Méthodologie de Rédaction K. SABRI
Méthodologie de Rédaction K. SABRI
Méthodologie de Rédaction K. SABRI
Pr Karim SABRI.
1
Règles d’or.
Désactiver vos microphones
svp.
Les questions pour la fin ou
par mail.
2
[email protected]
Chaine YouTube :
Pr. Karim SABRI
3
Source principale.
• SABRI. Karim, 2017, Guide
d’accompagnement pour mémoires et TFE
en sciences économiques et de gestion,
Editions Dar Al Qalam, Rabat.
• Ce guide, que nous présentons, est le fruit
d’une collaboration de plusieurs collègues de
HEC–Ulg Ecole de Gestion de l’Université de
Liège en Belgique.
4
Plan.
5
La nature du mémoire « Thèse ».
7
La nature du mémoire « Thèse ».
• À titre informatif, plusieurs règles suggérées
par l’American Psychological Association
(APA), règles utilisées dans plusieurs
disciplines scientifiques notamment en
rédaction de mémoire en sciences
économiques et en gestion, sont reprises dans
ce guide.
• Ces normes APA peuvent aussi être utiles pour
la rédaction d’articles scientifiques.
8
Un mémoire « Thèse ».
• Ce travail universitaire est composé d’un ensemble de
rubriques. Il s’agit :
Des pages de couverture (2 début et fin),
Des pages liminaires (la première page de garde, la page
de titre, remerciements, dédicaces, résumé et abstract,
le sommaire, la liste des tableaux , la liste des figures, …
etc).
Du corps du texte,
Des références bibliographiques,
Ainsi que des pages d’appoint (Annexes, glossaire, index).
Voir partie II (La forme).
9
10
11
Un article scientifique.
• Il est habituel d’affirmer qu’un article doit contenir :
Une introduction qui énonce la problématique, qui
explique en quoi elle est intéressante / novatrice, et
qui annonce le plan de l’article.
Une partie de contexte théorique où vous vous
situez par rapport aux principaux courants d’analyse
concernant la question précise que vous traitez.
Vous résumez ici les derniers avancements des
connaissances dans votre domaine et vous indiquez
sur quels concepts vous vous basez, vous. Et le tout
en quelques paragraphes seulement.
12
Un article scientifique.
La méthodologie : c’est une partie où vous
expliquez quelles sont vos données et
comment vous vous y prenez pour les
recueillir et les analyser.
Les résultats que vous avez obtenus.
La discussion de ces résultats au regard des
concepts mobilisés : finalement, qu’avez-vous
à dire de nouveau sur le phénomène étudié ?
13
LE FOND.
14
Le fond.
• 7. Critères d’évaluation
7.1. Évaluation de la méthode
7.2. Évaluation du contenu
7.3. Évaluation de la forme
• 8. Écueils à éviter
8.1. Un sujet trop ambitieux !
8.2. Planification absente ou déficiente
8.3. Une prose (qualité de l’écrit)
8.4. Des figures dont le sens est obscur
8.5. Une absence d’esprit critique
8.6. Des citations maladroites – voire du plagiat !
8.7. Une recherche documentaire trop pauvre. 21
Le fond.
Plus de détails.
22
2. Quelques éléments d’analyse (méthode du travail)
23
2.1. Problématique et question de recherche
31
3. Démarche de recherche : un processus en 3 phases
39
3.2. Phase de réalisation
Faire l’analyse des données qualitatives : classement et
interprétation des données recueillies par interview ou
questionnaire ouvert, des données tirées de rapports,
synthèse de la documentation consultée.
Répertorier les solutions possibles pour résoudre le
problème : lorsque la recherche consiste à résoudre un
problème précis, une partie du temps consistera à élaborer
divers scénarios et à jauger leur faisabilité, leur intérêt, leurs
inconvénients.
Mettre en place une solution au problème : si le projet vise
à corriger une situation précise, alors une partie du temps
devra être allouée aux activités de mise en place de celle-ci
et il faudra tenir un carnet de bord des étapes suivies.
40
3.2. Phase de réalisation
• Le choix des étapes à réaliser dépend de la nature de la
problématique et de la méthodologie utilisée.
• Certaines de ces différentes étapes peuvent se dérouler
en parallèle les unes aux autres.
