raison, dans le trop peu de franche bonne volonté.
J’ai trop de cervelle pour ma tête ; elle ne peut pas jouer à l’aise dans son étui.
J’ai beaucoup de formes d’idées, mais trop peu de formes de phrases.
En toutes choses, il me semble que les idées intermédiaires me manquent, ou m’ennuient trop.
J’ai voulu me passer des mots et les ai dédaignés : les mots se vengent par la difficulté.
S’il est un homme tourmenté par la maudite ambition de mettre tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase, et cette phrase dans un mot, c’est moi.
De certaines parties naissent naturellement trop finies en moi pour que je puisse me dispenser de finir de même tout ce qui doit les accompagner. Je sais trop ce que je vais dire, avant d’écrire.