200 - Chapitre 2 - PRINCIPES THERMODYNAMIQUES DES SYSTEMES OUVERTS
200 - Chapitre 2 - PRINCIPES THERMODYNAMIQUES DES SYSTEMES OUVERTS
200 - Chapitre 2 - PRINCIPES THERMODYNAMIQUES DES SYSTEMES OUVERTS
THERMODYNAMIQUE II
CHAPITRE 2
2
I. Le premier principe pour les systèmes ouverts
I.1 Définitions et hypothèses
Un système ouvert est un système qui peut échanger de la matière
avec l’extérieur. On s’intéresse seulement à des systèmes fluides. On
supposera dans ce cas deux hypothèses :
- L’écoulement est unidimensionnel : dans toute section de
l’écoulement, les grandeurs intensives sont supposées uniformes.
- L’écoulement est permanent (stationnaire) : l’état de l’écoulement est
indépendant du temps.
Sortie
S 𝑀̇𝑠
Entrée
𝑀̇𝑒
Zs
Ze
3
Entrée Sorti
𝑃𝑒 𝑃𝑠
S S ⃗𝑠
𝑉
⃗𝑒
𝑉
𝑍𝑠
Z
s
e
t t+∆𝑡
En retranchant 2 de 1, on obtient :
𝑛⃗ 𝑛⃗
⃗𝑒
𝑉 ⃗𝑠
𝑉
A l’entrée à la sortie
On a :
⃗⃗⃗⃗ . 𝑆 = −𝜌. 𝑆. 𝑉𝑒 . 𝑑𝑡
𝑑𝑀𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒 = 𝜌𝑑𝑉 = 𝜌𝑑𝑥
De même, on a :
4
⃗⃗⃗⃗ . 𝑆 = 𝜌. 𝑆. 𝑉𝑠 . 𝑑𝑡
𝑑𝑀𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 = 𝜌𝑑𝑉 = 𝜌𝑑𝑥
𝑑𝑀𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑀𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒
=
𝑑𝑡 𝑑𝑡
Soit alors dans le cas général, le bilan de masse d’un système ouvert en régime
permanent :
∑ 𝑴̇𝒆𝒊 = ∑ 𝑴̇𝒔𝒋
𝒊 𝒋
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de même, la pression dans la canalisation de sortie exerce un travail −𝑃𝑠 𝑉𝑠 sur
le système F.
► Enfin, si les canalisations d'entrée et de sortie n'ont pas la même altitude,
la force de pesanteur travaille. Le travail de la pesanteur dû au fait que le
fluide qui traverse le système change d'altitude (lorsque les conduits
d'alimentation et de soutirage ne sont pas à la même hauteur). Ce travail est
exprimé par la diminution d'énergie potentielle de pesanteur entre l'entrée et
la sortie :
𝐸𝑝𝑒 − 𝐸𝑝𝑠 = 𝑊𝑝𝑒𝑠 = −𝑀𝑠 𝑔𝑧𝑠 + 𝑀𝑒 𝑔𝑧𝑒
Le premier principe s'écrit finalement :
∆𝑈𝑆 + ∆𝐸𝑐𝑆 + 𝑈𝑠 − 𝑈𝑒 + 𝐸𝑐𝑠 − 𝐸𝑐𝑒 − 𝑃𝑒 𝑉𝑒 + 𝑃𝑠 𝑉𝑠 + (𝑀𝑠 𝑧𝑠 − 𝑀𝑒 𝑧𝑒 )𝑔 = 𝑊 + 𝑄
On fait apparaître les enthalpies des quantités de matières échangées :
∆𝑈𝑆 + ∆𝐸𝑐𝑆 = 𝐻𝑒 − 𝐻𝑠 + 𝐸𝑐𝑒 − 𝐸𝑐𝑠 + 𝑊 + 𝑄
6
𝑑𝑈𝑆 𝑑𝐸𝑐𝑆
+ = 𝐻̇𝑒 − 𝐻̇𝑠 + 𝐸𝑐𝑒 − 𝐸𝑐𝑠 + (𝑀̇𝑒 𝑧𝑒 − 𝑀̇𝑠 𝑧𝑠 )𝑔 + 𝑊̇ + 𝑄̇
𝑑𝑡 𝑑𝑡
ce qui s'écrit aussi :
𝑑𝑈𝑆 𝑑𝐸𝑐𝑆 1 2 1 2
+ = 𝑀̇𝑒 (ℎ𝑒 + 𝑣⃗⃗⃗⃗𝑒 + 𝑔𝑧𝑒 ) − 𝑀̇𝑠 (ℎ𝑠 + ⃗⃗⃗⃗
𝑣 + 𝑔𝑧𝑠 ) + 𝑊̇ + 𝑄̇
𝑑𝑡 𝑑𝑡 2 2 𝑠
𝟏 𝟐 𝟏 𝟐
𝑴̇𝒔 (𝒉𝒔 + ⃗⃗⃗⃗
𝒗𝒔 + 𝒈𝒛𝒔 ) − 𝑴̇𝒆 (𝒉𝒆 + ⃗⃗⃗⃗
𝒗 + 𝒈𝒛𝒆 ) = 𝑾̇ + 𝑸̇
𝟐 𝟐 𝒆