• Enfin, il ne faut pas oublier que durant la phase de la
réalisation du travail, le chercheur doit impérativement
commencer à rédiger son rapport, en développant au fur
et à mesure les différentes parties du plan provisoire, en
ajoutant ou retranchant au besoin des sections ou
paragraphes.
• Ce travail de rédaction nécessite beaucoup de temps.
N’attendez pas à la dernière minute pour le commencer !
41
3.3. Phase de finalisation
42
4. Défendre son travail devant un jury.
43
4. Défendre son travail devant un jury.
D- Compléter les références bibliographiques et dresser
la table des matières,
E- Vérifier l’orthographe, la grammaire et la
ponctuation,
F- Vous assurer de la pertinence des annexes et de la
clarté des tableaux et figures contenues dans votre
rapport.
• Conseil : Faites lire votre travail par quelqu’un d’autre.
Cherchez les critiques constructives, les suggestions
faites pour améliorer la qualité de la langue et la
lisibilité du texte.
• Il est toujours préférable de faire cette révision avant de
déposer le rapport final ! 44
4. Défendre son travail devant un jury.
• Enfin, une fois le rapport final déposé, il vous reste
à préparer votre défense (soutenance). Vous devez
la planifier aussi.
• D’abord, dressez un plan de défense, vous disposez
d’environ 20 minutes. Utilisez-les judicieusement.
• En quelques minutes, vous devriez être capable de :
A- Vous présenter et présenter l’intérêt du sujet,
B- Présenter l’entreprise ou le secteur concerné,
C- Préciser le problème étudié,
D-Décrire très brièvement les étapes de réalisation
et la méthodologie ainsi que les résultats obtenus.
45
4. Défendre son TFE devant un jury.
• Les minutes suivantes devraient être consacrées :
Aux faits saillants qui ressortent de votre étude,
Et les conclusions ou recommandations auxquelles
vous arrivez.
Enfin, les dernières minutes vous serviront de zone
tampon au besoin mais peuvent être utilement
employées pour préciser les limites du travail,
Ainsi que les suites ou extensions qu’il pourrait
avoir. (Nouvelles pistes de recherche).
46
4. Défendre son TFE devant un jury.
• Une fois ce plan bien établi, vous devez
sélectionner les transparents à présenter. Ne
surchargez pas les diapositives, ne les multipliez
pas.
• Il ne serait pas réaliste, ni judicieux, d’assener au
jury une trop grosse quantité de diapositives! Un
maximum de 20 diapositives semble réaliste.
• Naturellement, vous ne pourrez pas montrer tous
les tableaux et figures de votre travail alors,
prévoyez d’avoir des diapositives ou des
transparents supplémentaires que vous utiliserez
au besoin, pour répondre aux questions du jury. 47
4. Défendre son TFE devant un jury.
• Votre défense est prête, prenez le temps de
vous exercer et de minuter votre présentation.
• Conseil : Soyez concis ! Mettez l’accent sur les
faits saillants et les conclusions.
• Par vos talents de communicateur, mettez en
valeur l’originalité de votre contribution.
• Pour le reste, les questions du jury vous
donneront l’occasion de présenter les autres
aspects que vous n’avez pas pu aborder au
cours de votre présentation.
48
5 . Conseils pour la réalisation du travail
5.1. Planification
5.2. Sources d’informations
49
5.1. Planification
54
5.2. Sources d’informations
• Il va de soi que l’ampleur des sources
documentaires varie énormément d’une
entreprise à l’autre.
• Toutefois, les chercheurs devraient consulter au
moins les sources documentaires suivantes,
lorsqu’elles existent :
1. Rapport annuel (les 5 dernières années, si
accessibles),
2. Site Web de l’entreprise,
3. Recherche dans les journaux locaux et
régionaux (revue de presse de l’entreprise). 55
5.2. Sources d’informations
• Enfin, il ne faut pas négliger les informations qu’on
peut recueillir par une interview avec le (s)
fondateur (s) et avec le (s) dirigeant (s) actuel (s).
• Pour tirer le maximum de ces sources directes, il
est utile de se prémunir d’un questionnaire pour
être certain de ne pas oublier des choses
importantes.
