Année Sociologique 1901-02
Année Sociologique 1901-02
Année Sociologique 1901-02
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SOCIOLOGIQUE
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Pffetiieut' de socioj~~ie :t i'U!Ut'et'it<: de Bnrdenut.
Ch~r);" de cuurs & la Facotte des tettt't's de t'arit.
AYKC[.A cfU.t.AKOKA'HOX
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A. MEtLLËT,dirM~ur t. t~o'e des thut<;<-É~')e5i
RtCHARO.<:)ttr);ëde c)<tf<<t t CoheMMde Botd<:«tx
BOUCLÉ.j;mf«'<'t)rit !'L'HJtef!t<de T'jutea~e:
HUBERTut MAUSS,)n!t)tre<dt<cuMf'')'~MC''t <t t'I'~te dc~ HitUtp~-Ktude'
HUVEUMet E. t.ÈWÏ,F)-«h~ur' a lu ttcutt~de dtuit de i~mt!
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AUBtN,httt;ccteur<)'a''ad~'tMtoaAunUM;
BOUftQttt, FAUCOMMET. HOURTtCa, 0. PAROOt. F. S)M)ANO.
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PREMIÈRE PAR'HE
MÉMOtRES
ORIGINAUX
ET REVUESGENERALES
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tt3: !).), M9eh'.
H. )'L'HK)U!tM – Ct.A~tt'tCATtOX.
KTM.MAt.'Si!. t'tttMt't'n'K!!:}:
fondde notre conceptionde la classe, l'idéed'une circons-
cription aux contours arrût~ et définis. Or, on pourrait
presque dire que cette conceptionde tu classificationne
remontepas au delàd'Aristote,Aristoteestle premierqui ait
proclamél'existenceet la réalitédes difïéreneesspécifiques.
démontre que te moyenétait causeet qu'il n'y avait pas d''
passage direct d'uu genre a l'autre. Piatonavait un bien
moindre sentiment de cette distinctionet de cette organisa-
tion hiérarchique,puisque,pour lui, tesgenresétaient.en u«
sens,itomogeneset pouvaientse réduiretes unsaux autres par
la dialectique.
Nonseulementnotre notionactuellede la classificationa
une histoire, mais cette histoireeiie-memesupposeune pré.
histoireconsidérable.On ne saurait, en e.llet,exagérerl'état
d'iodistinctiond'où l'esprit humain est parti. Mêmeaujour-
d'hui. toute une partie de notrelittératurepopulaire,de nos
mythes, de nos religions,est baséesur uneconfusionfonda-
mentalede toutes les images,de touteslesidées.IJn'eu est
pas pour ainsidire qui soient,avecquelquenetteté,séparées
des autres.Lesmétamorphoses, testransmissionsde qualités.
les substitutionsde personnes, d'âmes et de corps, ies
croyancesrelativesà la matérialisationdes esprits,à ia spi-
ritualisation d'objets matériels, sont des éléments de ht
pensée religieuseou du folklore. Or l'idée même de sem-
blablestransmutationsne pourrait pas naître si les choses
étaient représentéesdans des conceptsdélimitéset classé"
Le dogme cclm~1iell au la lraussuLslaLtiadiuu eat uue cùiàtir-
quencede
quence do cet état d'esprit et peut servir àc~en prouver
et peut h
uu~cuubt'-
généralité.
Cependant,cette mentalité ne subsiste pius aujourd'hui
dans les sociétéseuropéennesqu'à l'état de survivance,et,
mômesous cotteforme, on ne la retrouveplusque dans cer-
tainesfonctions,nettementlocalisées,de la penséecoitective
Mais il y a d'innombrablessociétésoù c'est dans !<;contr
étiologiqueque réside toute l'histoire naturelle, dans les
métamorphoses, toute ia spéculationsur lesespècesvégétales
et animales,dansles cyclesdivinatoires,lescercleset carré}:
magiques,toutela prévisionscientifique.EnChine,dans tout
l'Extrême-Orient,danstoute l'inde moderne,commedans la
Grèceet la Romeanciennes,les notionsrelativesaux actions-
sympathiques,aux correspondancessymboliques,aux in-
fluencesastraies~on seulementétaient ou sont très répan-
t.'AXSKK ~OOOUMfQL'K. )UU!.tM!!
Mf'<< <M
). Cf.BMtiitt). )/tt'<'M.M.?< <t''tM: /<<M~tM
.MM«'/)M-MM<t'ceM<MM</f,
iSXH, l, p. ))!.
el Gittcn.
S.Spencer J~~a/M.)"9' p.«)Tt't
\<f/;t-t'r"<tfit t-<'M~'«/
~n.
3. Hitddun, MM'<M«M/c' )''< )' 103.
4. tJOfiiKy,NfOMNH
.'<')t- X)T' Mf/ n//A'' «Mn'MM
.t)Mf). 7.7/<M~
)!M)6,)). ~08.
M':(a<i))etnent
CaM!he.
Anciens surt':Xi))t<)).
)"u)~i<tM
ti..Yt/Mf-t'~Mf)- r<'t)/a~B~<<'<K". M! p. 3!i.
H.tOOtMHfH'TM.MAUSS.–OLASHfMATtOMPHfMtTtVK)! tt
Les classes désignées par une même )ettr<' (A, A' et Il, M
sont ceues qui ont enh'c elles le connubimn.
Tous les membres de )a tribu se trouvent ainsi classés daos
~es cadres définis et qui s'emboîtent les uns dans les autres.
la f'<«M~aH ~M f~MM t'PpW/M~ ff/~ <X!M~fOM dëx
hommes,
DejaTtirCamerou avait remarque que, chez tml'a-ta-ttiis~. 2.
« toutes les choses de l'Univers sont divisées entre les divers
membres de la tribu « Les uns. dit it. s'attribuent les arbres.
quelques autres les plaines, d'antres le ciel. le vent, ia pluie et
ainsi de suite. Matheureusement.ce renseignement manque
i. A<Mt</mcn«<t<<
j).)tiU.
A<«'MUf.
AttMt<«t'Ot, ft): p. )<i9.
3. f«W/«'f- MO<M0« //tf.<M~t-H/t«MCf<Mf.OM.J..t. XVH). )t. t!0 ft
MtV.
Ottvoit)a p~Mntu decet:nuuM
av': ceu!:deKrokia<.de Kumite
euiptoy~)) ttttriba
j))tr du prouvet~uUtenUcitt'decc
Mont-GtnxbiefitCfti
du Mttouvo
)!)'sMtncctassXtottiun'juis'; ainsi~ ut'dtM
pointsaussi''toign'~
J'undot'<mtr<
K.)hnKHEt)).–))ttM's'j';iu)..H')))-)UM.
itt ~AS'iKKSttKKth~t~MMmtS
cent aux phratrieso. Meplus. chaquephratne comprendun
certain nombrede ctans. A titre d'exemples,M.Howittcite
dans la phratrie Krokitctt tes ctans du vent chaud, du caca-
toisblancsanscrête,des choses(tu soleil,et, dans la phratrie
Gamutch.ceuxde la vipère sourde,du cacatoisnoir, du peti.
can'. Maisce ne sont là que des exemptes « J'ai donne.
dit-it, trois totemsde chaquephratrie commeexemples,mais
il y en a plus; huit pour les Krokitehet. pour tes Gamutch.
au moinsquatre' Or. te: classéesdaus chaque phra-
triesuntrépartiesentrett .sctansqu'ette comprend.
De la mémofaçonque la dtvision primaire (ou phratrie) est
de
partagéeen un certain nombre de divisions totémiques,
mêmetousles objetsattribués a la phratrie sontdivisésentre
ces totems.Ainsi chaque totem possède un certain nombre
d'objetsnaturelsqui ne sont pas tous des animaux, car iLya
parmi eux une étoile, le feu, le vent, etc. Les choses ainsi
cessées souschaquetotem, sont appeléespar M.Howittdes
sous-totemsou des pseudo-totems.Le cacatois blanc, par
exemple,en comptequinze et le vent chaud cinq Enfin ta
classificationest poussée à un tel degré de complexitéque.
parfois, à ces totems secondaires des totems tertiaires se
trouvent subordonnés. Ainsi la classe Krokiteh (phratrie;,
comprendcommedivisionle pélican(totem); le péticancom-
prend d'autressous-divisions(sous-totems,espècesde choses
classéessousle totem) parmi lesquellesse trouve le feu et le
feu tui-mëmecomprend, commeune sous-divisiondu troi-
sièmedegré,les signaux (faitsprobablement ùt'aidedu feu)".
Il
LamythologieastronomiquedesAustraliensportela marque
de ce mêmesystèmemental. Cettemythologie,en efïet, est,
pourainsidire, mouléesur l'organisationtotémique. Presque
partout les noirs disent que tel astre est tel ancêtre déter-
mine*.Hest plus que probablequ'ondevait mentionnerpour
cet astre, commepour l'individu aveclequel il se confond,à
quellephratrie,à quelle classe, à quel clan il appartient.Par
cela même,il se trouvaitclassé dans un groupe donne; une
parenté, une place déterminéelui étaient assignéesdans la
société.Cequi est certain, c'est que ces conceptionsmytholo-
gitluess'observentdans les sociétésaustraliennes où nous
). ttuut.M/OM~m~/tica~ MoteoOM f/teJtM~-a~ Mftfxt'.J. t.. ))uuv.
t'hn!,t. p.Sotsuh'.
Nous teniuns d appeler t'aHenttunsurMfait,)wec<}a'it nousfournit
CoMMion d'unuremarque t'artoutoùl'onvoitun clanouune
t;Mt)<!f&)e.
K)M)MrM! reHsMUM ciceMor destM~'oirima){ico-t'eU({tenx
surdMeiiptceit
dfchoMs (MtMrentes.ilestlégitimodoMdentMder e'i)n'ya paslà t'indico
d'anoancionne ct)iS!!itic<ttinn
<tth'i))tmn)<'e
it )(MU()c !i0t:it[
cesditMrentes
d't'h'f!).
ci-peco!)
3.U;sdoeutxents surcosujet!ionttMtt'itxeut
ttombt'cuxquenousnetes
ritons toa! Cettemytho~gte c<.t.mt-moteHetnent que,tou-
d6vetopp<5c
vint.lesËttropeCM ontcru'tuo)t'sastres<;t<m!ttt
tes&nM!i desmorts(V.
CMn-, ).p.235.p. M3 tt. p. tï!) nt. p. î:i).
t-'AtSëE iiMMEOCïQFK. <'mt.tt)OÏ
1.Ou~M/<-a<Mo
.V«/;<M<-
.)/<-«.). x\').p.M.j,.
Hf'witt. On tAf ui<.f/)-<)<;OH
o/ ~«' A«tWft ~)t-m/'«'.<, J..). .t);,
note 1. Cf. ~«'«'< .Yo~ft, ) te.. ~). XVUt. j,. M, “.
3. f«'io' Ne/<'< et). J. J. XYtH. ),. 6)i.
4./AM..j).S9.Cf.là.6: n. S. )).ofi-)).)t)dt-)tt :t)).\.i)~).i~t., .tuht
nMin.
~<W..)).6K.
0.V.f'M)m'!r.at)i'')utitr.~t. L.XIII.il.iii):2''t.
T.Lei(indit'idus
<jui fontlu f~t'cntotoMfiuh'cnt.pourla plupart.<tn)d"
cettephriUrif.V. Spox'rrt-t ):!))<;)).
A'M~n-7'«'t<'<
&<n!<.t«;t/)-afta,
p. S6t.
H.)t')t);))t.:tMETM.MU;.<–CLASOt'tCATtOX'-t'tttMtTh'E't
M
à se réincarner' et qui formentun clan specia).Maisce der-
nier détail de la, tradition mythique doit être de formation
tardée, Car< dans la cérémoniesacrée du soleil, la role
prépoadôrantestjoue.pardesindividusqui appartiennentau
groupe totemiquedu « bandicoot « et à celui du. « grand
lézard M.C'est donc que le soleil devait être autrefoisune
Panuuga,du ctundu ba~dicoot,habitant sur le terrain du
grand lézard.Noussavons,d'ailleurs, qu'il enest ainsido ses
9mu)'s.Or elles se confondentavec lui. H est « )eur petit
enfant", « leur soteiia ensomme,ellesn'en soutqu'undédou-
blement. –Latuneest, dans deuxmythesdifférents,rattachée
au clan dei'opossum.Danst'un d'eux, elle est un hommede
<;eclan' dansl'autre, elleest eite-memo, maiseHea etccnie-
\'6oà un hontmeduciuu et c'est ce dernier qui lui a assigne
sa route.Onne uousditpas, i! estvrai, de quellephratrieelle
était. Maisle clan impliquela phratrie, ou du moins!'impii.
'[uaitdaHsioprincipechezles Aruntas.–Det'etoiiednmatin
Mus savonsqu'elleétait do la classeKumara; ellevaseréfu-
gier tous lessoirsdansune pierre qui est sur leterritoiredes
Ilgrands MzardSM aveclesquelselle semble etreetroitemeHt
Hpparentee'.Le feu est. de même, intimement t'attacheau
totem de l'euro. C'estun itummede ''e cian qui t'a dccouvert
dans l'animaldu mêmenom
). C'Mt
l. C'ost
)t)t''tnf
wi~me ti<
tcc
co puint
paintdf
rlevuouxcluail'
vueext:htsit'<)MC
tlovrïlltt);tu')iu
yuotto\itt uelurüvtloaes Wotjo-
lVoljo·
etc'estceUot!<))!'n')Mt)ttion
ttattntf, 'iofttisttnt
<tUi, qu'une)n<\)M e~fcpdu
<;)MM!!a
t<M)Mt le cttfMH't'c(fut)totemettantôt<'e)ut d'unsous-toteM. a
n'ndudtnfcitN t)H'on<!Htuti')n't'ttMtableauexact'fost:t)tn!!et destotottti..
i. fM)-<Af<Vo/<'<f.
<;<<p. ? et t.artoatCt.
N..tM<)'M<<a«Ct'oM/) He<«<<o<M, in ~!ppft'</h'S'i/A. t'M/ 1883, p. 818.
t. t'M)-</«-)'.o/e<, (). Kt. 6t, 39.
!i.V.)))tt<
tuitt,p. K. Cuttc<e){))M)tttttiu)) et les tt)otfi<ic<ttio)ti!
')t)i
onf(''<t))tM)t l a dM
dtn)'. ))Mnt)t;)))<i totcatsot 'tesiioue-tutcu)~jtennMttfttt
))tiut.)'tM<t't"f)ttit)uer
unut)arti':u)CLfite
int<!r':Mtntud'M!!<yat('mc!! sociaux.
<tnmit que,''H.~Uiittittx! sonttf~ ({unoMtentent
lestot-'M);)
Mutatxttteut,
ftu-iMtinmux,bo~ucuap plus~t'outintdosohjct!! Onpeutc)'oh''i
i)t)t))it)«'
<)UM toMétaientc)nj)<T)nte!i
prin)itive))ft))tt au txon'tcattim~). Maiitiout
<'Miitutoospt'!)nttihse trouvaient (teKohjet!tinanimé<)ai,p<n'
c))Hi«;:i
do
suite M.'j~xjttttttioMtt,
(ini<i~tttpa)')!tf<:
pt~Mtusau tttOK<tet~tt))nN)n'ijt''i.
)MtUt.
28 L'AXXt!f!~0<:)0).m!K'LE.)fM)-t"t)2
). ~<7/yt-<-
y~.t c/'cm~ ~tM~-H/w. L'~t<)-<<,~Mtt. m.
3. N~usffoyons n'n'treserviceentt!)iro<)MMMnth'iceHe)Mt')t:t)ettuc
noust'at'oniir<K;on!itituea.
Mioncnt<'t<')N.
nuusw xuhunsau''unurtttu
'fansnotret'nuntemttot) tf
)ovent, i'Mau
.iotti). uunuaffe()'.t )2j.)Mntt.
ta t'hfni))'')rf<c/)< )<-kitttpuuma,h- )'~)'<).t'eatou.)MXcur)ttt){<'it
K. t)t:n):UKtM m' M. mc~. Mf.À~t'tM~'nuxs ~tttt'rtVf:~ ?
f.p.w.
p.m. tM.
p.X83.~T.tM.t~t.
t. p. )<M.
i!i0.Mt.
:i. p. 4H.
)i. t<M < ))Ut'it)M<M.
t'e~ (')t)h))')UMindividuels où fiunt censés ftMjfk'r los
«MM dM at)<tft! p«rt''ttt. f)<tf)9le rlan des ~fonoxittM. des mpH~etttatiooit
'te KommieM )f- n't~Xtonies où sont fcpruMttte:) tes «)ythe< du c)<u).
t'omprenncn) h tit<um))on d'un tt~'M f( <it-M:t MKioM (p. tM. <t7. MX.
~fi. n70. f!f. ).. :!2: Xtt rt ti~. K, 7t).
).. H8.
–
K. Ct'fMfftKttt f!T M. MAt' Ct<ASHMMT<fM fBMtTtV~f 3i
t. ii38.9M.
A p. 545.
3p. 3M.
4. p. St6.
8.Spencer et Gillenneparlent<tMe<t'uiseauf. )''fait"tt
Mtt's,enr<'atit'\
beaucoup ptusgénérât.
6.p. 4M.M7.
t. n.t4S.ti}8.6t0. Ont-etnM't))t<'rit qu'Uy u entretcuMnomi.
l'analogie
legrandanc<tre
..tcelui(t'tttttirp". decetotem.
8, p.SOS. Danscertainetccremonte~ dudan. autourdu « tczarde on
fait danserdeux:ndh-idus oiseauxdecetteespec'
ttaircpn:SM)tentdeux
Ht.d'âpre les mythM.cettedanse)?taitdMJ4 en u<agedu t")npsde
t'Atehcrinfpt.
9. p. !!M. Cf. :)S. 3t<
M.p.447,MS.
Il. p. 4M.
)~.M.<
? f/AXXËKSOt;MMetQt;E.t''Ot.t''«ï
t. R.U.Mdtt))<s.int')'«M<'(<<«M of</)f~M)M'«'a)(Mt7oMH/t«'a/&'oc)'e~
<t'h))<Mto~)tiK).
))<?!.'r.XXXYH. p. IStet sui~ntes.
it.Un'y a pasdtin!!cettetribudonon)!connus<)))! dMignentspéciale-
ntMntles phnttrit's.Nousdésignons <)o))c
chacune')'<'tbsparlesnon)!!
deiiosdeuxc)a:iMS tMttitn'jniatc!nnvoitqueta nomenctatah: Mtcône
du syslimeK<nni)!troi.
E.))t'M):)tEtM.–Ann6cso<'io)..t9))).)'!Oï. 3
34 t/AX~S SOOtOKM~fK.i'Mt-t903
lit
<.):}"~<<(..37S.
~M.. là. KM.
3. j!<~Nfp., p. U. )). 9. O'uptfs M.Cushi));; t'Mdc){t~<df pa'fnM (x/n-
f<OM</«p) s'')t)bt<;t)t);tt'ctargettK'nt,-iitMt)MUticMmcot, deto'ntmcs ~t' do:!
de~rcsd''t'<!SSHmM<tn<;c)'.Ai))oaM<Xm"'N~M<p.SM!. 370)t'&uteuraIl
<;ruptwuir )t)t))ti'tu<'r!<un!i)s(''))Md'cxjtiicati~ndan)- toute 'ot ngueut'; on
voit quo. en ce tjui t'oncofneles XuRM,il fuut <tr<iphts ~!i';t'M.KuU!!mon-
trerons. est eNr'it.f'ftfbittttire de '< <:)aM)fi)-atio)))!.
s.
-t. Cushinx. < C..tf-, f. 3'i!-370.t~s !<Uteut:);s <)o))t tfrm ctaitjnt Mtt'c-
fois )n';a)i!«;M!t
uu :iUd.
M t. AXX~ESOCtOUMUWE. tMt-tMj
~Cu!ihin)i;.Z.<M..)).3Ct,3ST,~S.
S. Nousmpp"rtf'n!!Ms e<p)ications. sansnf<)]!!)M)'t''r~ttrants()MJuuf
valeur.Lesntti-ons<j))! ont pf~idc &))JLr'{)at'Ut)ondesenufeuM sontpro-
babtemontptu:.Mtttjttuxc~ f'nc'<re.M<tiii
)os misottsttonnJpfi ne )iut)tpus
intf~t.
s<n):!
't't 'jt)'; <'<'st&caui.H dubteu'ta )'<tci<f<juc
!).M. Cu!'))i"H «)<ni.
il
n'<!tab)it
pas<)MelesXaf))~ a ientjamais connu t'Of&m.
4. MM.,)<.3ti7.
N. 74«t.,p. 3~0.L~tfi)i)t(iut) y 't )tt)i'rn';))< le tnari tttthitt'ctxn!M
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K. ULHKXHtM – cr~sstnc.WtMS t'H<!ttTtVt! 3?
ET M. ~AU.<-<.
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!<r.)Ut'a4t)<itrt,e<)<)Mh')Mdusdt-u):tthrtitriesdo3d)tns;douteux.
MSt
3. Let);<k- vo~ittuor tM(uxtcsversin~su consen'<:nt buitueMtp
tniou~quelestuxtesestprose.Il<:steotain. d'atUcuM. que,pourune
tt-"<)!mndepart,losXuM~ au tt;~p!idotearcunv'tston.
avaient, eMt't-
diroouXYn<' tn''svoi!ii))M
tiicde.unem-gani~tiu)) M.Cuetttn)!
docelle(jUti
chu:oux.Lu.ptupartd'i!)
? <:tu')i<!e conMriMt et desdans tmiiu-
existaient
t/AXXÉEMCtomc~rK. t9')t-!)"t:
« futtruu\)'t &un
~)tr'tiv.t.c)tti)i<'u )ttO))tMnt
dt;t<;Ht)iM~'
(~.C.~f.,)).3M,
3M,99t<,ï9'),<oa.~t.t3U).
<<J'V., p. M9.t<t'!i péages :'uivitnt!t'ionttrt!fi~fno()stmti
tit iiMt'c~
p'unt H!)poftufMnt)ostubes <)e~
choMS<u:))MC!t
mu notHhrMdo quatre,
cofreapondant aux niionsdo~hommes, f)« tt&jmrM't'tiMt
te*votantade
divinfttic'a
aunombre dequatre,mrreiipondantauxn'gtonsdeshotnmo!)t
(/&M.. p. 4M.Mt).
i V.infra,p. 43,K.
m'KKHMM
RTM. MAt'-tX. Ct.i!tf!t:ATtO!<S
ftHMtftVKS4t
fÎ11LY111111f.
~nt2Iuns
tu));ucut les ntt tlne 1.r.l~
des autres en ce que chacun a la couleur
caracturistique de lit région à laquelle il "st attribue uiusi
eu dehurs de l'aigle locatif au xéttith, il y a des ai~lei;
fétiches pour toutes les régions il y Il l'aislo janno, 1 uigle
bleu. l'aigle blanc, l'uisie noir Chacun d'eux a dans M
région toutesles vertus attribuées à l'aigle en général.11n'est
pus impossible de reconstituer lu marche qu'a suivie la
pensée des Zu'iis pour uboutir a cette couceptioncotnptexe.
Les choses contt)teae6rentpar ûtre ctasseespar china; chaque
espèce animatofut, par suite, attribuée tout entièreuoctaa
détermiué. Cette attribution totale ue soulevaitaucuoe di<H-
cuM6 car Uu'y avait {tucuHe contradicttou&ce que toute une
espèce fut conçue comme soutenant un rapport de parenté
avec tel ou te~groupe humain. Mais quand la classification
par orients s'établit, surtout quand elle prit le pas sur
l'autre, ulle véritable hnpossibiHtéapparut les faits s'oppo-
Mtienttropévidem<nenta une localisationétroitemetttexctu-
sive. U fallait donc de toute nécessité que l'espèce, tout en
restant concentréeéminemmentsur un point unique, comme
dans l'ancien système, se diversifiât cependantde manièreà
pouvoir se disperser, sous des formes secondaires et des
aspects variés,dans toutes les directions.
3"Dans plusieurs cas on constate que leschosesaoût ou ont
été. à uu momentdooce du passé, directementclasséessous
les clans et ne se rattachent que par l'intermédiairede ces
derniers à leurs orients respectifs.
Tout d'abord, tant que chacun des six clans initiaux était
encore indivis, les choses, devenues depuis les totems des
clans nouveaux qui se sont formés, devaient évidemment
appartenir au clan initial en qualité de sous-totemset être
subordonnéesau totem de ce clan. Elles eu étaient des
espèces.
La même subordination immédiate se retrouve encore
aujourd'hui pour une catégorie déterminéed'êtres, à savoir
pour le gibier. Toutesles espècesde gibier sont réparties en
six classes, et chacunede ces classesest considéréecomme
placée sous la dépendanced'un animal de proie déterminé.
Les animauxauxquels est attribuée cette prérogativehabitent
chacun une région. Cesont au nord, le lion des montagnes
qui est jaune; à l'ouest, l'ours qui est sombre;au sud, le blai-
i. M< ~'eWxM,
)). iS,:t. SS,M.m.YL
).'AX)f6ESO<:tM.Mttt~'t!.Wt-<i'M9
1.U' f!t!i!')t))))'«tt't<t
j.Mft'ij~-t)<<Xuhi'ju~itit'ntf'-ttftt:tsit;ttMtiott
d"
tt[itic(Mttt
tnoM're cotnhien )-)-~u.<ueit<)i'tn.<d'id~c~d-pt-ndent (tu(-)H).L~
'"MtAfait <'tM))t:f!'t tanatuffintfins')upd<')«')t<t'stt..H)(-t~"). LftBd
ftk rou~G et
))«ur<'<tuto))'ottdit (;ue))'htaireeuf'~t du !<«<)
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\'t)i)tt i d' 'jui th'ttt
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:t. ~<t rt!partiti<t<t dt'.<)tit)i<')..cntn.- tt-') t-i);M)ti))t:tUt'tL-jtf«i'!0!.t
t'xpoo'.o
dam p)M!.it)t)MxtyUM'i) (V. Z, f' (.. tu) Ilui nf- <-f.Mutdo<tt(~ dans tous
les f~t<n)<, tnitis ~ui Mjto~-Mt am- ). tt.tt)f.< ;)) i))':ipe.<.CM diM-ordMtox
~'etpti~nent ui~ment t'H rxiM'x dt". mf<()ifi<()in)t!i')ui i-c MM) prodaitt-s
da)).<i'orio))tutif)t) dps t'ttm.
4. f.'at six «nifttau): ~)i'')M.<tncidcntcMCtM«<-ttt. «Htfdfm, <n-<!t-h";
six attintttUt de proie df). )Hyt)t(" L<t dh't-t~cnc); tifnt
i.itnptonx-nt de t-f
')<te deux )'!i)))'<-<-A ont f-tc r)'m)'t<M-< jtar d''ux itu~ ((M)<?ttuent tpptt.
renMtii aux t'rf;ttth''rt'!f.
:i. Ce qui lu prouve. <) <)))e)p ft'tifttt'd)) «'y'.h'jaun. 'fti est attribt~
au nord coMttfi'' ~pMce ijccandttht-. a f-t')«'))()ant m) Mttt! de pn'M'Mnf'' sur
t<!Miche da Mt~tc Mea, t.'tjUft ').~ de t'ttm-jit. Y. <tM.. ?. :tt.
C. t) y <t bifn )f' .-f:r[))'ftt((Ut t.t totem du nadir )'t <)ai. tt'np)'< ))tM id'S
actuelles, <<) una«i)ou) d'- ptoit-. Mtu.s il n'tt <-i.ttta;- ainsi poo)' )t' Xuhi.
t'oartni. )<<to'-t!~ <)'-proif t)r jMWf-nt .tt' f)M''d(M)«'-t''s ««)))!< de ~fiHos.
K. OfKKttHtM –Ct.A~tt'H:ATt"S!4
KTM.MAt;S!t. 43
t')MM)'ftYEi'
p. )X.)'
t. MM.,
X. M..p. Mt '-)sxiv.
44 t/AKStM! !KM!MH)':tj)UK.KMt-tttM
i. llowitt.~«<<<'ff<<««
m~tctHfM<'«. in J. A. ).. XVt.jt.!tt fto'~f)'
.etM.etc..inJ.A.t., XVIII, p. 0:
S.Lamotde W&rtwut veutdire4htfois~or<)et vontdx ~t.-K.~aest,
uuvontchaud. f«)'<Ae<Vo<M. in J. A.)..XVttt.p.62.n.ii.
3.~M~f.NtM/tftnc M!<K,p. 3t.
t. f«)'<Ao'~<M. p. Met suiv.Cequisuitestie re~Utn)! dutexte.
5.Voici,autant<)u'e)ie
peutêtreétablie.la traduction destermrsindi.
~f-ne! tesclans 1 et 2 (rfttaui)
désignant signifieSoleil3 (Barewun).
Unecave(?);et « (Bttchengat). Petiean:S (Wartwat-Batehan~), Pe-
iicimventchaud:6 (Wartwut) Ventchaud:7 (Moi)Sorpent-tapis 8 et9
(Munya) Kangourou (?) )0(\Vurant),Cacatois noh-:<9(!tf;ungut).
Lamer:
13(Jallan).VipCretnortt-ttu.
t'tttMtTiYK-5t
KTM. MAt'S~.– t:).A!<!Hm:Tt('tS
K. ML'tUCftEMt
[V
1.)).-<;r-t./&M..
)).?'
ii.)h'<itn.)t.
?«/ p.a'H.
\'mr ;))us ))<tU), )). :).
H. (tUMKMKtM – O.AMni'mMf'!t'HtMtTtVK"!M
HTM. MAL"!}. 9
LesChinoissont arrivésà ce résultat par le procedfsuivant.
ttsont constituédeux cycles,l'uu dedouzedivisionsett'autre
de dix chacunede ces divisionsa son nom et son caractère
propre. etainsi chaque momentdu temps est représentépur
un binômede caractères, empruntés aux deux cycles diuf-
rents'. Ces deux cycles s'emploient concurremmentaussi
))ien pour tes années que pour tes jours, tes mois et tes
heures,et l'on arrive ainsi &une mensurationassez exacte.
