Cours Complète Hamada
Cours Complète Hamada
Cours Complète Hamada
sD er yal=yeel lito
ya L’'agriculture a, tout le temps, joue un role essentiel
dans l'economie marocaine. Aujourd hui encore, plus
d'un marocain sur deux est rural. Lagriculture
contribue a la formation du Produit Interieur Brut
« PIB » a hauteur de 12 a 24% selon les fluctuations
climatiques annuelles.
- Canevas hydraulique.
sixieme etape :
> Cette etape correspond aux etudes et
travaux de remembrement rural au cours
desquels seront reamenagees les
parcelles selon les aptitudes culturales
des differents sols.
septieme etape :
> C’est au cours de la septieme et derniere etape
gue seront realises les projets d execution
proprement dit interessants aussi bien les
equipements externes qu interne.
e L’équipement externe qui comprend en géneral :
¢ Un ouvrage d’accumulation des eaux ;
Des adducteurs principaux generalement betonnes (dans
le cas des périmetres du Gharb et de Loukkos, c’est les
rivieres qui servent de canal adducteur) ;
¢- Des reseaux de distribution dits secondaires, tertiaires et
quaternaires constitues par des canaux portes en beton
(irrigation gravitaire) ;
- Des reseaux de conduites enterrees et de materiel mobile
de surface lorsqu’il s'agit d'irrigation par aspersion ;
c ——
Canal primaireeneau
dérivation et secondaires
=) | “se
Canal tertiaire
L‘equipement externe peut comprendre
en outre :
Des stations de pompage destinees a prelever l'eau
dans les rivieres, canaux ou conduites pour desservir
des secteurs dits « haut service » ;
Des reseaux de drainage enterré (cas du Gharb) ;
Du materiel hydromecanique pour la regulation ;
Des reseaux electriques pour lalimentation des
stations de pompage, de relevage ou de mise en
pression ;
L’infrastructure routiere ;
Tout autre ouvrage ou amenagement destine a la
protection du perimetre contre les inondations,
(erosion ou |! ensablement.
station-de pompage
/ Réseau de drainage \
Collecteur souterrain
Sortie de
drainage
L equipement interne des
proprietes « amenagement foncier »:
Le defoncement qui a pour objet la penetration des
couches profondes du terrain en vue de faciliter le
développement des racines et linfiltration des eaux ;
Le déefrichement est congu pour debarrasser le sol de
plantes vivaces, broussailles et arbrisseaux ;
Lepierrage qui consiste a ramasser et a Evacuer les
pierres et blocs de pierres apparents a la surface du sol ;
Le surfagage qui vise la rectification du micro-relief du
sol en rabotant les asperites du sol ;
Le nivellement gui a pour objet de donner au terrain a
inriguer un profil en long permettant une repartition
reguliere de |eau sans stagnation ni contre pente.
Les equipements annexes
> peuvent etre multiples selon les projets
et peuvent etre realises soit en amont
(station d experimentation et dessais
agricoles), soit pendant (stations d’essais
ele materiel), soit apres etS)
amenagements externe et interne (unites
de stockage ou de transformation des
produits agricoles).
Cadres juridiques et caracteristiques de
lamenagement
> Les amenagements hydro-agricoles realises et
(ou) projetes au Maroc sont quasiment des
plans de developpement regionaux. Ils
necessitent denormes investissements
representant une lourde charge pour | Etat.
Cependant, ils sont appeles a jouer un role tres
important dans le developpement economique
du pays.
e Les projets interessent des grandes zones couvrant plusieurs
dizaines de milliers dhectares, voir méme parfois des
centaines de milliers d’hectares ;
e Leur realisation stale sur de longues penodes atteignant
parfois plus de quinze a vingt années.
Cadres juridiques et caracteristiques de
l!'amenagement (suite 1)
>» Plusieurs textes legislatifs ont institutionnalise
!amenagement hydro-agricole au Maroc ; ||
Ss agit particulierement de :
> Code des eaux (promulgue en 1925),
actuellement loi sur l'eau ;
e Toutes les eaux du Maroc ainsi que leurs lits font
partie du domaine public ;
e Les droits d'eau peuvent étre expropries en vertu des
dispositions du Code des Investissements Agricole
moyennant indemnisation.
Cadres juridiques et caracteristiques de
l!amenagement (suite 2)
> Remembrement rural (texte de base promulgue
en 1962, complete en 1969) :
Le remembrement ou remembrement rural a
pour but la constitution d exploitations
agricoles dun seul tenant sur de plus grandes
parcelles afin de faciliter l'exploitation des terres.
> Il vise aussi l'amenagement rural du perimetre
ou est mis en ceuvre le regroupement des terres
agricoles appartenant a un ou
plusieurs agriculteurs.