• Par contre, il est souvent préférable d’opter pour
une entrevue semi-dirigée, c’est-à-dire qui utilise
des questions ouvertes et laisse une marge de
manœuvre à l’interlocuteur pour raconter les
choses. 56
6 . Structure des mémoires (50 Pages)
57
Configuration souhaitée
Partie I : Revue de littérature ( A préciser)
Chapitre
Section
Paragraphe
1.1
1.2
1.3
1.4
71
7.2. Évaluation du contenu
• Le second aspect sur lequel votre travail sera
jugé, c’est sur le contenu du rapport écrit.
• Faites l’exercice d’apprécier vous-même votre
travail avant de le déposer, en répondant aux
questions suivantes :
72
73
74
7.3. Évaluation de la forme
• Il ne faut jamais oublier que la forme doit mettre en
valeur le fond.
• Une pensée bien articulée donnera normalement lieu
à un rapport bien structuré.
• Les critères de forme sont importants en ce qu’ils
attestent de votre professionnalisme, de votre souci
de la qualité et de votre respect du lecteur à qui est
destiné le travail.
• Ne négliger pas son impact sur l’impression première
que le lecteur en gardera.
• Demandez-vous si votre travail satisfait à chacun de
ces critères et si tel n’est pas le cas, révisez-le avant de
le remettre à votre conseiller pour évaluation. 75
76
8. Écueils à éviter
• Les sections précédentes ont mis en évidence un
certain nombre de « bonnes pratiques » à adopter
pour réaliser un bon travail.
• Nous avons répertorié ici quelques-uns des écueils les
plus fréquemment rencontrés par les chercheurs. Des
sujets à méditer !
8.1. Un sujet trop ambitieux !
8.2. Planification absente ou déficiente
8.3. Une prose
8.4. Des figures dont le sens est obscur
8.5. Une absence d’esprit critique
8.6. Des citations maladroites – voire du plagiat !
77
8.1. Un sujet trop ambitieux !
78
8.2. Planification absente ou déficiente
79
8.3. Une prose
• Bien que le travail puisse représenter d’abord et
avant tout un exercice pratique, la qualité et le
soin apporté à sa rédaction n’en demeure pas
moins un élément indispensable.
• C’est par le document écrit que votre encadrant
pourra juger de ce que vous avez fait.
• Votre premier souci devrait être d’écrire pour
être lu et compris, l’exercice n’est pas facile mais
il est hautement méritoire !
80
8.4. Des figures dont le sens est obscur
• Pour certains, une figure se définit par une boîte,
souvent carrée, assortie d’une ou plusieurs flèches et
qui est censée illustrer le propos.
• Ou encore, c’est un assemblage de quadrants, dont il
a semblé superflu de préciser les bases de
différenciation.
• Ou bien, une figure c’est un schéma repris d’un
ouvrage ou copié des supports de cours dont le
conseiller doit nécessairement savoir la source et
donc qu’il est inutile de référencer !
• Quelques règles à suivre pour les figures et tableaux :
81
8.4. Des figures dont le sens est obscur
1. Toujours préciser la source (Auteur, année : page),
2. Toujours indiquer le nom des axes (ils constituent la
base de différenciation),
3. Ne jamais mettre une figure ou un tableau sans y
faire appel dans le texte,
4. Toujours donner au lecteur les clés de lecture du
tableau.
83
8.6. Des citations maladroites – voire du
plagiat !
• Bien que le travail s’appuie sur les connaissances
théoriques du chercheur, il ne doit pas devenir un
ramassis de citations faites à tort et à travers.
• La pertinence des citations participe à la qualité de
leur intégration dans le texte.
• Dans tous les cas, les citations doivent être fidèles au
texte de l’auteur et les références doivent inclure la
page d’où la citation est tirée.
• Conseil : N’oubliez pas que tout plagiat sera
lourdement sanctionné.
84
LA FORME.
85
Introduction
• La forme est l’apparence du travail et de son support.
• Codifiée, réglementée, le délivrable peut être en
relation directe avec le fond et mérite une attention
toute particulière.
• Ce travail universitaire est composé d’un ensemble
de rubriques. Il s’agit « dans l’ordre » :
Des pages de couverture,
Des pages liminaires,
Du corps du texte,
Des références bibliographiques
Ainsi que des pages d’appoint.
86
Les pages de couverture
• Il y’en a deux : une au début de l’ouvrage et
l’autre, à la fin.
• Ces pages de couverture servent à la protection
du document.
• La page couverture placée au début d’un travail
de fin d’étude est une réplique de la page titre,
alors que la page de couverture placée à la fin
de l’ouvrage demeure sans écriture.