Leur combinaison(orme, par suite, un cycle sexagésimal
puisque,après cinq révolutionsdu cycle de douze, et six
révolutionsdu cyclede six, le m<hn<'binantede caractères
revientexactementqualifierle mêmetemps. Toutcommetes
saisons,cesdoux cycles, avecteurs divisions,sontreiiésa ta
rose des vents et, par l'intermédiairedes quatre points
cardinaux,aux cinq éléments; et c'est ainsi que les Chinois
en sont arrives à cette notion,extraordinaire au regard de
nosidéescourantes,d'un tempsnon homogène,syt'nbotisépar
les éléments,les points cardinaux,les couleurs,les chosesde
toute espècequi leur sont subsumées.et dans les dinérentes
partiesduquel prédominentles influencesles ptus variées
Cen'est pas tout. Les douzeannées du cycle sexagénaire
sont rapportées,en outre, à douzeanimaux qui sont ranges
dans l'ordre suivant le rat, la vache, le tigre, le tievre, le
dragon,le serpent, le cheval,la chèvre, le singe, la poute, t''
chienet le porc Cesdouzeanimaux sont repartis trois par
trois entreles quatre points cardinaux, et par là encorecette
divisiondes temps" est reliée au système géncrat. Ainsi,
disent des textes datés du début de notre ère, « une année
« (~ » a pouranimalle rat, et elle appartient au nord et à
i'oau uneannée« trie» appartientau (ou,c'est-à-direau sud,
t. V.duUt'out,
/tM.p.Uti'973.t)'M)< i)-~t~
te;!ptu!.ant-h'nt'')u.i<)u';s
tu nx'n)!!
K)))M))<hit's et tesi2 'infime.
i On suit ')au <<Mdivi~iott.'i duodecint;t)'Jii et st:i[!tt{"t<'s ""t "i ')''
hMe & ta otonsuMttMt ''hinui!M 'in t'en-tc D'.JMtt'. '!) it fit <)iviiii"t) <).- ht
)t"Msiiu)edhitttttmn;.
3. D') Cfw), MK< j). iHi6.
t. MM..;).'tSC-tMS.
ii. MM..p. tt. ?7.
'i. JiuNS t)' jMtttuM.-i
tt')Ue~H<)M'tx;r<)'';)''t)~t'')))''t!'cy't'i't''s douze
'tiviiiiuttif
et tc~duu:)anuM'M t'op~sMntc' )')n''t'-saMimttux n't<nont.a
t'odgino,qu'unoseuleot ftxttoodivisiuudu tettttx,t'un'!fitoturiqU).
t'anh-e exotc~tjue.Unt'[tu lesappelle « tas<h')tx doaxain''lui<')tp)Mtr-
ti'!nnc))t)'ce ')ai paraitbit'n it«ti<jMc)'
<ju'<;))<;ii 'ju'un';~euht
t)''M'ti<'))t
t't)t)t''nn'
'touMincdive)'~<'m'*t)t
!t\tnbuii:icu.
60 L'AXEE sORMt-OOQM. <90i.t909
et sou animât est lie chevat etc. Subsumées sous tes 6)6.
ments tes annéeste sont aussi sous les régions, représentées
elles-mêmes par des animaux. Nous sommes évidemment eu
présence d'une multitude de classemeuts entretaeés et qui,
malgré leurs coutradictions, enserrent la réalité d'assez prés
pour pouvoir guider assez utilement faction~.
Cette ctussincation (tes espaces, des temps, des choses, des
espèces animales domine toute lu vie chinoise. Ktie est le
principe mémode ia fameuse doctrine du Pung-shui, et, par
tu, etic détermine i'orientation des édinces. la fondation des
villes et des maisons, l'établissement des tombes et des cime-
tières si l'on fait ici tels travaux, et là tels autres, si l'on
entreprend certaines afïaires il telle ou telle époque, c'est
pour des raisons fondées sur cette systématique tradition.
nette. Et ces raisons ne sont pas seulement empruntées a la
!;éotnaucie elles sont aussi dérivées des considérations rela-
tives aux heures, aux jours, aux mois, aux années telle
direction, qui est favorable ;<un moment donné, devient défa*
vorable un autre. Les forces sont concourantes ou discor-
dantes suivant les temps. Ainsi, non seulement dans le
temps, comme dans l'espace, tout est hétérogène, mais les
parties hétérogènes dont sont faits ces deux milieux se cor-
respondent, s'opposent et se disposent dans un système un.
Et tons ces éléments, en nombre infini, se combinent pour
déterminer le genre, i'espece des choses naturelles, le sens des
forces en mouvement, les actes qui doivent être accomplis,
donnant ainsi l'impression d'une philosophie à la fois 8ubtilo
et naïve, rudimentaire et raffinée. C'est que nous sommes en
présence d'un cas. particulièrement typique, où ta pensée
cottectivea travaitié, d'une façon réitéchie et savante, sur des
thèmes évidemment primitifs. 1
Un effet, si nous n'avons pas le moyen de rattacher par un
lien historique lesystème chinois aux types de classification
). WiUitUM. t. p. T-ë.
S.Yuunj!. T/'eK<f);~< )'<< «"tf.))!?, p. M.LMMtrf.'imtcu)'
ne Mtenti~nHent t)u<;lucftmutttti'tt)<)'< 'k'vitti et ttt ':unsidt'-Mtion des
cychM. )'a))<;t!«ix.f'w)'<~«'H '< Mo.MMMtc T/Mï.t. p. N3:~«'~«Hft«(t'e
~MtM)CM-aK!a< tntf"t.. p H: (!)t''vit)ant.tf .SMM< et /M.Stfot««'t'arif-.
tKtt9,p. S5: cr. p. ~M;U' )'t Luutwti;.~fito'i~fm~~M <'u.a«Mf'f/c.SM)n.
~t
Att«t<tt)t. )?)<. ). p. 'M!: v"' ",)' "2.
tti~t"in'tt.<iiHi! – AN(:!m)))'")({a.
t'uxtj~iftUt:')'.
Co<'yc)('!if'nth)))av'<it'oaune
)<-cy<')c '-n Chi'x).M«tira.)«f-«t<~«;t'<<)<:
<-itott)'to\t'-t-utntm- <t).<-f-<tt«.
tof/awt. )H7<i. ().t: MaX ni )f.<itu~'UM ))))' r"<tc< t~ <)'intMt'-
))(tt-)ut)t
V. A'tMo'tU'L''fb' Co<~
tti(;tious)M)tt)'in«'ftia)'t'<'tatit'<'iitt'«')(;.(
<:<tMtto<q.jt.Paris.)'<!?). t)f-<t<)<")'- y n t~toutsimptonent
pt'otxtiitcfju'it
unecwydnccd'ori); cx':)usive)))unt (th'iMtuiMett)'aut)t)tt)')U!' ~f)p)thi)'<)
lu divination e hinoi. est )<)us eM u~tje dans ''c-!!.oci~t~.
f)U<3
)iS L'ASXKK MUt.taOS
SM:K)).UUt~<K.
<'t.p. 3)').T(t.Mj.Cf.H)Mit~.
t. )tKUc)M't.udut'c'j. )'/<)')'
BifA'i)'pf)'/Ae)<<
A'<t)MM<
(n
B«~M/tMtf/Mti</ ~yp~x. (<4Mt/ A~ Bajw..)t«t/. «M<
M..t. XX),'1897.p. 79M)).1.
3.U'aprê:Pan-Ru,auteurda')eux!t')ne!nActe.<jMi
s'appuiesurdesauteurs
beaucoup V.DeCroo).Me Mt~io'M
plus<n)<-ie))S. o~f~tna,t'aft.
S'/ft/fm
tt. t VoltV.p. t3.bll.
6t Mtt.MOe
f/AX<~B !Wt:HM;<Mtt()L'R.
EtHMDUMUSM
ETMARCEL
MAUSS.
Il
t'ttrM.BOUum l~
1
LES t'OKNE~ DE LA HtVISMS OU TRAVAtL
t. /<MM<!B~</e~<i<«'j'MC
(ta~Ofto/tto/c~~Mp <<;n~«/«'(/M
(.'<M~.
ayn))''M.
g.Cf.La)a))d)'.
o;).<t7..)).S!<8.
3. V. ~t~Mt'X'/C.~t~MF, [. tV, )). t-)S.
Tt t.'AS~BMCtM.'MtOCE.lMi.ttOS
t.0~.ett.)tap.x'H.Xtv.xv.
V.par Momp).' {.ouflu t-'rance Le~sMur.~ott'e d« tfaMM
eMt-)-ie)tM~
</f<nt<<Mf<-<e
enff-oo<'<«MK< tM9.P)tt~.tt)00 pourt'Aho.
ruulruet~ierko,
))ta):ne Hierku. Uax
CM Ueulaclee
~«<<f<<e <<e(MMe)t<c/)o/'h)'teA<.
lierlin, Bertin.)M8.)88)
18G8·1881
pourt'Anf!)cterru A~tey.?<<«:)'< (~M<<M<rtnM
~CMMMMMM ~n~<.
<«-<-<
TnM). fr..t'an.<,
«MO.
3.V.ptt-ewmpte.G. Colm, Gea)«ntf<'M<)<t/?)<))<a«~eH<)MfMe~a/'<.
UOUC). – TU~MtKii RUK LA tMVfStOXDU TM.Att. /:?
<. Co sont cex dit'ifionx qu'un retrouve, a tW's peu ttf cttui.f près. ttani
tM (fUt'rttRM <t<iMchtooUct-et dans ''t'ux ')<; Buctfr. Cf. )).' ch<t)'itre do
Ch.idc sur la division du twai).«~.c~)<.)?<')').
80 PASSÉE t90t.iM!
SOCMMQtOPE.
Maisencore ne sufura-t-it pas pour les dégagerdo caracté-
riser fidèlement, eu essayant de restituer t'originatitéde la
réalité historique, tel ou tel stade de l'économie.La jeune
ceotehistorique, entraînée par sa crainte desabstractionset
par son goût pour les descriptions. s'est complueà cette
méthode. Mais t'ou se rend compte aujourd'huique si l'on
veut extraire, du chaos des documents,unevéritablescience
sociale,torce est de constituer, par une abstractionmétho-
dique, les ditïérents « types Hde phénomèneséconomiques
et de dresser le tableau de leurs formes possibles Lathéorie
de la divisiondu travail devait elle aussi porterla marquede
cette réaction contre l'excès de t'historisme.Nousvoyonsen
etïet qu'on essaie, de divers côtés, non plus seulementde
dérouler la succession des différents milieuxque le phéno'
mènetraverse, mais d'établir une classificationsystématique
de ses divers modes.
Si l'on cherche, pour bien comprendre!a naturede la divi-
sion du travail, ce à quoi elle s'opposesymétriquement,on
rencontre,conduit par le langage même, le conceptd'union
du travail. Mais le langage est-il Ici uu bonguide?Ces
idéessont-ettesvraimeatantithétiques?Oubiencelleci nefait-
elle qu'enveloppercette-tà? En un sens, – tous nos auteurs
le reconnaîtraientavec Rodbertus~,– toute divisiondu tra-
vail est encore union de trayait. L'expressionde division du
travail est mal faite si elle nous fait penser la séparationet
à l'isolementdesindividus l'essentieldu phénomène,c'est ta
connexionqu'il établit entre leurs efforts.Maissi l'on entend
par union de travail l'accomplissementde ditlérentessortes
d'activité par une même personne, le cumul de fonctions
qui est le propre <ie la femme dans la maison,de l'ouvrier
bon à tout faire, du mineur qui est en mêmetempsagricui*
teur. alors il faut reconnattre que l'union du travail est bien
le contrairede ladivisiondu travail.Aulieud'êtreinférieure,
la quantité d'énergie productivedont disposel'hommeest ici
supérieure a telle besognéparticulière; il assumedonc plu-
sieurs besognesafin d'occupertout son tempset d'employer
i. V.Bâcher,
op.c<<p.2t2.!22.
9. C'est <-ufjne M. Hacher )tp)x.-))ti.)<-A<eM''<nM/)<t~ et fjM'i) distingue
'te t'/tf'rft'ftot~MM~.
K.OcM:nt!)i).–AMnMU!.oeiot..Me).t!)M. c
82 L'AXM~E M0t-i902
SûCtOMOtQUE.
ouvriers. Le produit change de mains, mais U ce changepas
de propriétaires, il ne sort pas d'une mômeentreprise. Nous
n'assistons plus à uu sectionnementde la production,mais,
à l'intérieur d'une mêmesection,à uneanalyse,à une décom-
position du travail. Le cas du forgeroncioutier est différent
encore. Le forgeron cloutier ne façonnepas seulement une
partie du clou, comme l'ouvrierde manufactureune partie
de l'épingle,et son travail n'est pas plusanalyséque celuidu
forgeron ordinaire. Mais il ne s'applique qu'a une espèce
d'objets. Cet objet no passe entre les mainsni de plusieurs
producteurs ni de plusieurs propriétaires. La fabrication
d'un seul produit par une seuie main, &l'intérieur d'uue
mômeéconomie,telle est la caractéristiquede ce phénomène,
distinct aussi bien de la décompositiondu travail que du
sectionnement de la production. H n'a plus pour résultat
de diviser les travaux en tranches successives, mais en
branches divergentes; les sectionsqu'il trace dans le pro-
cessus de la production sont longitudinales et non plus
transversales. C'est la spécialisation proprement dite qui
nous apparait1.
Mais dans la spécialisation mômeit faut distinguer des
variétés car elle peut se produirede façonsbien différentes.
Tantôt on voit tel genre de travail se détacherduigroupeéco-
nomiqueà l'intérieur duquel et dans l'intérêtduquel il s'exé-
cutait. Désormaisil sert de centre à une économieautonome,
il « nourrit son homme une professionest formée.Ainsi
la plupart des métiers naissent en se séparant du ménage.
Maisil y en a bon nombre aussi qui, au lieu de sortir direc-
tement des premières unités économiques,se sont formés
ultérieurement, et c'est précisémentle cas du forgeron-
cloutier, – par une spécialisationnouvelledes métiersdéjà
spécialisés. II faut donc distinguerde la formation propre-
ment dite la subdivisiondes professions*.
Ajoutonsque danscertainscasdes professionsnaissentque
rien ne faisait prévoir, auxquellesrien d'analoguene corres-
pondait dans les régimes économiquesantérieurs. Elles ne
résultent pas d'un morcellement;c'est l'apparitiond'espèces
de biens jadis inconnus qui les suscite. Tel est le cas par
exemple pour la photographie,la fabricationdes glacesou
op.cil.. p. 75.
t. V.U'*c)tMne,
op.<-«..p. M,5S.)M.
3. V.GuintO').
3.BMtcf.op.e~ p. 2TS. en nnt'
4.V.GuirM't.
citanlXen~phon. p. S3-St.
/&M.,
S. V. Petrenz.o~. cit., p. <9 s')f[.
MuL'ûLH. – 'n))!o)U)M ~L'tt t.A P)V).<<0}!m; T)m'A)f. 83
1.
). < cil..)).9<)t.
op.c)< p. SX.
a. V.luHbteMd-itiunu,
M t.'AXX~CMLOMQCE.MOf-Wi!
<.fiechesn'op.c<<p. :iT.
2. M<i~Mf coMMt~fMtncMc. H.p. SU.
S.C'est):tdetinitinnqM)!.Tanh'propose )utravailfJf's
pour<)i<tint{Mer
autrestondesd'Mtivtte. On nu comprend gucre. c'iUe
il h~ite il classerparmi!tMtntvautte~aprf's dëfinittun,
pourquoi opt:ration<
militaires
(V.~cAo~/x'<'cooeM~«e. 1.p. S~MiiS).
t. C'ett ce dont une etadM a eM MfjuiiiiiM dans tes conférences faites jt
Meotede Saint-Cyr, sur ~t'nt~M <<'aM<\t<M<~M.
– T)t&)R[MSPK).A DtV~tO~M TMtV.tth
BOL'ULÉ. 89
II
DELACtVtStOK
LESCOKSÉOUHXCES PUTHAVAtL
t. Op.cit. p. <S8.
X.Y.Block, e~.<-<<chap.xvn.
Mf'fCt.)!. – Tm~MES SfH H tttVtMOt DV fKAtAt). 91
j. C'MU'0!:pr<i6!)one))))))oy~'
purBMtitt(«Hxt'fc*Y),p. M7;.
Ï. C'estce'jtteM.LatandcnoU!! illiola ),j)t"'i,t)):Ht.
jwattoah)i<'f<jMan<t
liona desncccsiiiMi!dula natureftnimtte.et nouiihl pt'ost'ntM
comnM
« i«)p')!!MK
<tde:!~h-cs pur leurcondition't'cttfsxtMt~.mt:.
t)en<i!mt:i
tC~.ct'f.,p. :«).
M t.'AXXKHXUKtOt.UtittiCE.MOt-tUM
trice a mis sa marque.La spécialisationperfectionnerasans
doute Mle métier Met raMinerata technique de l'art mais il
tt'y a que trop de chances pour que ces avantages soient
compensespar tes mutilationsque cette spécialisationmême
imposea l'artiste sa virtuositéne crottra peut-être qu'aux
dépens de son humanité.Mais, pour la science etie-meme,
œuvreévidemmentplus impersonnelle,et a l'avancementde
laquelleon peut véritablementcoopérer,croit-on que la spé-
cialisationsoit tout bénéfice? Grâce t1 sou entremise, nos
découvertesont centuplé sans doute, et chaque jour elle
entassedes connaissancesplus préciseset plus nombreuses.
Maisle but de la sciencen'est pas d'accumuler,c'est d'ordon-
ner, et de fairedes corpsaveclesvérités éparses. Or, le pro-
grès de la « micrologie ne nousfait-il pas, souvent,perdre
de vuecet idéat? et ne dimiuue.t-it pas notre capacité de le
réaliser? Lestêtes encyclopédiques, à fortiori les têtes syn-
thétiquesse fontde plus en plus rares. La sciencemoderne
risquede manquerd'architectes1. Etcelaserait fâcheux, non
seulementpour le progrèsde la philosophiegénérais qu'on
devraitextrairedes sciences,mais pour le progrès mêmede
chacuned'elles en s'isolant, elles se stériliseraient. C'est
sur des argumentsde ce genre que le positivismes'est fondé,
pour dresser le procèsde ladivisiondu travail". Et contreces
arguments,l'apologiedes économistesne saurait servir de
bouclier.CarIl nes'agit plus icide produire le plus possible
dansle moinsde temps le pointde vue réet et quantitatif
n'est plus de mise. Lesvérités ne sont pas des choses. Et
l'importanten matièrede productionintellectuelleest moins
le nombreque l'ordre.
Cetteabsenced'ordre et d'organisationn'est-elle pas d'ail-
leurs, a y bien regarder,aussi préjudiciableen matièred'in-
dustrie qu'en matièrede science?Il est à remarqueren eitet
que le systèmede productionvanté par tes économistes,s'il
1.V.Hobsun. fntK<~e<~<«!<
x)v:Off<q''M')<!<t:«<fo)<
e/i.c<7..<;)tap. life.
Cf.A.Cr<MSun. ~Mc..<«)-t/M-cMMn/fOH. Vantes. < *Mt.Dans desnotes
F.<)'!CoutMfM. pab)M);sparlaM<n« </e~/)<AM<<M'<<M'«e 'juin~!M)t).
de-i'tanf~er~
f)nvui~~a'itsept-MOt-cup~it f Onae
du.</)fc<«<Mn)e plaintfjoe
diinst'indnittrie
ce~enrff))' i'mprit it ttfm))]"in!!
(nn'aUn:tr<!t:it t'tVtn-
htj!dufinirpar faiMdehonnMmontro!. Ene~t-itdela !!eien''f cottttne
det'hof)e~<:rieEttjMMd nousauronst'io't sixcentstrafitifieurf) f)"
t'iauxsurunn)';Hte connattrons-nous
si'vit-, t
tesi'ci«entift'. onrmttt'OM-
ouuiila suei~MCcta estp'.ssiht'*ntai~noncertain
V.<eM<~ t~/<t~o/i/«e/KMt<f)~. tV.p. titt,4S~.
MMOLÉ. –- TttÉtUttEt SUtt t<AMÏMOX Dt: TMVAH.
.1.Mart,e/).ct<p. iiiS.
? LASSÉ)!M)CtOMMMW:E.MM.tM:!
1. V.dansta~fatx/e~CMt.nosartictes:
LaMfeMM cM<H'/<ï<MMec~o
)'.K)t.
(novt'mhre Mvfx'r)ae~.etCa~ett~MtcM(<n'fi)
i!)t)tj.
ii.V. Bimer. /.Mt~<M<f«o<'<a<M.
3.C'exU'opiniond't'~tb. Cf.Schm&tter. p.400.
CfMHdffM,
4.C'ostcetrin-tutquelelivrerécentde M.Baunrnufaitm~theufease
mentpas.Y.plusbas,p.tM.
HOMLÉ. – TMKOM6A ?« H MVtStOX nu THAVAn, 97
1.V.Scht))f<))<'r.
o/).f~ p.3Msfjq.n<fb)f)t. /")/ )8!).t:f.dans
/<ff.<<')'<
t'.tMMf
Mefu~~up.)V(fXMHtuitf' sur/Mca~/p~).h rofutatif"')';)atMii''
do~oneh))M'w/' t'x'fo/' </<?
c<M<f <M)) 'tuiparaissaitfat-otubtu au
MtatefittistHe
hiittttt'itjae.
2.C'estCM
<juuDùhnnsobjecte itluttx-oric
sociittisto p. 78!.
.f.'«)'<Kt,
3.V.Bitfher.
discutant o~.c<)). ~Oa-Xtt.
SchtoeUt;)-,
)-rhMM6)M.–AnM''M':M.m).)UU2. 7
h'AXXKKSOCtOLOOIQCK.t90t-t9M
t. c'7..p.Mu.Cf.Limande,
SchmoUct-,
o/<. "p. cil.,p.?.
)tu(;t!).K. TfOtutttM ~tt f.A tttV~MX M tttAVAtL 09
i. Op.cil..p. t'3~.
V. Bû))ff{'*ois,&~Ma)'f/< et le C<M)~<'M
<f</«ca/t'M <oe!a/c, pas-'im).
3. \Dur)<))eim, op. ci< p. iKMt.
))OM).)i.–T)))if.))UJM!tt'H).AOfn-!)''X)'UTMA\H. tOt
). M«/ p. ~iSfj'
a. MM..)).)Ms.)'
tM )/AXX~ -)CML~M!~t.'E.)90f-t9M
). /AM..
p. )H<s.).f.
~tf< ),. )M-tH.t97-d')3. idée~aeM.Faguetcon).
f"MtMUfn).n)<i
BH Tn.Att. tM
MCt!).)!. – -ft't!"H))M ~'tt M~UX
4./4f' )).3M-367.
V.t'u~iigf~ufle <.:.o)idari~tH!'
hit decettenotionditnste tn'rcdo
M.SuUt'H' Jtitiut).aj'jn'tidi~t.
)t<!t').t.t5. THH'~tUES ~'K LA DtYtOOX PL- TKAY.U). <05
). MM.,)..3<M7t.
t*.)-m. M.))urkt":itur.'t<rfnd d<s
et ()~)u).)M.dan!'Mttc).n:-t'dC'
idéesqu'ittHititindi')U~dansta con<:taniundu~K";tWe.
t<M L.tXfÉË~ocMLMt~s. tMt~MS
). f~. c<7.,
p. jM.'jo.
))<));<![.)!.– TH)!oMtM "H t.A MVKMX DU Ta~'Att. t0~
< <ju'M.f-i!tt)m.')
).C'f.<t t<ont;uenx*nt dansson)hr' <«-
<~v<:)n))[).;
</M
<««~)/ftC 'M/<<.).)'))t!tg.
t'JOU.
/.«f<<Mo<M<<utt
L~im'te, Tarde./.Mlois</<'
<'<Mo<«<)e)t.
pM-im.
i08 ).'ASXKE ~)CMf.u(:fOCË. !90t-t'~
III
LESCAUSES
DHLA OtVIStOXPC TKAVAtt.
i. Y. plushMt.p.M.
2. plushaut.p.
110 t.'AXXHE«JC)Ot.OUMt.'E.t9M.e2
1. 0/).t-t' p.M.
A Sj~-ncer. Les w~<<'f<<MKtt'H</Mt<
<'<??'<. (<<t)-t..cho;). «.
Mt~'t.).)!. – Ttt~K))~ St'R ).A MVtttOS t)U THAVAtt. m
i./AM..p.~t).
BOUGt.É. – TMHUME~i-(;)t LA PW:.(f)X ne nm'.Ut. US
1.~'ffMt<j'<t/M'<M<'t~M.
)).:?). <Jf.Outkht'hn.H~.ctf..p. :!M.
/<<')-)«'<'
j'M.-H~w/te.
Mùt-C)'t''mhr<;fut. p. :)'Jti-'M7.
ï.t)t)rkh.;it<t~).c< )).Mt.:ttU.
t(& r.'AX\HE mctOt.MtOt'R. MOt.t'M
t. MM.. ),.:Ï.JM.
M.C<titf <Nt'cil..p. UM;n~utttcinnsi<k.< considérations )tnutu){u«
Je n'dij:nn:ti< pruten'tuiM'cor'ter
aut villesun'i~m't'; de pouvoir n)y~-
de
ti.jmiin<h')Mt)t)a)tt <)'J
leurs
htcotnpu~iU'n habitM~, cotome siunt)an)-
hit;pouvait unoti~ueor
dtitMt-t~'HMpr'xittirf' fitrhuh,t[ud.<<)U); fmMnUMi
in~di<!nt.< 'juct'unyYcrjAt. Jeshutiens uniqaetx'-nt f';i
')t)c t'itk'!sontftes
matraiiuù ~t-fu~mnnent tes racfs,ufts'anoutent lesinstioet!herudi-
')()< n<;utra)i~nt
t&ir';<, les!entim<;nt<ftt'tu~iheth;~)<)')!juf{~ obstinés
dusil)');dN<'a.tiontr~dMionn<'t)(i
ft in\'4ri:t)tt'oùM funnent.parcoMo.
';ucnt.d'5foutesaroorjfhcs d'tHt/f't'tt/fH
fon)j")!'<!e3 dout' d'unerertainf
vttnabiUt' d'unesou)))':ss<:t)X!nt:tt<!
'jailesrendaccOtOtuodahtes a toutes
tf.<i-cinilition~;
Ip. conditions nout')te.<
nd)uvelleid'onesociétéen
ol'une en cours
';OUM dotmnsforiiiatioià
flotransfunnstiun etde
ettiu
civiUMtiunPtU9~'m)e m6me&utenrpatie de CM tatjontoircit
urbaitts.
urlrains,
urhains, uû
où
oùs'oloère
Plus le4!rfjii(-nient
sbpere lucrr,i;r·roent
(ecrc.iscntent
desirarlitions
destmdition~
destraditions rrtuüae
parle
et où~eccrée
crvielufMufte
es )tla facultd
fatujté»-
rle
de
(le
variation ()uu ))<ettraen'f'avre ta concarrence en
vitate. déterminant une
nouvt'Ue adaptation desfunction-iaux h'soins. < '
))Ut.i).K.–TttHuK))M.<t.'Rt.AM\);-tuXUU)nA\.Uf. it7
). o/c<< p. stt-~M.
M«/p.:K)K.
M;< ;). jS!i.Si').
tt~ t.XN~ MCtO~tiWB. iWt-t~S
M.Curewitscil quela division mêmedes sociétéseu classes
surexcite singulièrement le déveioppementdes besoins
ttumains? Dans des milieux ainsi disposés,ce n'est pas la
lutte pour lu vie pure et simple qu'on voit se déployer, c'est
encore et surtout la lutte pour la puissaucesociale Ledésir
de se distinguer et te désir de s'assimiler, de marquer les
distances ou de les ettacer.de tenir son rang ou de sortir de
sou rang, voila, saus doute, les ressortssecrets les plus puis-
sants de la consommation Oul'a justement observé de
quelque produit qu'il s'agisse, c'est toujours le luxe qui
t'inaugure et qui le tance et si tant d'objetsde luxe sont si
universellementconsidérés,avec le temps, connue des objets
de première nécessité,c'est que la « capillarite socialeMest
universelle1 l'inférieur fait tout cequ'ilpeut pour se rappro-
cher du supérieur, qui fait tout ce qu'il peut pour ledistan-
~r. Kuce sens encore,et dans la mesure où ce développe-
..t~ntdes besoinsfavorisele développementde la spécialisa-
tion, la division des.sociétésen classesdevrait être rangée
parmi les causes/bien plutôt que parmi les conséquencesde
la division du travail. Et ces causesdevraientêtre cherchées
non plus seulement dans l'influenceexercéesur les facultés
et les besoins des,hommespar lu forme extérieuredes socié-
tés, mais dans l'influenceexercéesur les sentiments mêmes
par leur structure interne, par toutessortes de phénomènes
d'organisation dont l'étuderelèveraitnon plus de la morpho-
logie socialeproprementdite, mais de la sociologiepolitique
ou économique.
D'une façon plus générale,qu'on soit forcé, pour expliquer
le progrès de la spécialisation, de faireentrer en ligne de
compte nombre de sentimentscomplexeset dépendants eux-
mêmesde causestrès variées,on s'en convaincraaisémentsi
l'on fait attention à ta nature de cette « nécessité » qui
impose, nous dit-on, la spécialisationaux sociétés volumi-
neuses et denses. Est-it vraique ce soit une nécessitéd'ordre
tout extérieur et mécanique,une sortede fatatité qui pousse-
rait les hommes sans qu'ils s'en aperçoiventet sans qu'its
t. c~ :i3.7)..S).
± C'f-t f-r~uoi Lan~'at-aittttir. rétention f~et/H'f. pa~in)).
M. Cf. T.u-.t. ~h ele t'iM))tM<ien.p. :M') \i,t~n. Jte T~<'a<-vo/' //tf
/.fMK<v<M<. pas-ifn.
t. t: t'Mj)r.h,n <-ttt).)~ par M. Ounmn', <)ani, Cot/ha/t'an el M.
Mt0t't'<t~'f.
– Tt)K"Mt!st'R t.A MV~f'f ff fttAVAff. <«t
HnfGLK.
). t)u~hcitn.
op.<-<p. 253.
KM..p.:7).
ï. Mf'tnu pa<t<
)2U t-'AXXKE St)CtOt.U<it~UK. t9')t.t'JM
,u- 1 _t
logiquen'élimine pas les explicationspsycimiogiquesmais
elleles subsume,elle les implique eu se les subordonnant.
La théorieà laquellenousaboutissonsn'est donc pas exclu-
sive, à vrai dire, des théories prée6dentes la cause mor-
phologiqueque uousavonsmise en relief n'eHacenullement
l'action des autres conditions,naturelles ou intellectuelles,
de la division du travail. La sociologienousa seulement
prouvéque ces conditionsu'etaient pas encoredes raisons
suffisantes et, replaçantchacuneà son rang, elle nous les
montretoutes misesen Œuvrepar une forcemotrice qui est
d'origineproprementsociale,puisqu'elledécoulede la forme
mêmedesgroupements.
