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Saint-André-Goule-d'Oie

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Saint-André-Goule-d'Oie
Saint-André-Goule-d'Oie
La mairie en .
Blason de Saint-André-Goule-d'Oie
Héraldique
Saint-André-Goule-d'Oie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Fulgent - Les Essarts
Maire
Mandat
Jacky Dallet
2020-2026
Code postal 85250
Code commune 85196
Démographie
Gentilé Gouledoisien
Population
municipale
1 924 hab. (2021 en évolution de +6,65 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 50′ 09″ nord, 1° 11′ 27″ ouest
Altitude 79 m
Min. 42 m
Max. 107 m
Superficie 20,38 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Fulgent
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montaigu-Vendée
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-André-Goule-d'Oie
Liens
Site web Site officiel

Saint-André-Goule-d'Oie est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. Ses habitants sont appelés les Gouledoisiens.

Géographie

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Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Le territoire municipal de Saint-André-Goule-d’Oie s’étend sur 2 038 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 79 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 42 et 107 mètres[1],[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 829 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-André-Goule-d'Oie est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Fulgent, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,7 %), prairies (8,4 %), zones urbanisées (7,2 %), forêts (3,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Environnement

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Saint-André-Goule-d'Oie a obtenu une fleur au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2007).

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Goule-d'Oie[14].

Origine et Ancien Régime

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Les fouilles préventives réalisées sur le tracé de l'autoroute A87 en 2000 ont mis au jour des vestiges sur le site des Burettes. Difficiles à dater, il s'agit probablement d'une batterie de foyers à usage unique, à mettre en rapport avec les découvertes datant de la Tène (420-25 av. J.-C.) sur le site de la petite Valinière à Saint-Fulgent[15].

Lors de la conquête romaine, les habitants de la région étaient les Ambilatres (Ambilati). Alliés des Vénètes, battus par Jules César en 59 av. J.-C., leur pagus fut rattaché à la civitas des Pictons, alliés du général romain[16]. C'est l'origine du comté de Poitou.

Les Xe – XIe siècles virent l'émergence de seigneurs féodaux qui remplacèrent l'autorité centrale carolingienne. Le comte du Poitou, d'abord fonctionnaire impérial, devint progressivement héréditaire. Le comte délègue une partie de son autorité à un vicomte, origine de la famille de Thouars. Le territoire couvert par la commune faisait partie de la baronnie des Essarts, mentionnée en 1099, relevant du vicomte de Thouars.

La première mention de Saint André Goule d'Oie, antérieure à 1306, se trouve dans un texte ecclésiastique. Sanctus Andreas de Gula Anceris est alors un prieuré cure dont le titulaire est nommé par le père abbé de l'abbaye de Nieul sur l'Autise.

Période révolutionnaire

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En 1792, le prieur de la paroisse, Louis Marie Joseph Allain, refuse de prêter serment à la constitution civile du clergé et prend la décision de vivre dans la clandestinité pour échapper aux persécutions des Républicains[17]. Il se cache parmi la population fidèle et tient le registre clandestin des actes de baptêmes, mariages et décès de sa paroisse. Ce registre est consultable en version numérisée sur le site www.archives.vendee.fr

Le , les autorités républicaines envoient un détachement de gendarmes au bourg afin d'appréhender Jean-Aimé de Vaugiraud, suspecté de menées séditieuses. Les habitants de Saint-André obligent le maréchal des logis Salle et sa troupe à rebrousser chemin[18].

Les 9 et , s'insurgeant contre la conscription, les jeunes de la commune sont mobilisés contre le tirage au sort par Christophe Cougnon et son frère François. Une troupe bat à mort Jacques Guesdon, maire de la commune, au motif d'avoir établi les listes de conscription et de les avoir remises aux autorités du district de Montaigu. Jean Marchand, son adjoint, subit le même sort[19].

Christophe Cougnon devient le premier capitaine de la paroisse de Saint André à la suite de l'organisation de l'Armée catholique et royale du Centre, commandée par Charles Aimé de Royrand,

Grièvement blessé, sans doute à la suite de la première bataille de Saint-Fulgent en (de nombreux auteurs le mentionnent mort, mais il décède en 1797[20]), peut-être resté invalide, son frère François Cougnon lui succède et est désormais le chef militaire de la paroisse. Il reçoit l'ordre du lis des mains du comte de Suzannet le puis se verra attribuer un fusil d'honneur donné au château des Tuileries le 11 juillet de l'an de grâce 1817 par Louis XVIII.

