Tronc Commun Ecologie Des Thallophytes Master I
Tronc Commun Ecologie Des Thallophytes Master I
Tronc Commun Ecologie Des Thallophytes Master I
ECOLOGIE DESPLANTES
PLANTES AQUATIQUES
AQUATIQUESET
ETPROBLÈMES
PROBLÈMES
DEPOLLUTION
DE POLLUTIONAFFÉRENTS
AFFÉRENTS
MODULEII::THALLOPHYTES
MODULE THALLOPHYTES
I/ Définition de l’écologie
L’écologie est la science qui étudie les relations des êtres vivants entre eux d’une part, et d’autre
part entre eux et les milieux dans lesquels ils vivent. Les facteurs biotiques lient ces organismes
vivants entre eux, tandis que les facteurs abiotiques sont en rapport avec le milieu
1-Definition
Les Thallophytes regroupent l’ensemble des végétaux dont l’appareil végétatif, peu différencié, est un
thalle ne comportant ni racines, ni tige, ni feuilles, ni vaisseaux conducteurs.
2- Types de Thallophytes
2a- Ils comprennent les Procaryotes sans noyau véritable, constitués par les
Bactéries et les Cyanophycées ou Cyanobactéries, organismes sans véritable
noyau
On distingue :
un domaine pélagique (domaine de pleine eau)
et un domaine benthique.
Chacun de ces deux domaines est subdivisé dans le sens vertical suivant la profondeur en
diverses zones (Fig. 1).
En ce qui concerne le relief du fond des mers, on observe:
a- Plateau continental (0-200 m): Province néritique
b- Talus continental (200-2000 m)
c- Plaine abyssale (2000-6000 m) ou Province océanique
d- Zone hadale (plus de 6000 m)
Figure 1. Les différentes zones des écosystèmes marins
2-1 - Le domaine benthique
- eulittoral ou médiolittoral,
- infra-littoral
- circa-littoral
et est caractérisé par des végétaux benthiques chlorophylliens. Il correspond au plateau
continental.
Le système phytal est :
(i) médio-littoral: zone de balancement des marées. Les organismes sont soumis à des
alternances régulières d'émersion et d'immersion). (eulittoral)
(ii) Limite inférieure= la région suffisamment éclairée pour permettre la vie des Zostéracées et
des algues photophiles. (infralittoral)
(iii) Il s'étend jusqu'à la limite extrême compatible avec la vie des algues les moins exigeantes
vis-à-vis de l'éclairement. (circa-littoral)
Figure 2. Le système phytal
2-1-b- Le système aphytal est constitué par 3 étages :
- L'étage bathyal: occupe le talus continental (200-2000m)
- L'étage abyssal: correspond à la grande plaine abyssale (2000-6000m) avec une
faune assez appauvrie avec disparition totale des espèces eurybathes du plateau
continental.
- L'étage hadal: caractérisé par la pauvreté de sa faune, par quelques groupes
endémiques et par les bactéries barophiles adaptées aux hautes pressions .
BENTHOS :
Il regroupe l’ensemble des organismes associés à des substrats divers (rochers, sédiments,
plantes, ...), colonisant la zone littorale et le sédiment dans la zone profonde. Il est subdivisé en
phytobenthos (végétal) et zoobenthos (animal).
Le phytobenthos peut être classé, sans distinction entre organismes microscopiques et macroscopiques, en
communautés suivant la nature du substrat :
- épipélon : ensemble des organismes associés au sédiment ;
- épilithon : ensemble des organismes associés aux substrats rocheux ;
- épiphyton : ensemble des organismes fixés sur des végétaux, en général des macrophytes ;
- épizoon : ensemble des organismes fixés sur des animaux ;
- métaphyton : ensemble des organismes associés à la végétation littorale, sans y être fixés.
Le terme microphytobenthos désigne la partie végétale (algues principalement) du périphyton.
Étymologiquement, périphyton désignant seulement la microflore benthique est synonyme de
microphytobenthos.