C. BOUCLÉ
DEUXIÈME PARTIE
ANALYSES
!'tm)HKHI-:SECTtu.\
SOCIOLOGIE GKXMttALE
t. -OtUETKTM~T))Ut)H )))':LASOCtOLUCtH
t'ar ))M.A.Auttx. C.B'MH et H.Dt'ttKM6)tt
H. SOCtALt-TttKOtUKSf:ËX)-;RALES
t'fHLOSOt'Ht):
C.Bot.NH:.
t'ar MM.A. At-BtX. et t). )'Amoot
H.))mKUE)M
néfaste.Maisenfinlaconsciencereligieuses'est définitivement
annexéht tolérance(p. 3St). C'estcetteconsciencereligieuse
qui est te tneiileur soutien d'un liMrolismobien compris,
moinssoucieux de l'intérêt des individus vivants que des
droitssacrésde l'avenir (p. 403 et demandant,non pas cette
soi-disantlibre concurrence qui n'est qu'une survivancedo
la barbarie(p. 45H), maisune organisationplus justede l'hu-
manité,quipermetteà toutes ses puissancesde se développer
librement.
it est difficilede discuter, tant ellese tient daus le vague,
cette nouvelle philosophiede l'histoire. L'antithèseautour
de laquelle elle gravite l'oppositiondes intérêtsdu pré-
sent et des intérêts de l'avenir resteobscureà nos yeux.
Car enfin de quel droit soutenir que le peuple romain,par
exempte,n'a pas été aussi soucieuxde son avenir, de sa
mission,que le peuple anglais de nos jours? Et d'autre part,
commentprouver que ce soucide l'avenirest 1 œuvred'une
1j certainereligion? Le patriotismepar exemple,oula croyance
au progrès,n'ont-ils pas éveilléce souci aussi bien que les
sentimentschrétiens?`?
C, B.
C. B,
<
F. Il. GIDDiXGS.– Inductive soctoloery..t <~«<'Mof
?</«)</<,.-t)M/y.<M, <<M'/ «tt~ pt'0ft'<0)!«<~
C<«M</«'«<<n))j!,
/b<'MM/«<c(<~H<('<.Londres et New-York,MacmiUan,i90],
302p. in.8~.
) Cesont moins des résultais que des cadres que nousofh'o
M. Giddings,dans les sommaireset les tabieauxde ce
manuel.H y dresse les questionnairesque les reciterchesdo
J la sociologieauraient suivant lui à ronptir. Et nous recon-
naissons,dans l'organisationde ces questionnaires,l'action
desidéesdirectricesdéjà dégagéespar l'auteurdanscesMM-
ripes(<esociologie que nousavonsanalysésnaguère ici même.
Maissur certains points l'auteur développe,sur d'autresil
amendeou préciseses conceptions.
L'ouvrageest diviseen quatreparties(~'mcH~ A*h <hfonc
j Mftoh~xe. – ~/<mfH~et <)<t'<«rf~c<«~oc<t~ /ot'y«Mt-
.!M<tb)tMfM/t*. /« p<'o.<~ MCM/c) qui correspondentà
;j peuprès aux livres1et Il des P)'<t)c<pM.Lessujetsqui étaient
abordesdans les livres lIt et IV (/fo<«t«w /«<!<on~(«' de <«
soetf~. J~ttloietla c«)MP <~<tM social),ne sont pas
~'p)'of<*MM<!
repris ici. Us ferontsans doute l'objetd'étudesultérieures.
t:)<i ).tXX);K!;Ot:)()).)'.)<K.)W)-it)~
Ht. L.\MHKT.U.tT):
nHSCt<OH').:S
KTL~t-OOLOU)):
COL~ECTtVE
F;
t'at-MM.
C.H.~
un!.):.t)rttt:)fttM.
M.MACSs.
t).t'.tMb)
et )'.FAt.coxx~T
)\ ClYu.tSA'HOK
):XGÉ~)!tt.\f.
KTTYPt:S))<:C)\'U.)SAT!OX
ParMM.Il.n'HEKTet P. t-n-coxxer
directeurs do t'feuvre.Xousregrettonsquetecadrede!
Mt'<o~«yt<f ne comporte pas un examen complet du dotait
de l'ouvrage qui est naturellementavant tout historiquei
nous ne sommesjuges quedudesseingénératetde la manière
dont Hest réalisé. Remarquoustout de suite qu'il est plus
anthropogéographiqueque sociologique les grands phéno-
mènesuniversels commele christianisme,qui marquent les
étapesde t'évotutiousociale,n'apparaissentpas ensériechro-
nologique,mais dans ordre géographiquede leur lieu d'ori-
gine. On aura beau dire, nous verronstu toujoursune fai-
blesse.
Ce nouveau volume est un bon exemplede la façondont
s'applique la méthode adoptée. Lebassinde la Méditerranée
a, au point de vue géographique,uue unité presqueparfaite
même climat, même régime de pluie, même végétation,
mômesconditionsd'existence,en somme,imposéesaux popu-
lations côtières.La montagneest prochede la côte,à part tes
grandes vallées ouvertes, commeceltesdu Rhône,du Nitet
du Pô.La vie se concentresur les premièrespentes; les !)es
sont nombreuses, les cotesdécoupées,il est possiblede faire
sur mer de longs trajets à petitesjournées. Lamer ne sépare
donc pas les peuples. Leurs histoiresse mêlentet leurscivili-
sations se pénètrent le monde méditerranéenforme uue
umté historique. L'applicationde la méthode est inatta
quabte. Les critiques que nous avonsà faire viennentde ce
qu'elle n'a pas été assez strictement suivie. Ainsi, bien que
l'éditeur s'en justifie dans sa préface, nous trouvonsque le
livre est naté par la préoccupationqu'on a eued'enfaire une
transition entre l'histoire de l'Asie et celle de l'Europe il
noussembleque l'histoirede la Mésopotamie manqueà l'his-
toire de la Méditerranée, bien que le Tigre et t'Euphratese
jettent dans le golfe Persique d'autre part, l'histoirede la
Franceappartienten partie à l'histoireméditerranéenne.Notre
principale critique en sommeest que le plan n'est pas assez
souple. La géographie n'imposait pas la division adoptée
{péninsulepar péninsule) et cette division convientmal à
l'histoire. A l'origine la Crète, la Morée,t'Itatie du sud et les
ites forment uu groupe qui n'a jamais été complètementdis-
socié par la suite les mers de l'Adriatique(ont également
une unité et ainsi de suite, it faudraitarrêter l'histoiredes
régionsgéographiquesau momentoù cettehistoirese mêlea
celle d'une autre formant avecelle une unité plus vaste.Par
AXAUf~.–Ch)).~A'r)Mti'<GËXt!h.U. tOt
– WeKgeaoMchte (~Mfo~eMH~). 1.
H F. HELMOLT.
t. VU L Europe occidentale,
1 ~;I et
1" partie. Leipzig
):.b'tt):ME))).–Ann'~s<j'-iu)..<Mt-)'~?. U
t<Mi L'ASXKt! ~Mt.tMi
SOCtOLOUt~t'Ë.
– HtSTOtRËOKLASOCIOLOGIE
)'!H-)t.t).PA)tOt')
« au
physique, figurent d'abord les sociologies mécanistes~
nombredesquellesM.S. compteSpencer; puis les ethnogra
pho-anthropoiogistes, enfinta sociologiegéographique(Ratze),
De~motins) l'uuteuressaie de déterminer les postulatsde
chaquedoctrine, et de les critiquer. 2° Les sociologuesqui
ont prétendu fonderla sociologiesur la biologiesont nom-
breux et connus M. S. repousse toute assimilationde ht
sociétéà un organisme.3"11divise ensuite les systèmesqui
fondentta sociologiesur la psychologieen deuxsousgroupes
pourtes uns, les loissociologiquessont conçuescommeana-
loguesaux lois de l'âme Individuelle,c'est le pointde vue de
Ward,de Stein, de Tarde,etc., et l'auteur le déclareinadmis-
sible pour d'autres, l'individu étant lui mêmeun produit
social,c'est la psychologiecollectivequi est lu base véritable
de la sociologie.4°Enfin,dans un dernier groupe,M.S. réu-
nit desdoctrines,trèsdifférentes,qui s'accordentpourfonder
la sociologiesur dessciencessocialesparticulières;tantôtsur
une seule de ces sciences,l'économiepolitique, ou bien la
démographie,ou bien le droit; tantôt sur toutes les sciences
socialesà la fois c'est la seule méthodevraimentobjective,
cellede Durkheimen France ou de Simmelen Allemagne,et
l'autourdéclare s'y rallier.
Cette classificationpeut être commode nul doute néan-
moinsqu'elle ne simplifieun peu arbitrairementlesdoctrines
pour les faire rentrer dans ses cadres.
D. P.
M.DEFOURNY. – La sociologieposKMste;Aug. Comte.Lou-
vain,Dibl.de Hmututsup. de phitosopMë, et Paris,t- Atean.
1902;!HOp.
UEUXt~MËSËC'ftOX
SOCIOLOGIE REUCtEUSH
!'<trMM.
Il. JhfiEXTet M.tncËt.M.tt-is
S
t. COKCEPTtON
Gt~ËRALHKT MËTHOOOt.OCtK
1 _t. _i ..i,i.i.,
les ainsi obtenus de
comparatifs) on comparerait prototypes
maoiëfe à déterminer leurs conditions.
tt. FORMESË[.~MEXTA!RËS
nE LAVIERELIGIEUSE
A. /<f~t'OM~«'M)<«'CM.
B. – c~aKW c~pratiqtiesp<~x<<wM
<t:o)'yaHf~M.
)\ CMuY.\XC):s
):T tUT)-:sœKCHHXAXT
).t-:SMuttï.-
V. L): H)TU):L
r.
A. – le f«~M(~'«'<' les/t'<M.
<'f<<'jj)tft<J,
G, A. DORSEYet H. R. YOTH. The Oralbl Soyal
Ceremony. (StanieyMc. CormickMopiexpédition. Fieid
CoiumbianMuseum,Pubtication5S,Authropological
séries,
III, 2). Chicago,)!'0t, M p., in-8".
Il. R. VOTit. – The Oraibi Fowa.mu Ceremony. (tbid.,
D°6t,voi.m,N<'2,p.07.t58;.
Les ethuoiogues américainss'attaquent délibérément à
<M t/tf~E suctot.ootops. ttM-t9M
Fétudedes phénomènes religieux chez les Indiens Pueblos de
t'Arizonaetdu Nouveau-Mexique, et il n'y pas d'exagération
à dire que leurs recherches sont appelées à avoir un
grand
retentissement sur toutes les études de sociologie religieuse.
Nous trouvons dansées deux travaux, décrites avec un soin
parfait, deux cérémonies très compliquées des Hopis du
Pnebto d Oraibi. Ces cérémonies sont celles de deux confré-
ries, celle des Soyail et celle des Powamu. L'une est un rite
du solstice d'hiver, l'autre une cérémonie
spéciale du culte
d'hiver mensuel, célébrée a t'entrée du premier mois
après
le solstice d'hiver. A certains points de vue tesschèmesde ces
deux cérémonies coïncident elles comportent toutes deux,
d'une part, des séries d'on'randes, de drames mimés, de rites
sympathiques, agraires, germinatifs. ptuviauxetsotaires. et,
d'autre part, des initiations. Mais dans la seconde, les
masques de dunse <~e<~<) jouent un rote beaucoup plus
important. Le développement de l'une et de l'autre est. d'aii-
leurs, assez cot)sid'!rubto. Un grand nombre de dieux y sout
incarnés dans leurs prêtres respectifs.
Les fonctions religieuses, comme les r';gious et les
dieux,
appartiennent à des clans déterminés. D'autre part, comme
chaque confrérie a des fouettons différentes, est chargée d''
cérétnouies diverses, elle se recrute dans des ctaus difïérent'
Les deux écrivains ont noté avec soin ces relations des con-
fréries avec les ctans et on en voit tout l'intérêt. La rotation
est même encore ptusétroitement définie car ce n'est
pas
seulement au clan en générât qu'est attribuée la fonction,
mats, a t'intérieur du clan, à âne famille déterminée et même,
à l'intérieur de ta famille, une personnalité
unique désignée
d'après un procédé mal connu.
Bien que traitant de sujets moins intéressants, la brochure
de M. Voth rendra peut-être plus de services
parce qu'elle est
ptus explicative. La portée des rites y est indiquée en même
temps que le texte des formules, tandis que M. Dorsey, par
excès de scrupules, s'interdit ces indications
qui seraient
pourtant fort utiles.
M. M.
R. WLEXSCH.– DMFr<tMingsfest der Insel Malta. A~<
/.<C<< JW-C<W/«<</f</<'<-atf~/MM /<~OM (~.«/<</«jf«K-
fM~ « <c .t/~c). Leip!i~. Teubner, )90~ 70 p., in-i~.
Les faits rassemblés ici sont d'un fort grand
intérêt, mais
Ax.\LMM.– LEtUTUEt. )9?
(! PITRE.–Curioait&diM8ipopola.ri.Catauiu,Grannotta,
t902, t66p.,in-8".
Parmi les c«~o.s«<~que l'auteur a reuuiesdans ce petit
livre, sans aucune prétention scientifique,il y en a piusieurs
dunt nous pouvonsfaire notre profit. Onconstateque régu-
Herementaux rites positifs ou négatifs correspondentdes
fnythes, les uns tout populaires, sans développements,
simplesénoncés de faits; les autres, compliquéset parfois
empruntes.Citonsun mythedu vendreditp.<!(! Unvendredi,
Jésus demandede t'eau a une personnequi se peignait; elle
la lui refuse et il la maudit; une autre femme,qui pétrissait
la farine pour sou pain de la semaine, lui donneà boireet il
lit bénit: conclusion ne pas se peignerte vendredi,pétrir le
vendredi. Signalonsencore ceux des pages98 et suivantes.
L'article sur les fêtes du printemps complètele livre sur les
fêtespatronatesde Sicile dont nousavons rendu compteil y
a deux ans (.tM~ .Soc<obsff~xc, t. tV,p. ~4usqq. Unedes tra'
ditions rapportées tradition romaine) est a noter spéeiaie-
ment litnuit de l'Ascension,Jésus, avantde monterau ciel,
bénit les champs, les villes, les maisonset tout ce qui est en
plein air; les femmesmettentaux fenêtres un pot plein d'eau,
20: L'Aft~K SOCMLOOQCB.
tMt.)9tH
B. Mt~MfttMCOft~fM,)'tfMMMHttP~.
C. – ~<(e<o<'(!tM.
donc assis'er. Et, déjà do ce point de vue, son petit livre pré-
sente pour le sociologue uu intérêt très vif, puisqu'il nous
montre comment s'est systématisée nue partie tort impor-
tante de lit vie religieuse. Ue ptus, l'étude de la confession
intéresse ta théorie du fonctionnement intérieur de Ëgtise.
Elle est, eu ettet. une iustitutionessentiftiement disciplinaire
qui. au cours de sou évolution, s'est ptiee de plus eu ptus &ta
hiérurchie de lu société ecclésiastique, jnsqu'ù devenir l'apa-
nage exclusif du prêtre. Ou pourrait direHussi que ia maiu-
mise sur lit confession a été ua eMtneut iutuurtaut de force
pour le sacerdoce, et t'en s'expliquerait ahtsi les luttes que,
peaduut prë!! de douze siècles, le etet'gc soutint coutre les
iaïques plus ou moins récalcitrants. Labmdon de façons
cieuce iudivutuetto aux mains de directeurs de cette cons-
cience est. avant tout, un signe de lu force de i'égiise. –
Hnfiu le système de lu contessioa est intimement lié à celui
de III pèt)ite<t('fet de l'absolution, et pari!), a toute l'organi.
satiou moruie de nos sociétés occidentales: les vertus moraies,
expiatuires. de l'aveu, de la confession, du repentir, sont des
phéuomèues trup importants pour que nous ne signalions pas
l'int''ret qu'il y a à les étudier dans leurs relations avec le
mécanisme de la confession.
Les résultats du travail de M. R. sont. sommairement, les
suivants. H y aurait diitereutes origines de la confession
sacramentelle. Elle se rattacherait d'abord (p. ~3 sq.) au
pouvoir que s'attribuait t'égtise (juive, chrétienne) d'absoudre
les pèches. Si les apôtres, suivant t'instructiun de Jésus,
« tient n et « détient « sur terre et au ciel c'est que les
fautes teur ont été avouées. Mais d'un autre côte, cette con-
ft'ssiou et cette absolution avaient lieu surtout dans deux
pnneipates occasions conversion d'uu gentil entr<mt dans
J'église et répudiant ses anciennes erreurs aveu de fautes
graves et pubhques (p. ~)àl intérieur de t'egiise (tett'inceste
d'un diacre) Ou peut dire qu'à ce moment l'aveu des péchés
était un moyeu de rester chréUeuetun moyen de le devenir.
– La confession n'aurait
pris que vers le n)"siëcte le carac-
tère d une pénitence et ce ne serait qu'à cette époque que les
prêtres y auraient joue uu rôle prépondérant. Jusque ta, il
~'agissait d'ordinaire d'un aveu publie, d nue absolution par
l'assemblée ecclésiastique. Maintenaut. dans te cas de l'aveu
public, le prêtre, t'évoque prie pour le pécheur et dan~ un
certain nombre de cas, les lidèles s'adressent directement au
– !.EtttTCKt.
AXAH'~t:S. S)~
D. Objels<'f<<f<U'
</C<M/
Yt. – MEPtU~SEKTATfOXS
BELtUtECSKS
/t. ~~pMfa<<otMff~yx'MMJi; <<M < ~c phénomènes
N<!<«t'f<f<
(L'tn)t't)tvi(i,).nt))tUu!tio,)e
temps.!<j)n<'o,etc.)
Laconclusiontoniquedu Mémoireque nous nvons préseoté
plus haut aurait du être l'ouverture dans )'.4HH<'fd'une ru-
briqueconcernantlesreprésentationsco))cc)ivesf/~ude des
contes,celledes cosmologies, en général, celle de )a science,
celle des notions concernant t'ume, le temps, t'espace, la
H. DmKMHM.
– Annfe suciol.,i90).I!)M. )3
~6 ).'AXXËESOC[OLOC!Q).'(!.iMt.t9U:!
r.t.n.1.
La classification des ,)L.1.1.1
dieux dépend .t,v. .t..e
précisément des condi-
tions historiques du développement de ta religion romaine.
Des divinités malfaisantes comme .V<< ~rM. ne torment
pas une etasse part; on ne distingue pas de pouvoirs aux-
quels ta magie seule ait recours. Mais tes dieux sont classés
en raison de teur qualification ci vite. Ils ont divisés en
t'M<~<<M, dieux de lit vieille cité des premiers rois. dout ta
liste est déjà composite, Morcti.fiWc.f. dieux nouvctiement ins-
tattés, italiques ou grecs, H0t' diviuités nouvettement connues
comme les divinités abstraites; pc«~/H<, dieux étrangers,
d'origine barbare qui attendaient en dehors du pomfnMM;
fp. 4~. La réalité de ces différentes espèces de dieux ne fai-
sait pas question, non plus que le droit de chacun de tes
honorer conune Il l'entendait, sans tt'oubter l'ordre puhlic,
mais Ils n'existaient pour t'Ëtat que dans ta mesure ou its
appartenaient à la cite et à partir du moment où les rapports
réciproques avaient été définis par une loi. Cette partie de
l'histoire de la religion romaine nous présente une notable
série de faits et de définitions dont Il faudra toujours tenir
compte dans l'étude des dieux.
Il. M.
J. EDGE-PAnTfXHTOX. – Note on the Matua tonga imthe Art
Gallery, Auckland. New-Zoaland.UoH, <')))).p. 30.
L. RUTtMEYËX. Ueber westafrikanische Steimidole.C~tM,
1901,2, p. tt-t: Cf.At/wt. <h'c/).y. JE'</<M~ t9U),XtV,p. t9t sq.
tj). MOXTET.– De la notion de divinité contenue dans les
mots Elohim, Eloah. El et Jaheweh. ~ft~ de <«)?)'<'<'</Mlieli-
gions, out, )t. p. i89-~2.
FH.THL'REAU-DAXt.tX.La famille et la cour d'un dieu chal-
<<7/«!/oo'e
déen./if<'fM<' et de ~tW''«~c t'~t'eMsM,)!)0t,p.48t49t.
J. M.PntCE. Le Panthéon de Goadea./&<'<298307.
TH.PECHES.– Observations sur la religion babylonienne. /<
vuede f//M<f)))'e des/M~~M, i90i, ), p. 27t-~97.
G.A.BARTOX. An Androgynous babylontan divinity. yo'H-«(~
o/'(A<MMn'MM ~-«'M~<5oct<'<y. 190t,), p.i85-)87.
G.A. BARTOX. The genesis of the god Ethmun. yo«~tf</n/
<Ae.4m<n'M)t 9r<M<a< ~octe~,<90),t, p. <M-i90.
FKCUMOXT.– Le dieu Orotalt d'Hérodote. HcoMe OM/~o/n-
~~«<i90~2M.:iOO.
FK.CUMOXT. Le Zeus Stratios de Mithridate. ~fCKef/c<7/<.<-
<cfr<des ~e~'atM. t90i, l, p. t'?.!)7.
î.
AXAL~EN. – MRPtt~f:XTATtOX.<MHt.tufHCSKS X,~
C.–ZMMy/AM.
tXTaODCCTtOX
toujoursaccompagnedesesanimauxassocies,de sespouvoirs,
de sou u)il.de ses flèches,des chotcs qu'il produit et que la
figuration:) pour objetde l'inviter n reproduire; sou mytiie
est tout entier retracesur tes grands disques,Marrive même,
en particuliereu cequi concernela barquedu déluge ~p.16ih,
qu'un nombreconsidérablede choseset de personnagesmy-
thiquesse trouventreprésentes.(Cettebarquesert, p. t7~, de
moyenextrêmepourprovoquerta pluie).
Ou pourrait assezbienconcluredes signesaux représenta-
tions que tes Huichoisse fout de ta naturedes dieux et des
rapportsqui relient leurs diversesnotions mythiques.On y
trouverait tes mêmescaractères: prédominancedes classifi-
cationsanalogiques,existencede touts synthétiqueset d'ori.
gine sentimentale.Maisnous devons, pour concluresur ce
point, attendre les renseignementsque M. LumhoUi!devra
nous faire parvenirsur la mythologie.les fêteset les rites
desHuichols.Cetravailn'est pas aussi utilisablequ'il semble,
précisémentparcequ'il est tout partiel.
Nousregrettonsparticulièrementde n'être pas mieuxinfor-
mes sur l'organisationsociale' les rapportsde celle-ciavec
le culte, du culte avec les mythes, des mythes avec leurs
symboles.Sans aucundoute, les faits qui nousseronsfournis
ultérieurementserontcapitauxpourla science.Enattendant,
la théoriecomplètede cette mythologiereste encoreen sus-
pens.Maisil est certaindes maintenantque nousne pouvons
pas encoreaccepterles expressionsde M.L. (p. 16~,suivant
lesquellestoutes leschosessacréessont des symbolespour
l'hommeprimitif ni admettreque la religion soit, pour les
Huicholsuuo ailairoindividuelle.
M. M.
compositiona quetquechosedonécessaire.Cetteconsidération
au contrairen'est pas étrangèreau travail de M.Stuekeu que
uousaHommaintenantétudier.
H.tt. et M.M.
même. Voici dansquel ordre sont énumérés ces théines t" Les
anciens dieux sont repousses dans le seiu de leur mère de ce
thème dérivent les trois suivants; 2"la mère ne peut enfanter
3" souffrances:4°tes enfants agissent. Dans quelques exemples,
le motif qui vient ensuite, et qui se subdivise en trois thèmes
secondaires, est formellement rattaché aux précédents c'est
la séparation du coupleprimitif, la castration du dieu-père,
la semence perdue (Océan. Ouranos). Les derniers thèmes
de ce premier type du mythe souche seraient celui du père
maltraité par ses flls et servi par eux !?<oé),le sommeil du
premier père ~oé, Lotir et ses nites). Quant au second groupe
des mythes primitifs qui concerne la seconde génération des
dieux, il est étudié de même. M. S. le déduit souvent du
premier: par exemple 'p. Kronos~ le père venge les
souffrances de la mère. M. Stucken énumére ainsi toute une
série de motifs secondaires, sans les classer, et nous amène
'p. ~9t) à la liste des thèmes qu'on peut appeler type de t'oty-
phéme. Parmi ces thèmes figure celui du vot du feu.
Ainsi tous les mythes principaux de toutes les mythologie.:
s'enchaîneraient suivant une série continue. Mais à les voir
ainsi tous sur le même plan, on devient incapable d'aperce-
voir l'ordre de ieurenchatnement nécessaire. En fait, fauteur
s'en soucie peu. H n'a pas à expliquer, par un mécanisme
logique ou psychologique, le retour constant des mêmes
suites de thèmes dans des mythologies et dans des mythes
différents, puisqu'au fond, c'est un modèle commun qui s'y
reproduit effectivement. Son but principal n'est donc pas de
montrer la raison d'être des mythes et l'analyse des thèmes
n'est qu'un moyen, pour lui, de retrouver leur primitif'
identité.
Pour résoudre le problème qui nous préoccupe, it faut pro-
céder autrement. ft fatutavant tout écarter t'hypothëM invéri-
fiable d'un modéte primitif. Rnsuite. pour expliquer le:
mythes, l'analyse devra passer par plusieurs phases. Le prc
mier travail ne sera pas de ranger à la file tous les motifs qui.
de près ou de loin, se trouvent associés soit accidentellement.
soit généralement, soit nécessairement. Ce sera avant tout d''
constituer, dans des sociétés déterminées, des goupes irr'
ductibtM d'épisodes, eux-mêmes irréductibles, et de remonte)
ainsi autant que possible aux types de groupements les ptus
primitifs. Car les mythes ont des âges et l'on ne doit comparer
que des mythes de même âge. U est nécessaire de distinguer
ASALYSM. – MEPttÉitEXTATMMMLMÏEU~ES 203
les objets magiques. Sou frère lui asservit à jamais ses des-
cendants danse religieuse.
J. T. STtCKKËÏ.
J. TOUTAt~ Note sur la méthode à suivre en mythologie
grecque. ~t')«tW//('~f'~M/M~t'< t9Ut, t, p. (84-tM.
SCHREt~EM ,JusKrn). Elysium und Hades, ~)c <-f/<y.'oM~f.<-
t'/t<'t'tt'/<~~<M</fc.
MiteincrKarte.Mmu'Mckweig et Leipzig,Hichard
Sattter, t~2, il p., in-8". Sansvaleur.
GLASER ();hL-.tKD).– Jehowah. Jov!tmmddiedreiSohmeNoah's.
A't~Bct'jM)' t'f~/f«'/tf<t</<'M G'Mt')'/<<rf. MNnehen.G.t'Mt)!'«;))<;
Hufbuchhattdtung.)90t, 28 p., )n-!i".–Tr~ peu sûr.
A.!.0)SY. – Les mythes babylonienset les premiers chapitres
de la Genèse. /~t'Kf <«/o<)-<' ~t7~'f<<K/-c<'f/~<'<MM,t9~t.
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E. 8TUCKEX.–Schamohazi.<M<f<<M/MeA<<.<'«~'<!<«)'Mt<«t);y,t'jm,
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MURAO (FMEDMfKH).– Ararat und Masis.Studienzur armenischen
Alterthumskunde und Litteratur. Meidctberg,Carl Winter,
t90<,iUtp.,in-8".
J. HALÉVY.– L'épisode de la femmeadultère. ~ft'Me.S~x'<<t<
t90t,p.a~-257.
J. HALËVY. – La tentation de Jésus. /!ft-M~m~~w, )9U2,p. ):)-
60.
J. HALËVY. – ABan, KhilUtotMlUlt./OMm<!<.t~'n~< t902, ).
p. 3M-3M.
F. E. PEISER. – Sesam, thue dich auf. 0<-wt<a~«Mc/« /.<~o-!<<«f-
~M)~. t903, p. 28:28S.
E. v. MESS.– Der Typhonmythus bel Pindar und JEsohylus.
NAe«)McAM JftMCMm/'<«'Mt't'e, t90t, p. t66-n4.
J. TOtJT.U~.– La légende de Mithra étudiée surtout dans les
bas-reliefs mithriaques. Jkt'Me(f/o)'M des /Mfy<MM, )9ua.
p. t4t-t57.
ttCLL~E~.E.~u~ ThesUverboughinIrishLegend. foM-
1901,p. 43i-~S.
cf)x<:).L-stax
D. et CON<M.
/.<~CMt/M
SAtNÈAN (LAXAHE).L'était actuel des études de folk-
lore. (Extrait de la /<<'c«<?
</f.~M</fMC /«~o<'«j~e).Paris,
Cerf,)9(M,30 p.
SAtNÉAN (LAZARE).– Les rites de la construction d'après
la poésie populaire de l'Europe orientale. ~C!«?</<-
r~<~0!~</M~f<~<oHi!, 1902,1, p. 3S9.396.
M.S. exposedans lepremier article quelquesidéesgénérales
surl'origine des contes. Après avoir jugé entre l'écoleorien-
talisteet l'écoleanthropologique,il essaiede définirsa propre
position.Il ne considèrepas uniquementles contes,à la façon
deLanget de son école,commedes témoinsde la préhistoire,
transmettantjusqu'à nous des imagesdéfigurées d'institu-
tions primitives, mais comme l'expression d'une morale
populaire,très simple, universelle on préfère les faibleset
les ingénieux; on se méf!edes apparences; on opposeà la
méchancetéde l'homme la bonté des animaux, etc. Si l'on
joint,au très petit nombre de thèmes qui sumsentà l'expres-
sionde cettemorale populaire, un nombreégalementrestreint
demotifs merveilleux,on tient à peu près la série complète
des éléments essentiels des contes. Ces éléments sont si
simplesqu'il n'est généralementpas nécessairede recourirà
t hypothèsede l'emprunt. Quant aux influences littéraires,
M.Sainéanles croit innnitésimates.Lefolkloreentre dans la
littératureà plus forte dose que la littératuredans le folklore.
272 SUCt~Lum~E. t~t'fOS
L'AXXKË
uninventaire
1.M.Julllana tenMdex~tnetur 'tesbasesbienft-af;i)'s
de!)<~etKt). desGaulois<n'-ta tittcKtture
)''straditions
quieotxpMai'nt
desGaulois,
))wti')ue J!efM<
«tc/t~/o~Mf, t9M,t, p. 3M-it:!7).
l.
27'} MOt.tHM
t-'AS!!)~SOC!0).00!QCE.
Dogmes.
