon de seigneurs de Préaux. Au cours du XVIe siècle ils avaient fait construire une chapelle attenante à leur château, joignant d'un autré côté l’église, avec laquelle on l'avait mise en communication, et qui leur servait de lieu de sépulture. Ils étaient seigneurs de paroisse avec les droits honorifiques que ce titre suppose, et avaient la haute justice.

L'abbé Angot ne sait si la famille de Chantepie qui se trouve à Préaux aux XVIe, XVIIe, XVIIIe siècles tire son nom du fief voisin de Chantepie en Saulges. Il ignore également si Jean de Chantepie qui rend aveu en 1464 au seigneur des Trées de la même paroisse, était sieur dudit lieu, et s'il est un des ancêtres des sieurs de Préaux. Celui-ci eut pour héritiers Lancelot, Colin et Jean Chantepie qui figurent en 1484 dans un aveu au fief de Pincesme en Ballée.

Ce sont les registres paroissiaux qui fournissent les premiers renseignements certains que l'abbé Angot connaît sur les Chantepie, sieurs du Bu et de Préaux.

Contrairement à la plupart des communes de l'arrondissement de Château-Gontier, Préaux ne faisait pas partie de l'Anjou, mais du Maine. La paroisse était néanmoins située dans le pays d'élection de La Flèche[24].

Politique et administration

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La mairie-école.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1953   Charles Corbin    
mars 1965   Edouard Lesage    
? mars 2001 Chantal Leroux    
mars 2001[25] En cours Roland Foucault[26] SE Agriculteur
Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[26].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 162 habitants[Note 2], en évolution de −2,99 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Préaux a compté jusqu'à 416 habitants en 1851.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
391327368395382387394414416
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
388361367340339336348329300
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
292283282246240248241240232
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
237189160135130156170170167
2021 - - - - - - - -
162--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Activité et manifestations

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Martin, reconstruite au troisième quart du XIXe siècle, fait l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le [31].

Les sépultures dans l'église étaient rares jusqu'au milieu du XVIIe siècle. Les prêtres eux-mêmes étaient inhumés au cimetière. L'usage prit à cette époque, à Préaux comme presque partout, d'enterrer un grand nombre de personnes dans l'église, même en dehors du clergé et des seigneurs ; cet usage dura jusque vers l'an 1760.

Cimetières : le cimetière a toujours été une dépendance de l'église et primitivement il en était une annexe. Il y en avait presque partout deux, soit qu'un seul fût devenu insuffisant, soit pour marquer la séparation des sépultures d'enfants. À Préaux, il n'y en eut jamais qu'un seul ; il entourait l'église en partie. Il fut remplacé par un nouveau, qui sert encore aujourd'hui, à la fin du XVIIIe siècle[32].

Un monument placé d'abord dans l'ancien cimetière, transporté dans le nouveau, a été conservé à sa place jusqu'à nos jours, et mérite d'être signalé. C'est une croix de Malte en fer forgé et massif préparée pour recevoir son épitaphe et pour surmonter sa tombe, par un pieux et industrieux maréchal de Préaux, membre de cette famille Bouvier dont il a été question dans la liste du clergé.

André René Le Paige estime la cure à 600 livres. Les archives départementales de la Mayenne contiennent des pièces suivantes concernant le presbytère de Préaux et le temporel de la cure[33]

Il y avait à Préaux deux chapelles fondées sur lesquelles les renseignements suivants tirés sont presque tous du pouillé du diocèse.

  • Chapelle Saint-Rémi, dite de la Tousche, dont le temporel consistait en la terre de ce nom, située en la paroisse du Buret. Elle était desservie dans la chapelle du château du Pin. Le présentateur était le seigneur du Pin, le collateur, l'évêque. Le chapelain était tenu à deux messes par semaine. La première nomination à ce bénéfice mentionnée au pouillé du Mans est de 1658. En 1757 le titulaire était François Defay, principal du collège de Chantenay.
  • Chapelle de la Gouyardière, dite de Préaux. Le seigneur de paroisse présente, l'évêque confère. Elle fut fondée en 1517 par Jean Edin, prêtre. En 1664 et 1673, Gervaise François, prêtre de Préaux, était titulaire ; en 1746 on trouve comme chapelain Guillaume Salbert, d'Angers ; en 1781 M. de la Barre, du même diocèse. Le lieu de la Gouyardière qui dépendait de cette chapelle était en Préaux. Les charges étaient aussi de deux messes par semaine.