Cadres juridiques et caracteristiques de
lamenagement (suite 3)
> Reforme Agraire (textes promulgues en 1966 et
en 1972) : consiste en lattribution a des petits
agriculteurs des terres agricoles ou a vocation
agricole faisant partie du domaine prive de
Etat. L’attribution se fait sous forme de vente
payable en 1/7 annuites avec un taux dinteret de
4%. Latiributaire est tenu a un mode de faire
valoir direct, a respecter les clauses du cahier
des charges et adherer a une cooperative de la
Reforme Agraire.
Cadres juridiques et caracteristiques de
lamenagement (suite 4)
» Code des investissements Agricoles :
Institue par le Dahir n® 69-25 du 25 juillet 1969 formant
Code des investissements agricoles (CIA)
a
RESSOURCES EN EAU AU MAROC
CONTRAINTES ET PERSPECTIVES
DE DEVELOPPEMENT
ee ee
POTENTIEL DES RESSOURCES EN EAU
En milliard de m3
150 140
PROBLEMATIQUE
Potentiel ...
Tianhe)
mal reparti
sous-valorise
menace
Probléematique
Potentiel limite
Nappes superficielles
% as
> (nappes superficielleset profondes)
complexe aquiféres
¢ as
Nappe profonde a faible taux de
renouvellement
Probléematique
Potentiel mal reparti
Dans le temps
=
= =
Lt
Nd
lon
fon
J)
©
1e
(
=
>
Utilisation p uy iT [:
=
AL.
fe
AL
@
—
~ Majorite des centres
urbains ont un
rendement de réseau
inférieur a 70%
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% % 80% 2%
80% 25%
Part des équipements économes en eau
20%
de l‘ordre de 40%
10%
5%
0%
unisie aroc
Probléematique
Potentiel sous-valorise
Faible performance economique des projets
de moins de 50% de
l’objectif escompte
Potentiel menace
Probléematique
SS
~~ Perte de capacite de
stockage par envasement de
70 Mm3/an
oa
£
= TAUX D’ENVASEMENT |
w MOYEN: 10 Mm3/an
3S8 500
a
<t
oO
400
300 T T T T T T T
1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005
Potentiel menace
Probléematique
Changements climatiques
secheresses frequentes
Owe
Changements climatiques
Secheresses freaquentes
Mohammadia en 2002
Injrastructure qe mobilisation
- 115 grands barrages d’une capacite
totale de pres de 16 Milliards de m3
- systemes de transfert d’eau :
~ 1100 km et 210 m3/s
- Important réseau de forages et de
captages
20000
10000
7500
5000
2500 13]
1955 1956 1960 1965 1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005
Realisations
barrages
Examen approfondi des possibilités de transfert
Poursuite de la recherche et de la mobilisation des eaux
souterraines ( nappes profondes)
Développement de la recharge artificielle des nappes
d’eau souterraines
Mobilisation des ressources en eau non conventionnelles:
4Dessalement eau de mer
AReutilisation des eaux useées
Plan d’action
Renforcement du processus de la
planification de l’eau
Plan National de I’Eau & débat sur I’eau
»
Objectifs
Partager le constat sur la gestion et la politique de l'eau
Impliquer et responsabiliser les décideurs
sensibiliser le grand public
Actualisation des Plans Directeurs d’Ameénagement
Intégrés des ressources en eau par les Agences des
Bassins
Economie et valorisation de l'eau
7 Reconversion des tech
i d‘irrigation en utilisant
economes. (30% des s
d‘ici 2015)
4Resorption du retard d
hydro-agricole
Eile Edit View Theme Analysis Surface Graphics Window PO View Tool Help
‘| Poste pluvio
al ‘
_| Stations
¥
Trés éleyé
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Moyen
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éseau hydrographique
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I
Alimentation en eau potable rural
V4 /U
55 60 ©
Va 50 2 DD
37 38 40
‘| 27 30 32
Ecologique
. Vivable
~ Economique
Developpement durable
Les objectifs
> Repondre aux besoins des generations
actuelles et a venir
Hydrologie des bassins
versants
INTRODUCTION A L'HYDROLOGIE DE SURFACE
DEFINITIONS: *
ae Transpiration
Précipitation
Evaporation
tuissellement
; _ , Transpiration .
recharge de la nappe ae a Evaporation
nappe — A sal
4 4
py =
Cycle hydrologique schématique.
Atmosphere
Précipitation
s'évapotranspire
!
atteint la atteint les plans
d'eau libre
s'évapore
végétation
Bassin Versant
Bassin Versant ou Unite hydrologique
Bassin Versant
La ligne separant deux bassins’ versants
adjacents est une ligne de partage des eaux ou
ligne de créte.
Bassin Versant
¢ Chaque bassin versant se caractérise par
differents parametres geometrigues (surface,
pente), pedologiques (nature et capacite
d'infiltration des sols), urbanistiqgues (présence
de bati) mais aussi biologigues (type et
repartition de la couverture vegetale). On peut
également y distinguer trois types de continuite :
— une continuite longitudinale, de l'amont vers I'aval
(ruisseaux, rivieres, fleuves).
