Exposé de Nutrition

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EXPOSE DE NUTRITION

Thème: Quels sont les conseils nutritionnels


pour les patients traités par Chimiothérapie ?
Sous la direction du :
Dr Franck GARANET
MEMBRES DU GROUPE 1
ABASSI Moufidatou
ABDOURAMANE Bagna Rabi
ABGA Sibidi Elfried
ABLO Alix Fazzia
BADABA Toi Jules
BAKI Marcelin
BAKOUAN Landry Joel
BALIMA Odavia Eldine
BAMBARA Stéphanie
BANCE Flora Bénédicte
BARRY Rachidatou
BAZAN Doria Kenneth
MEMBRES DU GROUPE 1
BAZIE Olivia Marie-Claire
BELEM Jessica
BESSAN Erwin
BESSIN Dominicia Iken
BRAVOURE Mascarille
COMBELEM Priscy
COMPAORE Alice
COMPAORE Angèle
COULIBALY Reine
COULIDIATI Eléonore
D’ALMEIDA Angelo
DABO Oumaima
MEMBRES DU GROUPE 1
DABO Roukiéta
DAH Philippe
DALA Lawdoun
DAMBINGA Tertus
DAMIBA Jeannine
DARI Mora Albéric
DAYAMBA Ange
DEBOKILA Symphonie
DIALLO Farida Coumbo
DIALLO Ina
DIANDA Yann
MEMBRES DU GROUPE 1
DIARRA Steeve
DIASSO José
DINGA Nassika
DJIGUEMDE Valentine
DJOUGUELA Patricia
DOAMBA Aicha
EDAH Clémence
FAWAZAT Abéni
PLAN
Introduction
I-Problématiques
1-Troubles en rapport avec la chimiothérapie
2- Connaissance des aliments
3- Disponibilité des aliments
II-Solutions aux problèmes
Conclusion
Références
INTRODUCTION
Le cancer est une prolifération rapide de cellules anormales dont la
croissance s’étend au-delà de leurs limites habituelles. On estime
présentement que l’alimentation est incriminée dans plus du tiers des
cancers, démontrant l’importance d’une alimentation saine pour réduire
l’incidence de même que la progression du cancer. En plus du traitement
classique (chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie), l’alimentation
durant le traitement anticancéreux a un impact certain sur le patient et
l’évolution de sa maladie.
INTRODUCTION
Les molécules actives présentent dans certains aliments augmentent
l’effet du traitement anticancéreux sur les cellules tumorales. La
consommation des molécules actives présentes dans notre alimentation
quotidienne est importante, car elles jouent un rôle capital dans la
prévention de certains types de cancer .
I-Problématique
Le cancer et les traitements antinéoplasiques peuvent affecter
grandement les fonctions biologiques, y compris l’état nutritionnel. La
nutrition joue un rôle important quant au développement de la maladie,
les symptômes, la réponse et le rétablissement liés aux traitement. De
plus, elle influence la qualité de vie et probablement le pronostic. (de
Carvalho G, 2011).
L'éducation nutritionnelle est cruciale pour les patients en chimiothérapie,
car une alimentation appropriée peut atténuer les effets secondaires,
soutenir le système immunitaire et améliorer la qualité de vie.
Cependant, plusieurs obstacles freinent l'amélioration de l'éducation
nutritionnelle dans le contexte africain, notamment au Burkina Faso. Ces
obstacles sont relatifs au manque de connaissances sur la nutrition
adaptée à la chimiothérapie, à l’accès limité à des ressources éducatives
de qualité, au manque de personnel qualifié en nutrition ainsi qu’aux
croyances et pratiques culturelles.
La disponibilité des aliments ainsi que l’harmonisation ou adaptation des
conseils nutritionnelles aux ressources locales constituent aujourd’hui
une anicroche majeure, dans la conduite nutritionnelle pour les patients
en chimiothérapie.
1-Troubles en rapport avec la chimiothérapie
A-Dénutrition
Pour certains types de cancers, la dénutrition est présente au diagnostic
chez près de 50%.La dénutrition influence la morbidité associée au
traitement ainsi que la mortalité liée au cancer. La dénutrition sévère est
associée à un risque d’effets secondaires de grade 3 et 4, ce qui peut
occasionner une interruption de traitements. (ESPEN 2010)
Il est important d’initier rapidement une intervention nutritionnelle pour
aider à prévenir ou rétablir la dénutrition ainsi qu’à améliorer le pronostic.
1-Troubles en rapport avec la chimiothérapie