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Les variables d'état du système étant constantes, son énergie interne
𝑑𝑈𝑠
(fonction d'état) l'est aussi, et = 0. Le régime permanent suppose aussi
𝑑𝑡
que les vitesses de tous les points matériels du système sont constantes.
Pour un système ouvert en régime permanent, parcouru par un débit de
matière 𝑀̇ et échangeant avec l'extérieur une puissance mécanique𝑊̇ et une
puissance thermique𝑄̇ , on a :
𝐻𝑠 − 𝐻𝑒 + 𝐸𝑐𝑠 − 𝐸𝑐𝑒 + 𝑀̇𝑔(𝑧𝑠 − 𝑧𝑒 ) = 𝑊̇ + 𝑄̇
ce qui s'écrit aussi :
𝟏 𝟏 𝟐
𝑴̇ (𝒉𝒔 + ⃗𝒗𝟐𝒔 + 𝒈𝒛𝒔 − 𝒉𝒆 − 𝒗
⃗ − 𝒈𝒛𝒆 ) = 𝑾̇ + 𝑸̇
𝟐 𝟐 𝒆
☼ Important :
C'est l'expression du premier principe pour un système ouvert en régime
permanent. On constate que par rapport à l'expression pour des systèmes
fermés :
- Les variations temporelles de grandeurs comme l'énergie interne ou
l'énergie cinétique sont remplacées par des variations dans l'espace,
entre l'entrée et la sortie
- L'enthalpie transportée par les débits matériels remplace l'énergie
interne du système fermé.
- Les puissances mécanique et thermique remplacent le travail et la
chaleur
Dans ce cas, le premier principe pour un système ouvert en régime
permanent s'écrira :
𝐻̇𝑠 − 𝐻̇𝑒 = 𝑊̇ + 𝑄̇
En cas général d’un système qui échange plusieurs écoulements,
travaux et chaleur, on écrit :
𝑘 𝑚
𝑛 𝑚
∑ 𝐻̇𝑠 − ∑ 𝐻̇𝑒 = ∑ 𝑊̇ + ∑ 𝑄̇
𝑖 𝑗
𝑖 𝑗
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Pour appliquer le premier principe :
➢ Définir le système et la transformation
➢ Déterminer si le système est ouvert ou fermé pendant cette
transformation ; pour un système ouvert en régime permanent, lister
les débits de matière qui entrent ou qui sortent,
➢ Lister forces extérieures appliquées au système, calculer leur travail,
➢ Lister les échanges de chaleur avec l'extérieur,
➢ Calculer la variation d'énergie cinétique (translation et rotation) lors de
la transformation (système fermé) ou entre les débits d'entrée et de
sortie (système ouvert en régime permanent),
➢ Appliquer le premier principe,
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Le premier principe, relatif au travail total (c'est-à-dire avec transvasement)
s'écrit :
∆𝐻12 = 𝑊𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 + 𝑄12
C'est l'analogue de ∆𝑈12 = 𝑊12 + 𝑄12 pour les systèmes sans transvasement
(en général fermés) : il suffit de remplacer ΔU12 par ΔH12 pour évaluer un Wtotal
et non un travail de transformation uniquement.