— une continuite laterale, des crétes vers le fond de la
vallée.
— une continuité verticale, des eaux superficielles vers
Bassin Versant
¢ Toutefois, la delimitation topographique
n'est pas toujours’ suffisante pour
apprecier la_ sensibilite d'un bassin
versant. En effet, lorsqu'un sol permeable
recouvre un substratum impermeable, la
division des eaux selon la topographie ne
correspond pas toujours a la ligne de
partage effective des eaux souterraines.
Le bassin versant hydrographique est
alors different du bassin versant delimite
strictement vel la pe ain u est
Bassin topographique Bassin topographique
Précipitations
Evaporation
Ruissellement ,
partiel ji
P
Marne imperméable
Bassin Versant
Comportement hydrologique
L'analyse du comportement hydrologique d'un
bassin versant (systeme hydrologique)
s'effectue le plus souvent par le biais de l'étude
de la reaction hydrologique du bassin face a une
sollicitation (la precipitation).
Bassin Versant
La reaction hydrologique d'un bassin versant a
une sollicitation particuliere est caracterisee par
sa vitesse (temps de montee tm, defini comme
le temps qui s‘ecoule entre l'arrivee de la crue et
le maximum de I'hydrogramme) et son intensite
(debit de pointe Qmax, volume maximum Vmax,
etc.). Ces deux caracteristiques sont fonction du
type et de I'intensite de la précipitation qui le
sollicite mais aussi d'une variable caracterisant
l'etat du bassin versant : le temps de
concentration des eaux sur le bassin.
Bassin Versant
Hydrogramme
Bassin Versant
Le temps de concentration
Le temps de concentration « tc » des eaux sur un bassin
versant se définit comme le maximum de _ durée
néecessaire a une goutte d'eau pour parcourir le chemin
hydrologique entre un point du bassin et l'exutoire de ce
dernier.
Il est composé de trois termes differents :
— th: Temps d'humectation. Temps nécessaire a l'imbibition du
sol par l'eau qui tombe avant qu'elle ne ruisselle.
— tr : Temps de ruissellement ou d'écoulement. Temps qui
correspond a la durée d'écoulement de l'eau a la surface ou
dans les premiers horizons de sol jusqu'a un systeme de
collecte (cours d'eau naturel, collecteur).
- Temps diacheminement. Temps mis par l'eau pour se
Le temps de concentration tc est donc egal au
la somme de ces trois termes, soit: Tc=()>(th
+ tr + ta ))
Bassin Versant
Bassin Versant
YQroliogle
A quol ca sert de connaitre le BV ?
> « Imaginer » ma Me orage localise...
Bassin Versant 20
La courbe hypsometrique
Bassin Versant
Bassin Versant cj0}
¢ Les altitudes caracteristiques
a) Les altitudes maximale et minimale:
L'altitude maximale represente le point le
plus eleve du bassin, tandis que I'altitude
minimale considere le point le plus bas,
geneéeralement a I'exutoire.
i
{
0,8 + 0,14P (m)
Bassin Versant
YQroiogle
Si Q1 = 730 I/s
et BV1 = 22 km?,
Et si on connait
BV2 = 10 km2
: Chaque bassin est séparé de ceux qui l'environnent par une ligne de partage des eaux.
* Cette limite sera tracée sur une carte en CN en suivant les lignes de créte délimitant le
bassin et ne traversera le cours d'eau qu'au droit de la section considérée.
”_—™
Bassin Versant
Bassin Versant ou Unite hydrologique
Bassin Versant
Distinction bassin versant topographique / bassin versant réel
Lorsqu'un sol perméable recouvre un substratum imperméable, la division des eaux selon la
topographie ne correspond pas toujours a la ligne de partage effective des eaux souterraines.
Le bassin versant est alors différent du bassin versant topographique.
ll est appelé dans ce cas bassin versant réel.
* La différence entre bassins réel et topographique est tout particuli¢érement importante en région karstique
Exemple :
2 caractéristiques :
fap
Vitesse
(tm — temps de montée)
Intensite
a
X (Qmax, Volume max)
Q
Debit [03/3]
/ Dépendent :
Hydrogranmme de crue
* Du type et de l’intensite des précipitations
* Temps [h]
Un exemple d’hydrogramme de crue resultant d’un hyetogramme donne
t 90
| 99 Débits (I/s)
t+ 70
+ 60 Déby
1 sy Dial
+ 40
T 30
+ 20
F 10
‘0
*hydrogramme: Lareprésentation graphique de I'évolution du débit Q en fonction
du temps t
Tc
= Th + Tr+ Ta
tmp nécessaire a l’imbibition du sol par l’eau qui tombe avant qu’elle ne ruisselle
tmp mis par l'eau se déplacer dans le systeme de collecte jusqu’a l’exutoire
Détermination :
Ainsi, l'isochrone la plusea de l'exutoire représente le temps mis pour que toute la
utoire apres une averse uniform
©
1 At]2 At]3-Atl4
At Art 6. At
>
Temps de concentration par élément de surface
ce
P1 div P2
Les caracteristiques geometriques
¢ La surface
Le bassin versant etant l'aire de reception
des précipitations et d'alimentation des
cours d'eau, les debits vont etre en partie
relies a Sa surface.