Dans un écosystème, plusieurs catégories d’organismes peuvent exister à la fois à savoir le plancton, le
necton et le benthos (Fig. 4).
1 - 2 - PLANCTON :
Le plancton: C’est l’ensemble des organismes qui sont entraînés par le courant d’eau.
1 - 3 - NECTON :
Ce terme regroupe l’ensemble des organismes nageurs, capables de déplacements actifs dans la colonne
d’eau.
Plancton
Zone pélagique
Necton
Zone benthique
Organismes benthique
2 - PHYTOPLANCTON :
2 - 1 - COMPOSITION :
Figure 5. Classes algales et leurs caractéristiques principales basées sur des aspects morphologiques et
cytologiques (Saez et al. 2008).
2 - 2 - CLASSIFICATION DU PLANCTON SUIVANT LA TAILLE :
On peut notamment citer des indices proposés pour classer les lacs en fonction de leur enrichissement
plus ou moins important en substances nutritives : par exemple le coefficient de NYGAARD (1949)
basé sur la sommation des nombres d’espèces de différents groupes.
Cet indice est le rapport :
Cyanophyceae + Chlorococcales + Diatomophyceae centriques + Euglenophyceae / Desmidiales. Il
est :
< 0,2 : lacs dystrophes ( riches en sels nutritifs surtout organiques et acides )
0,2-1 : lacs oligotrophes ;
1-3 : lacs mésotrophes ;
> 3 : lacs eutrophes
2-3-2- LES FACTEURS CONTROLANT LA COMPOSITION DU PHYTOPLANCTON
La dynamique du phytoplancton est contrôlée par l’équilibre entre un terme de production, P, et des
termes de disparition liés au métabolisme des algues et aux caractéristiques biotiques et abiotiques de
leur environnement.
2 - 4 - 1 - BIOMASSE DU PHYTOPLANCTON
Elle correspond à la quantité de matière vivante. Parmi les différentes méthodes couramment
employées pour son estimation, on peut citer le comptage au microscope qui a l’avantage de chiffrer la
contribution de chaque composant identifié à la biomasse totale, et la concentration en chlorophylle a.
Cette dernière estimation a l’avantage d’être spécifique, les algues étant les seuls composants du
plancton à posséder la chlorophylle a.
2 - 4 - 2 - PHOTOSYNTHÈSE DU PHYTOPLANCTON :
Globalement, la photosynthèse des végétaux chlorophylliens est un processus de transformation de
l’énergie lumineuse en énergie chimique, qui permet la synthèse de nouvelles molécules organiques.
De façon très simplifiée, le processus se résume comme suit :
lumière
n CO2 + n H2O → (CH2O) n + n O2
L’activité photosynthétique peut donc se mesurer soit par l’assimilation du CO 2, soit par la
production d’O2. D’après cette équation il y a une mole d’O2 fixé pour une mole de CO2 assimilé.
Cependant, dans les populations naturelles, le quotient O 2 produit / CO2 assimilé (PQ ou quotient
photosynthétique) est supérieur à 1 (souvent de l’ordre de 1,25) : on doit en tenir compte dans les
conversions qui sont alors :
1 mole de CO2 assimilé = 1,25 mole d’O2 produit
Les formes assimilables par les végétaux aquatiques sont le CO 2 et, pour ceux qui possèdent
Au-delà de pH 9, la faible concentration en CO2 est souvent limitante, sauf pour certaines plantes
bien adaptées à l’utilisation du C inorganique sous forme de CO 2 et de bicarbonates. C’est le cas des
algues bleues, dont la dominance dans les milieux eutrophes et dans beaucoup de lacs tropicaux peu
profonds s’explique par le fait que leur photosynthèse varie peu en fonction du pH
2 - 4 - 2 - 4 - EFFET DES NUTRIMENTS :
Les effets des nutriments sur la photosynthèse sont plutôt indirects, dans la mesure où ils limitent le
phytoplancton au niveau de sa croissance : ils ont donc, s’ils sont limitants, un effet par la diminution
de son taux de croissance.