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- Transformation isobare :
Wt12 = 0 (car dp = 0)
- Transformation isotherme :
𝟐
Wt12 = ∫𝟏 𝒎𝒓dp/p = mrTlnp2/p1 = Wv12
- Transformation isentropique :
Wt12 = H2 -H1 = mcp(T2- T1)
- Transformation polytropique :
Wtpol12 = n Wv12
Systèmes ouverts
Q W(technique) ∆𝑈 ∆𝐻
Isochore Q12 = mcv (T2 − T1 ) 𝑊12 = 𝑚𝑟(𝑇2 − 𝑇1 ) ∆U = Q12 ∆H = mcp (T2 − T1 )
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Sortie
S 𝑀̇𝑠
Entrée
𝑀̇𝑒
Zs
Ze
⃗𝑠
𝑉
⃗𝑒
𝑉
𝑃𝑠
𝑃𝑒
Sortie
Entrée S S
Zs
Ze
t t+∆𝑡
Figure N°3 - Définition d'un système fermé, à partir du système ouvert.
où 𝑺𝒊𝒏 et 𝑺𝒐𝒖𝒕 sont les entropies respectives de la matière qui est entrée dans
le système et de celle qui en est sortie pendant l'intervalle de temps ∆𝑡.
∆𝑆𝐹 = ∆𝑆𝑆 + 𝑆𝑜𝑢𝑡 − 𝑆𝑖𝑛
Appliquons donc le second principe au système F :
𝑄̇𝑝 ∆𝑡
∆𝑆𝐹 = ∆𝑖 𝑆𝑆 + ∑
𝑇𝑃
A somme du second membre portant sur tous les échanges de chaleur du
système S : l'élément P du système, à la température 𝑇𝑃 , reçoit de
l'extérieur la puissance thermique𝑄̇𝑝 .
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Il vient donc :
𝑄̇𝑝 ∆𝑡
∆𝑖 𝑆𝑆 = ∆𝑆𝑆 + 𝑆𝑜𝑢𝑡 − 𝑆𝑖𝑛 − ∑
𝑇𝑃
Le premier membre de cette équation représente la génération d'entropie au
sein du système S.
En divisant cette équation par ∆𝑡, et en faisant tendre ∆𝑡 vers 0, il vient :
𝑑𝑆𝑆 𝑄̇
̇
𝑆𝑔𝑒𝑛 = + 𝑆𝑜𝑢𝑡 ̇ −∑ 𝑃 ≥0
̇ − 𝑆𝑖𝑛
𝑑𝑡 𝑇𝑃
̇
Où 𝑆𝑔𝑒𝑛 est la vitesse de génération d'entropie (en W/K), liée aux
irréversibilités ̇ dont le système S est le siège. Cette grandeur est toujours
̇ et 𝑆𝑜𝑢𝑡
positive ou nulle. 𝑆𝑖𝑛 ̇ sont les entropies transportées par les débits
de matière (produit du débit massique par l'entropie massique).
