Thèmes

homme image sur moi france monde png chez travail société mort nature mort

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· André (916)
· L'humanité (853)
· Peintures (489)
· Culture (564)
· Absurdité (184)
· Décès (207)
· Jean Luc Melenchon (416)
· Le parti communiste (436)
· CGT (426)
· Actions Militantes (279)

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· la une de l'humanité
· P.Martinez : M. le premier ministre, votre texte est illégal
· la une du canard enchainé du 22 août 2012
· L’éveil d’une conscience noire samplée dans les années 1980
· Objet : Sondage / Urgent.

· Europe sociale: faut-il y croire ?
· ORIGINE DE LA BURQA .......A FAIRE CONNAITRE !!!!
· Non à tout hommage officiel au général Bigeard
· La Banque centrale européenne bloquée par les Indignés
· Liste des manifestations 11 septembre 2021
· Quand Laurence Parisot nous joue « Martine à la ferme »
· La maire d’Aix-en-Provence renvoyée en correctionnelle
· Québec : Tous nus dans la rue! contre les frais de scolarité
· Dans 1précédente affaire à Drancy, volonté claire d’humilier
· Nous, femmes politiques françaises,

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "andrenicolas" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 31.03.2011
Dernière mise à jour : 23.12.2024
37064 articles


Quand Pfizer démontre l’inefficacité du vaccin.

Publié le 31/10/2021 à 10:55 par andrenicolas Tags : image sur moi france monde png chez travail société mort nature
Quand Pfizer démontre l’inefficacité du vaccin.
Quand Pfizer démontre l’inefficacité du vaccin.

Avec un peu de recul, en regardant ce qui se passe à l’échelle mondiale après 7 milliards de doses injectées à ce jour, en comparant l’année 2020 sans vaccin avec 2021 avec vaccin, en comparant les pays très vaccinés et ceux qui le sont moins, à voir la succession des vagues, il est temps de se poser des questions. Le bilan à l’heure actuelle devient significatif, portant sur 20 mois et des milliards d’individus. Quel bilan pour la vaccination de masse ?

On peut tout faire dire aux chiffres, je ne m’en prive pas, d’autres non plus. Si on peut montrer tel ou tel pays, pour dire tout et son contraire, c’est plus difficile en prenant la totalité du monde, en laissant de côté chaque particularité. En effet chaque pays a des conditions différentes, trop de facteurs pouvant modifier les résultats. La comparaison est parfois difficile, manipulatrice si on omet certains facteurs, mais en prenant la totalité, il y a moins de biais.

Voici côte à côte les courbes de cas et de vaccinations dans le monde. La courbe des cas est parfaitement linéaire, on n’a pas l’impression qu’il y a eu cassure ou ralentissement avec les vaccinations. On note même une pente plus faible en 2020, puis une accélération.

Ceci dit, s’il n’y a pas de nouveau variant, il y aura ralentissement de la courbe de cas, qui sera attribuée à tort aux vaccins. Ce sera l’inverse si un nouveau variant significatif apparaît.

On nous a dit que le vaccin nous protégerait à 96%, cela n’a pas été le cas. On nous a dit qu’il fallait vacciner tout le monde pour obtenir une immunité collective pour casser les contagions, cela n’a pas été le cas. Maintenant on nous dit sans rire que la troisième dose nous protégera à 95,6%.

Confirmation de Pfizer

Surprise, cette présomption d’inefficacité est confirmée par les laboratoires qui commercialisent et vendent leurs vaccins.

Il y a différentes façons de lire les études et articles. Il y a la lecture scientifique, statistique qui va saluer la méthodologie, et valider les conclusions, même si elles sont erronées, le plus important est que ce soit fait « dans les règles ». Cela a été le cas pour Remdesivir, et la plupart des vaccins. Même l’éminent énarque Laurent Alexandre a reconnu à postériori dans une interview qu’il s’était trompé sur le Remdesivir (ce que tous les autres n’ont pas fait), cela ne l’empêche pas continuer à faire confiance les yeux fermés à la même méthodologie. 

Il y a à côté de cette lecture bêtement scientifique, la lecture des résultats avec un peu de bon sens et en s’intéressant plus aux patients qu’à la méthodologie. Avec cette lecture non scientifique, les résultats publiés par Pfizer laissent perplexe.

Rappelez-vous la première étude qui a conduit à l’autorisation du vaccin : 3 morts dans le groupe placebo, 2 morts dans le groupe vaccinés. OK, petit avantage vaccin, mais sur une période beaucoup trop courte pour être crédible. Maintenant Pfizer a un peu plus de recul, et sur la même cohorte, il a publié les résultats arrêtés à 6 mois, c’est à dire en juillet.

