Ce blog me permet de transmettre le message de l'Islam, pour éveiller les âmes à plus de compréhension du monde qui nous entoure et ranimer les mémoires trop endormies sur divers sujets. Les musulmans aspirent à voir une Oumma beaucoup plus unie et soudée bien au-delà de nos divergences.
Date de création : 10.06.2013
Dernière mise à jour :
14.12.2024
33001 articles
barrakallahu fiki.
pour ceux et celles qui ne savent pas combien de fois il faut réciter cette invocation.
Par Anonyme, le 08.12.2024
barakallahu fik(i).
Par Anonyme, le 08.12.2024
merci
Par Anonyme, le 06.12.2024
en réalité c'est l’image d’une étoile qui a explosé à plus de 17.000 années lumières de la terre. quant à l'an
Par khadijamine, le 22.11.2024
bonjour, cette photo a été prise en quelle année? si on regarde bien la main a ejecté les personnes autour des
Par Anonyme, le 22.11.2024
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Maintenant, à toi qui lis ceci, tu respires l'air libre de Dieu sans aucun prix à payer depuis des années, s'il te plaît, prends juste 2 secondes de ton temps pour écrire juste un " Merci à Dieu " pour la gratuité des services de Dieu dans ta vie...
Après que l'homme de 93 ans en Italie se soit amélioré à l'hôpital, on lui a demandé de payer un respirateur pour une journée, et le vieil homme a pleuré.
Le médecin lui a conseillé de ne pas pleurer sur la facture.
Ce que le vieil homme a dit a fait pleurer tous les médecins.
Le vieil homme dit :
" Je ne pleure pas à cause de l'argent que je dois payer. Je peux payer tout ça. Je pleure parce que je respire l'air de Dieu depuis 93 ans, mais je n'ai jamais payé pour cela. Il faut compter 500 euros pour utiliser un ventilateur à l'hôpital pendant une journée. Savez-vous combien je dois à Dieu ? Je n'ai jamais remercié Dieu pour cela auparavant ".
Que les paroles du vieil homme méritent notre réflexion.
Lorsque nous respirons librement sans douleur ni maladie, personne ne prend l'air au sérieux. Ce n'est qu'une fois à l'hôpital que nous pouvons savoir que même respirer de l'oxygène à l'aide d'un ventilateur coûte de l'argent !
Remerciez Dieu pour le temps qui s'est écoulé dans toute votre vie, car vous pouvez respirer librement !
Quatre bougies brûlaient lentement...
L'ambiance était tellement silencieuse qu'on pouvait entendre leur conversation.
La première dit : " JE SUIS LA PAIX ! "
Je brille d'une lumière très claire,
Les humains ne souhaitent pas la PAIX,
Et personne n'arrive à me tenir allumée.
Sa flamme se réduisit et s'éteignit.
La deuxième dit : " JE SUIS LA FOI ! "
Je suis devenue superflue,
Les humains ne souhaitent plus connaître DIEU,
Ma flamme n'a plus de sens.
Quand elle eut fini de parler
Une brise souffla sur elle et s'éteignit.
Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour :
" JE SUIS L'AMOUR ! "
Je n'ai pas de force pour rester allumée.
Les humains m'ignorent,
Ils ne voient qu'eux-mêmes et plus ceux qu'ils devraient aimer.
Ils oublient mon importance !
Et sans plus attendre, elle s'éteignit.
Soudain, un entre enfant,
Et voit les trois bougies éteintes.
Pourquoi êtes-vous éteintes ?
Votre rôle est de brûler et non de vous éteindre !
En disant cela, l'enfant commença à pleurer.
Alors, la quatrième bougie parla :
N'aie pas peur, tant que j'ai ma flamme nous pourrons allumer les autres bougies,
" JE SUIS L'ESPOIR ! "
Avec des yeux brillants, l'enfant prit la flamme de L'ESPOIR,
Il ralluma :
LA PAIX, LA FOI et L'AMOUR.
Qu'est-ce qui fait pleurer cette vieille femme, seule dans ce hall à l'aéroport ?
L'avion est parti pour La Mecque et ils l'ont " oublié " a l'embarquement.
Mais Allah du dessus du Son Trône n'oublie pas ses serviteurs sincères.
C'est ainsi qu'après avoir mis le cap en direction de Djeddah, entre le ciel et la terre, le "pilote" entend soudain un bruit de cliquetis ! ( c'est peut être le bruit des regrets et de tristesse qui fendent le cœur de cette chibaniya qui vient de rater le voyage de sa vie) .
Pas rassuré, le pilote décide de regagner l'aéroport d'Alger lors d'un atterrissage d'urgence.
Au même moment, le personnel de l'aéroport n'a pas pu trouver un hall où mettre les passagers le temps de réparer l'avion ou le changer, sauf celui dans lequel se trouve la dame âgée qui s'est résignée à accepter le maktoub qui a décidé de l'exclure de cette visite aux lieux Saint tant attendue.
Quelle fut sa surprise en voyant revenir devant elle tous les passagers qui avaient embarqué dans le vol qu'elle a raté.
Elle ne comprenait rien, elle se croyait rêver.
Lorsque les ingénieurs sont venus constater le dysfonctionnement, ils ont dit : L'avion n'a rien, il n'y a pas de problème, le bruit inquiétant n'est plus.
Que s'est il passé ?
Qui a décidé cette situation d'urgence pour laquelle l'avion est revenu du milieu de la route avec plus de 200 passagers a faire redescendre et attendre ?
Les ingénieurs présents, les agents de maintenance sont tous confus.
