Dwnload Full Evolution and Prehistory The Human Challenge 10th Edition Haviland Test Bank PDF
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MULTIPLE CHOICE
1. How do scientific accounts and creation stories differ from each other?
a. Evolution is true, and creation stories are not
b. Evolution, unlike creation stories, explains how life forms became diverse
c. Scientific accounts focus on testable ideas, and creation stories do not
d. Creation stories are based on religion, and scientific accounts are based on
ideology
e. These two accounts do not differ from each other; they are simply two different
stories
ANS: C DIF: Conceptual REF: The Classification of Living Things
OBJ: 1 MSC: New
2. All of the following are characteristics of scientific thought regarding the theory of evolution
except:
a. it is developed on a molecular basis.
b. it applies to groups of individuals.
c. it uses testable ideas.
d. it does not come out of a vacuum, but, instead, is part of a unified way of
understanding life.
e. it does not account for the diversity of life.
ANS: E DIF: Conceptual REF: The Classification of Living Things
OBJ: 1 MSC: New
3. The smallest working units in biological classificatory systems that are reproductively isolated
populations or groups of populations capable of interbreeding to produce fertile offspring are
called
a. genus.
b. genes.
c. species.
d. genome.
e. genetic code.
ANS: C DIF: Factual REF: The Classification of Living Things
OBJ: 2 MSC: Pickup
6. Which scientist proposed that an organism’s behavior could bring about changes in its
anatomy? This was called the inheritance of acquired characteristics.
a. Charles Darwin
b. Gregor Mendel
c. Carolus Linnaeus
d. Jean-Baptiste Lamarck
e. Sir Charles Lyell
ANS: D DIF: Factual REF: The Discovery of Evolution
OBJ: 3 MSC: New
8. All of the following are part of the theory of natural selection except:
a. all species display a range of variation, and some variations are more favorable
than others.
b. organisms face a “struggle for existence” within their environments.
c. all species can expand and exceed their means of subsistence.
d. nature selects the most advantageous variations.
e. individuals with better adaptation will more selectively reproduce, favoring less
offspring that are better cared for.
ANS: E DIF: Conceptual REF: Heredity OBJ: 3
MSC: New
9. Gregor Mendel’s law of independent assortment argues that
a. pairs of genes separate during reproduction and are passed on to the next
generations without being altered (they remain distinct).
b. different genetic traits are inherited as separate qualities (they are not dependent on
each other).
c. inheritance is particulate and not blended (they come in pairs and are passed
intact).
d. heredity occurs only during meiosis (mitosis is not associated with heredity).
e. genes are exchanged between parents at the moment of conception.
ANS: B DIF: Conceptual REF: Heredity OBJ: 3
MSC: New
11. Genes are portions of molecules of long strands of which form chromosomes, or
a. codons.
b. DNA.
c. RNA.
d. ribosomes.
e. transcriptions.
ANS: B DIF: Factual REF: Heredity OBJ: 3
MSC: Pickup
12. The three base sequence of a gene that specifies production of an amino acid is the
a. condom.
b. DNA.
c. codon.
d. alleles.
e. ribosome.
ANS: C DIF: Factual REF: Heredity OBJ: 3
MSC: Pickup
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Tout le monde, je dois l’ajouter, semble ici parfaitement heureux.
La règle est douce, la tyrannie des Pères très supportable. Ils ne
règnent pas en pays conquis, mais sur des sujets d’une fidélité
éprouvée. Pourvu qu’on croie ou qu’on fasse semblant de croire,
cela suffit. Les servantes nous avouèrent qu’elles devaient se
confesser une fois par semaine, communier une fois par mois, sans
compter les fêtes. Elles n’en prenaient pas pour cela des allures plus
béates, et mon compagnon que l’étincelle de tous ces yeux allumait
fort n’eut pas à se heurter à de trop farouches vertus. Quant à moi,
mes cheveux gris m’obligeaient à plus de réserve, et comme
j’employais une grande partie de mon court séjour à visiter la maison
du saint, à parcourir l’église et à stationner près des chapelles où
s’adressaient les pieuses épîtres aux dévotes, je passais sans nul
doute pour un fervent admirateur d’Ignace, et je dus laisser, à mon
départ, à notre pieuse hôtelière, une bonne odeur de piété.
Cette matrone, compagnonne grisonnante et mamelue, s’était de
prime abord montrée rébarbative. Notre qualité de Français était tare
à ses yeux.
Ce n’est pas à Loyola que nous sommes en haute estime, et tout
compatriote de Voltaire y est voué à la damnation. Aussi commença-
t-elle par nous déclarer qu’elle ne pouvait disposer d’un seul lit ;
mais, ayant eu l’heureuse idée de nous informer de l’heure de la
messe pour le lendemain dimanche, la dévote changea de ton.
« Il y a plusieurs messes, répondit-elle. De cinq heures à midi les
révérends pères officient. A laquelle voulez-vous aller ?
— A toutes ! » répliquai-je.
Cette réponse pénétra la bonne femme de respect et
d’admiration, sans toutefois lui causer trop de surprise, certaines
pieuses personnes ayant, paraît-il, l’habitude d’assister le dimanche
à plusieurs offices du matin, pour se préparer à ceux du soir.
En tous cas, elle nous valut une belle chambre ornée de trois
jolies chambrières ; une de trop, mais nous eussions eu mauvaise
grâce à nous plaindre, d’autant plus qu’il y avait trois lits dans la
pièce et qu’il pouvait survenir un troisième compagnon.
Désagrément des auberges espagnoles : les chambres
contiennent deux, trois et quatre lits.
Je me souviens qu’à Tolède, on voulut nous imposer un tiers, un
torero, qu’à son grand étonnement nous refusâmes avec énergie.
L’hôtelier le casa je ne sais où, mais le lit resta vide. On nous le fit
payer d’ailleurs, et comme nous occupions la seule pièce pourvue
d’une table, le torero n’en vint pas moins, alors que nous étions
couchés, nous demander la permission d’écrire à sa señorita, ce qui,
vu sa lenteur à tracer ses lettres, lui prit une partie de la nuit.
« Voulez-vous, dit Voltaire, acquérir un grand nom, être
fondateur, soyez complètement fou, mais d’une folie qui convienne à
votre siècle. Ayez dans votre folie un fonds de raison qui puisse
servir à diriger vos extravagances, et soyez excessivement opiniâtre.
Il pourra arriver que vous soyez pendu ; mais, si vous ne l’êtes pas,
vous pourrez avoir des autels. »
C’est pourquoi Ignace de Loyola, après avoir mérité cent fois la
corde, siège au rang des plus grands saints ; que le monde est plein
de ses temples, dont le premier est sa propre maison.
La Santa casa, qui n’est, paraît-il, qu’une tour de l’ancien manoir
détruit dans les guerres civiles, est cachée du dehors par un mur
percé de fausses fenêtres, disposition de l’architecte Fontana, que la
veuve de Philippe IV appela tout exprès de Rome pour la
construction du sanctuaire, et qui a ce triple but : préserver le
précieux monument, le voiler aux profanes et donner plus de
régularité à la façade de l’édifice. Une étroite cour le sépare du mur
extérieur, et le visiteur ne voit d’abord qu’un carré de grosses pierres
brutes mêlées de briques, n’ayant d’autre ornement que l’écusson
des Loyolas sculpté au-dessus de la porte, et une plaque de marbre
avec cette inscription :