Le résultat sur l’efficacité de leur vaccin est sans appel, et ce n’est pas moi mais Pfizer qui le dit : groupe placebo, 13 morts, groupe vaccinés, 14 morts. Les scientifiques et politiques salueront la qualité de la publication, ceux qui ont un peu de bon sens regarderont le résultat : où est-il ? Autant de morts d’un côté ou de l’autre, quel bénéfice du vaccin ? Quel médicament serait autorisé à la vente avec de tels résultats à 6 mois ? Aucun. Les traitements précoces ont été rejetés pour moins que cela.

Certains sont allés plus loin en épluchant le détail des chiffres de Pfizer, pour découvrir qu’en fait il y a eu 20 morts dans le groupe vaccinés contre 14 dans le groupe non-vaccinés. En effet Pfizer avait proposé aux non-vaccinés de recevoir le vaccin début 2021, et certains placebo-vaccinés sont décédés, ramenant à 20 le nombre de morts vaccinés dans l’étude Pfizer après 6 mois de plus. Je ne rentrerai pas dans cette polémique de chiffres pour ne retenir que ce qui est indiscutable : les chiffres de Pfizer, qui ne montrent aucune supériorité du vaccin après 6 mois de plus.

Si on sait regarder du bon côté, Pfizer récidive avec son étude sur la troisième dose, ses chiffres confirmant l’inefficacité de la vaccination avec les des deux premières doses. Il suffit de ne pas regarder les chiffres que Pfizer veut vous montrer, mais les autres :

10 000 patients à jour de leur vaccination deux doses. 5000 ont reçu le rappel, 5000 un placebo. Suivi médian de 2,5 mois, ce qui est très peu, et veut dire que certains ont à peine 1 mois de recul. Sérieux pour publier sur l’efficacité ? Les optimistes se gausseront des 5 cas de covid dans le groupe de traités, c’est la moindre des choses après 3 doses et 2,5 mois de recul, moi je regarde l’autre groupe : 106 cas. C’est le chiffre le plus intéressant. Pourquoi ? Parce que c’est 106 cas en 2,5 mois sur 5 000 vaccinés double dose ! Enorme, montrant l’inefficacité du vaccin après quelques mois. 106 cas sur 5000 en 2,5 mois, c’est 1,45 cas par jour, soit 19 430 covids avérés par jour pour une population de 67 millions ! Sur 2,5 mois, cela ferait une vague à 1,47 millions de contaminés. Sachez que notre dernière vague a vu 1 million de cas sur trois mois, du premier août au 31 octobre. Conclusion : plus de cas chez les vaccinés double dose que dans la population globale, alors qu’on nous dit que 80% des cas sont dus à des non-vaccinés. 

Précision : ce n’est pas moi qui raconte n’importe quoi, ce sont les chiffres de Pfizer. Un biais important, j’avoue, la série de Pfizer ne concerne que les plus de 16 ans. Il faut donc ramener ces chiffres à la population correspondante, ce qui fait non pas plus de cas, mais autant de cas. C’est confirmé d’ailleurs par le discours des complotistes devenu discours officiel, démontré dans de plus en plus d’études : le vaccin ne protège pas de l’infection, le vacciné est autant porteur et contaminant que le non vacciné, à égalité. Les chiffres Pfizer ne font que le confirmer.

Quant aux 5 covids sur 5000, ils deviendront 106 dans les 6-8 mois qui viennent, tout le monde le sait mais fait comme si ce n’était pas le cas. Efficacité à 95,6% ? Ils ont berné les « spécialistes » une première fois avec le manque de recul, mais une publication parfaite. Ils vont les berner une seconde fois avec un recul de 2,5 mois pour prouver que cela marche. Ils se sont bien gardé d’attendre 6 mois afin de vendre cette troisième dose, et une fois digéré, passer à la quatrième, en préparation (déjà commandée dans beaucoup de pays).

Toutes les courbes, toutes les études, tous les discours officiels convergent vers ce constat : après une courte phase bénéfique, pas de bénéfice attribuable à la vaccination sur le moyen terme.

Si vous voulez d’autres études que celle de Pfizer, Paul Alexander et Harvey Rish m’ont transmis leur dernier travail : compilation des études montrant l’inefficacité des vaccins (27 études au 30 octobre). J’attends avec impatience qu’on nous mette en face les mêmes études montrant l’efficacité des vaccins, ce que même Pfizer, premier intéressé, ne peut faire. Egalement tout neuf, cette étude du Lancet en Suède portant sur plus de 800 000 cas : vaccin devenu inefficace entre 121 et 211 jours, selon les vaccins ( et troisième dose proposée pour repousser un problème qui sera toujours le même !)

Protection des formes graves :

Si tout ceci remet en cause l’efficacité des vaccins et l’utilité du pass, il ne reste qu’un seul argument : le vaccin protège des formes graves.