Bassin Versant 49
Utilisation des techniques de digitalisation
'
PhO
Ww
4
oa
QAQunNOOesFROMA! |
Manwvw maceihilitac -
Jeux poss ites : re
Gtoréttrercemert© | Coushe: |ctrnantiJPS =) Viet
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- ; alisation sur une tabdie a Flevée | Bat |
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Crore. Enregeder.. |
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Relief et réseau hydrographique du bassin de Vogiie
160 - 313
313 - 466
466 - 620
620 - 773
773 - 926
Mi o20- 1079
1079 - 1233
1) 1233 - 1386
1386 - 1339
§ 2.3.1.2. La forme du bassin versant
Pour une méme superficie et pour une méme averse : hydrogramme trés différent
te > ty
P = = x 0,28 gen
20 *R' 2 *9 * A VA
Concentration rapide
§ 2.3.1.3. Le relief du bassin versant a) La courbe hypsometrique
2) Courbe hypsomeétrique
9505
a
}
U jo
0 T* T r T rT * T T + | —T T +
Altitude médiane
Methodes d ‘évaluation :
1 ) i =
h max
- hh in im = pente moyenne [m/km ; 0/,,]
m Py. P = périmetre du bassin
2
La couverture végétale - la forét régularise le débit des cours d ’eau et amortit les
crues de faibles et moyennes amplitudes ; action reduite sur
les débits extrémes
* le sol nu favorise un ruissellement rapide et une érosion imp.
Surfaces d’eau libre + jouent un rdle important du fait de leur capacité de stockage
temporaire d ’un certain volume d ‘eau.
* laminage des crues = réduction du débit de pointe de la crue
Effet de laminage d'un plan d'eau
Coef. Mensuel
Rhone Porte du Scex (amont lac)
«de debits Rhone Genéve (aval Lac)
oie)ved
2.3.3.1. La couverture du sol
Le coefficient de ruissellement
Hauteur d'eau ruissellée (mm)
Cc Fr
*100
Hauteur d'eau précipitée (mm)
Bois Cr=10%
La nature du sol intervient sur la rapidité de montée des crues et sur leur volume.
Limons
Infiltration moyenne
Sols argileux
sols peu profonds
sur le substratum
Faible taux d’infiltration
2.3.3.2. La nature du sol 2.3.3.3. La geologie du substratum
La géologie du substratum
Perméabilité du substratum
2.3.2. Le reseau hydrographique
La différentiation d 'un réseau hydrographique d ‘un bassin est due a quatre facteurs :
* La pente du terrain : lit du cours d’eau en érosion vs. Lit ou la sédimentation prédomine
Beity
~'* Formations earbonatées
> Bremne es
RAS
Formations oe
©)
(9)
Bi. Organisation et caractérisation du bassin versant
@ Delimitation du bassin versant et de son réseau de
drainage
50):
L250 aut
a)
OR |
2.3.2.1. Ordre des cours d ’eau
Classification des cours d ‘eau est facilitée par un systeme de numérotation des
des troncons de cours d ‘eau.
L ‘ordre des cours d ‘eau= classification qui reflete la ramification du cours d ‘eau
utilisé pour la codification des stations de mesure
Regles :
L ‘ordre des cours d’eau= classification qui refléte la ramification du cours d ‘eau
utilisé pour la codification des stations de mesure
Regles :
On reporte le cours d ‘eau principal et les affluents avec des couleurs différentes
."
