Utilisateur:Jean de Parthenay/archive2
Ma page telle qu'elle était en mars 2018: Pensée du mois de décembre : Attendre les ordres en toute circonstance, c’est comme informer un supérieur que vous voulez éteindre le feu : avant que l’ordre ne vous parvienne, les cendres sont déjà froides ; pourtant il est dit dans le code que l’on doit en référer à l’inspecteur en ces matières ! Comme si, en bâtissant une maison sur le bord de la route, on prenait conseil de ceux qui passent ; le travail ne serait pas encore achevé ! Sun Tzu
Pensée du mois de janvier : Ô vous, les êtres qui peuplez les univers ! Vous, génies, hommes et anges ! Sachez que Mawlâ-nâ (notre Seigneur) est le Résurrecteur (Qâ’im al-Qiyâma). Il est le Seigneur des êtres, il est le Seigneur qui est l’existence absolue (wujûd mutlaq), excluant ainsi toute détermination existentielle, car il les transcende toutes. Il ouvre la porte de sa miséricorde, et par la lumière de sa connaissance il fait que tout être soit voyant, entendant, parlant, vivant pour l’éternité. Dans la Grande Résurrection de Hasan Alâ Dhikrihi al-Salâm.
Pensée du mois de Janvier 2018 :
Pensée du mois de Février 2018 : Un temps de Yin, un temps de Yang, un temps de chien, un temps pour toutes choses, voilà le sens profond du Tao (Les dix taoïstes du 道士).
Pensées du mois de Mars 2018 : La grande science est de lui faire vouloir tout ce que vous voulez qu’il fasse, et de lui fournir, sans qu’il s’en aperçoive, tous les moyens de vous seconder. Celui qui dispose de peu d’hommes doit se préparer contre l’ennemi, celui qui en a beaucoup doit faire en sorte que l’ennemi se prépare contre lui.
Anciennetés
Ce collaborateur connaît La vie, l'univers et le reste.|}
PréliminairesMa contribution sur Wikipédia tourne essentiellement autour du portail intitulé Portail:Algèbre Nouvelle et François Viète. Si vous souhaitez contribuer, donner votre avis sur sa page discussion, ou si vous souhaitez m'aider (et j'en aurais besoin) votre collaboration sera évidemment la bienvenue. Trop souvent, le grand public et quelques praticiens des sciences pensent que la mise en place de la symbolique algébrique actuelle prit son envol et sa forme actuelle à partir du XVIIe siècle. Comme on ne prête qu'aux riches, c'est à Descartes qu'on croit devoir l'introduction des lettres dans le calcul formel algébrique. Cette grossière erreur perdure depuis le XVIIIe siècle et malgré les efforts de nombreux scientifiques (Fourier, Chasles, Bertrand), et de nombreux historiens des sciences (Ritter, Marie, Grisard... ), le nom de François Viète demeure largement ignoré. Or, c'est au cœur des guerres de religion, qu'a émergée en France une véritable axiomatique des calculs littéraux. La première apparition de symboles articulés permettant de traiter les problèmes algébriques de façon mécanique n'est pas le fait d'un homme isolé ; Francesco Maurolyco, Guillaume Gosselin, Jacques Pelletier du Mans, et Thomas Harriot n'y ont pas peu contribué. Pour autant, il revient au mathématicien français d'en donner une première forme cohérente. Ces calculs, qui ont formé le fond de la langue mathématiques de 1591 à 1650, ont eu de nombreux épigones, des successeurs qui font connaître ce nouveau langage dans l'Europe entière. Les principaux sont Marino Ghetaldi, Alexander Anderson (mathématicien), James Hume de Godscroft, Pierre Hérigone et Jean de Beaugrand, mais le langage de Viète fut également celui de Fermat, de Newton, de Huyghens, et de Leibniz dans leur jeunesse, et parfois celui de Pascal... Il diffère du nôtre par son exigence d'homogénéité et semble à de nombreux pédagogues bien plus accessible à la compréhension du grand public, notamment par son côté concret, naturel. Ici, A(B+C)=AB+AC ne désigne pas des jeux de lettres, mais l'interprétation d'une évidence géométrique : 'aire d'un rectangle de dimension A et B+C est somme des aires des rectangles de dimension AB et AC... Avocat des Parthenay, précepteur de la mère des Rohan, maître des requêtes d'Henri III et Cryptographe d'Henri IV, Viète fut non seulement le plus habile des mathématiciens