Il n'ont peut être pas compris, que ce n'est pas l'avion qui avait besoin de réparations, mais c'est bien le cœur tendre de cette vieille croyante qu' Allah voulait réparer.
Quelle puissance de ces larme, de ces dou'as levés au ciel, quelle puissance de cette sincérité dans ce cœur qui tremble de peur à l'idée de rater cette visite de la Ka'ba, de marcher sur les pas de sahabas et aller saluer le Prophète ﷺ à Médine.
Si tout vous quitte et que les portes se ferment devant vous, alors faites confiance à Allah, Lui ne vous quitte pas et ses portes sont toujours ouvertes.
La puissance des dou'as, supplications, changent encore le cours des destins même en des temps autres que l'ère des Prophètes.
Sobhân Allah,
Al-hamdoullillâh
Allah Akbar
Cheikh Farîd Ad-Dîn Al-Attâr (qu'Allah lui fasse miséricorde) a dit dans sa biographie de l'imam Sufyân Ath-Thawrî (qu'Allah l'agrée):
" On raconte qu'un jour, de son vivant, Sufyân Ath-Thawrî étant allé au marché, vit qu'on mettait en vente un petit oiseau. Il l'acheta et lui rendit la liberté. Cet oiseau venait chaque jour chez Sufyân et, quand il le trouvait absorbé dans ses exercices de piété, il le contemplait en silence, se posant chaque fois sur son épaule. Quand on déposa Sufyân dans sa dernière demeure sa tombe, ce petit oiseau, poussant des cris plaintifs, vint se poser sur le cercueil et accompagna le corps ; en voyant cela, tous les gens assistants à la scène se mirent à pleurer. Puis, à la fin de la mise en tombe, il se plaça sur le tombeau et tomba lui-même inanimé ".
- Fin de citation -
Source : Tadhkirat Al-Awliyâdu Cheikh Farîd Ad-Dîn Al-Attâr
Il était une fois un souverain qui offrit une généreuse récompense à l’artiste qui ferait la plus belle représentation de la paix.
Plusieurs peintres proposèrent une œuvre. Le souverain regarda attentivement les différents tableaux. Mais il en garda seulement deux, parmi lesquels il devait faire un choix final après un examen minutieux.
La première peinture était un lac d’une tranquillité parfaite qui reflétait des montagnes majestueuses. Toute cette œuvre inspirait le calme. En regardant ce tableau, tout le monde était d’avis qu’il serait choisi par le souverain.
L’autre peinture représentait également un paysage montagneux. Mais dans ce tableau, les montagnes étaient rocheuses et abruptes. De plus, le ciel était chargé de nuages gris desquels émanaient de vifs éclairs. Finalement au milieu de la toile, il y avait une chute d’eau tumultueuse parsemée de rochers proéminents.
Le souverain examina particulièrement bien ce tableau tumultueux. Et il découvrit tout près de la chute un petit buisson qui avait poussé sur un rocher rugueux. Dans ce buisson, une maman oiseau avait bâti son nid. Tout près d’un remous d’eau bouillonnant, la maman oiseau était assise sur son nid apparemment en parfaite sérénité. Inspiré par la tranquillité de l’oiseau, le souverain choisit ce tableau.
Et il se justifia en disant ceci : " Il est facile d’être en paix dans un endroit calme. Mais celui qui réussit à l’être au milieu du tumulte porte le calme en lui-même. Il devient ainsi une source de sérénité pour tous ".
Un jour, une mère accablée de douleur était effondrée dans le couloir d'un hôpital. Pour elle, le monde avait cessé d'exister. Elle pleurait sans cesse. Des torrents de larmes s'échappaient de ses yeux. Elle avait élevée seule sa fille et maintenant sa petite, son unique enfant, venait de mourir.
L'infirmière de garde et le prêtre essayaient de la réconforter mais son esprit et son cœur étaient à des années lumière de là.
Dans le corridor jouxtant la chambre de sa fille, se tenait un petit garçon de cinq ans à l'air triste. La tête inclinée et les yeux clos, il restait là, tout seul.
L'infirmière leva les yeux et le vit : " Vous voyez ce petit garçon debout dans le corridor ? " dit-elle.
À travers ses larmes, la mère regarda dans le corridor du côté de la chambre de sa fille.
Voici son histoire, continua l'infirmière.
" La mère de ce petit garçon est une jeune Serbe qui a été transportée ici la semaine dernière. Ils ont perdu toute leur famille durant la guerre, et ils sont venus dans ce pays il y a quatre mois avec, pour tout bagage, les vêtements qu'ils portaient. Ils ont vécu d'un refuge à l'autre tout ce temps. Ils ne connaissent personne ici. Ils étaient seuls tous les deux. Ce petit garçon est venu là tous les jours ; il restait là, debout ou assis, du matin au soir, espérant en vain que sa mère se rétablisse. Elle est morte il y a une heure environ. Maintenant il n'a personne et pas même une maison où s'en retourner ".
La mère affligée écoutait à présent. L'infirmière poursuivit :
" Bientôt, je vais devoir sortir et parler à ce petit garçon, lui dire que maintenant il est seul au monde, qu'il n'a plus de famille ".
L'infirmière fit une pause et jeta un regard suppliant à la femme qui était auprès d'elle. Elle dit en hésitant : " Pourriez-vous y aller et le faire à ma place ? "
Tous ceux qui assistèrent à cette scène en garderont à jamais le souvenir. La femme se leva, chassa les larmes de ses yeux, retrouva son aplomb, sortit dans le corridor et prit le petit garçon dans ses bras.
Elle emmena cet enfant sans maison dans sa maison sans enfant. Plongés dans l'obscurité, ils devinrent Lumière l'un pour l'autre.