Là il devient très difficile de ne pas dire de bêtises, tout dépend de la manière dont on fait les comptes, ce qui explique les disparités d’un pays à l’autre, alors qu’il s’agit du même virus et des mêmes hommes. Ainsi la France montre un résultat évident en ce qui concerne la gravité des dernières vagues, de moins en moins létales. 

Malades décédés avec le covid, ou malades décédés du covid : cela peut faire une différence énorme. La France est également championne du tripatouillage des chiffres. Elle est championne des malades non vaccinés en réanimation, et ses organismes statistiques n’ont pas peur d’oublier la moitié des morts comme on l’a vu récemment. La palme revient à notre ministre de la Santé qui affirme zéro mort du vaccin, alors que dans le monde on approche les 100 000 morts avoués. Pour arriver à ce chiffre, prenez ce qui est publié en Israël, en Grande Bretagne ou aux USA, divisez par le nombre de doses injectées dans le pays, et multipliez par le nombre de doses injectées dans le monde. Quand vous savez que de plus on nie au maximum ces décès, vous savez que le chiffre obtenu est la fourchette basse de la réalité.

Regardez la dernière vague en Israël, malgré les bi et tri vaccinés, vous avez 10% de décès en moins, en comparant avec la vague de fin 2020, sans vaccins. Même constatation en Angleterre : 10% de décès en moins, pas plus.

Si l’on accepte 10% de décès en moins fin 2021, avec vaccins, comparé à fin 2020 sans vaccin, quid de la responsabilité du variant dans ce résultat ? Depuis l’arrivée du delta, on sait qu’il est plus contagieux, mais aussi un peu moins virulent que l’anglais. Alors ce bénéfice de 10% : imputable aux vaccins ou lié à la nature du variant ? Il ne faut pas négliger non plus l’utilisation de plus en plus importante des traitements précoces, malgré les pressions pour ne pas les utiliser. Ivermectine 25 fois plus prescrite aux US, mêmes constatations dans beaucoup de pays, voire dans des pharmacies en France.

Pour se détourner des biais inhérents à chaque pays, le mieux est peut-être de revenir comme au début du billet, aux chiffres bruts mondiaux. Voici donc la courbe de mortalité monde :

Difficile, pour ne pas dire impossible d’y déceler une baisse de la mortalité avec la vaccination. La croissance est toujours linéaire, avec une pente 2021 plus forte que la pente 2020. En France nous aurons autant de décès au 31 décembre 2021 qu’au 31 décembre 2020.

Alors moins de cas graves avec la vaccination ? Les chiffres permettent d’avoir des doutes, l’histoire jugera.

Après l’efficacité des vaccins, un petit mot concernant l’efficacité du pass. Il vous a été montré ici que la baisse du R effectif annonçait une fin de vague démarrée avant que le pass puisse avoir un quelconque effet. La reprise actuelle vous a également été annoncée avec ce R depuis 15 jours, malgré plus de vaccinés et le pass. CQFD. Vaccins et pass subissent le virus et ses variants, mais ne le contrôlent en rien.

Un peu d’espoir :

On vous avait également signalé ici que depuis 9 siècles, les 15 plus grandes épidémies virales n’avaient duré que 2 à 3 ans (avec quelques réminiscences locales), et ce sans vaccin ou traitement. Il en sera de même ici, avec fin probable dans les 6 mois, peut-être un peu avant, peut-être un peu après.

Un grand charlatan expérimenté vous avait expliqué il y a 18 mois qu’il en serait ainsi, et qu’il ne croyait pas trop dans les vaccins contre les virus à ARN. Il prévoyait une sortie avec des variants de moins en moins nocifs. Certaines courbes semblent le montrer, quand on voit l’évolution sur bientôt 2 ans :

Le discours poussant à la vaccination est faussé. Il est censé justifier des mesures politiques et non médicales, et encourager une mise sous tutelle. Si les vaccins étaient réellement sûrs et efficaces, ce discours ne serait pas nécessaire, et aucun d’entre nous ne serait ici à polémiquer, car tous vaccinés comme dans toutes les autres occasions. Les vaccinateurs actuels sont acculés, ils sont prêts à tout pour échapper au piège dans lequel leur propre rhétorique et leurs politiques inconsidérées les ont mis.

Quant à ceux qui accusent les non vaccinés d’être responsables de la situation, les traitant d’irresponsables, de dangereux individus à bannir de la société, qu’ils se méfient. Ils n’ont aucune preuve, aucun chiffre, aucune étude permettant d’étayer leurs accusations, car elles s’accumulent dans l’autre sens. Un jour ils peuvent être poursuivis pour diffamation et pour incitation à la haine. La justice s’appuiera sur des faits, des preuves, pas sur des propos sans fondements. La balance de la justice penche plus d’un côté que de l’autre.

https://www.covid-factuel.fr/