• Ces deux pages de couverture sont idéalement
rigides, parfois plastifiées, et blanches, et le
texte est noir.
87
Les pages liminaires
• Elles sont situées au début du travail, à l’exception de la
seconde page de garde qui se place à la fin du document.
• Elles doivent être présentées dans l’ordre suivant :
La première page de garde,
La page de titre, (suivie d’une page des remerciements et
une page des dédicaces au cas où)
Résumé et Abstract
La table des matières synthétisée (sommaire),
La liste des tableaux (si le travail comporte plus de deux
tableaux)
Et la liste des figures (idem),
Puis la seconde page de garde qui se place à la suite des
pages d’appoint à la fin du travail.
88
Les pages liminaires
• Voici la présentation succincte de ce en quoi
consistent ces pages liminaires.
• Les pages de garde sont deux feuilles blanches
ayant pour objet de séparer l’ouvrage des
pages de couverture.
• Ainsi, la première page de garde est placée au
début de l’ouvrage et l’autre, à la fin.
• Les pages de garde ne sont ni numérotées ni
comptées dans la pagination du document.
89
Les pages liminaires
• La page titre vise à identifier l'ouvrage et son
destinataire.
• On y retrouve les éléments suivants :
• Le nom et le sigle de l'université, le type de
travail, le nom du professeur à qui le travail est
destiné, le nom de l'étudiant, le titre du travail
et la date de la remise du travail.
• La page de titre est non numérotée, mais
comptée dans la pagination de l’ouvrage.
90
Les pages liminaires
• Le sommaire a pour objet de donner une vue
d’ensemble de la structure du travail
universitaire et se place à la suite de la
première page de garde.
• Le sommaire se place après les remerciements
et les dédicaces.
• Dans un sommaire on trouve uniquement les
parties, les chapitres et les sections.
• La tables des matières vient à la fin du travail.
• Elle est beaucoup plus détaillée que le
sommaire.
91
Les pages liminaires
• La liste des tableaux a pour objet de permettre
au lecteur de retracer facilement un tableau
dans l’ouvrage.
• Tous les tableaux présentés dans un travail ainsi
que dans les annexes doivent figurer dans la
liste des tableaux.
• Toutefois, si l’ouvrage ne contient qu’un ou deux
tableaux, une telle liste ne sera pas nécessaire.
• La liste des tableaux suit le sommaire et elle est
présentée sur une page séparée.
92
Les pages liminaires
• Le titre LA LISTE DES TABLEAUX est placé dans le haut
de la page, centré, en lettres majuscules et en
caractère gras.
• Les tableaux sont numérotés et présentés dans la liste
des tableaux suivant l’ordre de leur annonce dans le
texte (c’est-à-dire, dès qu’un tableau est annoncé
dans le texte, peu importe qu’il soit placé dans le
texte ou en annexe).
• Pour chaque tableau listé sont présentées les données
suivantes : le numéro du tableau, deux espaces, le
titre du tableau, les points de suspension et le
numéro de la page où paraît le tableau dans le texte.
93
Les pages liminaires
• La liste des figures a pour objet de permettre au
lecteur de retracer facilement une figure dans
l’ouvrage.
• Toutes les figures présentées dans l’ouvrage ainsi
que dans les annexes doivent paraître dans cette
liste.
• Toutefois, si l’ouvrage ne contient qu’une ou deux
figures, une liste des figures ne sera pas nécessaire.
• La liste des figures suit la liste des tableaux, le cas
échéant, et est présentée sur une feuille séparée.
Les normes de présentation de la liste de figures
sont les mêmes que celles relatives à la liste des
tableaux. 94
La forme.
Normes bibliographiques.
• La bibliographie a plusieurs objectifs : (Cité d’après, mon amie
et ex collègue, B. Maréchal, 2009)
Elle permet d'identifier et de localiser, sans ambiguïté, les
documents cités dans le texte,
Elle permet au lecteur d'approfondir le sujet en consultant à
son tour les sources indiquées,
La qualité et le nombre de documents cités contribuent à la
crédibilité scientifique du travail,
Elle est une marque d'honnêteté intellectuelle,
Elle témoigne de l'effort d'investigation mis en œuvre,
Elle permet la vérification des sources de l'étude par les
enseignants.
95
La forme.
a. Articles de revue
• NOM, Prénom (date), « titre », nom de la revue,
volume, numéro, pages.
