Jard-sur-Mer
Jard-sur-Mer | |||||
Le moulin à vent. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | Les Sables-d'Olonne | ||||
Intercommunalité | Vendée-Grand-Littoral | ||||
Maire Mandat |
Sonia Gindreau 2020-2026 |
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Code postal | 85520 | ||||
Code commune | 85114 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Jardais | ||||
Population municipale |
2 858 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 170 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
4 321 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 25′ 02″ nord, 1° 34′ 32″ ouest | ||||
Altitude | 9 m Min. 1 m Max. 24 m |
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Superficie | 16,82 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Jard-sur-Mer (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Talmont-Saint-Hilaire | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Jard-sur-Mer est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.
Ses habitants sont les Jardais(es).
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La commune est située sur la Côte de Lumière, bordée au sud par l'océan Atlantique (golfe de Gascogne). Au nord et à l'ouest, elle est limitée par le havre du Payré, également appelé Gué-Chatenay, et ses marais qu'elle partage avec la commune de Talmont-Saint-Hilaire.
Géographie physique
[modifier | modifier le code]Le territoire communal de Jard-sur-Mer s'étend sur 1 682 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 9 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 1 et 24 mètres[1],[2].
Les terrains sont calcaires. La côte est formée de falaises basses avec des plages étroites et est bordée sur toute sa longueur par une forêt maritime. Cette dernière est notamment plantée de chênes verts aux formes tourmentées.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 785 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Angles à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 869,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Jard-sur-Mer est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Jard-sur-Mer[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (32,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (36,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (26,2 %), terres arables (22,2 %), forêts (17,4 %), zones humides côtières (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %), prairies (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,5 %), zones humides intérieures (1,9 %), eaux maritimes (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La ligne de bus 550 du réseau régional Aléop assure des liaisons quotidiennes vers Les Sables-d'Olonne et La Tranche-sur-Mer[17].
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]- Jard-sur-Mer a obtenu sa deuxième fleur au Concours des villes et villages fleuris lors du palmarès 2008.
- Jard-sur-Mer a obtenu le pavillon bleu d'Europe en 2008.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Durant la Révolution, la commune, alors nommée Jard, porte le nom de Jard-la-Montagne[18].
En 1938, la terminaison -sur-Mer est ajoutée au nom de Jard[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Dès le Paléolithique, plus précisément au Moustérien, les hommes occupent le littoral vendéen. Des objets du Mésolithique ont été découverts par R. Joussaume à la Pointe du Payré. Au même endroit on trouve aussi une occupation néolithique.
Antiquité
[modifier | modifier le code]L'agglomération de Jard-sur-Mer se développa à l'époque gallo-romaine, avec la construction de vastes entrepôts, de basiliques, d'espaces de rupture de charge entre les déchargements de bateaux et le transport routier. Il existait une ville commerçante avec ses habitations en relation avec un port côtier dont on ignore précisément l'emplacement.
La première mention historique de Jard est datée de 1077 ou il est fait mention du Monastère de Jart[19].
Jard se trouvait à l’extrémité d’une voie qui desservait le rivage nord du golfe des Pictons (Marais poitevin). Cette voie de Jard-sur-Mer à Rauranum (Rom) dans l'actuel département des Deux-Sèvres, passait par Le Langon, autre commune vendéenne connue pour ses importants vestiges gallo-romains. À Rauranum, cette route débouchait sur la grande voie romaine de Mediolanum Santonum ( Saintes) à Limonum (Poitiers). Une partie des marchandises arrivait dans les cales des bateaux. Les amphores mises au jour constituent des indices sur ces marchandises provenant d’Italie ou d’Espagne (Andalousie)...
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au Moyen Âge, la ville gallo-romaine disparaît, la ville construit une église dédiée à sainte Radégonde… peut-être à l’emplacement d’un temple antique.[réf. nécessaire]
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Au XVIIe siècle, à la plage de la Mine, une exploitation de galène argentifère a lieu. Une carte postale d'avant 1914 montre des mineurs devant un baraquement en bois. Les entrées ont été détruites au milieu de la seconde moitié du XXe siècle.