2 - 4 - 3 - NUTRIMENTS ET CROISSANCE ALGALE :
2 - 4 - 3 - 1 - DÉFINITION :
On appelle nutriments le phosphore, l’azote et la silice. Ces éléments nutritifs essentiels jouent, comme
la lumière et la température, un rôle déterminant dans la dynamique du phytoplancton. Une carence
de l’un d’eux peut entraîner la diminution du taux de croissance et leurs rapports de concentration
influencent la répartition et la succession des différentes espèces algales.
2 - 5 - CARACTÉRISTIQUES ÉCOLOGIQUES DE DIFFÉRENTS COMPOSANTS DU PHYTOPLANCTON :
Certains de ces facteurs peuvent avoir une influence indirecte sur le phytoplancton
comme c’est le cas par exemple de la turbulence qui peut augmenter l’effet de la
prédation ou qui peut induire des mouvements verticaux et redistribuer les cellules
phytoplanctoniques et les sels nutritifs.
Une augmentation de débit peut obscurcir la colonne d’eau par apport de matières en
suspension, et limiter la photosynthèse du phytoplancton. Même sans transport solide
associé, un apport de débit liquide dans la masse d’eau dilue la biomasse
phytoplanctonique et réduit les chances de survie de la biomasse initiale.
La température influence plusieurs paramètres physicochimiques de l‘eau tels que les concentrations en
oxygène dissous et en nutriments. En effet, elle est un stimulus des phénomènes d‘accroissement, de la
La stratification thermique d’un lac se définit comme étant la formation de couches d’eau
distinctes superposées les unes sur les autres. La formation de ces couches est due à une
différence de température entre les couches, ce qui entraine une différence de densité de l’eau.
- L’épilimnion est la couche de surface la plus chaude ou il y a abondance de lumière et ou la
productivité biologique est la plus importante. Le vent permet à cette couche de se mélanger ;
ce qui engendre une homogénéisation de l’oxygène dissous et des autres éléments présents (ex.:
phosphore). L’épaisseur de cette couche varie au cours de la saison.
- Le métalimnion est la couche intermédiaire. Dans cette couche d’eau, la température varie
rapidement avec la profondeur. Elle est plus froide que l’épilimnion mais plus chaude que
l’hypolimnion. La diminution de la température crée une barrière physique entre les couches d’eau
liée à la différence de densité. L’oxygène peut y être encore abondant.
- L’hypolimnion est la couche froide inferieure faiblement éclairée ou la température varie peu.
L’oxygène dissous, introduit lors des brassages saisonniers, est utilisé entre autres pour la
décomposition de la matière organique. Parfois, l'oxygène disparait complètement de cette couche
d’eau, phénomène que l’on appelle anoxie
- La salinité : ce facteur peut être considéré comme paramètre définissant l‘habitat des espèces et
délimitant leur répartition .
Les fortes densités de salinité stimulent le développement du phytoplancton et augmentent la
biomasse chlorophyllienne.
-Le pH doit être compris entre 5 et 8.5 dépassant cette fourchette, les espèces peuvent réguler leur
croissance ou transformer même leur physiologie en développant ainsi un pouvoir de toxicité.
Dans les milieux très eutrophes, l‘augmentation du pH entraîne une diminution de la solubilité des
bicarbonates dans l‘eau pouvant créer une limitation de croissance du phytoplancton
La courantologie traduit l’importance et la nature de la circulation des eaux sur toute la colonne d’eau
de chaque sous-région marine. Les principaux facteurs qui interviennent sur les courants sont la
marée, les vents, les gradients de densité, certains ouvrages structurants (barrage, installations, etc.).
Les courants interfèrent avec la distribution des espèces animales et végétales, les sédiments sur
l’ensemble de la colonne et sur le fond
Bien que l’oxygène soit l’un des gaz les plus abondants de l’atmosphère, il diffuse lentement et sa
solubilité dans l’eau est limitée par les hautes températures et les basses pressions.