Pour un système ouvert en régime permanent (𝑺𝒔 = 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒), il vient :
𝑄̇𝑃
̇
𝑆𝑔𝑒𝑛 ̇ − 𝑆𝑖𝑛
= 𝑆𝑜𝑢𝑡 ̇ −∑ ≥0
𝑇𝑃
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Notons enfin que d’une façon générale, dans les équipements
fonctionnant en régime permanent que :
– L’apport ou l’extraction de chaleur se fait donc préférablement sans
transfert de travail, c’est à dire à pression constante (de façon isobare).
Idéalement, ces transferts se feront à température constante (de façon
isotherme).
– L’apport ou l’extraction de travail, nécessitant une variation de pression
et le mouvement de pièces mécaniques au sein du fluide, se fait donc
préférablement sans transfert de chaleur (de façon adiabatique). Idéalement,
ces transferts se feront sans variation d’entropie (de façon isentropique).
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- Les turbines.
On suppose en général les approximations suivantes :
– Le gaz séjourne peu de temps dans le compresseur ⇒ Fonctionnement
adiabatique.
- Les variations d’énergies cinétiques et potentielles sont supposées
négligeables ∆𝑒𝑝 ≅ 0 et ∆𝑒𝑐 ≅ 0
Le premier principe appliqué entre l’entrée et la sortie donnera :
∆h = w
∆h est la différence d’enthalpie massique entrée l’entrée et la sortie de la
machine
w est la puissance mécanique massique échangée au cours de l’évolution
‘compression ou détente)
IV.2.1 Compression et détente isentropique
C’est l’évolution retenue pour les fluides compressibles dans le cas
particulier simultanément les deux conditions :
- Evolution adiabatique : Q=0
- Fluide non visqueux : (pas de frottement)
- Soit encore : TdS =0 ou S=Cte
L’équation de Laplace est l’équation retenue pour décrire cette évolution
isentropique :
𝑃
𝑃𝑉 𝛾 = 𝐶𝑡𝑒 ou encore = 𝑐𝑡𝑒
𝜌𝛾
𝑃1
T 𝑃2 T
𝑃1 𝑃2
S S
Compression Détente
Figure-3 : Evolution isentropique dans le diagramme T-S
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En tenant compte de :
- La variation négligeable de l’énergie cinétique (et potentielle),
- Des relations qui résultent pour le gaz parfait
On obtient :
𝑊𝑖𝑠 = ∆ℎ𝑖𝑠 = 𝐶𝑝 (𝑇2𝑠 − 𝑇1 )
𝑃2
h h
𝑃1
𝑇2𝑠 𝑃1
𝑇1 𝑃2
𝑇1
𝑇2𝑠
S
Compression Détente
S
Figure N°4 - Evolution isentropique dans le diagramme h-S
𝑇1
S 𝑇2𝑠
Compression Détente
S
Figure N°5 - Evolution polytropique et réelle dans le diagramme h-S
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Compresseurs volumétriques
Piston
Alternatifs membrane
Lobes
Palettes
Rotatifs
Vis
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La compression des mélanges liquide-vapeur est particulière. La
compression d’un fluide, déjà un défi majeur en mécanique des fluides dans
le cas des gaz, est rendue extrêmement délicate lorsque le fluide est en
mélange diphasique. Pour cette raison, l’ingénieur se concentrera en général
soit sur la compression de vapeur, soit sur la compression de liquide.
IV.2.4 Pompes
Les pompes véhiculant des liquides se divisent en deux catégories principales
:
• les pompes centrifuges : le mouvement du liquide résulte de l’accroissement
d’énergie qui lui est communiqué par la force centrifuge.
• les pompes volumétriques : l’écoulement résulte de la variation d’une
capacité occupée par le liquide.
En sachant que le volume spécifique de l’eau liquide est environ mille
fois plus faible que celui de la vapeur d’eau, ceci nous pousse à préférer la
compression des liquides à celle des gaz.
C’est pour cela que les phases de
compression, dans les installations
industrielles, se font toujours à l’état
liquide, à l’aide de pompes, équipements
compacts et technologiquement simples.
