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Le Fenouiller

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Le Fenouiller
Le Fenouiller
L'église Saint-Laurent.
Image illustrative de l’article Le Fenouiller
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Agglomération
Maire
Mandat
Isabelle Tessier
2020-2026
Code postal 85800
Code commune 85088
Démographie
Gentilé Fénolétain
Population
municipale
4 937 hab. (2021 en évolution de +7,98 % par rapport à 2015)
Densité 277 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 43′ 13″ nord, 1° 53′ 57″ ouest
Altitude 15 m
Min. 0 m
Max. 32 m
Superficie 17,83 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Saint-Hilaire-de-Riez
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Hilaire-de-Riez
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Hilaire-de-Riez
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Le Fenouiller [lə fənuje] est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Géographie

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Le territoire municipal du Fenouiller s'étend sur 1 783 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 15 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 32 mètres[1],[2].

La commune du Fenouiller est voisine de celle de Saint-Gilles-Croix-de-Vie.

Elle apparaît comme un trait d'union entre le bocage et le marais. Le petit fleuve de la Vie, qui se sépare au nord de Notre-Dame-de-Riez et qui serpente lentement vers Saint-Gilles-Croix-de-Vie entre des rives vaseuses. La Vie élargit ou rétrécit le marais du Fenouiller sur sa rive gauche, suivant les caprices de ses méandres. C'est la Vie qui marque la limite de la commune avec celles de Notre-Dame-de-Riez, Saint-Hilaire-de-Riez et Commequiers.

Le Fenouiller, c'est aussi un paysage de bocage, avec ses fermes éparpillées. Les plus proches de la Vie sont sans doute les plus fertiles. Plus au large, les noms des villages rappellent que le sol chargé d'une poussière olienne était favorable aux landes à végétation spontanée et aux grandes sapinières dont il ne reste aujourd'hui que des lambeaux.

Le Fenouiller, c'est encore une route départementale de cinq kilomètres qui traverse le bourg et la commune d'est en ouest. Particularité du bourg et de certaines maisons anciennes : les murettes et autres décors sont réalisés en schiste vert, variété de roche rare. Celle-ci était exploitée sur place : la rue des Carrières mène aux anciens sites d'extractions à ciel ouvert, aujourd'hui mis en eau.

À noter : un quartier résidentiel important en bordure de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, en bordure de la RD 754, formant les agglomérations du Val-de-Vie et de la Chabossonière.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 780 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Perrier à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 762,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Le Fenouiller est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Hilaire-de-Riez[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant sept communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Hilaire-de-Riez, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,6 %), zones agricoles hétérogènes (26,9 %), zones urbanisées (20,7 %), prairies (7,7 %), zones humides côtières (3,3 %), eaux maritimes (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le terme Fanuller trouve son origine dans le latin fenum, désignant le foin, et son diminutif fenuculum, signifiant "petit foin". Cette étymologie est attestée par Jean-Louis Le Quellec, chercheur au CNRS, dans son Dictionnaire des noms de lieux de Vendée, publié en 2006 par les éditions Geste. Cette interprétation linguistique s'inscrit dans une approche classique de l'évolution lexicale, où les racines latines s'adaptent progressivement aux besoins et aux particularités phonétiques des langues vernaculaires. Néanmoins, certains auteurs offrent une lecture alternative. Ils associent Fanuller à fenoillère, un terme désignant un lieu où pousse le fenouil. Cette interprétation se fonde sur l’usage ancien du mot fenoille ou fenoille, employé jusqu’au XVe siècle pour désigner la plante aromatique connue aujourd’hui sous le nom de fenouil. Cette acception figure notamment dans le Dictionnaire de la langue française du Ve au XVe siècle, rédigé par Frédéric Godefroy et publié à Paris en 1938[17].

L’étymologie, qu’elle repose sur l’idée de foin ou sur celle de fenouil, illustre le rôle déterminant des réalités agricoles et botaniques dans la dénomination des lieux. Ces mots, bien qu’ils soient tombés en désuétude, permettent de comprendre comment les relations entre l’homme et son environnement ont influencé la toponymie. On pourrait ainsi imaginer qu’un toponyme tel que Fanuller ait conservé, dans ses variations, la mémoire de pratiques agricoles ou de caractéristiques naturelles propres à l’époque de sa formation[17].

Au début du XIXe siècle, après une période où le domicile des maires servait d’assise aux fonctions municipales, la commune du Fenouiller entreprit de se doter d’un édifice spécifique. Ce dernier, soumis aux aléas des charges administratives, à l’essor démographique et à la diversification des services municipaux, subit au fil des décennies plusieurs transformations significatives[17].

En 1849, alors que la population s’élevait à 780 habitants, la commune inaugura sa première école communale. À cette occasion, la fonction de secrétaire de mairie fut confiée à l’instituteur, et les activités administratives furent réunies en un même lieu, selon une pratique courante dans les contrées rurales de France : une mairie-école. Cette organisation centralisée, bien que pratique, engendra des contrariétés, notamment lors des mariages, qui perturbaient le déroulement des leçons[17].