HAPPEL(Juuus). – Die reUgioMn und phitoaophischen
Grundansohauungen der Inder (/~M /cH<<atH<'Mt«<M des
~<H<<o<M en m<!<t~'e (le<'<<b<tet de p/x~oMpAt?).Giessen,
Ricker, t902, vtt!.M2p.. iu-8".
Le potat de vue auquel se placeM.H. est, de prime abord,
des plus étranges. Le titre completporte « les institutions
religieuseset philosophiques fondamentalesdes Hindous,
d'aprèsles sourcessanscrites, exposéeset jugéesdu point de
vuede l'histoire socialedu christianisme?. Il s'agit donc de
démontrer,après Bossuet,que l'histoire universelletond vers
le christianisme,qui seul pourra libérer l'Inde d'un certain
nombrede vicesIntellectuels(v. p. 228,p. GS,entre autres).
Cependant,commecelivre contient,fortclairementordon-
nés, les résultats de lecturesconsidérableset bienfaites, n ne
laisse pas d'être utile.
Lesidéesthéotogiquesde l'auteur n'ont pas été, il est vrai,
sans influencesur l'ordre qu'il a suivi.U a recherchésucces-
sivement,comme il aurait fait pour un philosophechrétien,
quelles furent les opinions soutenuesdans t'lude touchant
Dieu,le monde, la destinée de l'homme,le péchéet le salut.
Tellessont les grandes divisions de l'ouvrage elles sont, on
le voit, difficilementapplicables à un système de pensée
qui n'a jamais connu ces catégories.Maisle livre n'est heu-
reusement pas très fidèle au proposdo l'auteur. C'est un
autre point de vue qui domine, celui de « l'histoire sociale n
et de la psychologiesociale ~p. t et 2;. D'abord,parmi les
notionsquieurentcoursdansl'lude.M. H.s'attacheexclusive-
mentà celles qui forment le fond le plus « immuableMdela
penséeHiudoue,et laisse par conséquentde côtétes opinions
rares, curieuseset individuellespour mettre en relief celles
qui, étant le plus anonymes, furent les plus générâtes et les
moins périssables. De plus, il a tenté, d'une façon tort
curieuse,derattacher chaque fois les notions philosophiques
aux mythes plus populaires. Plusieurs des chapitres(t-tt.tv)
MO ).'AX<t~B90CtO<.06tQCB.
i90t.t9M
\'n.-LASOCtËT~R)-:Uf:H;U8)-:
\')tt. ETUDES
U'EXSEMBLE
SURLESGRANDES
KEt.tGtOXS
G. \iSSOWA. –Religion und Kultus der Romer (Mn~-
<'«f/<
<<f/'
A'MMf/X'M .t/~C/itfM~M'~CM~'Aa~, bgg. V. t\VA!<V.
V,4;. Muuehen,G.!t. Beck, t90~,xn-S34p., in-8".
Mut-t-EK,
Ce nouveaumanue)' de la religion romaine (lui est nu
ouvrage considérableet un excellent livre ne conduit certai-
nement pas des vues inattenduessur Fensentbtede la reti-
gion romaine.C'estle couronnement du travail d'un historien
minutieux, qui est aussi un lexicographe, et. comme tel,
doit être exposéà voir les choses, uue à une. à la loupe. De
fait, malgré les quatre-vingt-dixpages du début sur i'evoiu-
tion de la religionromaine,nous ne trouvons pas ici une
étude de systèmereligieux,telle que nous la concevons,étude
qui expliqueraitl'agencementdes diversesparties d'une reli-
gion et qui rendraitcompteautant que possibledes singula-
rités qu'elle présente. Nousne faisons certes pas un grief à
l'auteur de n'avoirpas nos préoccupations.
Desétudesobjectivescommela sienne, où tout est sacrifié
à l'expositioncomplètedes documents et à l'enchaînement
historiquedes faits,sont d'une utilité inappréciable pour les
recherches que nous préconisonsici; nous regrettons même
que M. Wissowan'ait pas été toujours assez strictement
objectif. D'autre part, il s'agit ici de religion romaine, c'est
dire que le travail d'abstractionet de généralisation est déjà
fort avancé;presquetout aboutit à des formules juridiques,
exprimant, par des définitions,des rapports généraux, qui
appellent immédiatementdes généralisationsplus larges.
L'impressiond'ensembleest la même que celle que nous
t. Xuust\-onsMaty~M
plushaut,p.M?,ce~atconcerne
lesdieo\.
– ÉtCDBS
AXALMM. C'M~Mttt.E
<!CK
HBOMXM-:
KEt.tf.tOX-!
2')t
dégagionsil y a deux ans de la lecture de M. Aust (T. IV,
p. 289 et suh'.). L'histoire de ta religion romainen'est pas
t'évotutionnormated'un gennedonné. Le ~erme(et, dansée
cas, ce sont les cultes du t'atatin) se dessècheet se conserveà
i'état de fossiie. La religion romaineestceifc d'une société
politiqueen croissancerapide, mais qui s'accrott en absor-
bant, et souventde mauvaisegrâce,des ctémcMts hétérogènes.
Decesétéments, les uns sont très résistants,ce sontlescom-
munautés, familles. </FH~,tribus, cites alliéesou vaincues;
les autres sont à t'ôtat fluide, mais pourtant inassimilables,
c'est la populationflottantedes étrangers, esclaveset affran-
chis, fouleinorganique.On peut déjàdistinguer,dansla liste
des dieux t'H~t'/c.<.l'apport des diversétémentsethniquesdo
la population primitive (p. ~C.~7).A cette premièrecouche
decuitessesuperposèrentles euitesd'atiiance.auxquels Home
avait d'abord participéà titre de simplemembredesdiverses
ligueslatines; tel le cultede la Dianed'Aricie,transportésur
l'Aventinquand Rome prit la tête de la Confédération;tel
encoreceluide YMp! ~afM<'t4'. n faut y joindrelescultesdes
villeslatines assimiléeset plus ou moins annulées; ainsi les
SacerdotesA<!KKC!H< et ï'tMcx/at)<'d'une part. les .<;«<'t'</o~
C<!&e/Met Sucuttat)!,de l'autre, sontdes.S'f«'c/v/o<f<
p<tt<c<de
Rome.Viennentensuite les cultes des villes conquises;tel
celuide la ~'HM'caCaptade Fateries; puis les cultes privés
des famUtes d'immigrants ou des j~M de la banlieue,
englobésdaus le culte publie à desdates qu'il est parfoispos-
sible de déterminer, tel te culte de t'.U'a J/«j'«Mf<; enfin la
longueliste des cultes grecs institués après consultationdes
~cMtort MC)'M/<!c<'f<H(/ d'après les oractes obscurs des
Livres Sibyllins. H est à noter que ce collège,qui présidait
aux institutionsde cultes, est le premier qui ait été ouvert
aux plébéiens.Ceux-cise fabriquaient une religionde toutes
pièces,tandis que les dieux antiques restaient inabordables
et enfermésdans la vieillecité. A chaqueélargissementde la
citécorrespondaitun apport de culte.Il est logiqueque Cara-
callaqui généralisate droit de cité ait ouvertle pom<«maux
cultes étrangers.
Il va de soi que la religion romaine,étant en partie artin-
cielle,a dû développertout un systèmede fictionsrituettes et
légalesqui révèlent quelques-unesdes conditionsessentielles
delavied'une religion.Lefonctionnementdesorganesd'unité
(lecollègedes pontifeset des quindécemvirs)est particulière-
~2 t9M-t90ï
):'<TM)t(!iMCtOt.OOt~t'f.
(É<M<<«~
f~M./M''«/«<Me< t/MM<~«f'irMMt'
<i)Jt'a<MCOM!t(/<'t'<
t. – TtU~OttUtS SURLAMORALE
GHXËRALES ETLE[tRurr
ParMM.
H.DeMHfiti),
E.Levv.et P. Ln-M
des conditions sociales ~p.48;, jnais c'est que ces causes ëc')-
nomiques, ces conditions sociales su~gereut dans la con--
cience (tes idées, des besoins, des votitions. Le droit est
avant tout uu pt~tiotnene d<:psychologie sociale a (p. S).
L'importance des bases psychologiques du droit est protn'
de deux ma~iërcs. M Miceti montre d'abord que tout cod'f't
toute ttteorie du droit doivent leurs caractères a la psy<)tf))<
gie de leurs auteurs. Lu philosophie ethico-jnridique df-
Urecs dépend des Utéories psychotoniques du Hocrate, de i'tu
ton, d'Aristute, des Hpicurieus et des Stoïciens (chap. ttj. fj'
droit rotnain dépend des « qualités psychiques du pe'tph-
rotuaiu eu particutier, si ta théorie du droit Uidurei perd !<
home son caractère )netap))ysiqttoetsert seutuuteut.'t uto'ti
fier, au uom de t'fquite. le droit positif, ceht tieutut'espnt
pratique et positif des Latius 'chup. m). Si ic tm'yeu a~e cot)
Naît surtout le druit coutumier, c'est que ht coutume est t"
mode d'activitc qui com'ieut à uu a~e où le utode habitue) d.-
eouuatssuuce estht cruyauce et où le seuthncut 1)1.illeil)dl 't
le respect de t'autorite. Vietine une période de discussion, "u
la croyance soit soumise ù l'exameu, oit le respect de t'auto
rite fasse place au setttimeut d'iudépeudaucc, au lieu d'ubt'ir
à la coutume, ou cherchera uue expticution ratiouuctie du
juste et de l'injuste ou invoquera uu « droit nature) et la
source principale du droit sera uou la tradition mais lit lui
(chap. n' Et))tu. pur reacttou contre la théorie du droit uatu
re!, d'autres doctrines sont proposées celles de l'écule ttistu-
rique et celles du réalisme juridique. Leur apparition s'ex
plique aussi par desconditious psycho-sociules 'ch.)p. \').
toute époque te droit teud à refMter les états de conscience.
les iuctiaatious. tes setdimeutset les idées qui prédominent.
comme aussi les doctrines psychologiques relatives a ta cons-
cience de Fhomtne. (p. 190, cf. p. 8~.
D'autre part, ta valeur d'une théorie du droit se mesure au
compte qu'elle tieut des facteurs psychologiques. Puisque In
conscience résulte de processus représentants, de processu?
afïectifs et de processus volitifs réunis en une même syuthes'
une théorie ue peut être qu'unitatcrate et erronée quand et)''
dissout cette synthèse et prétend se fonder sur l'une ou t'autrr
de ces catéguries Je processus (p. M Sans forcer )a peu
see de M. Miceti, on pourrait dire que la théorie du droit
naturel e~t iusuuisante parce qu'elle ne voit dans t'homn)~'
qu'une raison pure 'p. 8!)), mais que d'uutres théories n<'
– MCtOLOOE
AXALY~S. EXt!ÉXt!)tAt.
)t'!t!n!<)t'K 30t
U. – SYSTÈMESJL'tUDtQCt~
t';n'MM.f)t'tt):t)t!to''t)'.F'.f<;ox.'fET
meublessontl'objetd'une propriétépersonnetie~p.350).Néan-
moins, l'anciencommunismesemblesurvivredans certaines
coutumesquiobiigentpresquechaquo individu&partageravec
les autres ce qu'il a. Pour éviterta réprobationdont il serait
l'objet, « il laissetraiter son bien, commesi c'était le bien de
tout le groupe;par exemple,il permettranquillementque des
gens, s'iissont auames, viennentabattre sur sonchamp une
piècede son bétail M(p. 34~. Aussi les échangessont-iis
encore peu développés. Le créancier insoh'~bie est puni
d'une peineoorporetie. La responsabilitédes dettes est col-
iecth'e.
La famillese recrute par voiede filiationmasculine;mais
destracesde familleutérine sontencoreperceptibles.Le mari
habitechez la femmependantia premièreannée du mariage.
et, pendant tout ce temps, il est traité commeun mineur en
tutelle; tout ce qu'il possèdeappartient à sa femme; il n'en
peut pasdisposer tibretnent; c'est à la femme (nous devons
sansdouteentendre par là la famillede la femme~que revient
le soinde pourvoirà ses besoins.Hne peuts'affranchirde cet
état de dépendancequ'une fois que des enfantssont nés du
mariage;encoredoit-il au preaiabiefairedon à sa beiie-mëre
d'nnevachelaitière(p.3t3344).Kohier croit retrouverun autre
vestige de filiationutérine dansla manière dont !es enfants
sont nommés les fils reçoiventte nomde leur grand-père
maternel, les filles celui de leur grand'mère paternelle. Or,
ce curieux usages'explique assezbien si i'on admet que les
mariages se contractaient primitivemententre deux clans
exogamesdétermineset oùia filiationsefaisaiten ligne mater-
nelle. En elfet, sous ce régime,la mère de mon père (grand'-
mère pateruetie)et mon pèresont, par hypothèse, du même
clan. Maisle père de ma mère (grand-pèrematernei; en fait
égalementpartie; car il est nécessairementdu clan auquel
n'appartient pas ma mère; c'est dire qu'il ressortit au clan de
mon père. Pour la même raison,tant que la filiationest utc-
rine, je suis, au contraire, du clan dont ils ne sont pas mem-
bres, puisque i'eutant suit sa mère. Mais que la filiation
devienne masculine, je suis rattache au clan paternel; et
commemongrand-pèremuterneietmagrand'mère paternelle
en font égalementpartie, il est tout naturel que le nom du
premier me soit donne si je suis un garçon, ie nom de la
seconde,si je suis une fille. C'est,en effet,une règle très fru-
quente que les enfants portent le mêmenomque leurs grands
3tM L'AX~Ét! M<MtuLUtHm.'K.tWt.t))~
vaut qui l'accepte est puni comme voteur. Maisia peine peut
être rachetée au moyen d une somme payée à t'HtMt ta loi
établit un tarit. Les parents de ia victime d'un crime suut
obligés de poursuivre le meurtrier c'est iuformeuouvetic d<'
i'aucienne obligation de vengeance. La procédure comporte
l'usage des ordaHes et de la torture. La constitution de ta
(amitié est la même qu'eu Chine, sauf eu ce qui concerne le
régime successoral u iu mort du muri, la veuve, la bette-
mère, le titsainé prennent chacun deux part~. les autres tits
chacun une part, tesnites chacune une demiepart. Quand un
homme meurt sans enfants, ses esclaves sout aiïranchis. une
partie de ses biens sert a des cérémonies (uuebr' le reste <'stt
remis au groupe de ciuq familles dont le défunt faisait partie.
M Dareste analyse en outre sommairement le code feodat <)<'
1~ cf. J/tK<'fsoc<o~«y'«', t. IV, p. 40~, et les données de
l'enquête sur les anciennes coutumes faite en )877 par ordre
du gouvernement japonais.
C«m~o<c. Lesie~istationsdc t'Indo-ChineoMtpour prin-
cipale source les lois de Manou, plus ou moins défigurées
leur innuence se fait sentir jusque sur ie droit annamite qui
cependant dérive directement du droit chinois. M.Dareste nf
s'étend que sur le droit cambodgien. La polygamie est per-
mise mais pratiquée seulement par les gens riches; le rang
des épouses légitimes dépend des cérémonies du mariage;
leurs droits sur la succession du mari sont inégaux. La
parenté ou l'alliance constituent un empêchement; les
jeunes Httes ettes-mémes ne peuvent être mariées sans leur
consentement. Précédées des fiancaiiies, les cérémonies com-
pliquées du mariage s'accomplissent dans la famille, sans
intervention de l'autorité publique. Le mariage peut aussi
résulter de ta cohabitation prolongée ou de la naissance d'en-
fants. Le mariage est un achat de la femme les droits que
le mari acquière ainsi sur la femme no sont pas absolus; il
ne peut la maltraiter sans encourir une peine, ni la donner
en gage, ni la vendre, ni se vendre tui-méme comme esclave
sans son consentement. Par suite il ne peut, sans ce même
consentement, se porter caution, car le cautionnement peut
avoir pour conséquence la réduction en esclavagedu mari.
de la femme et des enfants. Le divorce est autorisé dans cer-
tains cas la femme divorcée, si elle ne rentre p:)s chez son
père, jouit d'une entière tibert' comme la veuve,qui succède
à la puissance paternelle elles ont besoin d'un tuteur seule-
AXAi~M.– -~TËMESJUKtU~t'KS ~'55
Ht.-ORC.\XtS.\Tt'SOC)A).): 1-'
A. – /0<'MM(~t'M)CM~«n';t
(/f <'M'~<H!.s«/!f«t
4'0ft'«/<'
PttrMM.):.n)KKM<!)Mt.t)'.t'(;<)!)fET
ii.–~MC~MM.
t'arM.t'DuK)i)tt:)x
c'estdecessoldatsdomestiquesqueseraientdérivéstesancions
vassauxfraucs ii trouve, en effet, chez les Wisigoths,chpx
lesLombardset, enflu, dans la Gaule franque, une organisa-
tion tout à fait analogue. Les rois et les seigneurs mérovin-
giensétaient entouresde serviteursdont les fonctionsétaient
surtout militaires on les appelait pxch.vos~ ou autrustions.
Chezles Wisigoths,ils portaient le même nom que chez les
Homaius,~M<'f<<«'«.
La situation morale de ces clients militaires était assez
humble. Ëttese releva avec les Carolingiens.D'une part, chez
les AngioSaxons, on trouve une institution analogue avec
cette différencetoutefois qu'elle se rapproche davantagedu
('OM)<<a<)Mgermanique. Les ~(n!Mdes rois. qui jouaient )c
mêmerote que les antrustions du continent, étaientsouvent 1
des personnagesdu plus haut rang; et il en était de même.
quoique à un moindre degré, des ~M~/<par rapport aux
simples seigneurs. Les uns et les autres jouissaient d'une
grandeconsidération.Or les fondateursde la dynastie caro-
lingienne subirent fortement l'influence angto-saxonne. it
n'est donc pas impossible qu'ils aient imité sur ce point,
commesur plusieurs autres, les idées et tes usagesanglo-
saxons.De plus, la révolutionsurvenuedans la tactiquemili
taireà partir de Charles Martelcontribua au mêmerésultat.
Pour lutter contre les Arabes, ChartesMartel dut accroître
dans d'énormes proportions l'importance numérique de ta
cavalerie.Pour cela, il développa l'antrustionat, c'est-à-dire
qu'il cherchaà se rattacher par le liende la vassalité le plus
grand nombre d'hommes libres possible. En même temps,
pour les mettreen état de supporter les charges dece service.
il leur distribua des terres. Les concessionsterritoriales aux
MM<étaient,depuislongtemps,en usage.Mais,outre qu'elles
se multiplièrentà ce moment,elles prirent un nouveaucarac-
tère. CharlesMartetfut obligéde prendre à t'Egtiseles terres
dontil avait besoin; seulement il consentitque t'Egtiserestât
propriétairedes terres ainsi concédées.Lesconcessionnaires
en avaientseulementl'usufruit. Le type de la tenure vassa-
tique était ainsi créé. Une fois constitué, il s'étendit tout
naturellementmême aux concessionsqui n'étaient pas faites
au moyen de terres ecclésiastiques.
Le systèmeainsi employépar les rois dans leurs rapports
avec les principaux seigneurs était employé égalementpar
ces derniersvis'à-vis despersonnagesde moindre importance
AXU.Y!:KS. – OMASXATtUX SOC~f.R
C. – /.M CownxutM
fur )t. E. t)Htt!)tf!tM
)\. –"HG.).S.\T)nX))'H)):s'))Q)')':
t'dr~t.t-t))htLMmM
A.–~F'~f~
t. L'ttutear
faitjustementMtnMfjUcr ')ueces o'oyancMsontprob<tb)en)Mnt
't'ofi~infpr~hf'tietmt. LM <ux;i'n<
Uermtunsfaisaientbnitet-surluLûch'f
dumof-tses Md~-M.sM t:tn!V.mx, utc. L't.glisone tit <)uedétourne)'<
anciensasit~a <)uleur ~igniticatiunpr<'mi<;t-c.Lesamis du mort. Mti';u
dodétruireles obj';t.<<[u:lui ay:m;nt to~dunntrent&t't-~jti~
!t{)}titrtcnu.
Mius,<:onfonn<'n«.-ot aux idées primitiveit,ces dunation:eonttnutrettt:t
)i0fairelejour desobs<;<)acs.
AKAU'SK-– OK.AX~ATtO))
MME.TXitft: 3~
elle ouvrait les voies.U semble donc qu'on devrait la voir
n'gresseret disparaître à partir du momentoù le testament
lit sa réapparition,c'est-dire dès le xnf siècle.l)6slors, en
ellet,elle M'étaitplus nécessairepour réaliser juridiquement
desdispositionsrévocables,puisque le testamentétait révo-
cable lui-même. Et cependant, non seulement l'exécuteur
gardeses anciennesfonctions,mais encoresonrôle s'étend et
s élargit.Ledon ~'o «y:<m«ou ne portait jamais
pro <!<«<<t<)'«
que sur quelquesbiens, sur tel ou tel immeuble le testament,
au contraire, a une portée plus génerate,il s'applique à ta
totalité du patrimoine disponible, a l'ensembledes biens,
dettes et créanceslaissespur le disposant.A cet ensemble,
il fallait un liquidateur; ce fut l'exécuteurtestamentaire'. tt
est désormaisle protecteuret le defenssurdu testament il
en Interprète,s'it y a lieu, les clausesobscures, peut même,
sit'occasion,les modifier'p. 77),surveilleparfoisla manière
dout les légataires emploient tes sommesqui leur sont
fégUHesdes coutumes locales vont jusqu'à lui attribuer la
tutelle de ta veuve et des enfants du légataire(p. !)7~.Son
rôleest donc capital dans le règlementde l'héréditéet rap-
pellede tous pointscelui de l'héritier institué dans le droit
romain.
C'e&tque les coutumesrestaient réfractairesà l'institution
d'héritier universel,mêmeaprèsta renaissancedu testament.
La plupart du temps, on n'instituait que des héritiers <
rc <;fW<(, qui, par suite, n'avaient guèreplusde droits que de
simpleslégataires.lis ne constituaientpas descontinuateurs
juridiquesdcla porsonuatitedu dcfnnt.II fallaitpourtant que
la continuité entre le testateur et ceux qu'il appelait à son
héritagefut assurée ce fut par l'exécuteurqu'elle se réalisa.
Ainsi,après avoir été primitivementun substitut du testa-
ment, it devint, une fois le testament retabti, le substitut de
i'hcriticr institué il en tint lieu, en remplit ta fonction
essentieitequi est de représenter celuiqui n'est plus jusqu'à
<:eque les réarrangements juridiques, nécessités par les
volontésdu mort, soient nnfait accompli.Maisaussi, a partir
du momentou l'institution d'héritier universelentra davan-
tagedans l'usage et se ~ént'raUsa,l'exécutiontestamentaire
"'avait plus de raisond'être cette fois,elleétait condamnée e
).C'<;5t
!Mt)}tt)C))H
partit'd''C!'<)tut))ent<;u'i)
pcMtt'tfvt'!<itHt.'nt<tp))t')t'
ou-c'~tMUkttteot
h'statocntttin': a purtirdeet:tuo~ent'[u'itpu~Mtre
d)'i-
)")'')Ktt'
unt''Kt:u))<nt.
34S t/ASf~f! SOCtOKKitQt'E. t9Mt-t9<2
SII"es. <t''act~tc!<f)uit)'()-an'rL'))t&h)tturt,et
<ui dëten.,ne.t
).)'M..oM.M«. n..mp.decamct.re~i.)u..K)(.~«-
bieiàs
~~hh~M~d~
dispo.
<~<M. ni)jle (le
1)otirle cetjsivtleys~.
nit'tepourtcf/fcK~'fMt~x).
ft.)'ar)ttCt)n)tnu))<t)ttt'fHtni)intet't<ocia)e
~'Ph<nnu)t''ne!!urc('!t-~ ~tt'tt'rvedp)'6puux!'urth'<mt.iu'))6tsuc-
't'auxquiscd<'t''n))inent, cptsnrtU.t'tc;.
).!<)'dautres causea. f t. t'af le lieu du !tan!!~HetffVt' tte: deMfn-
<hht".
B. ~f M!a<'<~('
et ~<MM/'«<<~
~fMf~t'. ~«COH</<fMM
lie ~</<'<)<?<
1.V./)/)H~SoCtO~f~M'
t. j). 1.
A~tvV~S. – OtMA~MATfOXBNMB~TtQt't! 353
~.t.I_u-
Les trois dernifrs _.I.I. .1. &11.& _1.- 11-
chapitres du livre traitent de divers
u'ingesque i'autem' rattache plus ou moins ituurensctnentau*1
principe(ht tabousexuel.C'estd'abordte fameuxtabou (teta
bette-mère.Pour M.Crawtey. lu bette-mèreserait tabou pour
le gendre parce qu'etto serait considéréecmnmoune mère.
Xous renonçons li exposer lu manière dont il justifie son
expiication, tant elle nous paraît confuse et peu cohérentf
p. 40Set suiv.). Lu eouvadeest présentéecommenm*consé-
quence des liens que le mariage établit entre Ja femme, le
p''re et )ps enfants.Le père sitnuterait )a femmeen couches
pour détourner sur lui les esprits malfaisantsqui menacent
t'entant et !a n)ërc~p.414 et suiv.). Ontrouveraenfin dans le
dernier chapitre une théorie de l'exogamie.L'auteur, (lui, ü
un certain endroit, combatla théorie que nous avonsexposée
ici tnétne, oublie de dire que ta sienne reposesur le même
principeque la nôtre l'interdiction exogamiquoest consi-
dérée commeunesuite de l'eusemblede tabousqui séparent
lessexes eu ancrai. Cetaccord sur un point essentiel méri-
tait d'être signale (v. p. 4t*!i. La divergence«rave ne com-
mence qu'avec ta question de savoir ce qui a détermine la
séparationdes sexes.
H y a, dominant tout ce livre, une idée qu'it couviontdt'
signaler,a ta foispour ce qu'elle a de fauxet de partiottement
exact. L'autour combatles théories sur le communismepri
mitif des femmeset la promiscuitéobligatoire;et nous avons
dit souventcombieneites nous paraissent, à nousaussi, con
testanteset surannées.Mais il généraliseson opinion sur ce
point; suivant lui, c'est toute espèce de communismequ'il ü
faudrait nier des formes inférieures de la civilisation, ti
répète sans cesseque l'homme a commencépar être un indi-
vidualiste intransigeant et que le socialismeou contraire
'qu'it confondavec le communismeinitial) est un produit de
l'histoire. Pour justifier son assertion, il s'appuie sur ce fait
que le primitif, en vertu de ses idéessur lit contagionsympa-
thique, a une véritablehorreur de tout contactavecses sem-
btabtcs, cherche, par suite, il les éviter et il s'isoler aussi
complètementque possible. Cette situation insulaire de l'in-
dividu à l'intérieur de la société qui l'entoure n'est-elle pas
le signe extérieur de l'individualisme? MaisM. Crawteyne
voit pas que les croyances mêmes en la contagionsympa-
thique de toutes les influences prouve précisémentqu'à ce
momentl'hommen'a aucun sentimentde t'individuation.Car
3M ï.'AXXËf!M)t:tf)t.O(itQn:.t'"M.t9M
s')! se représentaitchaquepersonnalitéindividuelle comnK'
nettement déterminéedans su constitution intrinsèque et
dans ses contoursextérieurs, il ne songerait même pas n
admettreque despersonnalitésdiverses pussent aussi fucite-
ment se pénétrer tes unesles autres, mêler tours éléments
au pointqu'etteseudeviennentindistincteset que tout ce quii
passe dans l'une retentitdans les autres et réciproquement.
Un tel état d'esprit est manifestementla négation de t:t
croyanceindividualiste.La tendancede l'individu à fuir les
rapports avec le dehorset à s'isoter n'est donc qu'un effort
laborieuxpour échapperà ce communisme,a cet imperson-
natismequil'enveloppe,qui s'imposeà lui avecune necessitt-
physique. C'est uue réactioncontre les excès d'un état de
chosescontraire,qui est donnécomme lu base de la réatitc
morale. On peut bien y voirun premier germe d individua-
lisme qui essaiede s'amrmer; et dans cette mesure, il est
juste de dire qu'ily a déjà de l'individualismeà ce stade d'~
l'évolution.Mais ce n'est encore qu'un germe, humbte et
timide, que toutmenaceet tend&étouffer.
En terminantcette analyse,nous devonsmettre le tecteur
en gardecontrel'exactitudedesfaitscités parM.
Crawtoy;ils
ne semblent pas avoir toujoursété contrôlés avec assez de
soin.Par exemple,page4564S7,s'appuyant sur t'autonté de
Fisonet Howitt,il attribue aux Kamilaroi une classification
des choses par groupes totémiques,alors que, au
passade
indiqué, ces observateursla signaient dans de tout autn'
tribus. Les renvoisne sont pas toujoursexactsou la manict'f
dont les faits sont rapportes trop éloignée (te la réalité
(v. p. 4)3,les faitsempruntesifSpenceret Gittcnà propos du
taboude la belle-mère),
ment ou principalement
t.t.tn~t)~tA~)~t~
le législaleur, t~.t!t!i..
les dispositions du
codene serment,pasce qu'elles sont. Ellesne seraient pasaussi
absolues.Laveuvequi aurait accouchéd'un eafant posthume
pourrait se remariereu toute liberté alors mômeque le délai
légatne sentit pus écoulé. De plus, ce déiai ne dépasserait
jamais neuf ou dix moisalors qu'ii est ou a été souvent d'un
au (Rome, la Prusse).Enfince qui montre bien que, actuel-
lementencore, d'autres idées sont en jeu, c'est que l'opinion
voit toujoursd'uu mauvaisoeil tes secondsmariagestrop rapi-
dement contractésaprès la dissolution du premier; elle les
Marne.11est bien difficileque les idéesdont s'inspire ainsi la
consciencepubliqueaient été sans action sur les législateurs.
Mais quelles sont ces idées? Nous avons d'importantes
réservesà faire sur ia manière dont notre autour nousles u
présentées.
D'abord,il ne nous parait ni démontréni même vraisem-
blableque toujourset partout le deuii tégalde la veuveaitété
un succédanéd'un sacrificeplus complet. Ce sacrificene se
présente,commeun rite obligatoire, que dans des conditions
socialesdéterminéeset relativementrares. Cen'est nullement
chez les peuplesles plus inférieurs qu'il est le plus fréquent.
Il est possible, et même assez probable, que ces deux
sortes de pratiques tiennent, eu partie, aux mêmesidées.
Mais pour que ces idées acquièrent une énergie suffisante
pourimposerà la femmele sacrificede la vie, il faut uu con-
coursdecirconstancesrelativementexceptionnel.L'obligation
imposéeà la veuvede ne pas se remarier, ou de ne pas se
remarier sans délai s'est certainement constituée d'emblée
dansbien des cas, sans avoirau préalablepassépur uneforme
plus rigoureuse.
