Comptabilité Analytique Et Contrôle de Gestion
Comptabilité Analytique Et Contrôle de Gestion
Comptabilité Analytique Et Contrôle de Gestion
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Chapitre 1 : LE CONTROLE DE GESTION ET LES OUTILS
D’AIDE A LA DECISION
Performance
5
Efficience\ Efficacité
-objectifs
L'efficience
définis.
correspond à la meilleure gestion possible des
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Le contrôle de gestion, outil de maîtrise de la
gestion
Dans la gestion de l’entreprise, le contrôleur de gestion a un
rôle fondamental, il a en effet pour mission d’aider les
responsables opérationnels à maîtriser la gestion par exemple :
1. valoriser les objectifs,
2. contrôler les plans d’actions,
3. suivre leur exécution,
4. analyser les écarts entre les prévisions et les
réalisations,
5. proposer des actions permettant de rectifier telle ou
telle tendance. 7
Le contrôle de gestion, outil de vérification/sanction
8
2 Les objectifs du contrôle de gestion
la direction générale
de l’organisation
11
2. Budgets (Voir chapitre 3)
Gestion budgétaire
"La Gestion Budgétaire, Technique de l'administration de
l'Entreprise et de la gestion interne, s'appuie sur des prévisions. A
partir de ces prévisions, les responsables de l'Entreprise reçoivent
des attributions sous forme de programmes et moyens pour une
durée limitée en valeur et en quantité si possible.
Un rapprochement entre les prévisions et les réalisations
constitue la dernière étape de la gestion budgétaire".
12
3- Tableaux de bord (Voir chapitre 4)
Un tableau de bord
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Chapitre 2 : LA GESTION DES COUTS ET LE
CONTROLE DE GESTION
De la comptabilité générale à la comptabilité analytique.
La comptabilité générale a deux objectifs bien déterminés :
- un objectif juridique car elle permet d'informer les tiers sur
l'état du patrimoine de l'entreprise à un moment donné.
- un objectif économique car elle mesure les performances de
l'entreprise par l'intermédiaire du compte de résultat.
Cependant si on se posait la question de savoir si la
comptabilité générale était un bon outil de gestion, il n’y aurait
certainement pas de réponse définitive.
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Comptabilité analytique (Comptabilité de gestion)
Approvisionnement
Production Distribution
Stock Stock
MP PF
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1.La méthode des sections analytiques (centres d’analyse).
Charges directes
Affectation
Imputation
Sections
principales Produits
Charges Répartition
Indirectes Primaire
Répartition
Secondaire
Sections
Répartition auxiliaires
Primaire
Prestations
réciproques
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3-1 Charges directes/ Charges indirectes
Les charges directes constituent des charges qu’on peut affecter
à un coût sans calculs préalables. Ce sont des charges dont la
destination est connue.
Exemples : Les charges de main d’œuvre, La matière première.
Les charges indirectes, toutes charge qui ne peuvent être
affectées à un coût. C'est une charge commune à
plusieurs activités ou plusieurs comptes decoûts.
C’est une charge à imputer aux différents coûts.
Exemples : Les frais d’administration, entretien, amortissement.
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3-2- Sections analytiques.
« La section est une division de l'unité comptable où sont analysés des
éléments de charges indirectes préalablement à leur imputation aux coûts
des différents produits intéressés" .
La section peut correspondre :
- Soit à une division réelle de l'entreprise (Exemple : Un service , atelier), ce
qui équivaut à un centre de travail. Ce type de section peut aider à la
responsabilisation et au contrôle des différents services de l'entreprise.
- Soit à une division fictive de l'entreprise indépendamment de sa structure,
c'est à dire une section qui totalise des charges ayant un comportement
commun.
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Cette méthode distingue, généralement, trois catégories de sections :
-Sections principales : Ces sections fournissent des prestations
directement aux activités principales de l'entreprise
(Approvisionnement, Production, Distribution).Elles se caractérisent par
la possibilité de mesurer leur activité par une unité de mesure physique
appelée unité d’œuvre (u.o) par exemple tonnes de matières
consommées, heures de main d’œuvres directes.