B- Effets secondaires des traitements et alimentation
-Nausée/Vomissement
-Diarrhée
-Constipation
-Dysgueusie
-Odynophagie
-Dysphagie haute
-Dysphagie basse
2- Connaissance des aliments
La connaissance insuffisante des aliments et de leurs bienfaits
nutritionnels constitue un obstacle majeur pour les patients en
chimiothérapie. Les effets secondaires courants comme la nausée,
l’anorexie et les troubles digestifs rendent nécessaire une alimentation
adaptée. Cependant, de nombreux patients et leurs familles ne disposent
pas des formations suffisantes sur les types d’aliment bénéfiques pendant
la chimiothérapie, ce qui complique la planification des repos équilibrés et
nutritifs.
3-Disponibilité des aliments
La disponibilité des aliments est un autre défi crucial. Dans de
nombreuses régions du Burkina Faso et d’Afrique, l’accès à une variété
d’aliments nutritifs est limité. Les fruits et légumes frais, les protéines
maigres et les aliments riches en fibre peuvent ne pas être disponibles en
quantité suffisante ou peuvent être trop couteux pour la population
générale.
3-Disponibilité des aliments
Aussi, l’accessibilité aux denrées essentielles au maintien de la santé est
compromise dans notre contexte par les fluctuations saisonnières rendant
difficile l’accès à ces derniers. Cela complique encore la tâche des
patients et de leurs familles pour maintenir une alimentation adéquate
pendant le traitement.
II-Solutions aux problèmes
Pour résoudre les défis nutritionnels des patients sous chimiothérapie
au Burkina Faso et en Afrique, des solutions concrètes basées sur
l'amélioration de l'éducation nutritionnelle, l'augmentation de la
disponibilité des aliments et l'adaptation des conseils nutritionnels aux
ressources locales s’avèrent nécessaires.
Amélioration de l'éducation
nutritionnelle
Objectif
Informer les patients et leurs familles sur les aliments bénéfiques
pendant la chimiothérapie, comment organiser efficacement leur
alimentation ,et les meilleures pratiques pour une alimentation
équilibrée.
• Développement et diffusion de ressources éducatives
adaptées :
- Créer des brochures et des affiches en langues locales, avec des
illustrations simples pour faciliter la compréhension.
- Utiliser les radios communautaires et les sessions de sensibilisation
dans les villages pour diffuser des informations nutritionnelles
pertinentes.
• Formation du personnel de santé :
- Organiser des formations continues pour les professionnels de santé
sur la nutrition pour les patients en chimiothérapie.
- Augmenter le nombre de diététiciens et nutritionnistes formés
spécifiquement en oncologie nutritionnelle.
• Création de programmes de soutien et de consultation
nutritionnelle :
- Mettre en place des consultations individuelles avec des diététiciens
dans les hôpitaux et les centres de santé.
- Établir des groupes de soutien pour les patients et leurs familles, où ils
peuvent partager des conseils et des expériences sur l'alimentation
pendant la chimiothérapie.
• Collaboration avec les leaders communautaires et les
organisations locales :
- Travailler avec les leaders communautaires pour intégrer les conseils
nutritionnels dans les pratiques culturelles et les croyances locales.
- Collaborer avec les ONG et les organisations locales pour financer et
distribuer des ressources éducatives et des compléments alimentaires.
Une meilleure connaissance des aliments permet aux
patients de faire des choix alimentaires éclairés,
favorisant ainsi leur bien-être général pendant le
traitement.
Augmenter la disponibilité des
aliments
• Initiatives locales et communautaires :
o Jardins communautaires : Encourager la création de jardins
communautaires où les patients et leurs familles peuvent cultiver des
légumes frais et des fruits.
o Programmes de soutien agricole : Fournir des semences, des
outils et une formation agricole pour améliorer la production locale
de nourriture nutritive.