Quantaux croyancesqui l'ont déterminée, elles auraient été
de deux s.ortesd'après notre auteur; il y aurait eu d'abord la
crainte de l'esprit du mort et le désir du mort. ensuite l'idée
d'impureté religieuse, forme anticipée de l'impureté réelle
qui fait de tout cadavreun danger. Nouscroyonsque les faits
se sont succédésdaus l'ordre inverse. Ce qui est primitif et
fondamental,c'est cette idée que le mort est tabo u; il est mar-
qué de ce caractèret!«t~fttM'M qui fait le vide autourdes êtres
de toute sorte qui en sont investis. Ce caractère se commu-
niquecontagieusementà tout ce qui se trouveou s'est trouvé
en contactavecle défunt sa femme, ses parents, .samaison,
les objetsdont il se servaitjournellement.Voilàd'oa viennent
30t t'ASX)!E ~Ot:)Ot.u(itQUË. t9tt-)9M
L'ORUA~ttiATtOX POLt')fQCH
Pm'MM.K.))tn):H':ttt,H. tturxTH:.),(!. RtotAKO
p/)~<. Mais elle n'y est plus à l'état de pureté. En efïet. par
elle-même, elle ne comporte aucune forme régulière. puis-
qu'elle dépend du hasard des naissances, des morts, des
adoptions, de l'extinction ou du développement des groupes
familiaux elle ue saurait donc s'enfermer dans des cadres
rigoureusement définis. Or, en Grèce, elle se présente tou-
joursavec une symétrie parfaite quiindique ta main du législa-
teur, chaque;~t«~ contient tant de phratries, chaque phratrie
tant de ~fM~.Nous sommes donc en présence d'un régime
gentiiice remanié par l'art politique et, par suite, plus ou
moins altéré, sans qu'il nous soit possible d'apercevoir en
quoi consistèrent exactement ces altérations. – On sait com-
ment, dans la suite de l'histoire, ce caractère gentilice, dès
lors entamé mais dans une mesure restreinte, alla de plus en
plus en s'affaiblissant. Cette organisation, en se développant.
devint étroitement aristocratique: il fallut donc la briser et la
remplacer le jour où la démocratie futen état de faire valoir ses
droits. La meilleure manière d'effacer les distinctions sociales
qui avaient ainsi pris naissance, fut de prendre directement
pour base des groupements sociaux les groupements territo-
riaux (les dèmes) c'est ainsi, notamment, que procéda Clis-
thène &Athènes. Et cependant, tant était forte la puissance de
la tradition, les nouveaux cadres sociaux furent conçus, jus-
qu'à un certain point, sur le modèledes anciens. H y eut tou-
jours des p/tj/~«, des phratries, etc.; d'ailleurs, c'était la filia-
tion, principe essentiellement gentitice. qui déterminait
l'appartenance au déme. On peut donc dire que l'idée d'une
souveraineté strictement territoriale ne s'est jamais déve-
loppée en Grèce d'une façon complète » ;p. M). Sous le
régime nouveau, le régime ancien transparaît, quoique plus
effacé 11ne disparut jamais entièrement, et pourtant, depuis
l'apparition des villes, il n'exista jamais que tnitigé et af-
faibli.
Ce rôle du principe gentilice dans le synœeisme nous parait
inexplicable si l'on perd de vue que ce dernier phénomène
est tout aussi morphologique que politique. Si les démes ne
s'étaient groupés que politiquement, ils auraient pu entrer
tels quels dans l'organisation nouvelle qui, par suite, aurait
été territoriale à sa base t'Htat aurait été une confédération,
plus ou moins étroite, de villages. Mais il n'en pouvait plus
être ainsi du moment où cette concentration morale et poli-
tique était accompagnée d'une concentration matérielle, c'est-
~<* t'ASK~E i'OCMf.oat~t')! Wt.tM?
\).-n:))ROt')'))):t'Rm')u)~'f).:
t'at'M.\f.)-))rK):)<R))t,Ë.r~-yctP.))tYt!t.tX
TSCHUPROW (AMXAMEK A,). – Die Feidgemeinschaft.
eine morphoto~sche Untersuohung (La f'OHOMttN'
~F/'ft~V,/-f<<e/-f/tMHM~/<0/0~«C.sL.tMt~K<««ngPM «!< (<f)<)
:;< -S7r«.MA)<t-~(de
«~~<~w~'M.!(-/(f<f/t'(.tt'M.S;<.m<tM/- Kuappi,l,
XYHt" fasc Strasbourg, Teubuer, tOM, vttt-304 io.8\
p.,
Af. Tschuprow se propose d'étudier ta communauté
agraire
et se sert surtout à cet edet des sources russes. La
premierf
difncutte. et not) la moindre, est d'eH donner ta définition.
Pour l'auteur ~p. 4 toute conunuHautc agmire
suppose t'at
tribution de ja possession du sol n un ensonbfe de
groupe-
ments économiques (ia comntunaute agraire se différencie
précisément de la communauté fatnitiitie en ceque ta premier''
comprend )<)) ftt.wmMfde groupements économiques, ht
seconde un groupement )(Kt<y'«.), et se caractérise juridique-
ment par ce trait essentiel, que la communauté est autorisée
à certains empiétements sur les droits
que chaque grourx'
isolé pourrait prétendre sur la terre.
Le trait caractéristique du système, c'est donc
l'existence
de certaines limitations du droit de
propriété de chaque
groupe au de
profit la communauté. Les limitations en ques-
tion sont rotatives:
1" Tantôt d ~po~M-ocH. L'ingérence de la
communauté eu
cette matière se marque A. Soit <.? ce
qui eoK<ww <'f'<<'M<
de la ~MMjfMHreconnue à chaque
groupe (p. 11 et suiv.). La
ANAMtM. – U! MO!T M MOt'MKTH :t~
\')[. LEUROtTUt:Sf))!H(.T)OXS):TLHOttorTCOX'fHACTL'EL
l'ur MM. ncvfsuxt.-tH.thuKMEttt
t. L'inmt'tinn
[xu'ttt<)')c)rif)e
')' )))otsp<'oyt«/fcHh diu~tt m.f. t)6ht
loift«'«t <M~<t)neH/<t<'<o
c.'itatt<t~ p!t)'tjitus. tV, ~t.
AXALYSKt.–LHUHUtTUMuMt.ttU'ftO?; 3M
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– Le Médio.Socia.1. Paris, Aloll, 1UU2,
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t-t'aitajouter;dM!)tt:!)A~turiM.
AXALYSH". – t.K t'OXCTXMSHMKST DU SYSTÈME MKt'ttH~tf 44f
SOCIOLOGIE ÉCONOMIQUE
ÉTUDESGÉNÉRALES
ParMM.M.BocxGttt
etF.StiOAXh
Maisunetransformationéconomiques'annonce.Les écono-
mistesta préparentparleurs théorieslibérâtes Turgottente
une réformecomplètedu régime industrielqui sera réalisée
seulement par la Hévoiution. A chacune de ces grandes
périodes, M. Levasseurs'attache, en uue étude spéciale, à
réunir les donnéessur la condition professionnelle,sur la
situation des classesoccupées dans l'industrie. A la fin de
l'ouvrage,après un résume chronologique,il reprend, hors
du cadrechronologique,chacuu des grands objets étudiés:
développementde l'industrie, corporations, métiers libres,
régimede la réglementation,grande industrie, rôle de l'ad-
ministration, condition des maîtres, des apprentis, des
ouvriers,salaireset conditionsde ia vie.
JI n'est pas besoind'insister sur la valeur de cette (cuvre
et sur les servicesqu'elle est en mesurede rendre à la science
économique.Le texte présent en est tout nouveau,la matière
est grossie de l'utilisation savantede tous les travaux et
documents parus depuis la première édition, et de nom-
breusesdonnéesrecueittiespar M.Levasseuroua sa demande.
Les problèmesrencontrés, de scienceou d'érudition, sont
posésavecprécision,et sinon toujoursrésolus, du moinsmis
en état avec sûreté et critique. L'ensembleest une mine
abondanteoù l'économiepositivepourrapuiser, et d'où elle
devra partir pourde nouvelleset autres recherches. 11 faut
en terminant signaler avec ptuisirque M. Levasseurnous
prometnon seulementune secondeéditionde l'autre partie
de la premièreœuvre, l'histoire des classesouvrièresaprès
1789 et jusque vers la fin du secondempire, mais de plus
une suiteentièrementnouvelle qui continueracette histoire
sous la 3' Républiquejusqu'à l'époqueprésente.
F. S.
tt. SYSTÈMES
ËCONOMtQUKS
Par M. FttAXçet! SttttAite
.v.v_
M. Sombart nous donnealorsune classificationdesC<<~<?,
faite non pas au point de vue de ta grandeur, nt celui du
processus du travail, commeou l'a tenté jusqu'ici, maisau
point de vue de l'ordonuancedes facteursde la production
nature extérieure (comprenant les objets du travail et les
moyensde travail au sens large) et travail humain (qui s'or.
ganise suivant deux principes, spécialisation, association,
combinés entre eux diversement).Une distinction majeure
est faite entre i7M<e«/<M/&e<<e< « exploitation individuelle
fou le produit est l'oeuvred'un individu)et le ~M~cAa/Mt'c~
~<<e~ exploitation sociale (où le produit est une tBUvre
collective) entre les deux se place un type de transition,
L'~e~tn~p/rt'ct. Puis, par applicationdes critères indiqués,
M. Sombart distingue huit formes d'exploitation, dont les
trois premières appartiennent au type individuel, les trois
suivantes au type de transition, les deux dernièresau type
social (d'autre part, les formes1 à 3 correspondentce qu'on
appelle petite industrie, ~f')~('<<ft, les formes 4 et S à la
moyenne industrie, les formes6, 7, 8 à ia grande industrie),
savoir
1° ~<'«t6~'«'&, exploitation isolée (un seul producteur
accomplissant toutes les parts de la confectiondu produit,
uvecou sans machine);
~° ~<n<:<«'M~n'f~, exploitationfamiliale (agriculture, tis-
sage à domicile,avec eoiiaboratioade la femmeet de l'enfant,
division physiologiquedu travail entre le chef de familleet
les « petites mains ~);
3° Cp/«7/<?M<w~'M, exploitationà compagnons(forgerons,
ateliers de taiiieurs, de cordonniers; travail peu différencie,
technique peu avancée,faibles moyensde production)
4" ~'<ce< (t'c/t<7/~))&e~'<'f&, exploitationcompagnons,
de forme agrandie, (forgeavec plusieurs aides, boulangerieà
plusieurs fours, etc. le chefde l'exploitationa ici une tache
différenciéede surveillancegénérale)
5°fH<);«/MN~e<rte~ !tM~'<M.wt, exploitation individuetteen
grand (par exemple une grande entreprise de peinture tout
le processus de production y est encore accompli par un
même travailleur, avec la même technique que dans la pro-
duction isolée proprement dite)
6° CM<c/«t/~MAeZMf'M<H)~e<MCK, exploitation sociale
en petit (atelier de sous entrepreneursde chaussures confec-
tionnées, par exemple,se distinguantd'un atelier de cordon-
470 L'AftÉK itMtOf.OGt~'B.iMt-t9M
). Voh'~nn<'<'.~cM.j.-ymMe,
t. tV. t999-t9M.p. Stt et t. Y, tHM.tOOt,
)'
47C t/AN~BSOCIOLOOtQCB.
i90t.tt0!
sans doute (saoschtcaner sur la plus ou moinsgrande impor
tance de telle ou telle forme distinguéepar lui), qu'en tout
cas sou énumératioHest incomplète ta Il fabrique collec-
tive et aussi l'usine, par exemple, sont des formes dont h)
distinction pur des caractères morphologiquesou technolo-
giques est netteet parait utile.
c) Maisdans les actionsde régimeet de termede la produc-
tion, deHniescomme il vient d'être dit, n'intervient aucune-
ment la considérationde ta matièrede ta production, de l'es-
pèce et de la nature des produits. C'estdonc par une confu-
sionde notions (facilitéepar le mot /~<n<'&), que M.Sombart,
traitant des )r<~c/M/?.</b/'mw et des ~f/w~/bf-MtfM, se met a
distinguer plusieurs « /<~ dans une « tn<d)«/Ï lors-
qu'il y a, par exemple,plusieurs productionsgroupéesdans la
même entreprise. Ce phénomène est loin d'être indinérent
il est intéressant d'étudier si les unités productricesspécia-
lisent leur production ou au contraire réunissent, agglo-
mèrenttes productionsvoisines, mais distinctes.Maisle fait
qu'il y ait dans un établissementplusieurs« rayons a, dans
une entreprise plusieurs branches de production est d'un
autre ordre que le fait, pour cet établissementou cette entre-
prise, de rentrer dans le type de la petite ou de la grande
production, dans le type de ia manufactureou dans celui
de l'usine c'est un nouvel ordre de phénomènesà séparer
des deux autres.
Nousavons employéici égalementle termede « système
économiquedont se sert aussi M.Sombart.Mais,pour n:)us,
il se distinguait très nettement du régime et de la formede
la production il nes'agit plus seulementde production nous
appelonssystèmeéconomiquel'ensembledes relationset ins-
titutions qui caractérisent l'économied'une société Unsys-
tème comprend donc le cercle complet de la productionà lu
consommation.La définitionque M. Sombartdonne du mot
correspondant tF~cAa~M~~m ~une organisation écono-
mique où se réalisent des principes déterminés)ne lait pas
ressortirce caractère « organisationéconomique est vague
peut-être les « principes » visés fourniraient-ilscet élément
de généralitécaractéristique; mais nousavonsvu.qu'ils sont
beaucoup moins nombreux que les systèmesdistingués par
M.Sombart par conséquent les systèmesse différencient
t. ~/)M~cMo~'«-, fY,iM9-i''60,p.M3etV..
taot-t9~,p. MO.
AXAt.Y!!M.– SYSTÈMESËCO'<OHtQU)!S 47~ î
et notammentde femmes.L'organisationêtémentairoestdonc
bien !a parenté.
Elle est une unité économique,complète,uneassociation
it la fois do productionet de consommation.Les femmes.
employées aux durs travaux, y sont source de richesse,
elles sont aussi matière &échange. L'aîné s'achèteune ou
plusieursfemmeset en achèteà ses cadets et à son esclave,
ou à défaut, l'oncle maternel. Les membresd'un groupe
sont soliduires les uns des autres pour les compositions,
les amendes, les prix des femmes, etc. Le chefdo la pa-
renté est une sorte d'administrateur de l'avoir commun
(p. 33).H répond des crimes et dettes et exercela vengeant;)!
au nom du groupe; il reçoit le paiement des achats de
femmes, t) pourvoit aux besoins de la communauté.Les
esctavessont traites avec douceur ils peuventpar un acte
symbolique(en arrachant le pagne, eu brisantun ustensile)
rompre le tien, et choisir un autre maître. Les hommes
libres peuvent recourir, si le chef n'accomplitpasses obliga-
tions, aux oucles maternels. L'hommelibre dMFere de t'es-
claveeu ce qu'il ne peut être vendu, qu'il peutdevenirchefa
son tour; mais, sauf exception, il travailledansla commu-
nautécommel'esclave.
Ladivisiondu travail, mômedans les communautésnom-
breuses,est très peudéveloppée,Il existeseulementune sépa-
ration très nette et absolue entre les occupationsdes deux
sexes(aux femmes,les soins du ménage, les travauxde cul-
ture sauf le déboisement;elles sont dirigéesparia première
femmelibre du chef – tes hommesont le déboisement,t.)
chasseet ta pècheet ta fabricationdes instrumentsqui y sont
nécessaires).H semble que, dans certains cas observés,les
repas se prennent en commun. Les hommeslibres pauvres
doiventfournir au groupe une part du produitdeleur chasse
ou de leur pcehe. une part des gains réaiisés.
JIn'y a peut êtrepas d'industrie qui soit détachéedu groupe
familial,sinoncelledu forgeron encore M.Thonnarn'arrive-
t-il pas il donner une notion clairedo sa situation)et celledu
médecinou féticheurqui se rend de parentésen parentés,
reçoit la nourriture et une rémunération.
L'individu, libre ou esclave, enfant ou marié,a une pro-
priété personnelle des objets mobiliers (dans un certain
nombredo cas seulementcet avoir peut être réctaméde tous
pour un intérêt commun), notamment la propriétédes ani-
ANALYSES.
SYSTÈMES
ECOXOMtOBE~ 48?
mauxqu'il ét6ve,des esclavesacquis ou donnés(un esclave
peut lui-mêmeposséderdes esclaves,p. 48).
Quant&ta propriétéfoncière,elle a un caractèreet un rôle
très particulier.Il y a un lien étroitentre la tribu et le sol où
elle réside (mêmepourlestribus errantes, entre chaquetribu
et to cercle où elle se déplace).Le groupe est propriétaire
commun.H ne peut aliéner sa propriété.Il permetaux paren*
tes d'occuper temporairementtelle ou telle parcelle. Les
membresmêmelibres n'ont jamaisqu'une jouissancetempo-
raire. Les tribus dites agricolesne sont d'ailleurs pas absolu-
mentsédentaires souvent,par exempte,le villageà la mort
du chef, ou bien à la suite d'une épidémie, d'une chute do
foudre,se transporteen un nouvelétablissement(l'auteur ne
cherche pas à dégagerle caractèreévidemmentreligieuxde
cesphénomènes). Unétrangerou une parentéétrangèreau
groupene peut avoiraucuneprétentionsur le sol occupépar
la tribu, il ne peut s'y établir qu'après avoir été admispar le
chefet par t'assetnbiée,et après avoir fait t'échangedu sang
(c'est-à-direaprès êtreentré dansle groupe)et avoiraccompli
certainsrites (remised'un bananiera planter, p. S4,toucher
la terre, p. S8) le blanctui-mémeaprèscescérémonies«cesse
d'être uu étranger L'idéemêmed'aliénationest absente
il ne peut y avoir qu'une locationindéfinie.Aliénerserait se
reconnaître l'esclave du nouveau propriétaire il n'y a
d'hommelibre que parla propriétéimmédiated'un territoire
déterminé(p. 87).C'estle lien avecla terre qui fondela con-
dition de l'homme.A cette idée se rattache l'interdiction
pour le chefde quitter le territoiredelà tribu (en terreétran-
gère il serait dans la situationd'un esclave).
L'occupationdu sotpar les diltéreutesfamillesest régléeen
générâtparle chef; elle a, on t'a vu, un caractèretemporaire.
La prise de possessions'accompagnede certains rites un
féticheest plantéà l'emplacementdes culturesnouvelles.–
Cequi reste inoccupédela zonevaguequi entoureles villages
est soumisa un droit communde jouissance. – Le produit
des pèchesest ordinairementalloti.
Pour certaines taches exceptionnelles(grandes citasses.
pêcheries,par exemple)se formentdes communautéstempo-
rairesde travail, appeléesff~o, qui débordentles limitesde
la parentéet mêmedu village elles comportentdes engage.
ments pris en formesrituelles.
M.Thonnarcroit devoirdistinguerdu systèmepatriarcalde
4M;) L'ASSHK SQCtOt.OatOL'K. l'JUt.t'JM
tU.-K):tj)MhSf)t;LA)'KO))t'CT<0?<
x
)'tM'M.))t.'t)):ttTt)'M<;).\
A. – /~<mc </«//<M<.
B. /M~tme de la coojM~'a<fOH.
SHRVOS (At.oïs). Die Entwickelung des landwirt-
scha.ftlïchen Genossenschaftswesens in der Rhein.
provinz (~,e</<~f<op;x'ntM( de </<<'oop~'«<<OM
~<'<co~f(<<u)<!
<«
;o<'«fcc <<«/</«'H).DissertaUon inaugurale. Tubtugeu. )900,
t36p.,in-8°.
Pour étudier la coopération agricole, M. Servos a choisi un
terraiu thnité et hien deHnutc, la province du hhin. M est
possihto d'y saisir les débuts mêmes du mouvement coupé-
t'atit, et d'en suivre les progrès jusqu'au momcut présent
c'est ce que M. Servos s'est proposé de faire. il H etudit! la
coopération sur ptace, et de prës sa monographie repose sur
une enquête personnelle, counnnce par la lecture des publi-
cations qui out été faites sur te sujet; il est seulement a
regretterque cette lecture, a eu juger par ta bibliographie peu
''taire disposée à la fin du vututne, ait été souventincomplète
ou peu méthodique. Le volume lui-même est mal équilibre,
mal distribué l'histoire, la statistique, les discussiuus théo-
riques y sont le plus souvent confondues.
Ce que M. Servos s'est essentiellement proposé, c'est t'ana-
lyse des conditions dans lesquelles les sociétés coopératives
agricoles sont nées, se sont développées et doivent vivre. Une
semblable analyse demandait ù être conduite d'une manière
très positive, avec des faits, avec des chinres: M. Serves t'a
surtout faite avec des raisonnements. Raisonnements judi-
cieux le plus souvent, mais raisonnements abstraits qui ue
prennent de solidité que quand les faits, heureusement rap-
4t'~ (.'AXXtiKsoctttt.um~K. ittt.tSM
C. ~<nt<~de ~<p/'o</«c<<H
f<~M««<
– M<-<'n-.
)\ – t-'OMM):8OHt.A )'ROt)UCTfn'<
t'at-MM.tt.)~t-M.ixctI'Sti)~!it).
1.C'estat'cf;t'<')k":i'<n
fjncnousc'a~sansh; ~«Mf/tt'ft'A' tantôtc<))t)tne
t)!)
n~Mtecttantôt f'Muneune /f't'M)c </<*la ~)'of/«t'oH.Cettexntione~tcom-
)')~t~HUcest 'i'tttv'nt toutunah'iicH ))'ai))euMU
;)ark':<aut).'ut's. rstnatu.
s'fit
r';)(jn'unt)'jt'd'institution d'autanttt)Hin.'i')i<)'Mrenett:<)u'itMt moins
.iYMt<;udans )'t'ututi<jn,et fju'auxstttde<uit~f~ur:<suu)et))';nt)e n~ime<')
la fonm)dindustticn)ontrcntnatt);mt!nt ieur indepundMt'e. Nmn<noi)M
no)M ttvonitcru utile fientetttf en ~videno;que dans t'cmntotde cett)'
notiondeM<tM<<M-f~, on t'iMtantôtsurtoutun « rcRitnede lu pt-oftucti~n
fc){)Mt(* prn'tuetiontn-tisanc") tant(')tsurtout una n formede la
dela
production M(fomtcde la petite in'tustt-M.fot'toe de t'atuticr).
49C L'ASXKK SUUMLOCt~CE. tt)tttH)tti
\.–)-:Mt-~Ts))HL.\)tth'An')rrK)x X
<'tH'M.F)t.\X<;Ot'iStM)\Xt)
·
et le résultat de .'eeherehes personoettes sur les faits cor
respondants eu i-'rance, il étudie « les transformations
<tu contrat de salaire et leur influence sur )a retrihutiun de
i'ouvrier M.K))c vaut qu'on s'y arrête.
Le contrat de sataireest anjourd'imi beaucoup piuscom
ptexe que tu ctassique (tivision eu sataire au temps et suaire
aux pièces ne ie laisse supposer ni ia (tur6e ni ia producti
vite du travai) ne sout la mesure de remunerntion que )''
contrat veut cti)b!n'. HnreaiitMc'est sur ta mesure df t'etiort
<;ueia r<;)))Ut)t'ratiot)cttcrctte a se fouder avec une pmcisitXt
croissante. t.<ut'e. d'une part, mais aussi intensité, d'autre
part, caractérisent cet euort de l'ouvrier. Aussi de ces deux
''temeuts )a fixation du salaire s'applique & tenir compte cou-
jointement de ii'tvient que nous voyons sans cesse joindre n
un salaire a hitsede temps iastipuiation d'un rendement mini
mum par unitt' de temps, et à un saimre aux pièces )a stipu-
ifftion d'un saiaire tninhnum par jour. ti n'en a pas toujours
été ainsi, pense M. Hist. Hestime que, dans ta première parti'-
du x)x"siecie, ie contrat desaiaire restait beaucoup piusvi~uo.
que I'ouvri''t' livrait sa journée, son temps, sans précision cor
retative de i\-f!ort à fournir, ou qu'it acceptait un tarif aux
pièces sans <va)uation correspondante de ):) remunt't'ittit)))
journniiere. Il y a eu un progrès dans ia détermination d''
i'eflort fourni ou a fournir, qui a abouti aux contrats com-
ptexes dont nous avons aujourd'hui de muitipies exempics.
Cctt<'détermination plus précise de )\'nort a eu pour resuf-
lat d'établir pius d'équité dans la repat-tition du sataireentr)'
les ouvriers d'uue même profession. Hitea permisdf propor-
tionner ia rémunération a i'enort, d'appiifjuer ta douhif! re~c
« à travai) ine~ai, salaire inej;ai Met a travail e~at. saiairc
egai)'. L'opposition des ouvriers à certains procédés de rentu-
neratiun vient non de ce que ces procèdes proportionnent ie
salaire a t'efïort, mais decequ'iis peuvent entraioer indirec
tetnent un abaissement du salaire. Kt cette e~atisatiou du
satairo tend même a s'appliquer, non seulement a un eta-
hiissement, mais a t'onsembie d'une industrie
Les perfectionnements apportes au paiement de l'ouvrier
ont-ils amené une repartition plus equitaDe entre te patron
et t'(<uvrier ou permettent-iis d'en apercevoir une ïormuie
tmpiiquent-its que t'industriei cesse de s'enorcer do réduire
te prix de. revient, et notamment le coût (ht travail Nu))e-
mcnt. L'analyse des faits montre que les primes à )a produc-
A\t.Y.<Kt.– t!t.t!!HH\T<
t'H '.A M)'t'.tt)T)Tt"\ !K)'
honaccruc.autravaiisuppicmentaix'.aurendcmenttneiiteur.
que ia participation aux bénéfices s'établissent et se dévelop-
peut A lu condition de fournir un avantage au patron, une
réduction du prix do revient du travail. Ainsi dans i'etabiis-
M'meatd'une nouvetie hase de saiaire, la formuic A travail
t'gai. salaire égal ne s'uppiique p)ns. et la part de chacune
des parties contractantes est uniquement déterminée, eomnn'
jadis, par leur force respective.
Du reste l'application comp)6tede la régie (qui cntratnerait
l'abandon il l'ouvrier de tout t'accroissonent du produit.
f;uand Bonouort augmente autaut que ia productivit' i'Hban-
don d'une part proportiounelle seulement ou même de rien
du tout quand, au contraire, son efhx't augmente moins (lue
la productivité ou n'augmente pas du tout), n'est ni possible
nidesirabie. Les progrès dans la production, dus aune
tneitteure organisation ou à un perfectionnement des ma-
chines, ne peuvent, dans le régime actuel, se n'atiser <)uesi
une part de l'avantage obtenu va au patron. D'autre part la
règle se retournerait contre les ouvriers (cas de ia réduction
légale de ia journ< de travai!. ou les ouvriers veuient con-
server le memesniairc quotidien, cils de l'echeite mobile où
ils n'acceptent pas une baisse du salaire proportionnelle a
celle du prix du produit; et ils entendent bien profiter même
des améliorations de l'industrie qui na sont pas de leur fait et
qui sont indépendantes de leur action. A chaque nouvt'iic
modification de la production, la répartition entre patrons et
ouvriers ne se fait encore suivant aucune régie consciente; ft.
un principe d'équité qui puisse y présider sans compromettre
le progrès industriel n'est pas encore découvert. La classe
ouvrière devrait doue, setou M. Rist, se tenir fortement à un
seul principe doctrinai, le minimum do salaire journalier par
profession.
-Au point de vue, qui est le notre ici, de l'application d'une
méthode positive :'<l'étude des phénomènes économiques, lu
position du probtente adopte nous parait appeler quelques
observations. M. Rist recherche dans quelle mesure révolution
constatée dans le mode d'établissement de la rémunération
ouvrière aboutit à formuler une règle d'équité applicable à ia
fixation du salaire. C'est là, sembie-tii, meier deux questions
d'ordre dinerent )*Queiie est la formule qui parait exprimer
l'évolution suivie par le mode d'établissement du salaire
Cette formule est-elle une règle d'équité? La première de
S'~ <<XXHK HMt-Oa~
SOCtOf.CGtQUK.
V).–MLA.S.St:St;C<)'«)M)QU)':S
f'arM.t''MAX')iiStM).t'«)
Y)). ASSO(;t.\Ttf)X.!'t)OFR~fOXX)':r.~t:.S
t'ar M. Il. tt&ftto.'i
1.Cf.J;0)FfMCt'~M~t'~MC,
t. tV.p. ~t0s )'(.
S(C f.'AXX)!)!OU[))LUt:)~UE.t'H)t-t90:!
M. Murtiu Saiat-Leou u voulu tuire une couvre plus synthé-
tique et plus explicative que celles de ses devanciers; (Hais
il n'a pas utilisé su dueumentation avec toute lit méthode que
rendait indispensable une telle ambition. Trop de documents
sont longuement cités par lui sans un commenhure sumsaot
ou même sans commentaire t'iuterprctatioa fait detautà côté
des textes rapportes. Certaines autorités rm'oivent une impor-
tance disproportionnée a leur vateur ainsi ta description
partiale de ia France révolutionnaire laissée par Taine sert a
justifier ici quelques attestions peufondees(p. 77). Beaucoup
de faits sont mentionnes sans réfereuces il y a quelquefois
de ta confusion dans les faits et même dans les dates. L'en-
semble ne parait pas absolument solide et sûr.
Le pian de l'ouvrage n'est point satisfaisant non plus. Les
deux premiers livres contiennent t'/«'~o</v</t<comp~MOHH«~'
depuis ses origines jusqu'à ta Revotutiun, et depuis ta Révo-
lution jusqu'à nos jours; le troisième livre décrit <<</~M. /('.<
MM'M/'s < << fo)<7)<Mi<'<
~tt cuMt~M~KOMHf~f caftn le quatrième
livre expose ta .«/t<«/<OM f/M<;oc«'< coM/M~MOMK«jf«M en t')0t,
et conclut. Daus ces quatre livres, ta partie historique et la
partie descriptive empiètent t'uno sur l'autre l'auteur n'aa
point su prendre nettement position, il n'a point su choisir
entre l'histoire ett'anatyse explicative, f) lui arrive assez sou-
vent d'être obti~e, pour ta ctarte de l'exposition, de renvoyer
de l'historique à la description, et vice versa (par exempte
p. (M L'historique tui mêmen'est pas toujours routier il
se presse ou se ralentit il se contente souvent de termes très
vagues, par exempte « L'évolution industriette s'accentue,
elle est relativement avancée, elle commence à peine. Le
compagnonnage correspondait il un régime industriel tout
dmerent. )' p. 147-H8). On y trouve desan'ets, des retours en
arrière -par exemple, p. ~7)). Le dernier chapitre du votume.
a peu près en entier, ne conclut pas te livre, ne termine pas
t'histuire c'est un épilogue, qui n'est pas a sa ptace, sur tes
formes nouvettes de l'association ouvrière et sur t'avenir du
syndicat.