Exemple :
• ERUTKU, Can et VALLÉE, Luc (1996), « Analyse
des perceptions et des préférences des
travailleurs quant à leur manager »,
Management international, vol.1, n°1, pp.23-33.
97
La forme.
c. Ouvrages.
• NOM, Prénom (date), titre, Edition, Editeur,
Lieu édition, Collection.
Exemples :
• DEULCEUX, M. (1996), Les grandes politiques
européennes, Les Publications du CETAI, École
des Hautes Études Commerciales, Montréal.
• GAUTHIER, Gilles et HUPPÉ, François (1991),
Cost-benefit analysis. An extensive bibliography,
Gaëtan Morin Éditeur, Montréal.
99
La forme.
d. Actes de colloques.
• Les citations d’actes de colloques sont traitées
comme les extraits d’ouvrages.
Exemple :
• MALAM ALMA, N. (2001), « Les difficultés de
stabilisation des jeunes diplômés dans les
petites entreprises de high-tech », dans AGRH,
La GRH dans la société de l’information, Actes
du 12e congrès, Liège, septembre, pp.915-932.
100
La forme.
e. Sites Web
• Les références des sites Web visités sont également reprises au
sein de la bibliographie.
• Ces références doivent, au minimum, reprendre la dénomination
du site et son URL ainsi que la date de consultation du site.
• Exemple :
• Agence Wallonne des Télécommunications (AWT) :
http://www.awt.be (consulté le 3 septembre 2003).
• libgen.io
• Scirus (science direct…)
• Espace ENT : éspace numérique du travail
• Cairn.info
• Persee.fr
• Pdfdrive.net
• Scholarvox
• scopus
103
Sources électroniques.
• Scholar.google.fr
• Oaister.worldcat.org
• Academic.research.microsoft.com
• Opendoar.org
• Roar.eprints
• DOAJ et DOAB (revues)
• OKR (banque mondiale)
• Bibeco.ulb.ac.be
• ZOTERO
• Sudoc
• Gallica
104
Sources électroniques.
Thèses en ligne.
• Otrohati
• Rissalaty
• Toubkal
• NDLTD
• Hal
• Tel
• Theses.fr
105
L’exposé !!!!
• Titre clair « théorie + pratique ».
• Ergonomie.
• N° de diapos.
• Texte justifié.
• Illustrations « titre et source ; ex : réalisé par nos
soins ».
• Variété du contenu.
• Style narration, fautes, majuscule …… à éviter.
• Support manuel à éviter.
• Tourner le dos au public à éviter.
• Monotonie dans la voix à éviter.
Charisme et présence.
106
[email protected]
107
Bibliographie.
• Beaud, M. (2006). L’art de la thèse. Comment préparer et
rédiger un mémoire de master, une thèse de doctorat ou
tout autre travail universitaire à l’ère du Net. Paris : La
découverte, Nouvelle édition.
• Fortin, M-F. (2010). Fondements et étapes du processus de
recherche. Méthodes quantitatives et qualitatives. 2è
édition, Québec : Chénélière éducation.
• Nda P (2006).Méthodologie de la recherche : De la
problématique à la discussion des résultats. Editions
Universitaires de Côte d’Ivoire.
• N’da, P. (2015). Méthodologie de la recherche. De la
problématique à la discussion des résultats. Comment
réaliser un mémoire, une thèse d’un bout à l’autre à bout.
Collection Pédagogie, Abidjan : EDUCI.
108
Bibliographie.
• SABRI. Karim, 2017, Guide d’accompagnement
pour mémoires et TFE en sciences économiques
et de gestion, Editions Dar Al Qalam, Rabat.
• Taylor et bogdan (1984).Introduction to Qualitative
Research Methods : the search for Meanings.
• Toh A (2018). Méthodologie de recherche en
sciences sociales, Document de cours, Novembre
2018.
• Yao Y (2006). Méthodologie de la recherche en
sciences sociales, Editions Harmattan.
109
Merci de votre
attention.