-Sections auxiliaires : se sont des sections dont l’activité profite à
d’autres sections (Principales et/ou auxiliaires)
Exemple : Entretien, force motrice, comptabilité…etc.
20
3-3 Répartition primaire des charges indirectes:
Elle consiste à répartir les charges indirectes entre
l’ensemble des sections analytiques (auxiliaires et
principales) .
Les charges indirectes concernent :
- Plusieurs sections : Dans ce cas, leurs répartition pose problème et on
recours à des clés de répartition qui permettent de répartir ces charges
entre les différentes sections.
Exemple de clés de répartition.
. La surface (m²) pour répartir les frais d'éclairage et l'amortissement
des constructions.
. Nombre de poste de téléphone pour la facture de téléphone.
Application :
21
Le tableau de répartition des charges indirectes :
22
3-4 Répartition secondaire.
C’est la répartition des sections auxiliaires entre les différentes sections
(section principales (S.P) et sections auxiliaires (S.A.) ).
Au terme de cette répartition on ne dispose des charges que dans des
sections principales. alors que les sections auxiliaires sont
entièrement réparties (total = 0).
Application :
Soit le tableau de répartition suivant après répartition primaire :
Totaux Sections auxiliaires Sections principales
Eléments
Administration Entretien Approvis Distribution
23
On constate qu’il y a prestation réciproque entre les sections auxiliaires . Pour
résoudre le problème, on va utiliser la méthode algébrique, qui consiste à
établir et à résoudre autant d’équations qu’il y a de sections concernées par
les prestations réciproques. Donc :
Soient: - Administration = A ; - Entretien = E.
* A = 56000 + 20%E.
* E = 14000 + 10% A.
On remplace dans la première équation E
par : A = 56000 + 0,2 ( 14000 + 0,1 A ).
A = 56000 + 2800 + 0,02 A.
A – 0,02 A = 58800.
0,98 A = 58800.
A = 58800 / 0,98 = 60000 DH.
E = 14000 + (0,1 x 60000) = 14000 + 6000 =
20000 DH.
Donc :
*Administration = 60000 DH.
24
*Entretien = 20000 DH.
La répartition secondaire des charges indirectes
25
3-5 L'imputation des charges indirectes aux coûts:
d’œuvres consommées.
29
4- Méthode Direct costing.
32
Le direct-costing permet :
d'imputation
33
Application :
Une entreprise qui produit des lessives vend trois marques par l’intermédiaire de trois canaux
de distribution différents.
Résultat 20 000
34
3 Direct Costing évolué (méthode du coût variable
évolué,
méthode des marges et apports par produit, coût direct mixte).
«variable-fixe» et «Direct-indirect».
Le direct costing évolué
distingue :
-Charges fixes spécifiques, c'est à dire propre à chacun
des produits, services .. etc. et qui y sont affectables. 35
36
Application :
Prenons l’exemple précédent de la société qui produit la lessive, le service contrôle
de gestion a mené une étude lui permettant de distinguer les charges fixes
spécifiques (directes)
Résultat + 20 000
Le direct costing constitue donc un instrument pour guider les choix (politique de
vente et politique de production)
37
Chapitre 4 : PREVISIONNELLE : PLANIFICATION ET
BUDGETISATION (BUDGETISATION DES LA DEMARCHE ACTIVITES
COMMERCIALES, DE PRODUCTION, DES INVESTISSEMENTS..).
en quantité si possible.
Un rapprochement entre les prévisions et les réalisations constitue la
dernière étape de la gestion budgétaire".