 Les jardins communautaires peuvent améliorer l'accès à des


aliments frais et réduire les coûts alimentaires pour les familles.
 Le soutien agricole renforce la sécurité alimentaire locale et
encourage une alimentation plus variée et équilibrée.
Adaptation des conseils nutritionnels
aux ressources locales
 Les aliments locaux sont plus accessibles et souvent plus abordables
que les aliments importés, ce qui permet une meilleure adoption des
recommandations nutritionnelles.

 Adapter les conseils alimentaires aux aliments disponibles localement


favorise une alimentation durable et culturellement acceptable.
Catégorie Aliments recommandés Bienfaits

Riches en vitamines, minéraux,


Protéines végétales Haricots, pois, lentilles, noix, graines
et fibres

Protéines animales Poulet, Poisson,Oeufs Sources de protéines maigres

Mangues,
Riches en vitamines,
Fruits et légumes Papayes,Bananes,Légumes à
antioxydants et fibres
feuilles vertes, Carottes

Sorgho, Mil, Maïs, Riz complet, Fournissent de l’énergie durable


Glucides sains
Patates Douces et des fibres

Avocats, Huiles d’Olive, Huile de Contiennent des acides gras


Matières grasses saines
sésame Oméga-3 et Oméga-6

Multivitamines, Suppléments de Comble les carences


Suppléments
vitamine D , Suppléments de fer nutritionnelles fréquentes
Aliments recommandés Bienfaits nutritionnels Valeurs nutritionnelles pour 100g

Protéines : 8g Fer : 2mg


Haricots Riches en protéines, fibres et vitamines Vitamine B6 : 0 ;3mg
Fibres : 6g
Protéines : 5g Fibres : 5g
Pois Riches en protéines et fibres
Vitamine : 40mg Fer : 1,5mg
Protéines : 9g Fibres : 8g
Lentilles Riches en protéines, fibres et fer
Fer : 3mg Folate : 181 mcg
Protéines : 9g Acides gras : 65g
Noix Riches en acide gras sains et protéines Fibres : 7g Magnésium : 292 mg

Protéines : 17g Fibres : 34 g


Graines Riches en Oméga-3, fibres et protéines
Calcium : 631mg Oméga-3 : 18g
Protéines : 20g Acides gras : 12g
Poisson Source de protéines et Oméga-3
Oméga-3 : 1g Vitamine D :16 UI
Protéines : 27g Acide gras : 3,6g
Poulet Source de protéines maigres
Vitamine B6 : 0,5mg Phosphore : 200mg
Protéines : 13g Acides gras : 11g
Œufs Sources de protéines complètes
Vitamine A : 520 UI Folates : 47 mcg
Vitamine A : 54 mcg Vitamine C : 36 mg
Mangues Riches en vitamines A et C
Fibres : 1,6g Caroténoïdes : 640 mcg
Vitamine C : 60 mg Vitamine A : 47 mcg
Papayes Riches en vitamines C et A
Fibres : 1 ;8g Folates : 37 mcg
Potassium : 358 mg Vitamine C : 8,7mg
Bananes Riches en potassium
Fibres : 2,6g Vitamine B6 : 0,4mg
Légumes à feuilles Fer : 2,7mg Calcium : 99mg
Riches en fer, calcium , vitamine A et C
vertes(épinards) Vitamine A : 469mcg
Vitamine A : 835 mcg Fibres : 2,8g
Carottes Riches en vitamine A et fibres Vitamine K : 13 mcg Potassium :
320mg
Protéines : 11g Fibres : 6,7 g
Sorgho Source d’énergie durable et fibres
Fer : 4,4mg Phosphore : 287mg

Protéines : 11g Fibres : 8,5g


Mil Source de glucides complexes et fibres
Fer : 3mg Magnésium : 119mg

Protéines : 3,3g Fibres : 2,7g


Maïs Source d’énergie et fibres
Vitamine C : 6,8mg

Vitamine A : 709 mcg Fibres : 3g


Patates douces Riches en vitamine A et fibres
Vitamine C : 2,4mg Potassium : 337 mg