110
Approche qualitative détaillée
(Annexe)
111
METHODES QUALITATIVES : APERCU
GENERAL
1. Fondements de la recherche qualitative
2. Buts et Finalités
3. Recherche qualitative VS Recherche
quantitative
4. Outils et techniques de recherche qualitative
5. Optimisation méthodes et selection des cas
à étudier
6. Traitement et analyse des données
112
1. FONDEMENTS DE LA
RECHERCHE QUALITATIVE
113
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE
QUALITATIVE
Définitions: Approche théorique
Selon Taylor et Bogdan (1984), la recherche
qualitative est « la recherche qui produit et
analyse des données descriptives, telles que les
paroles écrites ou dites et le comportement
observatoire des personnes »
Pour KAKAI (2008) « Elle renvoie à une méthode
de recherche intéressée par le sens et
l’observation d’un phénomène social en milieu
naturel »
114
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE
QUALITATIVE
Essayer de définir le concept de recherche
qualitative revient à se demander :
Si cela correspond à faire de la recherche
sans traiter des chiffres,
Quel est l’objectif scientifique de ce type de
recherche ?
Quelles sont les caractéristiques propres de
la recherche qualitative ?
115
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE
QUALITATIVE
La recherche qualitative est essentiellement de
caractère subjective.
Elle cherche à comprendre le comportement
humain et les raisons qui régissent ce type de
comportement.
La recherche qualitative met l'accent sur la
collecte d’informations principalement verbales,
donc des données non mesurables.
Les informations recueillies sont ensuite
analysées de manière interprétative, subjective
ou même sous forme d’un diagnostic.
116
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE
QUALITATIVE
Qu’est-ce qu’un travail de recherche
qualitative ?
• On peut définir un travail de recherche
comme:
Un effort analytique, rigoureux , progressif et
systématique d’éclaircissement d’une
situation, d’un fait ou d’un ensemble de faits
à l’aide d’outils et de techniques spécifiques.
117
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE
QUALITATIVE
Qu’est-ce qu’un travail de recherche
qualitative ?
Cet effort va de l’identification du sujet de
recherche et de la définition du problème jusqu’à
l’aboutissement à une ou plusieurs solutions ou
possibilités de dépassement de la situation initiale.
C’est donc un travail qui peut prendre de quelques
heures à plusieurs mois ou années, voire plusieurs
décennies préalables et des exigences héritées des
sciences de la nature.
118
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE QUALITATIVE
121
Esquisse de plan du travail de recherche
122
FONDEMENTS DE LA RECHERCHE
QUALITATIVE
QU’EST-CE QUE FAIRE DE LA RECHERCHE ?
• Faire de la recherché exige la mobilisation
d’ensemble de moyens financiers, humains,
intellectuels, materiels et institutionnels en vue de
résoudre un problème donné à travers la rédaction :
D’un Mémoire;
D’une Thèse ;
D’un Article ;
D’un Working paper.
Une dissertation scientifique
123
2. BUTS ET FINALITES DE LA
RECHERCHE QUALITATIVE
124
BUTS ET FINALITES DE LA RECHERCHE QUALITATIVE
125
BUTS ET FINALITES DE LA RECHERCHE QUALITATIVE
126
3. RECHERCHE QUALITATIVE
VS
RECHERCHE QUANTITATIVE
127
RECHERCHE QUALITATIVE VS RECHERCHE
QUANTITATIVE
La principale différence entre ces deux
approches est qu’une étude qualitative
donne des résultats à caractère subjectif et
qui ne sont pas quantifiables.
A l’inverse, dans une étude quantitative, il
s’agira de rechercher l’interprétation dans la
littérature, la théorie et le contexte de la
zone d’étude etc.
128
RECHERCHE QUALITATIVE VS RECHERCHE
QUANTITATIVE
Ces deux approches posent des questions très
différentes :
131
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES DONNEES
QUALITATIVES
132
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
OUTILS
Grille d’observation:
La grille d’approche dans laquelle on se limite à
définir que les grands cadres d’analyse qui
découlent de l’objet de la recherche. Avec cette
grille, on cherche à inventorier les phénomènes
observés : personnes, objets, actions et interaction;
La grille systématique qui donne un plan
d’observation plus détaillé, avec pour objectif
l’identification des éléments les plus significatifs à
observer.
133
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE COLLECTE DES DONNEES
Documentation ( données d’archive);
Observation ( passive ou active );
Entretiens ( individuels, Collectifs,
institutionnel , focus groups etc );
Analyse biographique;
Cartographie sociale;
Etc .
134
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
La documentation
• La recherche documentaire constitue la
première étape de collecte des données.