5
Bw
E
5
Owe
s
a
Eun
»
o
cs
2
Za
Ze
a
1 300 = 9 mo
Distance 4 la source en kilométres
2.3.2.2. Les longueurs et les pentes caractéristiques du réseau
|
cous dea
aN
Sy surface délimitée par Lb pente de la choite
tracée depuis l'exntone
— AA
t SLY SZ
esx > ~
SSS SS
sd
Distance 41' em bouchure
2.3.2.3. Le degré de développement du reseau
re}
Statistiques descriptives de la densité du réseau de drainage (en km/km?*) par hydro-écorégion
Linéaire total_(km) Superficie (km?) Densité de drainage (km/km*}
Hautes Terres Volcaniques Orientales 1040 1364 0.76
Hautes Terres Volcaniques Humides 1488 1667 0.89
Hautes Terres Granitiques Orientales 6302 6128 1.03
Terres Granitiques Orientales 8735 8831 0.99
Hautes Terres Climat Cévenol 788 641 1.23
Dépressions Intemes 1783 1967 0.91
Fossés Tectoniques 4433 4370 1.01
Limagnes 1563 1789 0.87
Granitique Limousin 15712 16478 0.95
Hautes Terres Limousines Humides 710 598 1.19
Beauce Séche 615 3160 0.19
Epandages Eluviaux 6423 8102 0.79
Calcaires Nord Loire 10262 13644 0.75
Calcaires Sud Loire 15126 24621 0.61
Granitique Armoricain Nord Est 4871 4430 1.10
Granitique Armoricain Est Interieur 2966 3193 0.93
Granitique Armoricain Sud Intérieur 8486 10358 0.82
Courbe hypsometrique et
polygones des Fréquences altimetriques
S50 lon 1590
\ tT T t
pax 5! Paul-de-Tartas 1400m
LAVALETTE
Issanles
e 1200
Sf Sauveur-¢, 600
-de-Ginestoux >
S00
Chateauneuf-
-de-Randon
St Etienne -
yj) -de-Lugdares
0 ~“Masmejean
Pourcentage du bassin versant
Dacharv. 1974
CHAPITRE III : Hydrologie
I- Introduction :
Sous l’effet du rayonnement solaire, l’eau s’évaporée à partir, des
Océans, des Lacs, des rivières, des Sources, des Sols et des Végétaux.
Cette eau évaporée va entrer dans l’atmosphère sous forme de vapeurs,
se condense dans des masses nuageuses.
Par le phénomène de neiges ou des précipitations, cette eau sera
restituée aux Continents et aux Océans. Une partie des eaux précipitées
va être interceptée par les végétaux et une partie gagnera la surface des
Sols, où elle pourra soit : être évaporée, soit s’écouler en surface
jusqu’aux Cours d’eau, c’est le ruissellement de surface, ou encore,
s’infiltrer dans le Sol. Ce dernier peut emmagasiner l’eau infiltrée sous
forme d’humidité, que peuvent utiliser les végataux.
Il peut y avoir aussi une infiltration profonde pour contribuer à la
recharge au renouvellement des réserves de la nappe souterraine. Un
écoulement à partir de cette nappe peut rejoindre la surface au niveau
des Sources ou des Cours d’eau ; c’est l’écoulement souterrain.
L’évaporation à partir du Sol et de ces Cours d’eau combinée à la
transpiration des plantes réinitialisent le Cycle hydrologique.
Cet indice de couverture peut être aussi calculé par d’autres couvertures
végétales telles que les cultures.
11)- La Géologie.
12)- La topographie.
ouvrages de régulation 1
Réservoirs
ouvrages de régulation 2
Coupe transversale d’un barrage hydroélectrique :
© EDSB – 2007
Conséquences écologiques:
Un barrage peut empêcher la L’écosystème détruit met plus de
reproduction d'espèces 30ans à se reconstruire, mais il
aquatiques entre l'amont et l'aval n’est pas totalement identique à
(il est surtout dangereux pour les
espèces migratrices). celui d’avant à cause du
changement environnemental
Une certaine modification du (zones d’assèchements ou
régime d'écoulement des eaux d’inondations…) ce qui pose des
de la zone en aval. problèmes aux espèces.
Effectivement, certaines
disparaissent totalement de la
Une dangereuse mutation de la
qualité des eaux provoquée par région.
sa retenue. Il y a aussi la pollution avec
tous les déchets rejetés par la
production d’énergie du
barrage.
• Trois critères fondamentaux interviennent
dans le choix et la conception d’un
barrage.
– Site d’implantation : choix d’un site encaissé,
afin d’optimiser le corps du barrage par
rapport à sa retenue.
ouvrages de régulation 5
• Capacité et étendue de la retenue;
ouvrages de régulation 7
ouvrages de régulation
Détermination de la capacité du
barrage
• Données graphiques :
ouvrages de régulation 10
– Méthode des valeurs excédentaires: se
base uniquement sur les valeurs
excédentaires
• Capacité C = ∑ (Q – R) avec Q : apports
mensuels et R : Lâchés mensuels
• lorsque Q>R on parle de stockage si non (Q<R)
en parle de quantité relâchés
Données en millions de m3
ouvrages de régulation 13
• On distingue donc, de façon schématique, divers
types de barrages :
• Suivant leur fonction, sachant qu'un même
ouvrage sert le plus souvent à plusieurs
fonctions :
• - Accumulation d'eau restituée pour la
production d'énergie, l'alimentation en eau ou
l'irrigation ;
• - Régulation d'un cours d'eau pour la gestion
des crues et des étiages.
ouvrages de régulation 14
Suivant leurs caractéristiques géométriques :
• - Barrages réservoirs, de grande hauteur ;
• - Barrages au fil de l'eau, sur le cours d'une rivière.