Le bilan de cette période est lourd pour la commune : elle perd plus de 20 % de sa population par rapport à 1791 et 51 bâtiments ont été détruits par les colonnes infernales pour une valeur estimée à 19.320 francs en 1810[21].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1791 1792 Jean Bordron Royaliste  
janvier 1793 10 mars 1793 Jacques Guesdon Royaliste  
An V An VI François Fluzeau Royaliste  
An VI An VIII Jean Bordron Royaliste  
An VIII 1825 Simon-Pierre Herbreteau Royaliste  
1826 1829 François Cougnon Royaliste  
1829 1830 Léon de Tinguy Royaliste  
1830 1835 Jean Bordron    
1835 1848 Pierre Rochereau    
1848 1871 Augustin Charpentier    
1871 1877 Marcel de Brayer    
1877 1888 Pierre Fontenau    
1888 1896 Gaston Raffard de Marcilly    
1896 1943 Eugène Grolleau    
1943 1969 Marie Charrieau    
1969 1977 Pierre Michenaud DVD  
1977 1989 Roger Maindron[Note 2]    
1989 2008 Gilbert Michenaud[Note 3]    
2008 En cours Jacky Dallet[Note 4],[22] DVD
UDI[23]
conseiller technique avicole
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 1 924 habitants[Note 5], en évolution de +6,65 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 0321 0061 1261 0721 2241 2811 3121 3661 387
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4431 4911 5251 5491 5881 6901 7351 6661 566
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 5661 5611 3011 3001 3061 2171 1791 0821 145
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
1 0871 1131 2721 3531 3071 5491 5841 7181 832
2021 - - - - - - - -
1 924--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,5 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 931 hommes pour 913 femmes, soit un taux de 50,49 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
3,9 
75-89 ans
5,5 
12,3 
60-74 ans
12,3 
19,5 
45-59 ans
18,2 
24,9 
30-44 ans
23,1 
15,5 
15-29 ans
14,0 
23,7 
0-14 ans
26,2 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2021 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-André.

Héraldique

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Blason de Saint-André-Goule-d'Oie Blason
D'azur au sautoir d'or chargé d'une coquille de gueules et cantonné de quatre oies en vol d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Ferdinand Charpentier, dans son ouvrage Chez nous en 1793 (Saint-André-Goule-d'Oie), fait état de la légende du prêtre à la tête coupée. La légende raconte l'apparition d'un prêtre portant sa tête entre ses bras étant apparu à plusieurs reprises sur les chemins du villages avant de rapidement disparaitre. Le prêtre ferait référence à un prêtre martyr de la guerre de Vendée[29].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Réélu en 1983.
  3. Réélu en 1995 et 2001.
  4. Réélu en 2014.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Commune 34332 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Saint-André-Goule-d’Oie », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Saint-André-Goule-d'Oie et Saint-Fulgent », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-André-Goule-d'Oie ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Fulgent », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Laurence JEGO, ALDI, 2000
  16. Gilbert-Charles Picard, « La République des Pictons », in Comptes Rendus des Séances de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres.
  17. Abbé Barraud, Le Clergé Vendéen victime de la Révolution française, Luçon, 1905
  18. Charles-Louis Chassin, La Préparation de la Guerre de Vendée, Mayenne, 1973.
  19. Abbé Deniau, Histoire de la Guerre de Vendée, Angers, 1906-1911.
  20. Revue du Souvenir Vendéen, no 213, 2000.
  21. Archives Départementales de la Vendée, 1M392
  22. Site officiel de la préfecture de la Vendée - liste des maires(doc pdf)
  23. « Les élus UDI de la Vendée », sur le site de la fédération de la Vendée de l’UDI [lire en ligne].
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-André-Goule-d'Oie (85196) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  29. F. Charpentier, Chez nous en 1793 (Saint-André-Goule-d'Oie), récits d'un vieux Vendéen, (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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