de son temps, mais aussi un créateur prolixe, à qui l'on doit de nombreuses inventions en géométrie et particulièrement en géométrie sphérique. Parmi ses découvertes, le calcul littéral, appelé alors analyse spécieuse ou logistique spécieuse, mérite cependant un intérêt particulier. Espérant que ces quelques pages consacrées à l'algèbre des grandeurs permettront de faire avancer la compréhension et l'usage des calculs littéraux, je vous invite une fois encore à visiter de fond en comble ce portail. Vous trouverez ci-dessous un répertoire des pages que j'ai créées autour de ces notions, et quelques autres, plus ou moins connexes, consacrées à d'autres points des mathématiques. Bonne visite. Images diversesglyphe de John Dee blason de Viète, mathématicien Pages crées ou modifiées
Adresses utiles
Pensées du jourPensée du moment : "Je rêve d'un jour où l'égoïsme ne régnera plus dans les sciences, où on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académiciens des plis cachetés, on s'empressera de publier ses moindres observations pour peu qu'elles soient nouvelles, et on ajoutera " je ne sais pas le reste". L'auteur de cette citation (1811-1832) Pensée d'hier : « L'histoire est un procès sujet à révision » ... Pensée de demain : « Pour bien savoir les choses il faut en savoir le détail » « On croit se battre pour la patrie, on meurt pour les industriels et les banquiers. » Anatole France Marino Ghetaldi in Promotus Archimedus Heureux celui que les périls d'autrui ont rendu prudent. Lucrèce, De Natura rerum, II, 1-4 Il est est doux de regarder depuis la terre le grand labeur d’un autre, [perdu] sur la vaste mer, alors que les vents agitent les flots. MAIS AUSSI : Nous tournons dans la nuit et seront consumés par le feu Saint-Just choses divers
Pour réécrire : ACTION
Informations personnelles
Matheux ? Je suis un Mathématicien amateur de coniques.
Cinéma
Cet utilisateur regrette Desproges. Étonnant non ? |
Ski Cet utilisateur n'a pas le temps de faire du ski, ce qu'il déplore profondément.
Historique
Ma première contribution à wikipedia a porté sur Jordanus Nemorarius Elle semble avoir apporté un petit plus à cette page. J'en ai préparé d'autres, sur De Moivre, Parseval, et Viète. Mais en fait, c'est sur Mary Cartwright et sur Gustav Roch, que j'ai fini par me lâcher. J'ai continué avec la création de Chronologie de l'algèbre, et de nombreuses corrections sur Jordanus Nemorarius, Johannes Hispalensis, De Moivre. Plus récemment, vous avez eu droit à Marin Ghetaldi et Jean V de Parthenay... j'ai fait un petit tableau cidessous pour que vous vous y retrouviez. Et moi aussi ! Je me permets d'enrichir de temps à autres quelques points d'histoire des mathématiques. Cette discipline me semble parfois cruellement négligée. Un de mes dadas est de rendre leur place aux mathématiciens dont l'histoire n'a pas retenu le nom (ou pas assez) alors qu'ils devraient figurer parmi les plus grands découvreurs de l'humanité, témoins François Viète Gustav Roch ou Hermann Grassmann. Alors qu'au XXI ème siècle Michel Chasles avait fortement impulsé un mouvement positif en faveur de cette étude, Son manque de perspicacité dans la lamentable affraire Denis Vrain-Lucas, a réduit à néant toute sa crédibilité. Je crois que nous avons nourri un complexe de ce fait, et pris un immense retard par rapport aux anglo-saxons dans l'étude de notre propre patrimoine. EgoComme vous l'avez deviné, je suis un mathématicien ordinaire et un historien amateur. BrouillonJe cache mes brouillons ici : Utilisateur: Jean de Parthenay /Brouillon ▼ TRUCS ▼
Voir aussi Aide Chronologie et plus généralement Aide technique
Saisissez ici le titre :
Un joli TI !!!On note On remarque que l'image de est contenue dans la boule unité de Plus précisément, l'image est privée des points , ensemble de mesure nulle. De surcroît, est injective sur . On note , ... . Le jacobien de est (développement par bloc). On en déduit Soit . Par récurrence (en séparant les cas n pair et impair), on retrouve alors la formule donnée précédemment, qui peut aussi s'écrire si n est pair et si n set impair.