ouvrages de régulation 15
Suivant leur conception :
• - Barrages poids, pour lesquels, comme leur nom
l'indique, c'est la masse de l'ouvrage qui s'oppose à la
pression de l'eau ;
• - Barrages voutes, pour lesquels la pression de l'eau est
transmise par l'ouvrage sur les parois latérales.
ouvrages de régulation 16
Suivant leur conception :
• - Barrages poids, pour lesquels, comme leur nom
l'indique, c'est la masse de l'ouvrage qui s'oppose à la
pression de l'eau ;
• - Barrages voutes, pour lesquels la pression de l'eau est
transmise par l'ouvrage sur les parois latérales.
ouvrages de régulation 17
Pt= Somme þ.g.hx entre 0 et hmax
ouvrages de régulation 18
19
• Un barrage comporte toujours divers composants :
ouvrages de régulation 21
• - des dispositifs de contrôle et de surveillance.
ouvrages de régulation 23
- une vanne de fond, pour permettre la vidange du réservoir.
24
• Pour les barrages au fil de l'eau :
• - des vannes de régulation du débit ;
souvent des écluses et des passes à
poissons (canaux à faible vitesse
d'écoulement).
ouvrages de régulation 25
Les barrages en remblai
Tous les barrages constitués d'un matériau meuble, qu'il soit
très fin (argile) ou très grossier (enrochements) sont des
barrages en terre.
Tous les barrages en terre peuvent être considérés comme
des barrages-poids, c’est-à-dire qu’ils résistent à la pression
de l’eau par leur propre poids. C’est ce qui explique leur
section de forme trapézoïdale.
Cette famille regroupe plusieurs catégories. Les différences
proviennent des types de matériaux utilisés, et de la méthode
employée pour assurer l'étanchéité
ouvrages de régulation 26
Les barrages en remblai
cont.
- homogène,
- à noyau,
- à masque.
ouvrages de régulation 27
• Barrage homogène
• Un barrage en terre est dit homogène lorsqu’il est
constitué d’un même matériau à dominante
argileuse, relativement imperméable. Selon les
ouvrages, la pente des talus sera plus ou moins
forte, en fonction notamment des caractéristiques du
matériau employé.
• Le barrage homogène est un barrage en remblai
construit avec un matériau suffisamment étanche
(argile, limon).
ouvrages de régulation 28
ouvrages de régulation 29
• Le barrage est constitué d'un seul matériau suffisamment résistant
et imperméable (k = 10-7m/s).
30
• Lorsque le barrage subit une vidange rapide, le gradient hydraulique
s'inverse. Les pressions interstitielles ne peuvent pas s'évacuer
rapidement dans un matériau peu perméable. On a alors un risque
d'instabilité du talus amont qui peut être stabilisé par une recharge
perméable (enrochement).
ouvrages de régulation 32
• Le noyau au centre de l’ouvrage va être
constitué de la terre la plus imperméable
possible. Il sera tenu de part et d’autre par
des recharges composées, selon les cas,
de terre plus perméable, d’alluvions ou
d’enrochements.
ouvrages de régulation 33
• Le barrage à noyau argileux comporte un noyau central
en argile (qui assure l'étanchéité), épaulé par des
recharges constituées de matériaux plus perméables.
Cette technique possède au moins deux avantages sur
les barrage homogène :
ouvrages de régulation 34
Barrage à masque
ouvrages de régulation 35
Les Barrages en béton
• L’avantage du béton est notamment d’autoriser
l’édification d’ouvrages plus résistants. Il en
existe deux principaux types :
- les barrages poids,
- les barrages voûte,
- les barrages à contrefort,
- les barrages à voûtes multiples.
ouvrages de régulation 36
Barrage poids
ouvrages de régulation 37
Barrage voûte
• Le barrage voûte représente l’ultime aboutissement
de l’utilisation des propriétés du béton en termes de
résistance. Il permet des économies de volume d’au
moins 30 % de plus par rapport à un barrage-poids.
ouvrages de régulation 38
• L’effort de résistance est ainsi en partie reporté par l’arc central
sur les rives, permettant de construire des ouvrages moins
volumineux, à performance égale. En revanche, les fondations,
sur lesquelles se reporte une grande partie de l’effort, doivent
posséder des caractéristiques mécaniques élevées afin de
supporter celui-ci.
ouvrages de régulation 39
ouvrages de régulation 40
Barrages à contrefort
• Le barrage à contrefort est un barrage poids allégé
de l’intérieur.
ouvrages de régulation 41
Barrages à voûtes multiples
ouvrages de régulation 42
Paysages de barrages en montagne.
B/ Production d’électricité
1- Généralité
© EDSB – 2007
2- Principe
© EDSB – 2007
Coupe transversale d’un barrage hydroélectrique :
© EDSB – 2007
À la sortie de la conduite, l’écoulement de l’eau fait
tourner la turbine qui entraîne un générateur électrique.