Acides gras : 15g Fibres : 7g


Avocats Riches en acide gras monoinsaturés
Vitamine K : 21mcg Folates : 81mcg

Acides gras : 100g Vitamine E : 14,4mg


Huile d’olive Source d’Oméga-3 et antioxydants
Vitamine K : 60,2mcg
Protéines: 2,7g Fibres: 1,8g
Riz/Pain complet Source de Glucides complexes et fibres
Magnésium: 43mg Phosphore: 43mg
Comble les carences nutritionnelles
Multivitamines Fonction des produits
fréquentes

Suppléments de Renforce le système immunitaire et la


Dose recommandée : 600-800 UI/Jr
Vitamine D santé osseuse

Suppléments de fer Prévention de l’anémie Dose recommandée : 18 mg/Jr


Exemples de repas équilibrés
• Petit-déjeuner :
- Bouillie de mil enrichie de lait en poudre et de fruits frais comme la
banane ou la papaye.
- Pain complet avec une tartinade de haricots (ou une purée de pois).
• Déjeuner :
- Riz complet avec une portion de poulet grillé et une salade de
légumes (tomates, concombres, carottes).
- Sorgho cuit avec des légumes sautés et des haricots rouges.
• Dîner :
- Patates douces rôties accompagnées de poisson grillé et d'un mélange
de légumes à feuilles vertes.
- Soupe de lentilles avec des morceaux de carottes, épinards et une
tranche de pain complet.
Dénutrition
• Instaurer un soutien nutritionnel(critères)
- Dysphagie aux solides + liquides ou 2 des 3 critères suivants
- Albumine ↓, Préalbumine↓
- Apports alimentaires qui couvrent moins que 60% des besoins ou plus
petits que 20 kcal par kg de poids (ajusté si IMC ↑).
- Perte de poids sévère
o Plus grande que 2% en 1 semaine.
o Plus grande que 5% en 1 mois.
o Plus grande que 10% en 6 mois
• Option privilégiée
-Tube nasogastrique installé au moment opportun.
-Occasionnellement, si dysphagie haute présente avant les traitements
et durée envisagée ›3 mois : gastrostomie d’alimentation.
- Alimentation parentérale si tube digestif non fonctionnel (nécessite
hospitalisation)
• ATTENTION au syndrome de réalimentation
- Phosphore ↓,magnésium ↓, potassium ↓
- Fréquent en oncologie étant donné les apports alimentaires
insuffisants sur de longues périodes.
- NOUVEAU: Ordonnance collective pour poids/labos
• Options d’administration
- Pompe (continu, nuit, etc.)
- Bolus
- Seringue
• Seringue Néo ORL: Viser retrait tube nasogastrique dans les 4 à 6
semaines post traitement.
L’utilisation de suppléments enrichis avant la chirurgie réduit
significativement les infections postopératoires et la durée de séjour en
milieu hospitalier pour les patients qui ont des chirurgies pour le cancer.
(Zhang Y, 2012)
Effets secondaires des traitements et
alimentation
-Nausées/Vomissements
• Viser la réhydratation en premier lieu
• En l’absence de vomissement, privilégier :
-Alimentation légère et progressive
-Produits céréaliers
-Fruits et légumes pelés et cuits
-Viandes maigres
-Produits laitiers
• Aliments froids pour diminuer les odeurs
• Collations fréquentes pour maintenir nourriture dans l’estomac
• Aliments salés et vinaigrés
• Attention aux suppléments nutritionnels
-Diarrhée
• Hydratation à optimiser
• Modifier l’alimentation:
-Diminuer fibres insolubles (blé, pelure de fruits, graines et membranes).
-Éviter aliments irritants (épices, alcool, caféine).
-Éviter les aliments très sucrés ou très gras.
-Éviter les aliments très chauds.
-Retirer lactose si diarrhées sont accentuées par produits laitiers.
-Éviter les bonbons et les gommes sans sucre qui contiennent du
sorbitol.
• Introduction de fibres solubles:
-Les fibres solubles forment un gel lorsque mélangées à l’eau „
-Si néoplasie rectale, introduire les fibres solubles à partir de la moitié
des traitement de radiothérapie.
- Viser 12 g par jour
-Constipation
• Si néoplasie obstructive du système digestif:
-Introduire alimentation restreinte en fibres et résidus.
• En l’absence de néoplasie obstructive:
-Augmenter les fibres alimentaires de manière progressive pour éviter
symptômes digestifs.
-Assurer une bonne hydratation.
-Tenter les laxatifs naturels: pruneaux, raisin
-Dysgueusie
• Effet secondaire rapporté par environ 70% des patients en
chimiothérapie. La majorité des gens rapportent que l’effet s’estompe
dans les trois mois suivant la chimiothérapie.
• Les gens plus âgés ressentent plus cet effet.
• L’intervention nutritionnelle permet d’aider le patient à mieux
déterminer les aliments qui ont gardé leur goût et d’ajuster leur menu
en fonction des saveurs tolérées.
• Sulfate de zinc: utilisé dans certains centres si dysgueusie persiste
plus de 3 mois (50 mg x 2/Jr ). Toutefois, cela s’avère peu efficace et
dose recommandée dépasse l’AMT (40 mg x 2/Jr).
-Odynophagie
• Modifier la texture des aliments:
Normale – tendre – molle – hachée – purée liquide
• Éviter les aliments chauds.
• Éviter les aliments très froids si cela exacerbe les symptômes.
• Ajouter de la sauce.
• Favoriser les cuissons lentes.
• Éviter les aliments épicés et acides
-Dysphagie haute
• Peut être liée à la nature du néo (ORL/cérébral) ou au traitement (RT).
• Liée à risque ↑ de pneumonie d’aspiration.
-Risque ↑ si système immunitaire faible
• Interventions (avec l’orthophoniste)
-Observation clinique de repas
-Gorgée barytée modifiée
• Adaptation de l’alimentation
-Texture : Normale - tendre - molle - hachée - purée - liquide
- Consistance : claire – nectar – miel - pouding
• Manœuvres compensatoires par orthophoniste
Importance des exercices +++
-Dysphagie basse
• Peut être liée à néoplasie obstructive du système digestif haut.
• Adapter la texture des aliments.
• Éviter de boire des liquides aux repas.
• S’améliore souvent avec les traitements
• Endoprothèse œsophagienne
- Diète progressive:
o Liquide: 24 heures
o Purée : 2 à 3 jours
o Hachée ou molle selon tolérance : à long terme
-Favoriser petits repas fréquents.
-Manger lentement.
-Bien mastiquer.
-Manger en position assise.
-Éviter de se pencher ou de se coucher après les repas
-Ingérer de bonnes quantités de liquides pendant et après le repas.
-Boire de petites quantités de boissons gazéifiées après les repas.
-Éviter les repas tardifs.
-Introduire une médication anti-reflux et poïétique
-Hydratation
• À moins de contrainte médicale, viser environ 2 à 3 litres de liquides
par jour
- OUI: eau - jus - lait - soupe
-NON: alcool - thé – café - boissons gazeuses foncées
• Boissons pour sportifs
-Peuvent aider à la réhydratation et au maintien de la glycémie et des
électrolytes pour les nausées et diarrhées légères à modérées.
- Sont généralement plus appréciées et plus accessibles que les
solutions de réhydratation maison.
CONCLUSION
Assurer une alimentation adéquate pour les patients sous
chimiothérapie est un défi multidimensionnel qui nécessite des
efforts concernés pour améliorer la connaissance des aliments et
leur disponibilité. En fournissant des ressources et en mettant en
place des initiatives pour accroître l’accès aux aliments nutritif,
nous pouvons améliorer la qualité de vie des patients atteints du
cancer dans le contexte du Burkina Faso et de l’Afrique.
REFERENCES
-https://institut-curie.org/sites/default/files/medias
/documents/2019-03/Chimiothérapieconseils20nutritionnels.pdf
-https://
www.ligue-cancer.net/sites/default/files/brochures/alimentation-cancer_
2017-11-
.pdf
-https://www.hopkinsmedicine.org/health/wellness-and-prevention/
cancer-diet-foods-to-add-and-avoid-during-cancer-treatment
-https://www.nutritionnews.abbott
REFERENCES
-La nutrition en oncologie par Émilie Thériault

-Crenn p. Prise en charge nutritionnelle des cancers digestifs au


cours de la chimiothérapie (à visée curative ou palliative). Cancer et
nutrition, La lettre de l’hépato-gastroentérologue.

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