38
2- Le rôle des budgets :
"Faire du budget, c'est se faire du souci avant de dépenser l'argent, plutôt que
de s'en faire après". De ce fait, le budget se présente comme étant :
-Un instrument d'aide à la décision : Il permet de chiffrer les effets de la
mise en oeuvre d'un programme
-Un instrument de motivation : le fait d'associer de façon décentralisée les
différents collaborateurs à l'élaboration des prévisions budgétaires est un
facteur important assurant la transparence de la gestion et la possibilité
d'obtenir un consensus.
-Un instrument de décentralisation et de cohérence : Le budget général
reflète les buts poursuis par la direction, son élaboration et plus encore son
exécution exige une décentralisation et une délégation à différents niveaux
(fondement d'une direction par objectifs)
-Un instrument de contrôle : un système d'information, permettant de
détecter le plus rapidement possible les écarts entre les prévisions et les
réalisations, et d'induire de façon rétroactive des décisions correctrices selon
39
un processus de régulation.
3-1-Budget des ventes
« un chiffrage en volume permettant de situer le niveau d'activité des services
commerciaux... et un chiffrage en valeur des recettes permettant de déterminer
les ressources de l'entreprise»
Principes
La prévision des ventes consiste à déterminer les ventes futures :
- en quantités
- en valeur
- en parts de marché
- en échéances
En tenant compte
- des tendances et des contraintes imposées à l’entreprise
(facteurs exogènes)
- des décisions de politique générale de l’entreprise
Les prévisions des ventes sont nécessaires à la fois pour le court et le long terme
- à long terme, elles permettent d’envisager les investissements et
leur financement ;
-à court terme, elles permettent d’établir des programmes de production et
d’approvisionnements et le budget de trésorerie 39
3-1-2 Techniques de prévision.
3-1-2-2 La méthode des moyennes mobiles
Cette méthode permet de corriger les phénomènes accidentels en assurant un
lissage des informations observées. Ce faisant il s’agit de substituer aux valeurs
observées valeurs ajustées compte tenu de coefficients choisis par les
des
statisticiens.
Application :
Soit le chiffre d’affaires d’une entreprise donné de façon trimestrielle:
Trimestr Trimestr Trimestr Trimestr
ANNEES e 1 e 2 e 3 e 4
41
2000
1800
1600
1400
1200
1000 Série1
800
600
400
200
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16
42
Tableau des valeurs ajustées :
43
2000
1800
1600
1400
1200
Yi
1000
800 Y'i
600
400
200
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
16
44
3-1-2-3 Ajustement analytique : la méthode des moindres carrés :
X iY i n X Y
a
Et X i² n X
²
b Y a X
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3-1-2-4 Les séries chronologiques :
Une série chronologique est une série statistique représentant l’évolution d’une
variable économique en fonction du temps.
Les composantes d’une série chronologique sont au nombre de quatre :
-la tendance à long terme ou trend (notée T) : la tendance du phénomène
est exprimée sur le long terme.
-le mouvement cyclique (noté C) : il exprime les fluctuations liées à la
succession des phases des cycles économiques ou conjoncture.
-les variations saisonnières (notées S) : se sont des fluctuations périodiques
qui se superposent au mouvement cyclique et aux causes multiples
(phénomènes socioculturels, climatiques,…). Il convient de calculer des
coefficients saisonniers.
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Méthode de calcul des coefficients saisonniers :
Nous ne présenterons ici que la méthode la plus utilisée ; celle des rapports au trend.
- déterminer la droite des moindres carrés qui ajuste la série chronologique ;
- calculer les valeurs ajustées y’, grâce à l’équation précédente ;
- faire le rapport entre y et y’ pour chaque observation ;
- prendre, pour chaque période (mois ou trimestre), le rapport moyen qui sera considéré
comme le coefficient saisonnier de la période.