I. AssociationI.1: Soient deux points, il existe une droite passant par ces deux points. I.2: Soient deux points, il n'existe qu'une unique droite passant par ces deux points ; i.e. la droite décrite en I.1 est unique. I.3: Une droite contient au moins deux points, et pour une droite donnée, il existe au moins un point non contenu dans la droite. I.4: Soient trois points non contenus dans une droite, il existe un plan contenant ces trois points. Tout plan contient au moins un point. I.5: Soient trois points non contenus dans une droite, il n'existe qu'un unique plan contenant ces trois points. I.6: Soient deux points contenus dans une droite d et dans un plan α, alors α contient tous les points de d. I.7: Si deux plans α et β contiennent tout deux un point A, alors l'intersection de α et β contient au moins un autre point. I.8: Il existe au moins quatre points non coplanaires. II. OrdreII.1: Si un point B est entre les points A et C, B est aussi entre les points C et A, et il existe une droite contenant les trois points A,B,C. II.2: Soient deux points A et C, il existe un point B élément de la droiteAC tel que C se situe entre A et B. II.3: Soient trois points contenus dans une droite, alors un et un seul se situe entre les deux autres. II.4: Axiome de Pasch. Soient trois points A, B, C non alignés et soit une droited contenue dans le plan ABC mais ne contenant aucun des points A, B, C: Si dcontient un point du segment AB, alors d contient aussi soit un point du segment ACsoit un point du segment BC. III. CongruenceIII.1: Soient deux points distincts A, B et un point A' élément d'une droited, il existe deux et deux uniques points C et D éléments de la droite d, tel queA' se situe entre C et D, et AB est congru à CA' ainsi qu'à DA' . III.2: La relation de congruence est transitive, c’est-à-dire, si AB est congru àCD et si CD est congru à EF, alors AB est congru à EF. III.3: Soient une droite d contenant les segments adjacents AB et BC et une droite d' contenant les segments adjacents A'B' et B'C' . Si AB est congru àA'B' et BC est congru à B'C' , alors AC est congru à A'C' . III.4: Soient un angle ABC et une demi-droite B'C' , il existe deux et seulement deux demi-droites, B'D et B'E,tel que l'angle DB'C' est congru à l'angle ABC et l'angle EB'C' est congru à l'angle ABC. Corollaire: Tout angle est congru à lui-même. III.5: Soient deux triangles ABC et A'B'C' tel que AB est congru à A'B' ,AC est congru à A'C' , et l'angle BAC est congru à l'angle B'A'C' , alors le triangle ABC est congru au triangle A'B'C' . IV. ContinuitéIV.1: Axiome d'Archimède. Soient deux segments AB et CD tel que C est différent de D, il existe n points A1,...,An de la droite contenant le segment AB, tels que Aj se situe entreAj-1 et Aj+1 si 2 ≤ j < n - 1,AjAj+1 est congru à CD si 1≤ j <n - 1, A est confondu avec A1 et B se situe entre A et An. Ce groupe peut, ou non, être complété par un axiome impliquant la complétudede la géométrie. IV.2: Axiome de Cantor. Si (An) et (Bn) sont deux suites infinies de points telles que le segment Ai+1Bi+1 est inclus dans le segment AiBi. Si pour tout segment CD congru à un segment de la droite contenant A et B, il existe i tel que le segmentAiBi soit congru à un segment inclus dans CD, alors il existe un point appartenant à tous les segments AiBi. En d'autres termes : Toute suite de segments emboîtés dont la longueur tend vers 0 admet un point commun. V. ParallèlesV.1: Soient une droite d et un point A non inclus dans d, alors il existe un plan contenant d et A. Ce plan contient une et une unique droite contenant A et ne contenant aucun point de d. ==Wikipedia==
RaccourcisAdministrateurs : [7] Catégorie:Wikipédia:Dino ici : Les DINOS ! Projet:Mathématiques/Liste des mathématiciens Catégorie:Maintenance des articles Wikipédia:Liste des articles non neutres
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