• Elle vise, entre autre, à faire l’état de lieux des
travaux (documents ou archives scientifiques,
administratifs, de presse, etc.).
• Tout ceci, soumis à une critique rigoureuse (en
rapport avec les objectifs de l’étude) en vue de
leur utilisation (N’da, 2006). 135
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
La documentation
La documentation permet en somme de disposer
des informations préliminaires en vue d’aborder
l’étude ou la recherche avec plus de lisibilité, de
finaliser les outils et méthodes de collecte de
données.
139
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
L’entretien ou l’entrevue
• On distingue trois principaux types d’entretien les plus
utilisés :
L’entretien dirigé
L’entretien semi-dirigé
140
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
L’entretien ou l’entrevue
• L’entretien dirigé :
L’enquêteur exerce un contrôle sur le contenu, le déroulement
des échanges ainsi que sur l’analyse et l’interprétation des
données (Waltz, Strickland et Lenz, 2005).
La nature des questions à poser, leur formulation et leur ordre
de présentation sont déterminés d’avance. Comme les
questions à poser sont fermées, l’enquêteur est astreint à
suivre un cadre défini (recherche quantitative).
L’entretien se déroule de façon identique pour tous les
enquêtés.
141
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
L’entretien ou l’entrevue
• L’entretien non dirigé :
Il peut prendre la forme d’entrevue en profondeur,
d’histoires et de récits de vie;
L’entretien non dirigé a pour but de sonder les
enquêtés sur leur compréhension ou leurs
expériences vécues d’un évènement ou d’un
phénomène;
L’entretien est totalement ouvert.
142
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
L’entretien ou l’entrevue
• L’entretien semi-dirigé :
Une catégorie intermédiaire entre l’entretien dirigé et
l’entretien non dirigé, il combine certains aspects de ces
dernières.
Dans l’entretien semi-dirigé ou semi directif, l’enquêteur
arrête une liste de sujets à aborder, formule des questions s’y
rapportant et les pose à l’enquêté, dans l’ordre qu’il juge à
propos en vue d’atteindre le but fixé,
Soit d’en arriver à la compréhension d’un phénomène, si
celui-ci a donné son autorisation. 143
OUTILS ET TECHNIQUES DE COLLECTE DES
DONNEES QUALITATIVES
TECHNIQUES DE RECHERCHE
L’entretien ou l’entrevue
• L’entretien semi-dirigé :
• Dans ce type d’entretien, l’enquêteur et l’enquêté sont
laissés à leur aise :
Pour l’un dans le choix des questions pour avoir une
compréhension riche du phénomène,
Et pour l’autre dans un mode de conversation approfondie
semi-ouvert (ni totalement fermé ni totalement ouvert)
qui aborde les questions dans leur profondeur.
144
5. OPTIMISATION DES
METHODES ET SELECTION
145
OPTIMISATION DES METHODES ET SELECTION
146
6. TRAITEMENT ET ANALYSE
DES DONNEES
147
TRAITEMENT ET ANALYSE DES DONNEES
TRAITEMENT ET ANALYSE
148
149
Bibliographie.
• Beaud, M. (2006). L’art de la thèse. Comment préparer et rédiger un mémoire de
master, une thèse de doctorat ou tout autre travail universitaire à l’ère du Net.
Paris : La découverte, Nouvelle édition.
• Fortin, M-F. (2010). Fondements et étapes du processus de recherche. Méthodes
quantitatives et qualitatives. 2è édition, Québec : Chénélière éducation.
• Nda P (2006).Méthodologie de la recherche : De la problématique à la discussion
des résultats. Editions Universitaires de Côte d’Ivoire.
• N’da, P. (2015). Méthodologie de la recherche. De la problématique à la
discussion des résultats. Comment réaliser un mémoire, une thèse d’un bout à
l’autre à bout. Collection Pédagogie, Abidjan : EDUCI.
• SABRI. Karim, 2017, Guide d’accompagnement pour mémoires et TFE en
sciences économiques et de gestion, Editions Dar Al Qalam, Rabat.
• Taylor et bogdan (1984).Introduction to Qualitative Research Methods : the
search for Meanings.
• Toh A (2018). Méthodologie de recherche en sciences sociales, Document de
cours, Novembre 2018.
• Yao Y (2006). Méthodologie de la recherche en sciences sociales, Editions
Harmattan. 150
Merci de votre
attention.
151