En 1862, afin d’atténuer ces désagréments, le conseil municipal résolut l’édification d’une pièce distincte dédiée aux fonctions de mairie. Celle-ci fut érigée en continuité de la maison d’école des garçons, alors située à la Tucasserie. Ce choix visait à concilier les besoins pédagogiques avec les exigences des affaires publiques[17].

En 1887, la commune fit l’acquisition de l’ancien presbytère, un bien confisqué au clergé sous la Révolution française, occupant l’emplacement de l’actuelle mairie. Ce bâtiment fut destiné à abriter l’école publique des filles, tandis que les services municipaux prirent place dans deux chambres aménagées à cet effet, l’une d’elles s’ouvrant sur la rue principale. Dès lors, la mairie trouva son assise au cœur du bourg, renforçant ainsi son rôle central dans la vie locale[17].

En 1955, le cortège des noces Barré-Guibert s’épancha hors de la mairie encore enchâssée dans les murs du presbytère d’autrefois. Ce lieu, devenu exigu à mesure que la commune prospérait, marquait la fin d’une époque. En 1958, alors que la population avait atteint mille cent habitants, un nouvel édifice fut érigé à l’emplacement des chambres originelles, consacrant une évolution architecturale et fonctionnelle en adéquation avec les besoins d’une commune en plein essor[17].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Georges Dillet    
Joseph Mérieau
(1908-1986)
  Retraité de la gendarmerie, adjoint au maire (1965 → 1971)
Henri Perrocheau[Note 4]   Chef d'entreprise
Patrick Gérardin[Note 5] DVD Gérant d'atelier d'architecture
Maryvonne Barc[18] DVD  
René Viaud DVD Cadre comptable en cabinet
[19] En cours Isabelle Tessier DVD Comptable, ancienne première adjointe
1re vice-présidente de la CC du Pays-de-Saint-Gilles-Croix-de-Vie (2020 → )

Intercommunalité

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Le Fenouiller est l'une des cinq communes fondatrices de la communauté de communes Côte-de-Lumière, structure intercommunale ayant existé entre le et le . Depuis le , la commune est membre du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie Agglomération.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 4 937 habitants[Note 6], en évolution de +7,98 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
564542604702734701724782780
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
775745778786821800832838871
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9399939348679199589679511 052
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1751 2801 4492 2792 9023 2133 9124 3724 668
2021 - - - - - - - -
4 937--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 304 hommes pour 2 492 femmes, soit un taux de 51,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,0 
10,4 
75-89 ans
12,2 
26,7 
60-74 ans
24,8 
20,5 
45-59 ans
22,0 
15,2 
30-44 ans
15,3 
11,5 
15-29 ans
9,7 
14,9 
0-14 ans
15,2 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2021 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Lieux et monuments

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Dans le bourg, l'église Saint-Laurent date des XIIIe et XIVe siècles. Son fin clocher d'ardoises en « bec d'hirondelle » est typiquement local. La petite porte latérale montre encore des traces d'effraction, souvenir des troubles des Inventaires des biens de l'Église en 1906.

Partant du bourg, la route qui longe la vallée de la Vie traverse des hameaux au caractère pittoresque (le Plessis, Romainguy, ...) et présente de nombreux points de vue sur les marais.

Le Pas Opton est un ancien gué sur la Vie, la légende voudrait que le nom de ce lieu vient de Napoléon qui en passant ici ordonna à son cheval (Opton) de circuler au pas. En réalité, Pas Opton est une déformation de « Pas aux petons », une indication portée sur les cartes et écrits anciens signifiant que le gué était traversé à pied, selon le niveau d'eau. Des vestiges d'un port furent mis au jour en 1987 : seul port de la région indiqué sur les cartes de XVIe siècle, des navires y déchargeaient du sel et du blé, mais ceci n'est bien sûr, qu'une légende : Napoléon n'est jamais passé par là. À proximité, l'auberge du Pouc'ton fait revivre dans une grange typique les traditions locales comme les noces maraîchines.

Sur la Vie un barrage (le barrage des Vallées) fait désormais obstacle à l'océan, qui transformait autrefois le marais en un vaste lac salé jusqu'aux abords d'Apremont. Tout proche, une aire de pique-nique a été aménagée.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Hilaire-de-Riez comprend trois villes-centres (Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Hilaire-de-Riez et Saint-Jean-de-Monts) et quatre communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Réélu en 1983 et 1989.
  5. Réélu en 2001.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Commune 15517 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Le Fenouiller », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Le Fenouiller et Le Perrier », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Perrier », sur la commune du Perrier - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Perrier », sur la commune du Perrier - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Saint-Hilaire-de-Riez », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Hilaire-de-Riez », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c d e f et g « Histoire - Le Fenouiller », sur www.lefenouiller.fr (consulté le )
  18. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
  19. « Le Fenouiller. Isabelle Tessier et ses six adjoints sont en poste », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Fenouiller (85088) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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