Les pompes à liquide sont usuellement de type centrifuge (ce qui explique
l’allure du schéma) et alimentées par un moteur électrique.
IV.2.5 Turbine
Les applications des turbines à gaz ou à vapeur sont nombreuses et
variées. Elles sont justifiées par la grande puissance massique de ces
machines
-Application aéronautiques : turboréacteurs et turbomoteurs
- Application spatiales : turbopompes.
- Production électriques centralisée par unités de plusieurs de MW
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- Production décentralisée avec ou sans cogénération et/ou cycles combinés
La turbine est la pièce maîtresse de toute installation à vapeur. Longue
de plusieurs dizaines de mètres dans les installations modernes, elle est
équilibrée avec grand soin, mise en place dans son coffrage et, si elle fait l’objet
d’attention adéquate, fonctionnera plusieurs dizaines d’années sans
interruption.
Techniquement, outre les gradients de température qui la traversent,
c’est surtout le titre de l’eau dans les derniers étages (en cas de turbine
multiétagée) qu’il faut surveiller. Les gouttelettes liquides, beaucoup plus
denses que la vapeur qui les entoure, percutent en effet violemment les pales
et en provoquent l’érosion. L’ingénieur thermodynamicien veillera ainsi à
garder un haut titre (massique de vapeur), usuellement sans descendre en
deçà de 95%.
C’est un dispositif permettant d’obtenir de l´énergie mécanique (w < 0) grâce à
la mise en rotation d’un système arbre+aubes entrainé par un fluide. On
distingue les turbines suivantes :
– Turbines à gaz : détente du gaz à haute température et haute pression.
– Turbines hydrauliques (types Kaplan, Pelton, Francis) : température
ordinaire, entrainement par un flux d’eau.
Figure N°7 – Turbine hydraulique Pelton Figure N°8 – Turbine hydraulique Kaplan
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Figure N°9 - La turbine à gaz (TAG) la plus puissante et la plus performante au monde
inaugurée le 20 décembre 2007 dans la centrale de Irsching en Bavière (Allemagne)
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Fluide 1
IV.3.1 Echangeurs
En industrie, on peut distinguer plusieurs types d’échangeur :
Echangeur tubulaire Echangeur tubulaire vertical Echangeur à plaque
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IV.3.3 Chaudières
L’ajout de chaleur dans les installations en régime permanent se fait à
pression constante. L’eau du circuit thermodynamique est réchauffée par
contact avec une autre canalisation : d’air dans le cas des centrales à
combustion (déchets, charbon, gaz), ou d’eau (d’un circuit secondaire) dans le
cas des centrales nucléaires (on verra des applications dans des chapitres
futurs).
Le rendement des transferts de chaleur des chaudières à gaz fonctionnant à
haute température, dans les installations importantes, avoisine usuellement
les 80%.
Parce qu’elle fonctionne à haute pression (jusqu’à 60 bars pour les
installations modernes), et est le théâtre de transferts de chaleur et gradients
de température importants, la chaudière est un élément coûteux et lourd.
La déférence de masse volumique entre les deux phases (liquide et
vapeur dans la chaudière fait qu’il est difficile de surchauffer la vapeur en
présence de liquide. Nous considérerons ainsi toujours que l’eau est sous
forme de vapeur saturée à la sortie de la chaudière.
En l’absence de travail mécanique la puissance fournie par la chaudière
s’exprime selon :
𝑄̇𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑖è𝑟𝑒 = 𝑚̇(ℎ2 − ℎ1 )
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La figure ci-dessus présente un exemple d’une chaudière, on peut distinguer
le bruleur la chambre de combustion et les tubes dans les quels circule le
fluide à évaporer
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VI. Echange d’énergie cinétique
Il existe aussi des équipements qui échangentprincipalement entre l’entrée
et la sortie de l’énergie cinétique. Le rôle de ces équipements est souvent
d’accélérer la vitesse du fluide.
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