Il y avait à Préaux plusieurs autres fondations de moindre importance qui se trouvent signalées çà et là dans ce travail. Les Templiers possédaient à Préaux un lieu nommé la Templerie, qui devint la propriété de la commanderie de Thévalle.

Cicé est actuellement une ferme sur la route de Préaux à Chemeré, sur la gauche. On y voit encore l'ancienne chapelle accolée au bâtiment principal, qu'on ne reconnaît qu'à la forme de son toit aigu. L'intérieur très élevé avait autrefois une sorte de voûte en lattis. Cet antique sanctuaire sert au début du XXe siècle de cellier et de grenier, grâce à un plancher qui en divise la hauteur. La terre et le fief de Cicé appartient à une des branches de la famille de Guérin. Les sieurs de Cicé étaient recommandés au prône du dimanche, nommément Jean de Guérin.

Le Vau-Favry, Favry

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Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Préaux Blason
De sinople, à une épée haute accostée de deux têtes de cheval affrontées, le tout d’argent ; au chef ondé d’argent, à deux bandes de gueules.
Détails
Le sinople ou vert en héraldique représente le nom du village en symbolisant la verdure des nombreux prés.

L’ondé du chef indique la présence de la Vaige, rivière qui traverse le territoire communal de part en part.

L’épée est l’un des symboles de Martin, saint patron de la paroisse de Préaux.

Les têtes de cheval indiquent que la commune a une tradition très ancrée dans le domaine des équidés. Cette expérience a d’ailleurs permis à une écurie du territoire communal de remporter deux fois le prix d’Amérique.

Le chef rappelle le blason de la famille Pannard, seigneur de Préaux. La reprise intégrale du blason de seigneur étant formellement interdite pour la commune, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

Les ornements sont deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées de sinople afin d’honorer l’activité agricole de la commune.

Le listel d’argent porte le nom de la commune en caractères majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Préaux et Saint-Loup-du-Dorat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Loup-du-Dorat », sur la commune de Saint-Loup-du-Dorat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Loup-du-Dorat », sur la commune de Saint-Loup-du-Dorat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Préaux ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 348.
  14. « Préaux », sur paysmeslaygrez.fr, communauté de communes du Pays de Meslay-Grez (consulté le ).
  15. Gesta Pontificum Cenomanensium.
  16. Abbé Angot, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, 1910, t. 3, p. 345-348.
  17. Gestes d'Aldric, p. 38.
  18. Remembrances de Linières et Ballée.
  19. Ibid.
  20. Archives de la Mayenne, B 46. - Remembrances de la seigneurie de Chemeré.
  21. L'abbé Angot trouve en 1650 Adnette de Chantepie, demoiselle du But, demeurant à Laval.
  22. « Le fut inhumé en la chapelle de Préaux le corps de vénérable et discret maistre Roland de Chantepie, prestre et seigneur de Préaux, par maistre François Raison, curé de la Cropte. »
  23. Archives de la Mayenne, B 766.
  24. Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Desaint et Saillant, .
  25. « Accessibilité : les trottoirs du bourg seront élargis », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. a et b Réélection 2014 : « Préaux (53340) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Église Saint-Martin », notice no PA53000016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « En l'année 1777 le 25e jour du mois de mai, dit M. de Villeneuve, qui était le dimanche de la Trinité, le nouveau cimetière dont le champ a été donné par messire René de La Barre, seigneur de Préaux, a été avec la permission de Mgr l'évêque du Mans, qui était M. de Grimaldi, béni par vénérable et discrète personne Me Pierre Claude Geoffroy de Villeneuve, curé de Préaux, après les vêpres, ès présence des notables de la paroisse et autres, avec les cérémonies les plus magnifiques ». (Ibid.). « La première sépulture s'y fit le 8 juin 1777, dit encore-le même curé. »
  33. Série B, 19 (1755-1759). Remontrances du procureur du roi contre le curé de Préaux au sujet de la réparation de sa cure. M. Fanouillais prit possession en 1756 et resta jusqu'en 1771. B 163 (1752-1756). Rapport d'expert concernant l'état de lieux du presbytère de Préaux. B 165 (1762-1765). Montrée du temporel de la cure de Préaux. B 462 (1759). Le procureur fiscal du comté de Laval contre le curé de Préaux : demande de réparation au temporel de la cure. B 682 (1746). Le procureur fiscal contre Nicolas Rosée, curé de Préaux : demande de réparation au presbytère. B 887 (1762-1776). Demande et réception de réparation à la cure de Préaux.
  34. Il y a une terre de ce nom en Ballée.
  35. Registres paroissiaux. - Remembrances de Ballée. - Archives de la Mayenne.