prêché la guerre sacrée. Plus de cent mille guerriers Zahelals sont accourus, et un grand nombre de combattants des races étrangères, Dzoums, Sahrs, Khaldes, attirés par la renommée, sont venus s’offrir à la grande nation.
Kzour a été cerné d’un décuple rang d’archers, mais les flèches ont toutes échoué devant la tactique xipéhuze, et des guerriers imprudents, en grand nombre, ont péri.
Alors, pendant plusieurs semaines, une grande terreur a prévalu parmi les hommes. . . . . . . . . . . . . .
Le troisième jour de la huitième lune, armé d’un couteau à pointe fine, j’ai annoncé aux peuples innombrables que j’allais seul combattre les Xipéhuz dans l’espérance de détruire la défiance qui commençait à naître contre la vérité de mon récit.
Mes fils Loûm, Demja, Anakhre, se sont