© EDSB – 2007
Avantages et inconvénients des barrages
A/ Avantages
vDisponibilité de l’eau pour l’irrigation, pour la
consommation et pour l’industrie, etc.
vProduction d’une énergie propre (renouvelable) sans
émission de fumées et pollution.
vGestion des cours d’eau et le contrôle des crues :
- en période de sécheresse, on lâche de l’eau ;
- en période d’inondation, on retient le surplus
d’eau
vIl existe également un apport économique : le tourisme
grâce aux lacs et aux stations balnéaires
© EDSB – 2007
B/ Inconvénients
v Coût des aménagements
v Risques de rupture du barrage
v Perturbation de l’écosystème
v Exigences géologiques et géographiques :
v Modification de l’aspect naturel du site
© EDSB – 2007
ouvrages de régulation 54
ouvrages de régulation 55
ouvrages de régulation 56
Définition d’un barrage
Hamid. NASSOUH
Conseiller du Directeur des Aménagements Hydrauliques
Mai 2014
• Contexte hydrologique
• Politique de l’eau
• Perspectives
• Recommandations
Forte irrégularité dans le temps et dans l’espace
Dans l’espace
Dans le temps
3
Politique de l’eau
Mobilisation des eaux de surface:
1967 à 1985:
Création de la Direction de l'Hydraulique
Programmation de 6 grands barrages
1986 à 2000 :
Nouvel élan de la politique des barrages par la décision de réaliser un barrage par
an
140
Une trentaine en 135
Nombre de barrages
120
cours de construction
100
98
80
60 67
40
20 27
ca
0
1970 1980 1990 2000 2014
Année
Bien faits des Barrages
Approvisionnement en eau des populations et des industries.
Irrigation
Energie électrique.
Reconversion
à l’irrigation Amélioration
localisée des
rendements
2000 des réseaux
Mm3/an d’irrigation
400 Mm3/an
Amélioration
des
rendements
des réseaux
d’AEP
120 Mm3/an
Dessalement de
Les ressources en eau de surface:
l’eau de mer
Mobilisation addit : 1.7 Milliards
400 Mm3/an
m3/an
• 60 grands barrages
Réutilisation des
• 1000 petits barrages eaux usées
• Transfert Nord‐Sud : 800 épurées 300
Mm3/an Mm3/an
16
3 Préservation et protection des RE, du milieu naturel et des zones fragiles
Réduction des
prélèvements:
Economie d’eau,
substitution par
d’autres ressources en
eau
Recharge artificielle :
180 Mm³/an des eaux
de surface, 100 Mm³/an
des eaux usées traitées
17
3
Préservation et
protection des RE, Protection de la qualité des ressources en eau et
du milieu naturel et lutte contre la pollution :
des zones fragiles Accélérer le rythme de mise en œuvre des
programmes nationaux :
• Plan national d’Assainissement et d’épuration des
eaux usées,
• Programme national d’assainissement rural
• Programme national de Prévention et de lutte
contre la pollution industrielle
• Plan national de gestion des déchets ménagers et
4 assimilés
Réduction de la
vulnérabilité aux
risques des Sauvegarde des bassins versants, des zones
inondations et des humides et des lacs naturels
sécheresses
6
Modernisation des
systèmes Modernisation des réseaux de mesures
d’information et Recherche et développement
renforcement des Modernisation de l’Administration et
moyens et des développement des systèmes d’information
compétences logistique
Développement des compétences
Rôle et Contribution de l’ingénieur
dans la politique de l’eau
Politique
des
barrages
Stratégie
nationale PDAIRE
de l’eau Ingénieur
Plan
National
de l’eau
Contribution de l’ingénieur dans
différentes phases du projet de
barrage
Planification
Ingénieur
Etude (Adm, Réalisation
BE, Etp)
Maintenance
Contribution et développement
de l’ingénierie nationale
Au lendemain de l’indépendance, l'ingénierie des barrages était
détenue exclusivement par les opérateurs étrangers
Ingénierie: 40%
SMIR: 1989, 1er grand barrage à 100% marocain
H: 45m VR: 43Mm3
Aoulouz (1991, H=80m VR: 110Mm3)
L’un des 1ers grands BCR de par le monde
Ingénierie: 50%
Al Wahda (1996, H:88m VR: 3800MMm3 VB=27 Mm3,
Q=20 000m3/s)
2ème plus grand barrage en remblai d’Afrique
Ingénierie: 50%
Oued Za (1998, H=83m VR: 275Mm3)
Voûte en site karstique
Ingénierie
80%
Asfalou (1998, H=110m VR: 317Mm3 )
Voûte mince en site karstique
Ingénierie
95%
Ingénierie
100%
Ingénierie
100%
Tanger Med (2008, H=80m VR: 25Mm3)
BCR sans joints et sans membrane
Ingénierie
100%
Intervenants dans les projets de
barrages
Administration
Bureau Entreprise
d’étude Génie‐civil
Barrage
Entreprise
Laboratoire Electromé
canique
Contribution et développement de
l’ingénierie nationale
La conception et la construction des barrages demeurent des opérations
complexes, intégrant plusieurs disciplines.
