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Viodos-Abense-de-Bas

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Viodos-Abense-de-Bas
Viodos-Abense-de-Bas
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Christian Berçaïts
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64559
Démographie
Gentilé Viodossain
Population
municipale
748 hab. (2021 en évolution de +3,03 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 30″ nord, 0° 52′ 48″ ouest
Altitude Min. 110 m
Max. 420 m
Superficie 12,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Viodos-Abense-de-Bas
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Viodos-Abense-de-Bas
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Viodos-Abense-de-Bas
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Viodos-Abense-de-Bas

Viodos-Abense-de-Bas [vjɔdɔs abɛ̃s də ba] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Viodossain[1] (ou Bildoztar[2] en basque).

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Viodos-Abense-de-Bas se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

Elle se situe à 57 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 31 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à 2,8 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[3].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Berrogain-Laruns (1,4 km), Chéraute (1,5 km), Mauléon-Licharre (1,9 km), Espès-Undurein (2,9 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (3,8 km), Garindein (4,1 km), Ainharp (4,5 km), Gotein-Libarrenx (5,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Viodos-Abense-de-Bas fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10],[11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Ainharp, Arrast-Larrebieu, Berrogain-Laruns, Chéraute, Espès-Undurein, Mauléon-Licharre et Moncayolle-Larrory-Mendibieu.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Viodos-Abense-de-Bas.

La commune est drainée par le Saison, le Borlaas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[14],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[15].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 384 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 16 km à vol d'oiseau[19], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[24], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[25],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[26],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

Au , Viodos-Abense-de-Bas est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[29],[3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,4 %), prairies (25,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), terres arables (12,5 %), zones urbanisées (9,2 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Lieux-dits et hameaux

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Huit quartiers composent la commune de Viodos-Abense-de-Bas[33] :

  • Bürgüa ;
  • Ekhibegia ;
  • errekalde (errekaltea sur les cartes IGN) ;
  • Harizbidea (Haiz Bidia sur les cartes IGN) ;
  • Ordokia (La Plaine en français) ;
  • Zübüalde (Zübialdea sur les cartes IGN).

Abense-de-Bas

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Viodos-Abense-de-Bas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[36],[34]. Le 19 mai 2024, une inondation suite à des pluies dilluviennes touche un grand nombre de maisons, en particulier à Abense-de-bas et le long de la route départementale jusqu'au rond-point d'Orocbat[37].

Viodos-Abense-de-Bas est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[38]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[39],[40].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Viodos-Abense-de-Bas.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 87,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[42].

La mairie et le fronton à Viodos.
Viodos, place du village.
L'église trinitaire d'Abense-de-Bas.
Abense, clocher avec caisse de résonance.
Abense, stèle discoïdale ancienne.

Attestations anciennes

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Le toponyme Viodos apparaît sous la forme Biodos (1496[43], contrats d'Ohix[44]).

Le toponyme Abense-de-Bas apparaît sous les formes Ohense (1337[45]), Abenssa dejus Mauleon et Avensa (respectivement vers 1460[43] et en 1496[43], contrats d'Ohix[44]), Avense (1496[45], 1520[45] et 1690[45]), Beata Maria d'Abence Inferioris (1658[43], insinuations du diocèse d'Oloron[46]), Oense (1690[45]), Abense Mas (1793[47], ou an II) et Abeuse (1801[47], Bulletin des lois).

Jean-Baptiste Orpustan[45] propose l'évolution suivante de l'éthymon basque Oniz en langue romane : oniza > oníse > oénse > auénse > abense. La base du nom serait l'oronyme ona.

Autres toponymes

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Le chemin de l'Ermite s'étend, d'après Paul Raymond[43] sur les communes d'Arraute-Charritte et de Viodos-Abense.

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Bildoze-Onizepea[2] en basque.

Jacques de Béla, chroniqueur du XVIIe siècle, indique[48] que « c'est au village de Viodos que de tout jamais en ça les habitants de Soule ont mis et tiennent les escrits de leurs privilèges, qui y sont serrés en l'église, dans un endroit de la muraille à ce destiné et qui se ferme à sept clefs, qui sont gardées par les sept dégans[49] du païs, chascun en ayant une ».

La commune a été créée le [50] par la réunion des communes de Viodos et d' Abense-de-Bas.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 2001 Jean-Charles Barcoïsbide    
mars 2001 novembre 2017 Pierre Suescun DVG[51] Décès en fonction
2018 En cours Christian Berçaïts    

Intercommunalité

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Viodos-Abense-de-Bas appartient à six structures intercommunales[52] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le SIGOM ;
  • le syndicat AEP du pays de Soule ;
  • le syndicat d'assainissement du pays de Soule ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].

En 2021, la commune comptait 748 habitants[Note 10], en évolution de +3,03 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
422408443377442482746724718
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
617585612611651662658674698
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
663732802750724648574576669
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
770808879911831743736740765
2015 2020 2021 - - - - - -
726736748------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose de deux écoles : l'école primaire publique Abense-de-Bas et l'école primaire publique Bourg[56].

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Patrimoine religieux

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L’église de Viodos est dédiée à l’apôtre André et celle d’Abense-de-Bas à l'Assomption.

Équipements

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La commune dispose d'une école primaire au bourg, et d'une école élémentaire à Abense-de-Bas.

Personnalités liées à la commune

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  • Louis Lascaray né le à Viodos et décédé le , est un joueur de rugby. Il a été 2 fois champion de France de rugby avec Biarritz en 1935 et 1939 et 2 fois finaliste en 1934 et 1938. Il jouait troisième ligne aile.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mauléon-Licharre comprend une ville-centre et sept communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Viodos-Abense-de-Bas » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Viodos-Abense-de-Bas », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Viodos-Abense-de-Bas », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. a et b Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
  3. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Viodos-Abense-de-Bas ».
  4. Stephan Georg, « Distance entre Viodos-Abense-de-Bas et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Viodos-Abense-de-Bas et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. Stephan Georg, « Distance entre Viodos-Abense-de-Bas et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Communes les plus proches de Viodos-Abense-de-Bas », sur villorama.com (consulté le ).
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  10. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  12. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  13. Carte IGN sous Géoportail
  14. « Fiche communale de Viodos-Abense-de-Bas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. Sandre, « le Saison ».
  16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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