Enfin, si le livre n'est pas méthodiquement construit, il
n'est pas scientinquemcut con';u il n'est pas objectif et il
n'est pas impartial. Dans son étude du passe et dans sa com-
paraison du pissé et du présent, l'auteur est en quelque sorte
domine par une certaine vue du présent, que lui ont (aite ses
sentiments, ses opinions, son observation personnelle et une
Ax.u.)'–A~soc).r)ox.<)'n<)Ft:~)'MXHt.).K.< !H7
une telle naïveté que, dans les paragraphes qui tes concer-
uent, il n'cil est fait ««c«)«' ~«'«f<n<( ~M/</<nM«t~M'' <~)t'c~M
!<~<f<v/)<t<</M «co< ~;t)f/«~ quelques dévetoppentents très
~'néraux et d'une grande banatité tiennent )a place de tu
véritabte « explication attendue (p. t5!)-!7t).
De toutes ces observations, it ressort que ce qu'i) y a de pire
dans )'ouvr!)go de M. Mitrtin Saint-Léoo, c'est )ft m'Utod< et
.urtout la )n6thode d'exposition et d'explication. De ce ih'ro
iustructif. utile nt~nc, et qui doit rendre des s''n'i';es, ou ne
saurait se servir ({u':t\'ec beaucoup do précautions.
Xou'! donnons ici le resunte de la )ni)th''re qu'i) renfertne
). Origines du compi~nonnoge, ta ie~eudo et t'histoire, le
compagnonnage au XYt"siecte surtout les actes puhties, tes
actes royaux qui le concernent); le compagnonnage à Paris et
dans quelques grandes vittes aux xv!t"et xvm'' siècles organi-
sation du compagnonnage sous l'ancien régime ~réception,
hiérarchie, Tour de France, rivantes, conflits, etc.. – La
dévolution loi du )4 juin )7m); du consutat au second em-
pire, décadence du compagnonnage ta /t~r«<~M f'OMp~M)!-
M)<jf«('ett'rH~«fo~M~«MK«~<f'sou8ia troisième république,
tours congres; tes compagnons restés fidetesau /~<~«'M(t'«fet
:tu /~fo«'. –3. Hites, mœurs etcoutumes initiation rituet.
catéchisme, iustruction.), Tour de France (vie et travnit. pta-
cement, enseignement professionnel, fraternité et ntutuatite.
etc.), insignes et onbiemes, (êtes, pèlerinages, le /'<<' et ~<
.M~v.rivatités, chansons. –- 4. Le compagnonnage en t~ut
organisation et regiemcntittion des sociétés encore existantes
iecon)p!)gnonn:)goaux pointsde vue retigieux, )norat etsociat
les associatiotts ouvriëres au début du xx' si6f;)o~coopération
de production, coopération de consommation, tecote de
Xtmes, tesyndicat); t'avenir du syndicat « fusion ou attianco
(lu syndicat et de la société de secours mutuels, nécessité de
transformer les syndicats parliculttrisles en associations cor-
porath'es groupant tous les tmvaiiteurs de la profession
organisation du travail etde l'assurance sociale par lu corpo-
ration » (p. xxvnt).
Vm.–ACT)U)f ))<t/rATSt'XL.~Vtt: E
)!(:f)XOM)QLt:
hn'))M.tt.))omm!.t;tI'))tnx).
A. – /M<? t'OMMM'<'M/<
)t. – ~A/M<«~wtMt'<f~e
aux pièces ceux qui y sout parvenus ne font pas fixe d'une
manière satisfaisante. Jtsembteque ce qaiamanque surfont
aux conseiiters, ce sont tes connaissances techniques. D'autre
part, l'expérience sociale montre qu'une sotide organisation
syndicato est nécessaire aux ouvriers pour qu'iis puissent
traitera egatite avec tes patrons eu vue de rétablissement des
tarifs.
iV. /.« CfWt~M); – Lesdinereatcs lois
r<«'~(~Y<iyf. qui,
enAustraiasie.ontet!t))tit'~<7/'«.«'«~<<<n'ontouqu('
peu de succès et peu d'eftet. En Nouveite-Z')andeaCtu institue
I'«r<'f<< o~~t/ot'n'.et, « jusqu'à présent, les efïets de ta
conciliation ofticieiie ont etù d'empectter tes grevés et <')<
ox~, et surtout de créer une jurisprudence nouveite. interpré-
tant tesanciennf's lois, ou encore innovanthardimcnten faveur
des syndicats oavriers o (p. tG~. !'ar suite de ces interpréta-
tions et .de ces innovations, "te proKraxtXtedes syndicats,
contenu jusqu'alors par tes barrières rigides des )ois{;cneraies,
a pénètre, );r"ce aux petites brèches desdecisions particulières.
jusqu'au fond mémodu contrat entre patron et ouvrier, qui,
sous son influence, a change de nature <p. )<}~.Les conseils
ot ta cour de conciliation ont t" fixe te dotait des arrange-
ments concernant la ~«nx.W<'At«'f /)('Mrc. 2" nxe, dans beau-
coupde cas particuliers. ie.f</4«n'M'«'«)<MW,endécidant que
ce serait le saiairo de i'o«rr«' wof/<'«(contre t''s trade unions
qui voudraient que ce (ut celui du bon ouvrier; tixe, dans
plusieurs cas, une proportion entre le nombre des ouvriers
et celui des apprentis. Les patrons n'ont pas cesse de (aire ta
plus vive opposition a la fui sur ta concitiittion et l'arbitrage;
« tous se sont plaints de t'etcvation et fte t'unif"rntite des
sataires qui est ta principale raison de ta faveur que tes ou-
vriers témoignent a ta loi ~) p. tT ). Lesautres raisonsde cette
faveur, c'est que les ouvriers voient dans ta toi le moyen de
rendre a peu près obligatoires le syndicat ouvrier, je mM<<-<!<
eo~'<-(/ enfin t'introduction dans te contrat de ta <w</MMf </<*
M<'7<(avantages reetan]'~ par les ouvriers et accordes partes
patrons dans des circonstancesexceptionxeites et passagères).
V. ~< ~MM<<OM (<« C/t0~!f<~t',< /M <'M'M.<<0)M </<*ff'n'M
pMM<~t«'! ~<'<n'<f)'w. – La plupart desHtats ont annexe a
leur Mf;<(~<'<''< ~'«ra;'< f/«<'0)u' (/<)«/'<«)(';<<)
un service de
~«c<M<'nf~v<<M'< (<«&o<«'~Mt'fatf).Cette institution it rendu
de grands services, a été peu coûteuse, et, grâce Munombre
considérable d'emplois qu'ofïrent en Austratasie les indus-
Af.tt.ME<. – ACTtM M t.'ÉT.tT "CR H VfR ~Mf'Mtt~t-t: !;3t
actuetjc
1~t1)fo~(1 des 1111(rl·1f11·s:
flou
ouvriers Wât·i1·n
dérive en
nW
partie lade IHHI~rac!
r1W ·fin
causes nvnnnlinn.
exception-
nettes » ~p.~5H;; mais ces causes. H tes fait remonter H une
époque fort antérieure, et leur action il celte époque ne sau-
rait exptiquct' le pttenonf'ne actnet Au reste, qu'it faiUe
attribuer ce phénomène:') des causes exceptionnettes ou a des
causes normaie': et permanentes, c'est justement ta detnons-
tratiou (te ces rapports de causalité ~ui fait trop souvent
défaut dans t'ouvra~e de ~t. Metin. Il n'a pas asscx ct)erct)e
ou il n'a pas snftisamntent montre dans les faits sociaux,
<j[U'it a pourtauthiendécrits e))eux-n~'ntes 'situation aurttirG.
dévotopponettt industrif), mouvement ouvrier, rotations d''s
'tasses econotnitjues et suciates, mouvetnent de ta poputa-
tion.ete.), les causes de ce Kran't fait social qui est iat~istation
eontetnporaine de t'Au.stratasie. Aussi son onvr!);fc est-ii
moins instructif qu'il n'est intéressant, et, après des descrip-
tions complètes et exactes, ses conclusions n)!)t)((uent-ettt's
parfois de vigueur et de netteté, ft faut seulement ajouto'que
t'experience sociate de t'Austratasie est encore bien récente,
et que, si M. ~L''tin a manifeste parfois quoique imprécision
ou quciqae timidité dans I'a(nrntati"n, lu nouveauté du phé-
nomène qu'it étudiait en est pour une part responsable.
tt. i:.
Aonuatro do la Mgislation dtttravatt. (ODi~cdit tra~i) <)'')<-).
t{i~ue). Muce, )UOt.Xt'uxfUcs.Schepct)!)~m, ia-S".~omitt'):t-
tiuu de ce rtcueit trcs pMeicu):
JAY («ton. – La protection légale des travailleurs est-elle
nécessaire'' /t'«<' f<'e'o«. tt;vt'ier )'jm, p. )m-t<}'?.
JAY ;)<Aurt.).– La loi des dix heures en Angleterre. /f. <<c.
mai )UU2,p. 422-t3~.
E. ttOt-'t-'MAXX.–Die Entwickiungdes kantonalon Arbeiter-
schutzos in der Sohweiz < f/A'f/<M)f«~ A'~</<'h'e~'t'/t(Y<«/«-
~«~ </M ~(t'~«7/<'<«'~ CM.S''«MC;.~f/~C/t. < y'i!. ~<'fff<«'<<.<
fO: t, p. t!)tiT.
0. vux XWn:)))X)-:CK. – Das Projekt eines Zwangspensions-
Versicherung fUr ANgostollte in Oesterreioh ~.c/f< </xx''
«Mt<)'~<t<'<«j!<M/f MM/j/H<0~'C~t)M<' <'<M/C<tM .4«/<'«').
.')'c/'w~/<'<«/<t'< <«, 4. p. ~u.
CAJ!.)J!UX(Étfut.un').– La question dearegioments d'atelier on
France.Aet'. <tp. po/ Mût, sept., oct. et nov. tMO).
E. SOtWfEDLAXt).– Behôrdiiohe Mindosttohnsatzungen in
M4 L'AXXKKSUCMMOOCB. t9&t.tMe
tX. MOXOMt):S
S)'i~:t.U.KS.Aun.U)t):.~i)U.STRH:)J.t.
CMtM):MCf.UJ:.t-:rc.
)'arMM.U.nm)M<xctF.S)ttt.t\u
SCHAt-U-'('').):.–DieNotwend!gkoitexaktentwickelung9gesoM-
chtiicher Erkiârung und exakt entwiokelungsgesetziicher
Behandtung uasoror ohroniaohen Landwirtsohaftsbedran.
gniss. ). /~<M/<.y. < ~M.S<f«!~<w tum, 2, p. 3iti-3:;2.
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(.SM<'~M<Y«'a<*<<'fM /0'M/X'M (/<'<M«~'f't' f«~f'(«f~Sc/<MM~f/~
J«/«-& i902. p. !)() (i)nportant;.
WtES)-:(t.K.)).).))\ux). – Die rhoimisoh-westfalisohe Eisen-
industrie in der gegenwàrtigen Krisis ~'<«~M).«'<~</<-<''/<(
/?/« e<</eh ~M~/t'~<'c<<0f)j! ~<(-<'<'«
~)'<<f<tff).
&'t'/<NtuM<'<JH/o'h.,
iW2,<,p.UU:~t.
SCMUt.'rE (A).ov. – Garbound Norenz. Xurfu-schichteder Wo)t-
pftdoktion hn MiUetatter~"x~M/t'~t f(/'A<Hf<'e~<' ~<w/<«'/M)t
f/e/f<~«'0'' MMMO//Mf~ y<'t'~f-/<< i/M..Sff<f<<jf<«i! t9U: ),
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.M.DHLRKUHCK. –Die Lage des Brennoreigewerbes (~<f!f'<t<M-
~t'm<</<;/<;t'/fM/)-<e(/e
~f (/t'.<ff'«'S'-AM'r'< J't/o't., )UOt,:<.
p.2H-i!
H. StEVHKtXG.– Die ôsterroicMsohen Bahnprojekto i~M
~r~'c~ f.-A<'M«'«i: t!t-/<wu.t'x~</«-A.,tSt)), 4,
</<f<'t«f/ft.<«'<)it.
p.i'Mt-:<!Ut:.
W. MU.\)MS); – Wirtschaftiiche Entwicklung und engUs-
chor EinNuss in Austratasien (~M/fmcH~ t'w<tuM)'<fe f/
S33 h'AxxMK teet.ttM
!!t)CtoM(:t«t<i!.
H~~f'ite CM~<M<<-ft~M~)..Sc/tMO~M-'i,-
M/?«fM<'<? Jf</tt-& t90<, t
p.22t-2M).
t)Ht<MA!<~~HMf.t A. – Zur Regelung ln don
derLandfrago
Kolonien (~~«t- /a rc~/em<'<t/«<)'wt
</<- ~«MOco f~n«'~ ~«M
fo~oM). ~t'~t'/t. d. ~<'<S<«<t«tMM.,t;)m, a, p. HUU-3t5
COLDSCHMtOT.Jtj.n~ZurKrMhderdentsohenHypotheken-
banken (Crt'f~Hc </M&M<~«M/tj//MiA('e«(')-C)!
«~MXttt~i!). &tM<u<-
/<< ~<A~ mot, 3, p. S~t-aM.
J.-W. t.UETXËLHH Die Schatzung von GrundstOokem far die
BeIeUMng..ScAMM//H''<!j«/«-&tMa, i, p. ut-)4G.
WEHMHRT,H~H. ). – Ueber den volkawirtsohaftUohen u. reoh
tliohon BegrMf der Bôrse (t!f«'<<* <;<~«'t(<<~Mf
c«Mc~)<A'oMoMtt'f/xe
tle ~ut<M". ~<'«.<c/«'.y. Gt.<. ~ft«~<t' i9U2, 2, p. )M-2MU
(important'.
StXH~tKSHCTtOX
MO!U'H()LOmKSOCtALI-
t.-LHS HASt:!}(jt!OtjB.U')t)QL'):S)));).\V)H.SOC)At.t-:
t'!H-)t.Dt'M)i)U:iii
H.–Ut:L.\t'0)'L').rtn~):~H)~t:t<AL
t'.tt-)m.):.ï)m)fftt:t]t.)'.t't).'co.xt:T.'tC.KtCH.un)
nt.-LKSGMOUt'KMKXTSUm.UXS S
!'<trM.H.HcnK)))!ts
JULL!A\ ~CAMtt.).);).
– Notes gallo-romaines. Sur les ori-
gines de quelques villes françaises, ~ccw </M~w/M
Tome ftt, p. 316.
«M<-<CMMM,
Il s'agit surtout des villes de !:( Gaute indépendante mett.
tionnôes par César il y en a une trentaine. Httes ressortissent
à quatre types ditïérents les villes de montagne, etahiiossur
de vastes sommets, I'o~«/«;H de marais bâti sur une très
M~re hautem-, mais protégé j)iu' des ntarec~es, i'op~KM
fluvial coustruit daHadesites de rivière (co)ntneParis) et, enfin,
tes villes qui commandent uu pout ou le passaged'uuo rivière.
LeureMtpiacetne)tt<nontreque leur rôle étaitsurtuut ntiiitaire.
C'etaieut pritteipaietnent des lieux où s'entassaient femmes,
enfaats, bestiaux, sotdats. etc. Aussi, primitivemeut, i'o~Mxm
guutois N'exerçait-it aucune supt-6tt)atie sur la région avoisi-
aaNte; aucune ville n'avait ie caractère d'une capitale. Mais
à partir du milieu du premier siècle, OMvoit se
produire un
véritable Tj-wx~ Au contre do la nation, J&du moins où
elle atteint un certain degré d'unité, apparatt un
opp~ttM
centrât qui est considéré comme la ville la plus importante.
Peu à peu les orgaues les plus essentiels de la vie sociale
s'y
concentrent. Ainsi Il les Celtes s acheminaient vers te même
régime municipal qua les autres peuples de t'antiquitc, lorsque
)&conquête romaine vint rendre cette marche
plus rapide «.
tV.–L'HAtUTATtOX
!)<VER8
JO;
).-).'KST)tÈTtQU):
ParMM.)). UuttKKT
et M.MAMSt
L'tnexpérieucedu dessinateur,l'imperfectiondesoutils, la
répétitionfréquented'une figure,la matièremétnode tachose
à décorerou sa formeentraînent toute une sériede simplid'
cationset de déformationsdes données.Lesschèmescréés se
perpétuent. Ce sont choses sociales, dit l'auteur. Certaines
figuressont produitespurta multiplicationdescontoursd'un
premier dessin. D'autresrésultent d'un travail de réduction
qui tendà représenter un tout par une partie. Ici d'ailleurs,
l'auteur devrait rappeler que nous nous retrouvonsen pré-
senced'uneloi généraiedes représentations,dont le toiittore,
l'ethnographieet l'histoire religieusefournissentun nombre
infinid'exemples.
ii s'agit donc de retrouverderrière les ornementsgéomé-
triques les objets et les groupesd'objetsdont ils ontcesséde
rappeler la forme. Le problème est quelquefoisinsoluble.
Mai!!souvent une connaissanceétenduedes institutions,de
ta mythotogie,du genre de vie et de l'outillaged'un peuple
donné permet d'y répondreavec précision. Dansun certain
nombrede cas,le nommêmedes ornementset lesenssymbo'
liquequ'on leur attribue conservele souvenirdeleurorigine.
On passede là à la classificationdes motifsde l'ornementa-
tion. Les uns viennent de ta « civilisation matérielle», les
autres de la « civilisationintellectuelle». Les premierssont
empruntés~l'atimentationhabituelleourépètentl'aspectd'ob-
jets usueis:tes poteriespar exemplesimulentdespaniers.Les
secondsrappellent lesrelationsde l'hommeoude songroupe
avecles espècesanimales,sesancêtres et enfinsesdieux.
En conclusion nous trouvons des considérationssur le
développementdu style dans l'évolution de l'art décoratifet
des motifs purement esthétiques et d'autres, qui nous tou-
chent moins,sur l'utilité de l'étude des ornements.
Il n'est pas exact de direqueles motifs végétauxmanquentà
la décorationprimitive.Oupeut en releverun certainnombre
d'exemplessur les os gravésde l'époquede La.Madeleine.
H. H.
H. – THCHXOLOUH:
t'arM.)t.Hmt!KT
INTRODUCTION
n).-HN<!tnsT!Q!;H
PitrM.A.Mctf.t.KT
n'. –t.HsoctALts.M):
Pitt'M.P.F.H'COfXKT
PREMIÈRE PARTIE
OEUXIËME PARTIE
ANALYSES
Il. f'Mtt.OSOPMtE
!MCfALB. T)t60)MBS OËNÈnALES
Pu MX.A. AcM,C.Bwcu!.B. nextmtttel C. PtMM.
&<M. – Prigoiples ot Western CtvUtMtien iM
GtocMos. tndaettve Soc!ot<9y M&
586 TABLEDtMMATt&«&!
~oM~.–LebMteeoMmtotMdeU~cMtttMtoMMcMe. 13s
C' LtXMM.–
CMeMchtephUeMphie. )M
~Cht~u.–SeeiotoeiaePttiM~ia. j~
oS5?M).t. – LMMat di SoeMogta. )~t
~~AnMtet det'tMtitMtiaternationatde us
Soetetegte.
~P~' Natur und Kultur in seztatem ïndMdanm ns
ST~oftteT! – Der orbliohe Rateen- und VoUMchMaMw ) ta
W.mM. Thé eapttaUMMan et <ec!at
dewtapntent t47
G):i)pt.ow<t:z.–CMte99e<edeto9ieadeUattori< 147
SfMt.–t.'eMtuztonetnMetegiaenen'uotnc.. )M
Indications bib)tt)graphi')uet. m
tU. t.A MËXTAHT6 t))!i!UKt)LTKSliT ).'ÈT))Ut.OG)B
COLLECTIVE
l'ar MM.C. )h~ H. f)mt.,t. f. t-~eo~Kt.M.Njn.K.tt). PAM.
0«AK< – Fticetogia Mcttte. )M
\ttoss). ï1 tuggeetionatori
suggestionatori a9 la
la folie..
feUa. 149
tf)
~II.\NO'
LETOL-ftXMU. – La payohotogie ethnique. )se
~OKRMMTt:.–apeiehete9:<ooUettiva<MaMneh )St
~Kott~xo. – La pédala nelle twe retazioni con la Metotegia. )St
BoBritY. – ~Mmenta d'une p<ycheto9:epeUUqM du
peuple améri-
cain.
L.u't)!.–BthoiogiepoUt)qtte. )~
n. C)\')LtSATtONt:XOË~ttA).)tT-m'ES M OVtDSATm
t'M MM.M. ttMt.r P. t'ncoxj.ET.
ScMKtMR.– ReaUexHtoader indegannaotMhen AtttrtunMttttnde..
tSb
Beimat der Indogermanon im Lichte der urMMhicht-
Iichen Forschung
GAt.t.<)w.<YK.):t.t.m.–Bomer:oSociety. j~
HELMot.T. WettttesoMchte. tV DieKand~oder de<MittatmeereB. iS9
HELMUT. – WettgeacMchte, VII
Weatenropa )6<
8TAM. – Strange peoptee.
~3
ST-mo. Americaa Indiana.
(03
V. M)STO)KE t)H).ASOCIOLOGIE
l'ar M.t). t'A<Mt(.t.
`
LtiSTMWAno. – CentMnpMMy
Soctctegy. t64
L~Soutb~M.
– Le dottrine McMegtChe
<64
IndiMtionsMMiographiquett. j~
MKUXtËMESËCTfON.
Soettfo~ere~eMe
Par MM.M.McMEttt
et M. M*ts~.
<:0~<:H)'TM?)S
GÉ~tÉftAt.tM
tSTMËTttOnOMGt)!
~MTxew. – The atady et reUg<en.
)st,
M«fMA~.KaMM.-DieVeBt<kandeatsWie<eoMh«tt~ )e7
TA)t).EUt!MAT)H)tt!'< 887
LAM.–MaatoandHettgion. tfe
J~cML. – Studien sur vergtetoheodM VMtterhande ~74
Jt'eMM.–KuttM-andOeBcMehtMeUcion. m
AcMEUii.–DieExtaM. i76
J*8Tttnw.–FactandraMet!tP$yehc)egy. 1M
!ndt<:atiuo!bibHograt'hique: tM
)f. FORMES
~f:))N\TA)KtSt)ELA \')H HËHOB~Ë
A. – N<<t~tOKjr
pt'xHt/tM~.
KMast.<Y. – WMt airioan Btudiee 1M
tt.tt)t)os.–H9adHant9M:BtMk,wMteandbrown. i83
AMt..–Savage Lite in New-6u!net. iM
C~MATos.–NottveHM recherches BurtMChamB. 185
Zu'LeML.–DerTotemiemuaunddteUrreHgionhrMtB. t86
todiMattOMMbtiographi~tCB. tSf
B. e<p)'a<<~uM
C)'ûy«))<'M ~o~Mf«<t'e<t
tMOCj~ani~M.
T)!T!:sM.–DiaS!awen!ttDeMtMhtMd. <M
tndiMtiuMbibUogrfiphiques. tM
)f). ).AMAmE
FKMEB. On tome oeMmente~ of thé Central AnttMMao tribeB.. 190
BAT)ffot..– Un magicien brOMvif en ~623 <9t
Da CocxAaT. Une Mrciére au x~xt*tttote 19t
Kot.n. La magie moderne ou l'hypnotisme de noa }ouM. )92
tndicttHoMbiMiographiques. tM
tV. ETtMTES
KROYAXCKS C')XCK)MA'<T
U:SMOtTS
B&'it.M. D:eVerwandtMhatt der jadhohohrietUehen mit der par-
BiMhenEMhato!ogte. t93
BoMBtET. Die HimmetaretM der Sette. 194
tndieatiOMbiMtographiques. tM
\<.)!K)TCtH.
B. – C<')'AMOMt«
COMtp~Ot,rites m<)MM~<t.
Kf-ost:. – ReM~te Axtebttauneen und Neoeeheaepfer <n SOt
Togo
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Bt'MtCK.– Feamdaticn rttM. aot
UsKfM.– Mitch und Honig. 30~
EHse~– Die KetKrtantaaeetegotheit in der attehritttiehea Ktrohe
Men Mypnao zos
K~MMo.– Tha Agape and thé Each~et in thé earty chuMh. 9M
Indications Mbftogmphtques. Sh
C. Rites oraux.
Vo~Mh GoLT<.– DM Oebet in der «ttetten Chrtttenhett. 2U
HoeMM. A treatise oï the history ot con<9«:OB 8t7
Indications biMiographtquM ~0
D. Objets ff <te«.r f/e <-M~f.
Ët'.tKs. The myoenean tree and pillar cuit and lts moditerranean
retatiena ~o
M)t.t. – Mundttt e temptttm. 3~0
Mtt.A):t.– L'arte e la religione preeMenica. MO
MA<n. Die versMcMchtUehee Denkmltler von Malta 2:0
Ct.MMOKT.GAXM~Le tous Madbachoo et te ZenBBtmee des Se.
miteB g~
L6v)r(h)doM).–Mte<etrite<tydenedaMteTat))tud. SM
ToME.-AeeheraundAetarte. 221
Vt. BEPXË!!B'<TAT)OX8
t<E).)G)ËUSES
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tSTBODMCTM~ 2i5
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Pow~t..–TheteMeMe<Mktere. 230
HM]<Ax-r.ApMpeBdut<tntattiqaed<meteacentetpepataiMB.. MO
Ro:c))Bx.– EphiaMaa MO
VAMHthtt<T p.<M;f. Le rêve prophétique dans les
lee traditions det peuples sauvages. croyances et
Contribution &ta séméio-
'Sv <rêM. Le rêve prophétique dans la eroyanee et la
pMiMopMedeaArabee. 130
Indications biMtogfaphiquea. 135
B. ~)~eM<a<tOMdes ~t< '~X«.r.
Bt.ooMnet.0.–Thé oymboMeCode 239
WtMow*. – ReUgion und Cultus der Mmer. 237
!o()!c<ttioMbtbtiogfaphique* M~
C. – ~.et myïAM.
!XTMCt!CT<0!t. tM
WisraMOM.– Die natMgen des AttertomB Md der NatarvMher 2t6
TABt.EMNMA'n&MS JtM
D. f/ COK/M.
~.('j/CHt/CK
S*<)tÉ. – L'état aotuet dee étude* de teUttore. Les rites de ta
Mn~M~ ~)
Ptxs n. Les vieax chant* poputairee ecandtnavet. Haabad et
Signe ~3
t'tt.–Hitdeeadmn. ~:t
Jux'i.–TheMaMnogien. 3
W~iTox. Thé teoend of Lancetot du Lac :!7N
AtAYSA~Ka.Thé wite of Bath't tate ~x
UoTïts. – Contéeet légendes d'Irlande ~n
<ndtcation)tMb)iographi()ue! s~
E. –– ~Mj/MtM
tht'ft!).. – Die retigititen pMtesephtMhea OrnndanMhauMnaender
Inder 279
HBMK. Die Getohichte dae MeaMpterbegrith ~8)
<nd)cat)OM))iMi~raphi([)tes. ~!0
\')).-t.AS'JCtM:)tHt.«.)Kt.'St!
V'~ Doe~m EM. – Die urchrtsUiehan Gemeieden ~83
t)os<i)t))6<:):. Dae Papatthum in tetner tCMat huttureUen Wirk-
tamheit.
fhMK. Kirehengetebjchte Deut<cMand< jS5
LM. Histoire de HnqMieitton au moyen âge ~7
STtu'c):. – Die verborgenjûdteche Sekte der Danme in Satenth. ~<i)
9
tndtc<tt)on!Mb)iograpt)iq')eft. 'JM
VIII. ÈTr))ESCKXSEXUt.K
<t.)t ).KS',MAXUt;'i«Kt.tCtOXS
WtssowA.– NeMgienund Kattus der Namer. N0
Sctn'Mtstt. Ceechichte de* }QdiMhen Vetkee im Zettatter Jean
Christi. jM
)ndiMt:OMbibMogmph:t[ues. jM
500 TABU! M!& MATtÈMit
H- SYSTÈMES ~'KHM~UEA
l'ar MM.K.t)MK«c)'.ft )'. Fjno,M~.
Koxt.)!)).– Reohta der dMtMhen Sehut~eMett 30).
CotfaAhï. Die Ngumba in sadhamerun 30!t
KocM. Die OuaikunMttttMM M
MAK!*HE<.t..t.Le istigusioni giuridiohe di una trii~n deM'America
aettentrioMie. SM
~-BoooMa. TheChuttchiotNerthernAtia. 3M
CAUTtM. – La langue. lea noms et le droit des anciens Germains. 309
~"BSTti.–NQaMiiMétadeadMeteire du droit. 9te
!ndiMtioo<bfMographiquM 9)t
III. ORGAXtSATtOX
SOCtAtB
A.– ~'ot'Hte!;t'MctM~att'Mde fat~<tn<w<<oK
Mc<<t<e.
t'o- MM.B. th:tM<MKt
et t'McotsET.
Scart~. AttenMaMen and MttMerMnde. 3)7
MeGM. – Thé Seri Indiana 3~
SMSTO.– Die grieehieehen Phyten.
Hot.)'M' – Diedrei ititettan rttn)it)chea Tribus M)
SMeottM.– Tribal Caotem ta angto-Mxon taw 3~
B. – Les C<<t<Mt.
('MM.E. DCMMM.
WtïTtCH.– Die FMge der rreibauern 33t
GotmtBMO)!. Essai Mr l'origine de ta neMetoe en France 333
tndicatioM MMiographtquM. 337
C. – ~M C<w)M«Het.
t'MM.E. ttctmtttnt.
YMtLm. – Les ommunes françaises an moyen Age. 337
TAMB PBit MATt~SX &?)
V. t.'OM.tXMAT)'~ M).)T)UUH
tt 0. RtouM.
t'<u-MN.E. Omottt*.li. H~OttïM~
PouM ETet! Mu~ss. – EoqtiMe d'une théorie des Ët<t<composés. 36~
DM).AKcm'.– La crise de la science poMttqM et le proMeme de
ttméthode. 3T&
0
VMBKAxcr. – Die petitiMhen Ve)'h!ttttt!eMder NatMviMJMr. 372
pM~eoTTE. FoniMtion des v!tte<, dee Étate, dM contederatioM ––-
et des ligues domta Grèce Mcienxe. 37~
POMM. El BNtMete. 377
tndicaHoM MMtogMph!quee. 37&
LA'(t)KY.–LaM)(pot)MMMMp<na)e.
