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Valeria Vegas

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Valeria Vegas
Valeria Vegas.
Biographie
Naissance
Nom officiel
Valeria Martínez ZaragozaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Mouvements
Genres artistiques
Distinction
Premio Triángulo Rosa (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata

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Valeria Martínez Zaragoza, mieux connue sous son pseudonyme de Valeria Vegas, née à Valence le , est une journaliste, documentaliste, essayiste, écrivaine et productrice espagnole, militante des droits LGBT.

Biographie

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Elle étudie le journalisme dans sa ville natale de Valence, diplômée en communication audiovisuelle[1].

Elle s'installe à Madrid en 2015 et collabore comme journaliste dans divers médias, comme Vanity Fair España, Shangay, Lecturas, Candy, Paraíso, Chicas & maricas et Cannabis Magazine[2].

Elle travaille sur le projet 40 años de El País en el cine, dirigé par David Trueba[3], avec le documentaire Manolita, la Chen de Arcos[4].

Elle publie son premier roman en 2015 : Grandes actrices del cine español, puis la biographie[5] de la Veneno[6], intitulée ¡Digo! Ni puta ni santa. Las memorias de La Veneno (en français : Je dis ! Ni pute ni sainte. Les mémoires de la Veneno).

Cet ouvrage sert de base au scénario de la série Veneno, produite par Atresmedia[7]. La série[8], qui compte dans la distribution l'actrice Lola Rodríguez[9], connaît un très grand succès[10].

En mars 2019, Valeria Vegas travaille à Canal Sur. Elle est considérée comme l'une des grandes personnalités de la défense des droits LGBT en Espagne et dans toute l'Europe[11].

Bibliographie

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  • Valeria Vegas, Vestidas de azul: Análisis social y cinematográfico de la mujer transexual en los años de la Transición española, Dos Bigotes, , 211 p. (ISBN 978-84-949674-1-2)
  • Valeria Vegas, Digo! Ni puta Ni Santa. Las memorias de La Veneno, Roi Porto Calvete, , 160 p. (ISBN 978-84-608-8356-2)

Voir aussi

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Notes et références

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(es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Valeria Vegas » (voir la liste des auteurs).
  1. ↑ (es) « Cenicientas de baile en San Sebastián », Diario de Sevilla (consulté le ).
  2. ↑ « Cannabis Magazine 200 », sur user-m5pxbdu.cld.bz.
  3. ↑ (es) « Topacio Fresh reúne el arte más ‘trash’ en la exposición ‘Bad Taste’ en La Térmica », malaga.es (consulté le ).
  4. ↑ (es) « Manolita, la Chen de Arcos », sur LesGaiCineMad 2021, .
  5. ↑ « « La Veneno », prostituée transsexuelle espagnole et antidote à l’intolérance », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  6. ↑ (es) « Valeria Vegas, biógrafa de La Veneno, niega haber falsificado su firma y se somete a una prueba caligráfica en el Juzgado », elcierredigital.com (consulté le ).
  7. ↑ (es) « Valeria Vegas: "Las productoras no contratan a artistas trans porque crean en ellas, sino porque es 'cool" », ELDIARIO.ES (consulté le ).
  8. ↑ « « Veneno » met l’Espagne en trans(e) », sur L'Obs, .
  9. ↑ « Être trans, disent-elles… “Ellas”, un doc sur la transidentité sans clichés ni tabous », sur Télérama, (consulté le ).
  10. ↑ « "Veneno" : une suite pour la série sur des femmes trans », sur tetu.com.
  11. ↑ (es) Guillermo Alonso, « Valeria Vegas: “Cuando una persona sale del armario tiene que hacerlo arrancándose la camisa, como Camarón. Si lo haces, hazlo a por todas” », sur El País, (consulté le ).

Liens externes

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