Application :
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Xi Yi XiYi X²i
1 1000 1000 1
2 1200 2400 4
3 1400 4200 9
4 1150 4600 16
5 1050 5250 25
6 1350 8100 36
7 1500 10500 49
8 1300 10400 64
9 1100 9900 81
10 1450 14500 100
11 1700 18700 121
12 1400 16800 144
13 1250 16250 169
14 1650 23100 196
15 1850 27750 225
16 1550 24800 256
Somme 136 21900 198250 1496
Moyenne 8.5 1368.75 12390.625 93.5
48
a
X iY i nX Y
X i² n X
² b Y a X
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Prévision des ventes :
Il s’agit de connaître les ventes des quatre trimestres de l’année 5 sous réserve de
deux hypothèses:
La tendance générale reste identique ;
Les coefficients saisonniers sont calculés de façon correcte.
51
3-2 Budget de production
Des questions ?
-Combien faut-il produire pour répondre à la demande en tenant compte des
contraintes techniques de fabrication ? Les méthodes de programmation linéaire
permettent d'y répondre.
-Combien faut-il commander et stocker de matières premières pour satisfaire la
demande prévue ? Le calcul des besoins en composants donne la réponse.
-Comment et combien faut-il charger les ateliers, les machines, les capacités
humaines pour que la production corresponde aux besoins ?
3-2-1 Prévision de la production : établissement d’un programme de production
Il doit y avoir ajustement et cohérence entre production et ventes. Le budget de
production sera établi en faisant un compromis entre les diverses contraintes auxquelles
se heurte l’entreprise.
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- contraintes de marché : concurrence, force de vente, circuits et canaux,
consommateurs ;
-contraintes de production :- moyens matériels de production
(se reporter aux décisions d’investissements)
- matières pour lesquelles l’entreprise est tributaire de marchés
- main d’œuvre (aspects quantitatifs et qualitatifs)
L’un de ses éléments peut constituer un goulot d’étranglement ou un
facteurs de non qualité et de criticité de l’offre de l’entreprise. Un seul goulot
peut gripper l’ensemble avec des effets forts sur la relation de l’entreprise à
ses marchés (rupture de stock par exemple)
L’organisation de la production constitue un problème complexe faisant
intervenir des techniques de programmation variées (recherche
opérationnelle).
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Budget d’approvisionnement.
Gérer les stocks consiste à concilier des objectifs contradictoires entre :
la fabrication et la vente dans le cas de produits finis ;
les impératifs des fournisseurs et ceux de la production pour les matières premières et
les composants ;
3-4-1 Les fondements économiques de la gestion des stocks :
Le rôle de la fonction approvisionnement :
Obligation de fournir des matières et composants en qualité, délais et
quantités suffisantes
Travailler au coût le plus bas possible
Coûts générés par les stocks :
Les coûts liés à la commande : fonction du nombre de commandes
Les coûts liés à la possession du stock : taux annuel de possession appliqué à la
valeur du stock moyen
Les coûts liés à l’insuffisance des stocks : liés au coût de rupture (nombre et temps
de rupture)
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Méthodes de suivi administratif des stocks :
Le but est de déterminer les composantes de stocks qui doivent faire l’objet d’un suivi
particulièrement précis de la part des services approvisionnements.
3-4-2 Les modèles : Modèle de gestion des stocks en avenir certain :Modèle de
WILSON
Il s’agit de déterminer la quantité économique qui minimise le coût de gestion du stock
afin de permettre l’automatisation des procédures de réapprovisionnement.
-Paramètres : - Inconnues :
C : consommation annuelle en quantité. Q : quantité économique.
F : coût d’obtention d’une commande. N : nombre de commandes.(N= C/ Q)
t : coût de possession du stock/an.
p : coût d’un article stocké.
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-Le coût d’obtention des commandes, noté Ct = f x N = f x C/Q.
-Le coût de possession du stock, noté Cp = Q/2 x p x t ( Q/2 : stock moyen )
Le coût de gestion du stock est minimum pour une valeur de Q notée Q* égal à :
2x Cx f
Q*
pxt
Connaissant la consommation annuelle, la cadence
optimale N* est égale à : d’approvisionnement
N* = C/ Q*.