Lorsque des microorganismes autotrophes comme les algues utilisent du CO2, le pH des eaux s’élève
(Prescott et al., 1995 ; fig.3).
La lumière visible ne pénètre pas au-delà de 300m dans l’océan (Zone euphotique), une activité
biologique intense et retrouvée jusqu’à 1000m de profondeurs (animaux et bactéries chimio- ). Au-
dessous de 1000m cette activité diminue et ces régions constituent les abysses ou eaux abyssales. Les
micro-organismes vivant dans ces eaux sont confrontés à trois caractéristiques environnementales
extrêmes : basse température, fortes pression et rareté des nutriments. Ce sont des psychrophiles ou
psychrophiles extrêmes
II - PROBLÈMES DE POLLUTION
1 - GÉNÉRALITÉS :
La pollution peut être définie comme la dégradation du milieu (de l’eau notamment) par le fait de
l’Homme. Du fait d’une croissance industrielle rapide, la contribution de l’Homme moderne à son
environnement chimique augmente de jour en jour. La biosphère s’enrichit ainsi en substances
chimiques indésirables dégagées dans l’atmosphère et retombant sur les écosystèmes ou déversées dans
les eaux : c’est la pollution, terme étendu à des perturbations thermiques, acoustiques, visuelles et aussi
morales.
Les agents polluants peuvent causer des nuisances que l’on appelle dégâts s’ils n’ont pas de
conséquences économiques, et dommages s’ils en ont.
Ces dommages s’étendent naturellement à l’Homme, mais comme l’expérimentation est difficile pour
déterminer la responsabilité exacte des polluants et les seuils de toxicité, on en est réduit à des enquêtes
2 - POLLUTIONS MICROBIENNES :
Les maladies hydriques ont été pendant longtemps les plus spectaculaires parce que les plus
meurtrières des manifestations de la pollution des eaux. Le choléra, la typhoïde et la poliomyélite ont
été et sont toujours des dangers menaçants dans telle ou telle région du monde. La “verdunisation” qui
a désigné pendant plusieurs années le fait de désinfecter l’eau destinée à la boisson par addition d’un
peu d’eau de Javel vient de la bataille de Verdun pendant laquelle les causes de pollution étaient, hélas,
aussi nombreuses qu’intenses. Certaines maladies parasitaires comme la douve du foie (régions
tempérées) ou les amibiases (régions chaudes du globe), sont encore d’actualité.
D’autres maladies peuvent être transmises par l’eau sans revêtir ce caractère de gravité : les plus
nombreuses concernent le tube digestif (gastro-entérites) ou les voies respiratoires (du simple rhume à
la sinusite).
3 - POLLUTIONS CHIMIQUES :
Les écosystèmes terrestres sont soumis à des immissions (on parle d’émission lorsque l’agent polluant est dégagé
dans l’atmosphère, immission quand cet agent retombe sur les écosystèmes) de SO 2, HF, HCl, oxydes de N,
métaux lourds toxiques, matières organiques diverses, qui proviennent surtout de la combustion industrielle et
domestique du charbon et des produits pétroliers, mais aussi des industries chimiques et métallurgiques, et qui
retombent sous forme de gaz, aérosols, gouttelettes, ou poussières, ou sont entraînés et parfois dissous dans l’eau
de pluie (les particules solides et liquides de nature et de dimensions très variables sont appelées aérosols si leur
diamètre est inférieur à 0,1 µm).
Une forme de pollution très connue est celle qui provient des gaz d’échappement des voitures
automobiles.
L’utilisation exagérée et mal conduite de pesticides (fongicides, insecticides et herbicides) est aussi
source de pollution des écosystèmes terrestres.
Les insecticides appartiennent à trois grands groupes de substances organiques :
- les organochlorés de type DDT ou aldrine, les plus encombrants car non ou lentement biodégradables ;
- les organophosphorés du type parathion ou malathion, facilement biodégradables, immédiatement toxiques ;
- les carbamates du type carbaryl, de mêmes propriétés que les précédents.