Dans les années 70, la commune portait le nom de « Les Jars » ou encore de « Les Jars'cool » du fait de la communauté hippie présente en masse dans les premiers campings à s'installer dans le village[20].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : |
Devise
[modifier | modifier le code]La devise de Jard-sur-Mer : En tous temps je brille.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2021, la commune comptait 2 858 habitants[Note 5], en évolution de +8,18 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 10,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 68,0 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 204 hommes pour 1 460 femmes, soit un taux de 54,80 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'abbaye royale Notre-Dame de Lieu-Dieu (XIIe siècle)
Fondée en 1198 par Richard Cœur de Lion, roi d'Angleterre, duc de Normandie et d'Aquitaine et comte d'Anjou, l'abbaye royale de Lieu-Dieu se trouve à deux kilomètres du centre bourg sur la route de la plage de la Mine. Elle comporte trois niveaux et, à son origine, était richement dotée. Elle abritait les moines Prémontrés venus d'une ancienne abbaye que Richard Cœur de Lion avait précédemment fondée à la Genétouze quand il n’était que duc d'Aquitaine. Ces moines surent mettre en valeur les marais et les terres et l'abbaye fut très prospère malgré les nombreuses agressions suscitées par la convoitise. Pillée en 1316 puis en 1371, elle fut définitivement ruinée par les protestants en 1568. Elle fut abandonnée en 1720 par les derniers moines. Le dortoir des moines servit pendant la Première Guerre mondiale d'infirmerie pour les blessés. Elle vient d'être achetée par un particulier qui a ouvert, en , une partie de l'abbaye (scriptorium, chauffoir, ancien cloître, chapelle avec four à hosties) aux visites guidées gratuites sur rendez-vous (pourboire au guide).
- L'église Sainte-Radégonde (XIIe siècle)
C’est à Richard Cœur de Lion, roi d’Angleterre, que l'on doit cette imposante église romane achevée en 1198. Elle rappelle l'exode vers Jard-sur-Mer des bénédictins de l'abbaye Sainte-Croix de Poitiers, fuyant l'avancée des Sarrasins en emportant les reliques de sainte Radegonde, reine des Francs à qui elle est dédiée. L’édifice fut fortifié au XVe siècle et était autrefois entouré de douves. Il a été partiellement détruit par les protestants lorsqu'ils attaquèrent la cité en 1568. Rebâtie puis modifiée, la chapelle de la Vierge est de style gothique et forme un bel ensemble avec la charpente et le pilier central au chapiteau en feuilles de palmier. L'église possède également un retable et un tableau du Rosaire de Peinus, représentant Richelieu, Louis XIII, la reine Anne d’Autriche, Mazarin et le pape assistant à l’incendie de La Rochelle en 1628. Ces deux œuvres viennent d’être entièrement restaurées.
- Maison de Georges Clemenceau à proximité à Saint-Vincent-sur-Jard.
- La chapelle Sainte-Anne (1650).
-
L'Abbaye royale de Lieu-Dieu.
-
Maison de Clemenceau.
-
Église Sainte-Radégonde.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Jard-sur-Mer comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- Réélu en 1977, 1983 et 1989.
- Réélue en 2008 et 2014.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Commune 6095 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « Jard-sur-Mer », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Jard-sur-Mer et Angles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Angles », sur la commune d'Angles - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Angles », sur la commune d'Angles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Jard-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Jard-sur-Mer ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Carte interactive des transports », sur aleop.paysdelaloire.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Louis Delhommeau : Églises de Vendée, vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001.
- Toits alternatifs, « Vie alternative : Annuaire des écolieux, écovillages et écohameaux en France », sur Toits alternatifs, (consulté le ).
- « Jard-sur-Mer : Les membres de la commission spéciale sont désignés », Ouest-France,
« À la suite de la dissolution du conseil municipal de Jard-sur-Mer, les membres de la commission spéciale chargée d'expédier les affaires courantes, viennent d'être désignés par le préfet de la Vendée. Il s'agit de MM. Émile Decoux, Yves Bureau et Jean Guérin. ». - « Jard-sur-Mer : M. Serge Caillaud est élu maire », Ouest-France, .
- « Serge Caillaud a donné son nom à l'esplanade du port », Ouest-France, (lire en ligne).
- [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Jard-sur-Mer (85114) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Bakkal-Lagarde Marie-Claude (2000) De Rom à Jard-sur-Mer à l'époque gallo-romaine, édition ADANE.
- Marsac Maurice (1990,1993,1996) Inventaire archéologique par photographies aériennes du rivage nord du Golfe des Pictons, éd. ADANE, 3 tomes
- Pierre Gilbert et Michel Chusseau (2004, 2007, 2009) Jard Autrefois l'histoire de Jard-sur-mer de 1890 à 1968 en 3 tomes
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Commune dans la Vendée
- Commune dans l'arrondissement des Sables-d'Olonne
- Commune dans le canton de Talmont-Saint-Hilaire
- Commune de Vendée-Grand-Littoral
- Commune touristique en France
- Ville portuaire en France (océan Atlantique)
- Port de plaisance en France
- Villes et villages fleuris
- Commune ayant porté un nom révolutionnaire dans la Vendée
- Commune de la Plaine vendéenne
- Ancienne agglomération romaine en France