Et pour cette valeur Q*, le coût de gestion du stock est minimum et égal à
Cg * 2x C x p x t x f
56
Application :
Soit une consommation annuelle C = 18000 articles, un coût d’obtention
des commandes f = 240 DH et un taux de possession du stock t = 10%.
2 x 18000 x 240
- La quantité économique : Q* 60 x 1200 articles
0,10
- Le nombre de commande optimal : N*= 18000/1200 = 15 commandes.
-Coût d’obtention des commandes : Ct = 240 x (18000/1200) = 240 x 15 = 3600 DH.
- Coût de possession du stock : Cp = (1200/2) x 60 x 0,1 = 600 x 6 = 3600 DH.
- Coût de gestion du stock : Cg = 3600 + 3600 = 7200 DH.
57
3-4-3 budgétisation des approvisionnements.
Elle s’effectue sous deux formes
-En quantité : Sous cette forme, le budget offre plus d’intérêt pour les services
d’approvisionnement qui devront contrôler son suivi ;
-En valeur : Les quantités sont valorisées par un coût unitaire standard.
Exemple : Méthode comptable. Période constante.
La recherche des éléments s’effectue à l’aide d’un tableau :
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Consom. Stock avec Entrées Stock Date de Date de Quantité
Mois rupture Rectifié Livraison commande
Déc 800
Juillet X
59
Les éléments connus sont les consommations qui sortent tout au long du mois,
les entrées apparaissent en début de période (mois, semaine..), et les stocks
sont exprimés en fin de mois.
Budget des approvisionnements.
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Tableau récapitulatif encaissements -décaissements
LIBELLES 01 02 03 04 05 06 REPORTS
BILAN FIN
DE PERIODE
Encaissements : X1 X2 X3 Y4 Y5 Y6 Yr : libéllé
- provenant du bilan de la période y1
précédente. Y2 Y3
- provenant des opérations de la
période budgétaire
Décaissements : S1 S2 S3 T4 T5 T6 Tr : libéllé
- provenant du bilan de la période T1
précédente. T2 T3
- provenant des opérations de la
période budgétaire
TOTAL DECAISSEMENTS D1 D2 D3 D4 D5 D6
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BUDGET GENERAL DE TRESORERIE
01 02 03 04 05 06
LIBELLES
Encaissements (Ei) E1 E2 E3 E4 E5 E6
Décaissements (Di) D1 D2 D3 D4 D5 D6
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Chapitre 5 : LE CONTRÔLE DES RÉALISATIONS
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Standard normal
Les coûts sont alors déterminés en tenant compte de conditions d'exploitation
normale et de l'évolution économique prévisible mais il y a une très grande part
de subjectivité.
Dans le cas particulier où ces coûts sont calculés dans le cadre d'une gestion
budgétaire, on parle de o coûts budgétés ».
Standard idéal
C'est le coût que l'on supporterait dans les meilleures conditions techniques et
économiques envisageables ; ce qui risque de représenter une référence
impossible à réaliser et d'entraîner le découragement.
NB:
Quelle que soit l'optique choisie, il est nécessaire de redéfinir les standards quand les conditions de
fabrication changent (gammes de fabrication ou normes techniques) ou quand les prix ou les
rémunérations évoluent (matières, énergie, main-d'oeuvre...).
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coûts
b. Les composantes
• Charges variables directes
Cr Ecart/Budget(1)
• Charges fixes directes
• Charges indirectes Ecart/Activité(2)
Quantités
Cp
coûts Ecart/Rendement(3)
Cr
Ecart/Coût
Cp Qp
-
Ecart/ Quantité
Qr
Qp Quantités Fig : Ecart sur charges indirectes
Qr
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2. Détermination des écarts globaux
a. Mode de calcul
Pour chaque élément de coût, on fait le produit d'une quantité par un « prix»
unitaire. Le coût réel s'écrira Pr. Qr ; le coût standard Ps . Qs ; l'écart global Ps
Qs - Pr Qr
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