Les engrais peuvent aussi contenir des impuretés toxiques. Les phosphates naturels contiennent des
métaux lourds et de l’uranium radioactif.
3-2- POLLUTIONS DES EAUX DOUCES
- eaux résiduaires des établissements humains amenées aux rivières par les égouts, sales et
malodorantes, riches en azote et matières organiques, ainsi que les détergents libérant le P
de leurs molécules
La désoxygénation des eaux peut provenir de déchets alimentaires ou
glucidiques divers qui, rejetés à la rivière par des industries (papeteries,
sucreries, fabriques de conserves, laiteries, etc.), sont oxydés par des
bactéries, diminuant la DBO de l’eau jusqu’à des valeurs impropres à
toute vie, avec formation de produits organiques (putrescine,
cadavérine, indol, scatol, etc.) ou minéraux (H 2S) qui sont malodorants
et souvent toxiques ;
- eaux résiduaires industrielles contenant une immense collection de
produits minéraux et organiques des plus divers, solubles ou non ;
- hydrocarbures (huiles minérales) provenant des bateaux et péniches
qui y circulent ;
- dans nos régions, certaines pratiques de pêche font appel à des extraits
de certaines plantes pour empoisonner l’eau
3-3- POLLUTIONS DES OCÉANS :
Elle se fait par les fleuves et aussi directement à partir du milieu terrestre, par des
retombées provenant d’une dérive (“drift”) par l’action du vent (cas du DDT par
exemple). L’eau peut aussi être empoisonnée par des toxines sécrétées par des
efflorescences d’algues (certaines dinophytes par exemple).
Cependant, l’océan a aussi ses propres agents polluants : il est la poubelle de millions
de bateaux et embarcations de tous types y circulant. Les détritus les plus divers y
sont lancés des bateaux, et cette masse hétéroclite d’épaves finit par échouer sur les
plages.
Mais le polluant numéro 1 est le pétrole : celui qui provient du fonctionnement
normal des moteurs, mais surtout celui qui est jeté à la mer par les pétroliers lors du
nettoyage des soutes, estimé à 1 p.c. du pétrole transporté, soit 3 10 6 t/an.
L’autre danger grave est l’industrialisation de la mer (forages en mer avec possibilité
de fuites
4 - POLLUTIONS PHYSIQUES
Les usines utilisant des systèmes de réfrigération, et plus particulièrement les centrales nucléaires, peuvent
élever de plusieurs degrés la température de l’eau des rivières et le degré d’humidité des vallées traversées
L’utilisation d’explosifs à des fins de pêche est une pratique qui perturbe fortement les écosystèmes
aquatiques.
6 - INDICATEURS BIOLOGIQUES DE LA POLLUTION
Classe I : eaux oligosaprobes, donc peu polluées, de couleur bleue ;
Classe II : eaux β-mésosaprobes, un peu polluées, de couleur verte ;
Classe III : eaux α-mésosaprobes, fortement polluées, de couleur jaune ;
Classe IV : eaux polysaprobes, très fortement polluées, de couleur rouge.
Classe I : Diatomées : Cyclotella bodanica, Synedra acus var. angustissima, Surirella spiralis,
Tabellaria flocculosa.
Chlorophycées : Micrasterias truncata, Staurastrum punctatum, Euastrum
oblongum, Bulbochaete mirabilis, Ulothrix zonata, Cladophora
glomerata.
Rhodophycées : Batrachospermum turfosum, Lemanea annulata.
Chrysophycées : Mallomonas caudata.
1 2 3 41 5 6 7
11
8 9 10
12
20
13 14 15 16 17
18
21 23
22 19
24
1 2 3 4 6 7 8
5
9
10
11
14
17
7 - AUTO-ÉPURATION :
Elle est l’œuvre des bactéries anaérobies, aérobies, de champignons et d’algues, les
Euglénophytes en particulier (espèces des genres Euglena, Lepocinclis, Phacus,
Strombomonas, Trachelomonas, etc.).