~t
-Mt<M. Dell'infamia secondo 11diritto romano. MM
"u.)'))!t.D.-Thepenattyot<!e<tth. ~i
)n')icationsbib)iogmphif)ue<
)X. (.'UKCAXtSA'rtoxjCDtcmKK
far M. t'. F~Mn.
X. OtYtttSES)'HAT)'Jt'ËS ETMOftAt-ES
JCMOt~t.'ËS
)'tf M.E.Dm)Mt«.
Ln%r..to. L'inviolabilité del domioilio nell' antico diritto
germa.
"iM. m
\)!cmo.–t.'evetMtone deU'otpitaUta. 4;~
1. UE).AVt):DOMESTXjt't.:
!:TAT)ST)m'E ETCO\Jf.-(itt
t
f'M)t.E.)).t,)i,n,.
t'utx..).. –LaMeherche detapateraiM.
<
t)~-)tAY. Le régime datât.
<~
(jtxvcAr.– !.e régime dotal en France.
~.t.
~S"' Die ochweizerische
EhetfeMt~ebungim Lichte der
'}9))
t'KtMtXti. Die Ehescheidan~en in BerMn.
t~
t'M~Mu. Die uneholiahe rraehttarMt
Deattcatand~ M3
TABLEtfK.<MAttËBEt ~g
m~ premiers. seconds, trobMmM.
wana~wN. t~
tnttfcattontMMio~t-aphique: ~M
t'. ).A CKm)XA).)TËGf:?!ÉHALH
OAKSt.Ë~Utt-t'&RBXTS
PA~
PtrM.d.KtcM~
L"Mno~Det!tti~eMMe deMttt nuevi.
)o't)cattont!MMio);raphtque<
FACTBfKS UtYStSOH).ACXtMtXAUTË HTM t. ))f!X.KAHTË cMmu;
)'<trt).G.)<)a<tM.
KMte. Die EinCaBBderKoa<eMien aaf die
StttUeh)<9tt M7
BzM. OetMidepreit und MminaUtat in DeutMhhnd
eeit i8M )-")
Introduction t. the .tudy ot th. d.paa..nt~
MectiM and deMaquent cta..e< and their social
treatment. tM
~'MtM.-t.acrimtnaUMjuvenite. m
MMxc.–ï.apubMMehezt'hemmeetohMtafemme.
FtMt. Stnd: ottUa criminalité ed altri taaat ;-<
A~Ettï. – Le
médie-eoetat. ~7
n't.KsmctM!
t'M!t.O.K.ctt4'
HAM. Der 8<)b<ttmordim kindlicheu ï,ebenMtter
;38
VotMAYH.–SetbttmerdBtathMk. m
Gtt<)Tw.utt..–Beitragznrt.ehrevemSetb<t)aora. H3
V. t.K t-OXCTtOXXKtttXT))U~YSTËME Kf;)'K~~)t
P<tfM.C. K)~t..
St-TMEOt-AXh. – Rtotttate de la déportation en Auetraiie na
PMOtBH.–ï.avieenpriaett. ~g
UoMM.–ABi!o8par<tbebedoret.
CtTt))!)tA. Sur les moyens de prévenir le crime en ttatie.
tM
f'tt)t)ti.–t,a<ymMeMducr<me. U7
tt. SYSTtME~ECOXOMtOLES
t'tn'M.f.Sttu-
SoMMMT.–DefmedemeKapKaMtmM. 40t
Tf)osMa.–BMa)turte<yBteme<eeBemtqaedetprimttitt. 4M
tndieatioMMbtiographtfjW~ 4*)0
V. Ëf.ÈMKXT~ UE<.AKËt'AKTtTtOX
t'tfM.F.A)"
Vjmt.ex.–tetMtaireBdaMt'indMtneeantoise. set
ladications bibliographtques. Ma
8cMMS! Les modes de rtman~ratien du travail. SOS
Bt'KM)-.–Le centrât de travail. &H
tndicaHoMMMiographiqaet. 5it
V)[.-A!'SOCtATtOtSf'MOHiSStOS?!E).t.<iS
t't«M.M.)j.)t:M)!t.
MAKTtiiSAtfT-t.tox.–LeMtnpa~aonMtte. 5t5
Uuwx. – Du mouvement tyndtcat ouvrier d«M t'tnduetde aiie
mande. !<t9
JndicaUootMMto~raphiqueit. Mt
M)). AC'D'JX
))HL'tTATSURt.AV)t!ÉCOXOM~L'E
PmMa.)t.B"m.tt«tTP.SMMC<
h~MMMW~ S2t
A. – ~«<<<<~Me
ccmMt~'oa~.
CHu~et.. Sytiem der Handehpotitik S29
ScMtpftt.. – Orund<age der HandetBpottttt: S~
tndicattontbibttujfraphiquet. M):
B. /M/s/tott sociale.
M&T)K. Le Mcia)i:me Mna doctrines SM
tndteatioMbibtiographiquet. M!
IX. ËCOXOMftM
St'ÈOAH! Af.R.UHH.M))USTMt6t.).B, ETC.
CfMtMBKCtAU!.
FAXMX.U. Bom'.txtï )- 8)f)*m.
MtiTts.– Le socialisme tan9 deotrinea 53t
GttcxisEt..– Sfetam der HandetBpoUtUt. S3S
Ntco<.A!ox.– Histoire du devetoppement économique de la RuMie
depuis !'a&'ancMMemeatdet Mrtt S36
tndicatioMbtbHogMphiquet. 537
Jt't.mx. –Nete~gaUo-remaiMt. SM
AmxBoxF.–BerZoaagittdteStadte. M2
MMttoT. –ï.apopahtioadeBerMn et de Vtenned'aprte iee denon)-
bMmM~p~M~ ssc
CosT)!.– Det'inBuenee dexaggtomeMttoM urbttnet aur t'ëtat maM-
rietetmoratd'unpay)). SM
ttKticOLt~MMbHogt'aphtqw.
n. mAmTATtof
t)e BK~ue.– L'habitattoa byzantine S57
tndi<atiuMMb)Mgrapht<)ue); ?9
t. t.'tST)tËT)OtJE
t'jut Mtt.M.t(n.ctTar M.Mt~M
GmMtRE.– Thé beginntaga et poet<Tf sao
KtSttc.–Der Stand der OrnamentiMrage. !)?
KaotEK.– Decorattve Sytnhe!i"m ot thé Arapaho M6
tt.-Tt'CXtOt.OGtt!
t'~M.)).Hu.mï
!xT)tfit"'CT)OX. !i67
Ctuuo).). – MttertaU per te etudto deHa ett deMapietra. – Dette
ateie Utiehe di Manaaia. – Di due torchettom cannibttMcM
tatt) con «Ma dath Nuova Catedonia. SM9
ScMUttTx.–Stetn-UNdKnechengerathedarChathamtMutane! 669
tndicatmnbibticgraphique.
))). UMOS'WB
)'AnN.A.MtM~<!T.
)V. ).tiSOCHUSME
<f. M. f. t~tb~ttr.
t'HxoTto. – Thé trench Revotntion and modéra trench MchUMn S79
Lt Bo! – Ptychetosie du aociathme Mt
INDEX DES NOMS D'AUTEURS
'M Brentano(Lu)o). Mt
Abe). MO
Acheth, 116 Hrunek.
M3 Bugie). <Mt
Addy, 38!}
Albers, BOtow(von).
652 BQntter. SS9
Allendort, Mt
A)vieHa((t'). t~ BuMet,
Buot)tberj{e< ?0
Andrian(von),
Aron, 3M Burdick.
M7 Bureau, SU
1
Aubert,
<90 CahMOB. M3
Bâcher.
Baer, 438 Cabaton.
<M Cai)teme)'(R.). M"
Bartels, S33
Barton, ÏM Caitteux.
Basset, 2tt,M8,~9 Cannes.
Batiffol, Copart,
BMW. '? Cartier,
Bérard, iM3 Cauderttef. B4t,SM,S5t
M8 ChataUtUM (Bagrat). 2Ï8
Berg,
Bertillon, 5M Chamard,
Beyerto. 3S5 Oark.
M? Ctermont-Ganneau, SM
Beyllé(de),
Blaso(de), M7 CogMt-Kde),
M Cotion. *M
BtoomHetd.
BtOtnmeetHott, S90 CommoM,
S~ Conradt, SM
Boas,
Boaset Ilunt, Conybeare, .f*
BOck. Cotte. SM.~T
Bocoras. 309 Courant. ~7
B&bm-Bawerk(von). SX CMwtey,
B&kten. <93 Cfoce,
Botte. SM Cumont.
3M CM).)!. SM
Bonfaute.
Bonoti*. MO CtttreM,
Bouglé. MO,iM,9M
<M Darette. 3t<t
BouMet.
Botttmy. <!S Davenport,
Mt Cectareui). SM
Bouv:e)',
Brecheter. M3 Oecourdemaoehe. M"
<?$ tNCKSMS !'0)tt&~AOMOM!)
Defoumy. !? OoUziher. SM,MS
CetbfQ'.k. 537 Gott~fvonder), :)t
DenittM), 4M Coedf'eh-Ffeet. )M
D&ptnay. <H8 Gottttein, 6M
OcetMdfe*, 379 GmMerte(de)a), !H,M7
OieteHeh, 278 Gfh'eau. tts
Dotnch0b(\-on). 283 Groot(de), !29 r
Dorado, tt!) IM~M
S.fPP'"i.
Dot-oer, ui'o!)<. M&
BoMey et Yoth, M?) Grot))i))a, jitg
Doot'aMOt, 490 Grotwah), ~3
Dottfn, ~7 GruMet. SM.SSS
Duboh et Jutin, Mt Gruppe. ~t
Duclaux, 6))! Guithiefmoz, 333
Dunker, 5H Guntmere, soo
Dupin, &t9 ~tueaptowtM, )M
GuMwitKh. 9it
Kckert. M6
EdgePartington, fM Haddon. )83
Eisier, 463 )ht)a(von), 190
Erdweg, t87 HaXvy. eM
Eruton, 193 ttancig, S63
Ermoni, SM Mtppet. !79
ErMt. 208 it<BbMh. M7
Etmeio. ?9 Mattck. ?&
Evant!. MO ttaMM)', 4M
thwtey. Ma
Fet)tx)'g. )M.M3 !!<*wtrey. 3)6
Ferri, 43S,4t7 HehMott. <M,<6i
Florenz, 266 HefoxtMn. !i38
MourdeSafot-Gonit, Mt tfermant, N0
Foucart. 1M ttetTeroi), !)50
Fournier de Flaix, 550 liertel, 189
Francotte. 373 ttifMh, SM
Frankenbefg (von), S3t thMer. ?7
Frayer. ~90 Hodaon. !))6
Fretudortf, 996 tton'ding. <?
Freydorf, ~9 Hoffmann, 5M
Friedlander, g!t3 UotrMtMn-Kmyer, i67
Ft-iech, Mt "Oue)-, t95,M:
Fusch, Ma Hokapfe), 3!'t
Fuhr, t93 ni)ni!b~ck(von), ?5
MoMet McDeu~at), )M
Ga!do! ~n Haart. 9M
Ga)tow«tyKe!t''r, <? Hubert. tM
Garnier, <M Habner. SSt
Oaftfiogen (von), 208 Hun. SM
Gautier, 309 ttunt, M7
Gelzor, 290 nOfting. 2tt
GeaMta). 397 Havetin, 3M
GiddtnffB. <3S
G)e<ebrecht, &? Jovanovic, 383
G)S!)!oti, S69
Girard. 407 Jacke). n*
Glaser, 268 Jackoon, iM
Gtoye)-. 189 Jacquot, <95
Gotdiehmidt, 538 Jafttrow(J.), 180
ttCEXnMt!OM~&'A)'TMNKA M9
MO Marchand, MB
Ja«trew(M.).
Marro, MS
Jey. S<S
J.nht, 3M Martin Saint-Léon.
Jensen, Mamo, <M
173 Maynadief, K3
John,
Jones, ~3 Mayr. ?0
Julin, SOt Mayr (von). Mt
Jnttian. M'S MMMretta. M9
'M MeDouxaU. <M
JOng't,
MeGee, 3M
193 Meade, Mi
Karppe, !'9N
Keating, ~9 Medio(del,
<M MeM. !M
Ktdd,
'M AteMa. MC
Ktnf;ey. Mû
Klole, Mt MetMrMhmMt,
Kluge, MO M«:n. 5S6.Mt
Koch. M9 Meuriot, eSO,!i6~
)M,M9,3M Meyer-t.Obko, Mt
Kohter,
Kovatewitky, MiceH.
Mitant. aM
Kreibig. !"?
KreHehmer. ~,M7 MitteiB.
Me Mommsen. NH
Krobef,
tM Monceaux, ?9
KMoe.
Ku<.ke. Montet. Mï.MO
Kutna, i Morin.
Mueh, ~SS
~9 MOUertF.). ~7
Lacombe,
MOUer~-H.), W
Lampreeht,
Landry, ~t Mummenhof,
~0 MQn'terber)!. B<4
Lant;.
Lapie, '53 Murad.
Lasch, Mt.
LavatMe, 3U Xegetetn (von), t95, :?, MO
2M N:<:hota'. M3
Lea,
Mt KicotM-on. M6
Le Bon,
Lefebvre, i"!5 ~ordenhoh, tM
336 XuMbautn. 5)4
Lemke,
Letourneau, 'M
LevaMear. 4M OtdfteM. MC
~M. MO Orano, <M
Lovy (t.). SM
Uetmann. W Ottotenghi.
Lindner, tt9
Lippert, M~ Panzer,
~M PMMS~O~. MO
Lohy.
Lombardi. 3M Mo..
Lombroto. <!t Patten. M~
LonMo, 94t.4t!< Peacock. 'M
LooM, SOS peiter,
Lorta. i3S Peixotto. S79
St7 t'eUoutie)-, BM
LunthoK)!,
M8 Perrier. ~5
LObetM,
Piccioetti,
t87 Piëron. SM
MMM,
3M Ptnche:. SM
MM({MO(do).
MamneHi, SM 1 Pineau, M,~3
369 Pininski, SM
M<trano(de).
283 MM. SM
Mar~H,
OQO IADRXBM tf&MS e'AHTBUM
t'oMe, SM ~Schwtedtand. SM
Potier et De MaraM, 3W S~Mttot. ~09
t'ommero), ~M SeebohM, 3~7
Posada. 377 Serf;). <t7i
PoU!!û). ~)5 Servo*. 4wt
Powef!.l. jj~o Sietett)~, Mt.BM
PreuM. N5.S53 Mmon*. iM
Price, gt! SkMt, g7tt
Prinzing, 4~. 4N Smart. SU1
Stnitjttnic. 369
M. 27S Snouek.Hurgfonje. 290
Itapaport. Sombart, 4M
Rahetthofcr. M5 Sore). iM
HftynaudfM.), su SpieM, ti)3
Raynaud (0. ~35 Spiethoff. 464
Heichhardt. m 8quU)ace, ~04
Reinach, j;~ SttMtting. 187
Kenk, aX) Starr. iM
H<V~9Z. jj~) 8teit)U)Gti!. 140
MichmoadHendeMon, M9 Stengel, SU
Hietitchet, Stoll. 193
ttobertiifdei. tSt Straten, 2t)
Roberts, Struck. S8i)
HotO. 02 Stucken. i!6),2<H!
Bontano, ~M Suthett'md. 4M
«cacher. M0.~3& Sykct, 2M
fto'e. 9M SMato, 3St
ROM~ ~t9
KBtt, SM Tarde, i30. 459
KoM!fM(d)*), 49t TcherM (Miaa<), S7&
Rullküter, ?6 Tebner, tM,<89
Rundetein. 3U Thlssen. 495
Ktitimeyer. 2M Thomas (N. W.). zse
Thon)«s(W.). 358
Sainéan, St327< Thonf)M, 48X
Sa)et))et. 3~ Thumb. 870
Salvemini, ~j) Thureau-Dangin, 24~
Smter, 303 Toutes. 268
Sartur), i95 Tnr~e. 2Zt
Savigny(von), 3M Trader. 3i0
Savio, SM TMttMprow, 378
Schacht. 5~ Tuchmapn. <93
SchaCte, 6S7
SchaM(von), t92 Uoener. 201
Schell, <95
Schippel. MS Ytmden'etde, 493
Schloss, so5 Varles, M4
Scbou)eru.9, 500 Vaschideet Pi<fon, MO
SchOnbach. i89 Vec<:hio(<te[). 4<t
SohraderfF.), M9 VerrtjnStuart. 540
Schradcr'O~. <6S Vidari. Ma
Schreiner, 268 VierikMdt, i45.t89.373
SchrOder(von), SCO.~H Villari. <29
Scbulte, 537 VioUet. 337
SchQrer. X93 Voth. i95
8eh"rt! i93. an. 589 Wa))if). i47
SehOtte, t<t9 Witattt;. 4M
ntMXM&SMt&O'AKTBCttit <Mt
<M Wfight. Mi
Ward.
Warneck. ?9 Wundt. SM
Weeht, WfiMth, i96,ZH
WettM~M. 965
Werburg, <M Xf'aopo).
Wormert, M"
CM YMnaMki, MT
Weatergaard,
Wejttoo, 278
M7 Zahn, St3
W!e!6(von),
MO <~
~înekter, Xapteta),
Winter. 3~ X~w.
Wtntefatb, MO Zimmern, 935,3<it
WtMowa, 23-MO Xwtettineck(von), 539
Wtttteh. Mt
INDEX DES MATIÈRES
.sr_u_ .IJ.t_ 1-
capitalisme, 4(K;.Le développe. de la pen<tee – et celle du rêve.
ment économiqueramené à une 2M. H)f)MMt)t-mnSeO iM. He
évolutiondu Mandwerkau 4M. pre'entatioax populaires et
C<M<e. tnuuenee du régime des conceptions phUo~ophtquea en
M)rh peaaee Mndoue. ?0. Chhte. Mï. V. Conte, Légende,
Ca«eA~t)a<Kxptfcationdu !33. Mythe.
Le comme état religieux, S34. Comrnerce,309. Origines du –, 488.
CttM~tM magiqueet mythh)ue,ï70. Gros et petit MO. Potitique
Origine magique de la notion de contMereiateet économie apeciate
M). du M3. Système axrcaome,
CAa<t<collectif.ut. du libre échange. de la protec.
Chasse.Caractèrecérémonieldes –, tion douanière, Bit. 62S.Compa-
3M. – aux t9te<. tM. gnie* de –, tS8. Traités de –.
CAa~tM dértvëe de ta pureté ri. 5~. Contrat.
tuelle, <M. ComM)f)'ci<t<. t'temtere: formes des
C/t~Ma~, S30. sociétés a Kome. SM.
CAt'~feK.Originesde la légende –,
i70. CoMMtMMM~de vittage en Xoti-
Cit'MnchtO))des filles, 39S. vette-Zetande. S3t. Formes ditK*
C< Genèse et structure de )a –. rentes et développement htatort.
32t. La et l'organisation gen- que de ta agraire, 380.
titice. 376. CoM<Mtft)<. DeNnttion, originea de la
Mt~<'M<t<Mt. <M. L'éthique comme –, 338 sqq. Rôle de t'Ëtat dans
facteur de ta au9. Coueh'Mtde la formation des –. iHO.Facteur
méditerranéennes, )0t. V. So- économique du mouvement coni-
ciété. Survivance. munal, 3M. Caractère urbain de
MaM.devenus eudogames, 2t9. Les ce mouvement. 310. Intervention
– aufttratieat et têt groupe: d'Age. de h dans la vIe domestique,
MO.Kature magique des ceremo. 3t5. V. Ville.
ntea du ~9t. Mythe* et rites CowmMMhMe.Traces d'ancien –.
propres à certains –, ~t9. Fonc- 306. agraire, 378. V. Commu-
tions religieuses déterminée*des nauté, SociatiMne.
–, <96. i!o)ement retigieuif des Com~))M)/<a~. Urigiae!, coutu-
–. 309. Hepa<-titiondes régions mes. décadence du S<5. V.
suivant les <96. Malsona de Profesaionnel.
–. tM. Co<H~<Mt<ioM pécuniaire, 329. V.
Classe, ?8 <qq. La comme élé. Vengeance.
ment social, )~. Différenciation Comp/oMtM. M)e social de la –,
des 514. La lutte de –. M3. t83.
comme phénomène social eMen' CoHCf<t<<'a<<CM. Le machinisme
tiel, 139sqq.– économiques.:)& commecause de la en fabrique,
Types d'alimentation suivant )e< B<M.V. tnduatrtet. Urbain, Ville.
–, St3. d'âge, 318. arbto- CoMeMia<ioM. Rôle des conseils et
cratique, 39). des payMn: libres, doitcours do –, B30.
33). ouvrtere~.457; de de*adap. Confédération. Formation de* – en
tés, 430. Napporb de t'tndutttrie Gréce, 373 sqq.
d'atelier et de ta – moyenne, C<~M/~M~)<~M. Origines do la sacra-
49e. mentelle, 2)7 oqq., obligatoire,
C<<!M;co<<en. Mécanisme de la –. ~t9.
Nt. CoMecra~tOM des lieux, des termes,
Collective. Psychologie 149: de 205. V. Sacré.
l'école, tS~. Ethotogie–, <SO.Re. Conalruction. Mitea de –, 209,
préMtttatiom –. ï~. L'histoiro ~n.
comme forme de la mémoire –. Conte, Distinction du mythe et du
<?. Procède:de l'imagination 269.Ortginea des Mt. Le
~Msqq. Lescontes comme images tnerveiXeuxdans les –, 832, 2ft.
de la pensée M. La logique V. Légende,Mythe.
MMXMHMATrÈnES 60!t
C<M'<'w<«f<. Droit et droit <uc. culte de ta lune, 2t t. –prives.N!)t.
cessor<it.3!it. d alliance, M). V. runerttre,
Contrat, 3t5. Le et la convention Mort.
3M.LM–et la théorie de la
Nemésis. 389 – dans le Taimud. ~«MM.)96,2M.sei. !.?. La–ett'e)f-
387. Originedomesti'jue du de taM. HS. – religieuse. ÏM. – du
ttoeiéte. 393.–detravai). ait, soleil, ~OO.
collectif, &tt. Le de courtage ~/b)'ma/<ot) des dents. !t!.
et le droit d'hospitalité, 390. <Jn- ~«MaK~e.Courbe de*lois de t'otïre
gines de la force exécutoire du et de )a-, 451. t.
MMt«Hromaiu, 3'.W.V.Assurance, Mt<te~)tf/)/«e.~tethodecomparative
Obligation. en &
Coo/)~'«<<Travail –. N05.Laiterie /~upK<«<t'«M en France,ses phases.
–, t*)). Société–de coneotutna- Mt. Causes ëcunouttqttei de la
tion. S36. tt~gitMede la coopéra- &M.
tion agricole, ft. V. Commu- ~fM<<obligatuire, Xtï. – Ofi){ine~
nauté. du 3M. Itites du –, ~t. – de
Cu)'/)«t~!MoK. Y. Professionnel. la veuve, 301.
~'<MMO~t<- des prituHih. M). Motion Afeao'. Origine du –. 2S<i.
du monde. ~!f0. ttepreMatation ~«'«. CtMitfkation des –. 2M. hn-
religieuse du monde orgaottee au- du
t))f))'t<t)ite ~i lotion du
tour du Muctuatre, ~Hu.Corres- rattachée Ii celle du sanctuaire.
pondance entre les part)e< de la ~t. Sytoboteit de –. &t. Le: –
nature et celles de faute. MM.Y. abttmits font des muhttts exprt.
Calendrier, Mythe. tné!. ifM. Furtuaticn des –. ~t).
CoMMt~e.SM. Xouvcmtx– contitfant en noms
C~Mf. Cuttedes–.tXt. V. ChaMe. Bttpptottentaireitdedieux anciens,
CWMKf. Caractère religieux des pre- ~U. Xom!des ~<. Mu)tipUc<t-
ntiers – pubtici). 409. Caractère tion des Oieu-aute).~U.
social des facteurs du – aux – tncarn~ dans leurs })r6tres.
Etats-Uni- 43). M6. Xtons des foutrne origine
<fMt«aM~. Rapports de la avec du mythe, ~i't. Metatnorphotes
ln température. 430. La et des :!7t. Xoms de lieux deve-
l'instinct sexuel, 433; etratcoo- Mu:n'uttsde :<. X")))!< des –
thme, 4M et la misère, 430. Le origine de teur mythe, ~Kt.SG4.
votettepr)xde!t!rai))B.4~8.La Ktude ,les de la religion ro'
<it'croiMan<'e du oombre des exe- txatnc, :?. – des myoterc!)tuas-
cutions capitulea et celle de la culins, )T~.t.es gfan')a– des re-
sanglante, 40N.Le vol et la – ligions prittttth'eit sont des –
sanglante ne varient pas en rai- d'emprunt. t72. t'antt~ione hiu-
son inverse, 42! La antériettre duu, ~U. Mapporb dt- la dhinitt-
et postérieure & la civilisation avec les choses, ~0. V. Sacritiee.
moderne, 4~G.Accélération de ta ~tt-tMa/fOH.Ht. )Ute!de t8T.
au Mexique, 4ÏS. Facteurs de ~<M<'M.3t' 3)4. Mariage!)mixtes
la aux Kmte-Cnis, en Austra' et – danstes diversesconfessions.
lie, 4~tt.La – obscène en Austra- M). )nt)ttence de lu )egis)ati'm
tie, 4~0. AceroisMment de la – du – sur le taux des –. 4~t. Ue-
juvénile, 43~. Mesures contre ta cruissam'e du Mombrcdes – en
–juvénile, 4t7. La prohibition de Australie, Mu.
la recherche de ta paternité et la ~uj/Mte.~9. Uiittinetiondu et du
– infantile, 4t7. untttc. ïca.
C'Mttt~. Droit –. 30' 3)t. 3)3. ~o~tM/t'/Me.La prodMCtion–comme
:t)5. Commentle- se dinërencie régime de )a productionet <'<)nttoe
de t'homme moyen. 437. Hiituina- forme do ta production.H5.
tion et adaptation des –, 4t4. ~ti ~oMteMe.V. Ouvrier, t'rodm-tion.
tisationdu–,4t7. Dotal. Megitxe 410. Propor.
<'«/< Théorie sur le r0)edu–.i7ii. tiott des contrats –. distribution
CM MDEXBBSMATttËfUMi
géographiquede<contratsdotaux, ces denniti'MMet ctaMiHcattoM.
419. 470. 470.fonnM-.t67
Co<M«e. Tarif douanier, 5~4. M~
Stades –. 47). Rapports d~
Droit. Le comme phénomtoe de <y<tcHtea – aux former – et
psychologieMeiaiM.300.L'état et aux ttadet–,47~. [tUKrenceentre
le Mt. !.< et morale, les régime! de la production et
)!?. DitUnettende h nmmie et les attente! 477. Syat&me –
du 301. t. t!cotehittorique du des pupulations accote* prtnU-
et nature). 3M. I.e expli- tivos, 485. Sy~texte – du uMnotr,
qua par ta volonté des classes 327. V. MnK-rtatbme, Méthode,
dominant).)).Mt. Oricine* du Morphotn~ie.
taternetiouat privé, ttt. Les ~t-<«fc rituelle désignant les
restes des ttMrch~xcumme pré. dteux.ZSt. V. Symbotbme.
mi~rct r&t;)e<du – interna- A/Mt'f<~OM considérée cotHtnechose
tiomU.489. ))h:ooiatioa progres- "'chte, )St. Cooceptiou lutine de
sive du publie et privé. 3Ut. f –. M!. V. 3u)cide.
Caractères du – civil chinois. ~w. J7S. – et tnquisitMn. 289.
3)i'. successoraleteontractue), Caractère mondial desfaits det'hh.
a5). V.Crintiuet.iuittitution,Juri- totM de t' –. :)!< nhtt.tre de l'
dtf)He,Jurisprudence, Lui. – attemande, M5.
~c/t)<'<t<. Anaiyte <ociotogtque du
~c/tan~e.Orij{!oe< de t' –. 4M. Ca- cu<-p)t–,371.
deaux en CM<i'–, 48U.V. Com- ~n/tfH~. Situation des –,
309, 3t2.
merce. Mantérfdout les sont nommés.
Ë)'on<'tH<e.Difîereneeentre – eteit- 30?. V. CrtttttoaUte, Education.
ptuitatiun. t6X. individuelle, de Paternité, Suicide.
transition. sociale.4?).–de* peu. ~t'~t-Mre capitaliste, 478.479.
pies primitifs, intérêt de son ~Me~. <ii!e 9t3, 3t5.
étude. 483.V.Agraire.Commerce. ~c/«~o~<t',194.
Industriel. &c~<m~< 182. 486. L' résuttant
~'oMO««~t«'. du
Application calcul de l'nbscnce de 487.
aux phenomeoet–, 449. Cio~ifi- &pt'<<.lotion d' –,propriété, S3t. Croyance
cation des [)he))o)Men''i –. Mt. .M)t-34.Ame.
Principes directeurs de ja con. t/M<.t/–et ~dru.t.3<)t;et)a
duite-, t7t. Facteur – dea phe- pr<'pri6t6, tM. 'tcUcamoratede
noMenca démographiques, SU t' –, S97.Ac'.t.in e<:)i"amif;uede
sqq. &4H. Muiedeaeiëmenb ethi. )'–. S~t Bq,.i. ûje de l'- dans la
que* dam la tcieneH–, 508. M- formation ues eommunea. 3)0.
terminisme M9 oqq. llistoire Rate de t' selon le socialisme,
– franotbe, 457.Ëvotution – du Mu. Théorie des composés, 3C9.
moyen Age 4 l'époque actuelle, Formation de t' en Ureee. 373.
480.Ledéveloppement–moderne Conception latine de )' –. &88.L'
rantené&uneevotuUonde la forme américain, JS~ <qq. Fonotiont
du ~a<t</M;e<'A.478.Décomposition de t' – en Au~tratasie. S3t.
des anciennes forme. – par io ~Ao~<e collective. sa
méthode,
capitaiitme. 537. Myetoppement <!iO;M9 progrès. tBS.V.Haco.
– de la Russie
contemporaine. Situation de t' -dans les
M8. i')a.-ede la législationsociale ~<M«9€)-.
sociétés tribales, 33U.487.
dans ta science –, 5~3. Répéti- C«<<a<'tt<te.