1. Génie civil
2. Géologie / hydrogéologie
3. Géotechnique
4. Structure
5. Hydrologie
6. Hydraulique
7. Hydro‐électromécanique; ….
Développement de technicité
Adaptation et amélioration de techniques existantes:
Maçonnerie avec masque en béton en sandwich
Avantage:
Utilisation et formation de main d’œuvre qualifiée
Réduction des coûts
Performance des équipes de l’Adm et des BE
Développement de la PME
Barrage Kat Mermach‐ maçonnerie
(Au moment de la réalisation)
Barrage Kelaat Mermach – Azilal achevé (H: 34m VR:1.5Mm3)
Barrages en béton compacté aux
rouleaux
RADIER DE LA
GPA
ENROBAGE DE LA BUSE
DE DRAINAGE DE LA
Après la réalisation de la 10èmeGPA
couche inclinée, le coffrage des deux parements
amont et aval sera libéré sur 2 x (L+L’).
FORAGES &
INJECTIONS
Développement de l’entreprise
nationale
Des entreprises marocaines, fortes des réalisations accomplies, ont pu
rivaliser des concurrents redoutables et remporter des AO de Grands
complexes
120%
100%
80%
0%
1925‐1980 1981‐1990 1991‐2005 2006‐2012
EXPORTATION DU SAVOIR FAIRE
Perspectives
Pour la mise en œuvre de la stratégie nationale du secteur de l’eau et faire
face aux défis :
En attente des textes d’application de la loi n° 30/15 sur la sécurité des barrages, les bases
réglementaires en vigueur actuellement est l’arrêté ministériel n° 04/2008 du 11/03/2008
précisant les conditions de gestion, d’entretien, de réparation, du suivi, de l’auscultation et de
préservation des ouvrages hydrauliques existants.
Cet arrêté s’applique aux barrages mis à la disposition des Agences des Bassins Hydrauliques
par un arrêté conjoint entre le Département chargé de l’Eau et le Ministère des Finances.
Pour le cas de l’Agence du Bassin Hydraulique du Sebou, il s’agit de l’Arrêté conjoint n° 851 du
11/09/2003 du MATEE et du MFP qui dresse la liste des biens mis à la disposition de l’Agence,
composés de 13 barrages et leurs dépendances, la galerie de Matmata, les cités et les locaux
administratifs des barrages, les stations hydrologiques (61) et leurs dépendances et les
piézomètres (301).
A l’Agence du Bassin Hydraulique du Sebou, la sécurité des barrages passe impérativement par
leur surveillance et leur maintenance.
Le premier niveau est l’Agence du Bassin Hydraulique considéré comme exploitant. Ce niveau
comprend 2 sous niveaux :
Le deuxième niveau est composé des services centraux du Département de l’Eau qui sont
chargés de l’interprétation des rapports établis par l’Agence, la validation du comportement
des barrages en liaison avec ses experts et ingénieurs conseils et l’assistance technique de
l’Agence,
Le 3ème niveau est composé de l’Autorité compétente : Le Secrétariat d’Etat Chargé de l’Eau
chargé de la mise en application des bases légales en vigueur dans le domaine de la sécurité
des barrages et veille à leur bonne respect et exécution.
3. Objectifs de la surveillance
La réalisation des mesures d’auscultation par les équipes d’exploitation, le respect de leur
fréquence, leur validité et leur plausibilité,
La réalisation des inspections et contrôles visuels d’une manière systématique et périodique et
à la suite de tout événement exceptionnel,
La réalisation des contrôles et essais de fonctionnement des équipements hydro-
électromécaniques et d’électricité conformément à la procédure MECEP (Méthode de
Conduite de l’Entretien Préventif),
La réalisation des travaux d’entretien préventif et curatif.
L’Agence du Bassin Hydraulique du Sebou établit et diffuse d’une manière périodique trois
rapports :
Les services centraux du Département de l’Eau et de l’Environnement ont le regard extérieur sur
les taches de l’Agence. Ils sont chargés de :
Les barrages faisant partie de la zone de l’action de l’Agence du Bassin Hydraulique du Sebou
sont au nombre de 54 y compris les petits barrages et lac collinaires. Cependant, ceux qui ont fait
l’objet d’arrêté de passation à l’Agence sont au nombre de 13 barrages avec une galerie de
transfert d’eau du bassin de Sebou au bassin d’Innaouen. Ces barrages sont :
Les types des grands barrages construits dans la zone d’action de l’Agence du Bassin
Hydraulique du Sebou sont comme suit :
14
2
10
4
7% 7% 4%
4%
7% 5%
5%
18%
42%