Oriffineftde l' –, 2t0.
tion, opposition, adaptation B.tesaM))t-, 9M. M4,
4:9 eqq. Les lois expriment les locale, 3<M.
Théorie de l' –. 3S7. Origine de
relations de i'itonme au ntiiieu, 338. L' – et le langage,
46t. SepaMtion – des MM:. 4~4. t'
Actionde l'Etat sur la vie –.SSt
&q'M~<oM. DeHniMonde )' –, 468.
i'qq. OaMtneation des types – OasMOcationdes – 4<tasqq,
4M. Dennition,etamtueation dc< E~aM, t76
sqq.. t95. Causeset effets
"yttemee-, 47X.et edUquet de de l' 178.
MMtK<MMMATft)M!!i M?
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Essai d'une philosophie de la solidarité. Conférences et discussions sous
la présidence de MM. LÉONBouMEOts,député, et A. Cxoisfsr, doyen de la
Faculté des lettre): de l'Université de Paris. (École des ~aM<M Éludes
sociales, 1901-1902.) 1 vol. in.8', cart. M'anglaise. 6fr.
Ce livre contient une série de conférences,faites sur ta MtidariM Les nomsseuls
des différents auteurs de ces conférences sufOsent & ju~Hner t'inMret du volume.
MM. Léon Bout-geots,Dartu, Buisson. Boutroux,Kauh.Uide, Xavier Léon, ~Fontaine
ont tour a tour envisagé la sotidariM au point de vue historique, phUosophiqueet
social.
Une préface de M. A. Croiset, dëuntMant le terme même de soUdarM sert
d'introduetton à l'ouvrage.
L'hygiène sociale, par ËNtt.EDucLAux,membre de t'Acadômie des sciences,
directeur de l'Institut Pasteur, directeur de l'École des Hautes Études
sociales. i vol. in-8", cart. h i'angi. 6 fr.
L~ttteur envisage les maladiesnon en etteB-memes,mais au point de vue de leur
répercussion sur la société, et de la facilité plus ou moins grande que cette société
trouve a s'en préserver ou à les combattre. Lacommunauté a le droit de voir dans le
malade une menace permanente contre laquelle ette est mal armée, car elle ne peut le
suivre partout.
Tels sont tes cas, parmt tes matadies étudiées par M. Duclaux, de la caWohet la
/e d'une part, de la ~pAHtf et de la tuberculosed'autre part. 11examineen
outre <spAoMe ou anémiedes M~euMet t'a<ceo~Mme.
t'atX!ftM<o)t)«Me
Le contrat de travail, le fd/e des Syndicats professionnels, par PAM BusEAu,
professeur & la Faculté libre de droit de Paris. i vol. in-8", cart. à
Fangt. 6 fr.
î/auteur s'est proposé de montrer que le régime de la grande Industrie ne peut plus
9'aeeommoder.descontrats isolés de travait conclus entre employeuret chaque ouvrier
iadMdaeUement. L'isolement du satarM en face du grand entrepreneur engendre
nécessairement la haine et ta grève, en même temps qu'elle réduit a une misère
affreuse tes ouvriers en concurrence les uns avec tes autres; comme, en temps nor-
mal, le nombre des bras qui s'eurent sur le marché du travail dépasse la demande,
tes salaires s'abaissent au taux le plus bas que peut accepter l'employé.
On a cru souvent que le seul remède a ces maux ne pouvait être trouvé que dans la
suppression du régime capitaliste. M.Bureau fait voir que les faits contemporains ne
justittent pas cette conclusionet que le syndicat professionnel permet & la fois de
rétablir un régime normal de relations avec l'employeur et de procurer au travailleur
manuel te moyen de vivreconformément aux exigences des progrès modernes.
L'individualisation de la peine, par R. SAUHLLEs,professeur à la Faculté
de droit de l'Université de Paris, i vol. in-8", cart. à l'aogl. 6 fr.
L'auteur ne se borne pas & examinerdans quette mesure le juge peut fn<M))MMa<tMf
la peine; il montre comment, au cours de l'éxecution do la peine, on pourrait tenter
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D'HISTOIRECONTEMPORAINE
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Les origines du socialisme d Ëtat en Allemagne, par Ch. AxoLER, mattre
(te conférences à t'h.coie normale supO'ieure. t vol. in-8" 7 fr
M.Ch. Andler décrit les causes qui ont amené en ÂttemaMece fait très important
de l'histoire contemporaine fe<<!M<Me)twx< de la MOH<t)*cA<< socialiste. Parmi toutes
tes transformotiOMrécentes do l'Allemagne, Il n'en est pas de plus curieuse, car elle
tient à des causes intetteetuettes,& une conversion des esprits profondément troublés
ptf qaetques livres émouvants.Le pouvoir des idées sur tes fetts est d'aitteurs ineon-
testabte, commele prouvent par exempte les débats ces portements et les décisions
des hommes d'Etat, se traduisant par des lois qui nous touchent tôt ou tard dans
nos intérêts.
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TBXMt~tttth. <t M)M*TM«*<.e
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118
t7 siguoildou viiii. 31
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i08,
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PARIS,6'
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Desoartea, par M. le baron DenyBCecttttt,députéde Parit.
Saint Thomas d'Aqain, par M'' MMOMet M.M Wt)M'.
Saint Bonaveotare, par M" DADOLLE, recteurdes Facultéslibres de Lyon.
Naine de Biran, par M.Martat CecAtMAC, docteurès lettres.
Reemini, par M. BA!A<u.AB, profe~Murau tye~nCendorcet.
Bnna Seet, par te R. P. D. ?n!tft))o, deuniteur générât de l'ordre des
Franciscains.
Ma!monide,par M. KARppe,docteure; tenrM.
Chrytippe, par M. TttOtfv~BH, prof. à l'Universitéde Toutomo.
Montagne, par M. SfMwSftt,prof. à rUnivenxMde ttordeaux.
Schopenhauer, par M. RcïMEit:
-i3- F.M.CMt.
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GÉNÉRALE
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SCIENCES SOCIALES
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At'U'ttvoMite do Dtjea. t vol. in-8, cart.. 0 fr.
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Le déveleppement da CathoUeieme eociat depuis t'encyettqae /!<f«m
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Facultédestetttetdet'UNiveMM doParis. (~cete<ifM A<!M<« Eludes<o~a<M,
1900-1901).1 vol. i~, Mft. 6 ff.
*Ita Méthode MeteriqaeappUoede a)MtSciences sooiales, par Chart«
SEMNOMs, mettre de Moterenee* à t'UntveMiMde Paris, 1 vol. tn-8,
wt. 6 tt.
L'Hymne soctate, par E. DucLAUx, de
de l'Institut, directeur l'institut l'as-
teur.tyot.iK-S.cart. Cfr;
Le Contrat de travail. te ''dfe des ~ttdtMhpfo~Mt'MMe~.par P. EMacAu,
prof. à la Facultélibrede droit de Paris. i vol. in-8, cart. 0 ff.
BsMi d'une philosophiede la solidarité. Conférenceset dxc'tMidns soua
la présidencede MMLéon «OMCEOfs, députe.anctenprétMentdu Conseil
dos ntinittret, et A. CttOtSM,do )'lnst)tut, doyende la Facultédes lettres de
Paris. f~<-o<<des~<<)«M N<M<<M MCfatet,190f.t90B.)1vol.ia-S, cart. 0 fr.
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à t'UntwMi~nouvellede Bruxelles.1 vo). in-8,cart. C fr.
BIBLIOTH'ËQUE
~HISTOIRE CONTEMPOMBNE
EUROPE
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mattMe de n!m'epe,<e 1M6 a MM. a ret. ta~. Ï<htw<~ wuMen<
pMt~ttttnt.) Mt.
tTTM!t. (H. de). Htetetre tet'&a'epeMnae~ taReveÏ)itt!entEam<atM,
Mattde t~Hemeodpa~H"<'DMeMT. Oa~M~ecomptâten <ve!. tn-8.NTt.
FRANCE
ANjARD,pM~M'oorth Sotenne. Le Cotte de ta Meen et te Mte <e
t~e écréme, étudettttMi~ae~MS-tPM). 1 h-<B. <h M
– BtttdM et tetWMMr ta Rev~atten <MB<o!Be.S wt. te~. Che.
Mt. ~ff.M
MNMtSCS~.). 't.e~andaHemeTevetwHeMaiM. fondattm<WtteMiMt,
MimMÛ~uMet <M'<!<<i<ptet de ta Cenwtttt<m.4* M.'< tn-M. < ?. M
WMtBOM, iatpttjtear eën~rat ~eJ'hxtfMUon pubtique. HitteiM <tM
mMerta <e l'E?t<M ~t dw fBKtt en Tr<nM (ITM-tMO). < ?)-<
v.in.8.18M.(C.uroon<tMrnMUtut.) M&.
M~M<C.).<La1 wot. vie &Parift panaMtt une année delaMMMten
(ttM-tM). in-M. iM6. < ?.
M~Mï.!Jt)MH.N',aae!M4ap)iM. !)~)fieMefe~thMMMhMt. 8w!.
Ot~H,pr<ee(Mx<t'un<ptehee de A. R~e. Chaquewt. teparem. S &. M
BONMM ?.), aMët< de t'C~veMite.'Jta~teen et ta <eeeMte<e .B<m
tempe (i793-MM). <yot. in.8. T &.
<AMMT (H.), oeeateM. ReMtottta '~tneatte, w<tam4 Métope.
< whMMta-i<. NoMttte'edM. a th M
MOBAt: <M. de). aittetre de la Reetanration, Hnanit do t'tmomtnd.
< vêt. in-12. g fr, M
WHU.(C.), doetew e<tettret, «Br~ ae TDntveMiM.HieM!M<tt patM
TepttNiMin <mR-anee, de iM< &M70.i wt. tn~. 1900. (McontMn~
par t'tn:<itttt.) ÎO &.
~Mt)C (iLoate).*W<zte!M~e Dix ana (IMO-~MO).6 w).ht~. '!$ tf.
~~ARKI,(P.),p)rofetMwat'UntMMtté de DUea. *~LeaCetMtta«Mm.
mdMa. i wt. &.8. ? MMM revue et ao~neatee. BHr.
tjœOM. (A.). ta JRMneepeUUaMet eeotate. i ~eLta-<. B
SPCU.E&(E.), anohn n~nittte de ftMtMMttMpebKaae. H~MM~pa-
Mea, pertMtb <ej)te)np.,mMr.et petite. 8 ML te-M. ChaSn. a fr.M
– Hemmeset eheaee<)e!a JMvetaMen. t vêt. ie-M.4696. S ?. M
TAmBDELOM.*Bi<teire<htMMntBmptM(i<M-WO). 6~.«t.<.
VAHAUX(C.). Les campeeNee dee anneee &<mea~e<)~7M~Me;).l~ct.
fn. ave i7etftetdant te texte. 8&.60
ZSVOM(B.),Teetenr de t'Aeademtede Caen. msteiM 4e ta tMtttème
R~ahUqoe:
~NM t. ta-ptetideeee de M.TMeM. ~et. ~8.9* ed)t. ?
Tome M. *.Lapre<MeMeda Marëehat. i vêt. ta-S.e' edtt. 7 &.
Teme!n.Lat)rëeMeMedeMes6fevy.i~)t.in.8. ?~.
TernetV. LatresideneedeSadt CarMC 1 wt. tn4. 7
WAHt.,fn<pecteurt!6netathene)'aired6nMt)-uetteea<Meetattie<t.'A~e)'iB.
i wi. !n.8. 3' ea)t. Kfeadue,<698.(0)tVMte eeaMnae par t'tMtttttt.) 6)&.
iANM8A!<(J..t,. *L'!nd~.OMNe.<MBMtee. &ta)teeeeno)n~M,~Mti~ae
et admtnbtMthemt <e C<Mt<McMH<, teMmh~t, MtKMm « <e 7'MMtt.
(Oewagecoa)ren)t<ptf h SecitM de ee<M!Mphte commertialede ipMb,
ntMetMeThtpteh.) <ve!.t)t~. e*M6 eertS eaeeeteuM heMtexte. tB ?.
PtOMT fJ.-B.). It fMnee hors de France, aetfe emt(tf<Men,eane<e<-
')M. 1 Mt. in.8.1900.. M tf.
<s F. At.MM.
*tNVENTÂ.IM ANAÏ.YTÏQM
RE VUE H!8TORJQUE
M~<t ptt- 0. ttOttCC
Mm))ft de )'h)tt)tttt.thUtre MnMrencet'L' '°*
Pr<tM~tde tx MeHMtUto~m <t))M<qm t )'&Mte dmtMttt <te<f.
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ftftt)t t«miM deM meh.Mr ))tM)MB<jtf!)~.)a-<de H&uit)Mttfer)i)' par M
troh irotMtNM do MOpt~M ttHttM).
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etMtmxeM'.aaff.-LeHtnttMB.efr. “
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ANNALESDES $C!ENCESPOUT~UCS
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M. A).)'.M Fettm, d< )'tt(.)tmt, t<mt<)U<n-
m.ttt<.à b C.ttf des «'?«'! M_R.
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tMtet! M. Attmodm BtMT, dtpxM, Mette mtatttrt! M ~B~tt*MM, do 'tM-
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MoMMh)t!. EmUeBeUMtiMS.mttre de conMrotMW* t rKeuto ttormtto mp~rteuMi
BtMetturt dM enMtpMde h~taU, pwhmtmt !t t'Eoete.
H*<<te«ttfM <A~; M. A. VttHAM. Pwf. i' t'EM)..
Prix d'<d<enMme&t. ex M (deMJttMtM): ft~efr.:
dtptrtetaeftt et ttmat'r. 19 ff. tttmhM, S ff. N0.
K< OwfteroxHfM an~« (tM9-im7-tM<) « f0t<to« «taextx *6 /htH«, t<t
HW<t<MtMt,(&'«MM 6 ~<H)M.'& ~<tM<M< <mM~< (MM)« ?< <))<«tttt«« f<'t<<<'t
e<M~tt)<M<hts«.«!M<«W"et''Mt'"SA'.SO.
de)'Ëco)e
Revue d'AnthropologiedeParis
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M<e)MMmemm~<MtMMt)t)'JMpM<eMttuwt t
t)M. C*MTA)t HttM'tttt)MLtAatbn)pat;tate
p<t)te)of!f<)a<), MEtnt'tïe-
(AothMpe~'e
HmYt (Ethnetetie).
toB)e),Ge<<M!M J~Y. L*tOMt!(Aettropetetie Mote~fe). Anart
et
MF~Mts(Eti'ttmtMpMe Lh)mht!<)t)e), Oh.t.nexxxMV (ttfttotre dot <!M)tN'ttomh
MA)!e))<XMM<
(AT)t))foF<'h't!h phy<i"t'~hM),MANM'CtM (Aetht'opxtMtte oebt)q"e),
SCMMBM (A))threpe)<~te t~rtfHq"). TaUMt.diMttMf de t'Etett.
pj~ d'atoncetnent t FrMCtet ÉtMM.er,10 tt. – Le mot~re, t ft-
irttt.E atxtMt.B oit MÀTthtM, <N)).tMO. Z fr.
MBLIOTBËQUE SCIENTtFtME
INTERNATIONALE
PaNMeeeaah direotiende M.tmHe AMLATE
LaJMtMcM~Mt M<w~we~<<nxtMott~ Mtune(Buwe dirteêe
pertes auteurs mêmes, envue des intërets d elà seieoee, peurtadan*
pt-
poiariser soustoutessesfermes, etfaireconnaître immédiatement
h monde entier lesidéesorifrinates. tes directions noMettes, tes
découvertes importantes qui se font chaque dans
jour toustesMM.
Chaque savantMpme tesidéesqu'ila introduites danstascience et
condense pouratnsidire<e<doctrinea lesplusoritinaies.
La~<«~tM M<«tM/!}<M <Ht<fttaM<MM~ necomprend passeate.
mentdesouv consacrés MM sciences et
physiquesnaturettes: eUe
aborde aussites sciences morates, comme (a phitMephie, i'htsteire,
a politique et réconomie seciate, ia hauteiegistation, etc.;maisles
Hwestraitantdessujets deceeenreserattachent encore Mïsciences
natureties, enleurempruntant lesméthodes d'observation et d'expé-
rience qui lesontrendues sifécondes depuis deux tiectes.
LesUtreamarqués d'unastérisque* sontadopMs parteJM~«MM
<<< MM<<rMc<MM p«M<otM de fttMtM les
pour Mhtiothequee des
tyeees etdescott&ges.
MSTEDES OUVRAGES
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13.SMUTZNtBKMm. *tM )f.MM.<t<.M<HM. i wt. !t.s, awcne.
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i9. LCm. e~weMetoMte~ett~M.aw nt. i ~.ia-s.7'Mit.e&.
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9!. CtNÊtU~ BMAUtMT. '.M e<m~ f<tf<tMhéx et star fMe
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Mt. t'Mtten. N~M.
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<Mt< 1 vd. tn.8, aw Bt a<UK<.4' édition. e ?.
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a8-a9. BECCa!(t<p~). )mt é«me<t. a wt. te~, avec <8 a<WMdam t<
tMteett?phM!'d)fete)t<eutMf'h<M'<eM.<<ttt. iBff.
MJOM.'&'Het~~vM<tMM<<*M.iv.!c-9,a~<e<tt.t'M.~M.
ai. A.B~!N. tt OeMMM <te t'«a«mM. < wi. ta-e. e'<<Mt. <<t-.
9a.M. TBNMTC!)~.).* )m).«HM de ht MMtMMe vapeur, pt-d~
d'une !BtNdwetMnpm M. HmeŒ.a ve!. te-B, avecKO e<tM* dM< e
te texte et te ptMehMheMtests. <*édition. iB tr.
84. HARTMANN (R.). *M« Fea~M <« t'AtM~e. 1 M!, h.8, avoc
amMt. a'édiUen. ~pttM.
85. BBRMMSPBtCttt. *ft«t BtMWt de ttHtMM-tHetw~ttett~te.
t vol. ta-B. 6' édition. < ?.
8e. aoXMtV. *t.')~we~Me, introduction t !'<tude de la Me!~t. < wt.
ta'9, aveca~arM. a* édition. < ?.
8?. Du MBMT!. *Be h* OeeMotte. i wt. te-a. 8' édttteo. < h.
88. ROOD.< D'h<<t~e<MteBtMt«Mder e~tM-o. t vol. tt.8, MM
<t<orMet âne pimehe en eoutea'o heMtexte. a* édition. < b,
89. M 8APOMAet MARION. ~MÊ~htMext da tt~e wt<é(et (tM Ctyp.
te<tnM<).t wt. !n-8, MM <tgu)fM. < ?.
M.M. MAM.TONBASTJAN. *t.e ee~etm, <n~Mte<te ttt peMée ehot
f~Ntmee)ehexM<tt<M*M.awt.tn-8,<~M a~m-M.a'M. ta ?.
M. JAMtBSULLY. *)K« )tMmM)Mdeo reor et de fettpfM. wt. !n-8,
MM<ttMMt.8'Mtt.. <?.
48. YOONO. *<.<«<M). vol. tn.8, Meea<nM<. ~<)M.
44. Dt CANDOLU"Mtf«tme du ~t)t<M <)t)M*<e<t. A'M. 1 tn.S. 6 ?.
M.te. 8tR MKNLMBOM. f~nnnht, e'M<MMet <<té~e<. a wt.
tn~, avec<6 <t)[atMdtM texte et 18 ptMthM htK tMte, dont
S COtoH~M.B~PNM.
<7. PERMM (Mm.). )~ tfMtettOtMe Met~t~M avant B<Mr~M.
lwt.!n.8.8'Mit'M. <?.
48. STALLO. Mat~e et )« Phyu~e medenM. iwt.ttt'8.3* 6d.,
ptteédt d'unetatMdwtten par C<.FMimm. < fi.
M. ttANTKCim. MMtyoMMmteet t'Bt~MMtMt~M <Mmttme-<
1 vol. ta.8. 8' tdit., MM hatt phnehet h<tMtexte. 6 ?.
60. M MMM. *tM orecoser de la parole et te<~ MnpM pemf
ht f<tn<Mt«Mtder MM da langage. 1 w!. :n-8, avec 61 a(~Mt,
pf<cdd<d'tme tatMd. par M.0. Ct~vjtM. < ?.
M. DE t.ANM8At).*MtMd<t<)M<m à t'~«tde de la bo«m«~e(t<S<ph).
i vol. <e-8.a' <d!t., avec H8 teuM*. 6 ?.
tB-M. M SAPORTA et MARION.*<.T6wetnt)<ttdtt ~è<)M végétai (!<*
Pha)t<M<omM). a vol. ta.8, avec t:e atares. la ?.
64. T!tOOM8AttT.*M««to-ebeo, M fMnt<Ht« et tea )tt<tMt<t<tMM.
i vol. iit.8. a' ddit.,M<e<07 e<fMM. e fr.
66. BAMMAtM(R.).*KMtOttUtMMthMpeMM, et tew e~t~mMetten
comparée à MMede t'tMtnme. 11M). tn-a, avec n~uret. < ?.
F. MM. -?-
M. MM!M(C<).*<~t~t)MtWA<!M) <MM<Mnw MW)~t~t<<wete<t~
aacOtfea seetoc'~ea. i ve). )n-a, avec6i OgorM. < <r.
67. NNBFetFfM.tea&t<~tt)X)Me<nthtMt.<MHn.8. **<<Mt. t~tf.
M-M. ROMAN)M.M)atem<tMMede<KMttm<nM[. !<. t~. a'<dtt. t< <t.
M. tA6<umOZ~<).Mt'~et.<<e<*MeM.<toM)t~.t~ ta~ 7*M.<H)f.
«. !tMTMS.<H.de<mmndMetdeMeetete«<t<.tt-9~'«M.e tf.
M. BABBR&t. )hee «é<te<Mt tn««<MMee da <~M et deewee
oétMtMt. i wt.ia~, aveo 8&ttt. dMMtetexte.a* édit. < <r.
MM. BmjOB!H<mMCK. *t'BeMmewéM«t~«M. a wt. t)~,
tmetMûtKUMdaMtetMte.~Mtt. M&.
96. NONBr (<h.). M<a~t<Mt tMtttm~.i wt. h-6, «VMCemM. < tf.
66. Jf&)L8AN(A.).*tKH'é)r«me<t""MM.< wt. ttt~, tM«<06a~mrMe e
Z m~tw. ~paM.
<7. MABHtS(H.), ~tx NMMttMMM tMeMM*. wt. i)~. < t.
<&. CARTAtM&C (B.). <mf'Mmee ~t<M)tt<Mrt<ne,4'atMt<t lu t<pot<<Mt
et tM monuments. 1 vol. !n.a, awe t6a figura. 2' MM. <&.
<&. MMBN.M.*t~B~ tMm~te,)~«t!)He)f.twt.~a.2'M.t&.
7a. H&JOBtt!.BMM)[. <~t Oem*et t'ttMXtnetttKMte* <tw<m<KMt
prinejpàtoneat <hMtMiMeet<t.i têt. ta~ avecIM.a~tttM. 6 tf.
M. MAMM. *tb* )?aM<Me t"Mt<tte. 1 vêt. in-&. 6 ?.
72. ARLOING. )t~MT)Mtt. 1 wt. in-8,avee ttmrM. < tf,
73. TOPtNAN). <H<mmte «nM taJWatMe.1 wt. ta-a, avec0{t. < ?.
TA.BtNM*(AK.).*)Le<AMt~MoM de la ~MM<mM< 1 vêt. fn'8, mec
agurM. a' 6dit. e ?.
M. M QaAT~A6M(A.).*n<MwMetM<~MMMM ~<M*t<tM. i
in-9. t* Mittenrefondue. < Br.
M. tM~VM (A.). <.M )tm<w <<tM t<t<MMM*. vol. te-8. 8 ?.
77-78. MOOATttt!MOM(A.).<.e«B<tMt«deOMtMtt)t.awt.ta.8,<VM
prMMMde .MM.E. MMtEBet HAttï. l! A.
7e. NtCNACM(P.).*)he Oeatre de t'AM<)M. A«t<m<f dx tfehttd. 1 nO.
<t)-8,<Mee«(p)m. <t!r.
80. ANGOT(A.).*)!.« Aorere* p«t<t<r<Mt. 1 wt. ta-S, avec nturM. 0 &.
M. JACCAM.*t.e petite, te MMme et t'tMpttatte aa point de iim
.etote~iqoe.vol. !a-8, avec C~urM. < et.
M. MCt<tm(8ttn.).*<~eteteg<eMmp<~e.<wt.8,MMB~. 6&.
«. U;DANTM.m<etteMave<<e<e)ewte.9'M.ïv.tn.8,avecOt. e&.
M. DE LANESSA!t.*<~t<Mt)~e<t de <e)<Mt«nttt<Mt. 1 wt. in.8. 6 et.
M. CKMOOR, MASSART et VANMRYKLM. *)L'éMtatteMfe<M«~veeH
)Me<<t<<eetetH)eeteM<o<e.iv<ta-8,<vecp'MaM*. 61~.
88. MORTtU.KT (G. de).*)~ftMMom de ta ))t<*t)oa~M~Me. a*<Mt.
< vol. in-8, aiMeMtt (j"M et 18 MTtM. 6 &.
W. 'MCBÉ (0.).*)m<'<tt<<oM deo MeM (piteMtctUM, pMcuthtM, o<hN.
eattuM). 1 vol. t~ avec8i tMVMfe<. < &.
M. COSTANTM (J.).~<M Vé<~<<mxet texHtMtemtee«mt<me<t(a&tp.
tation, Mettttteo).t vol. tx-8, Meei7< <m~fM. 6tif.
«t. !EDAtrrEC.~éMM<<M~tnaMMneNeett'<t<<'édKt.tvet.ta-a. <0r.
90. GUtGNBTet 6ARMB<< o~Mmtqae <MKteMteet modeMte.
1 vol., avecf~tv. 6 th
M. aEHa(B..M;).*<.<<n<«Mettei<)e<te)reMte<t.lY.t))<8,avecp'.e&.
M. MBUMER(8t.).*t<m~htg)ee)Ht~t<Mtt«tte. 1v. !n 8, av. gfM. < 6r.
M. COSTANTt)!! (t;).'<~<f«t<tM <Mt<«"e.<~)t. <a~. Mec:Mv. <?.
94. CMSSE (B.). "t~ déttntft de t'aft. Jntrodaetten de t.. M*Mmm.
i<et tn~.MM 3!graw<'eBaan<)ettXte<t3pt.hen)t<x<e. 6 Or.
M. GRASSET (J.). tett Matftdte* de t'<Mf<ef(M«Mt et de t'eoutMttM.
1 ï<it.tn-8, avec(fMYtMt. 8 'th
96. DEMENY(G. ). *)LMh'Mee <tMe<tMn<t<teo de t'ed«o<K<ettphy<tt<)ne.
< vol. ia-8, aitee196~fMufe<. 0 ?.
S7~ MALNÊJAC ~.). L'oen d<t<Mt'anmentaUett.~ v. tn-8, M.tfMV.6Jf.
M. MEUNiER(Stan.). )Le <eat<w'e<teneMtte. i v. 1n~,av. grav. 6 Tf.
-sa- F<AtMH~
BEM~TtÉHM
ttBTE MRO~ME
BM 98 YOMttHMPOBUÉ8
MACX.B<~<tXMted'<tneptHtMtepMe<<teMtM.!n~. if~.
– tM fMMeme* feM<tem[ en xm* ttèete. 1 wt. ~.8. 7 ff. 60
– mmettopttte meffUe et peM«<taet h)-8.1898. 7 tf. 60
– theeWe de Mme tmaMUM. 1 vot. io-8.1896. tO ?. (Voy.p. a.)
– tttteotet )e Monde.~'M')de pA)7.~NN)~f. 1901.1wt. !n~ S. 2 fr. M
AM'MEÏM. )Le<t fteetMtt. <te ta fetertneem t~~a-tmo. « v. tn-S. H ?.
AMIABLE (Loob). «ce tue tM<<tBo«t<ted'avant Mt)e. 1 Y.ia-8. 0 <t-.
AfStACX(M.). Me)tre<t de <f<Mr<tH et Mt<HM~ <n.8. 1896. fi
ABt<AU!<E (A.), directeurde la Monnaie. Ht mMMoM, te efedM «< te
ettNnxc 2' MMo)),MYneet augmentée. 1 vt~. )n'8.190!. 8 fr.
ARR<AT.ene Ë<me«MMMteMeetweMe.1 wt. tn-18. 9 ff. 60
–<onr)Mt <t'<MpMte*eft'e. 1 vci. :n.l8. Stir. t6(Yey. p. 2 et 6.)
AZAM.mypnetMnte et <t<MMeweMttetenee.1 w). tt)-8. 9 &.
BAtSSAC(J ). ]heoOftt"'e<t de la ffetteten. t rol, in-8. 13 fr.
BALFOCRSTHWAKT et TAIT.tt.'eotweM tnwtotMe.1 vot.in-8. 7 &.
tMtTHËi.BMY-BA!!<T-Bt!AtM. (Voy.paget 6 et IC, AxtMeM.)
*Tte«)f eotMtn, M~t, MeorreBpondMee. 3 vol.it.8. 1896. 80 ?.
BBAUMONT (G.de). )Mfete« d'an «~nt, )o-8.1900. 6 &.
BB&TAUU)(P.-A.).fMtMTt)tmee<pM«M).<teteBtM. )n.< 2.1899.3 ?. 60
BERTON (H.), docteur en droit. <ow<H)t«omeeit«tM<t<tenMetteda
oeeend empire. DectfhM,textes, histoire.1 fottvot.tn'8. 1900. lit fr.
BMNMAU(C.). x.'atMtotttet «x têt eeo<HKa<t~e.1 vot.tn-8.1897. 91'.
BLUM(E.), agrégé de ptitoMphie. m méetaMttett de<t OMM" d~
t'homme. Texteet eomutentaire.t'fefaeede M. G. COMP~M~ recteur de
l'Académiede Lyon.1 vol. !o-8.190Z. S & 7&
BOtLUCY (P.). )ha <)<eh't*M<Mt tmteMMttMMUeda tfavaH. Ja-lS. 8 &.
tM« tref Mtt<tMMMe<t anarchisme,e<)UecttYtt<ne,rAt)rmiMte. 8tf.60
– tte ta predcettea industrielle, ttt-M. 1899. 2 h. 60
BOUMKAO(Leett).'nté<me dee Mtenee*. a wt. in-8. ~0 <r.
– t~ t!en<)atte dwmonde <Mt<Mat. tn-8. <&
Le Contacte da monde ventât, to-8.1898. 6 Tth
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