Année Sociologique 1904-05
Année Sociologique 1904-05
Année Sociologique 1904-05
9M-1905
l~uM~US
Z. ~g~M~
Année9
BIBUOTHËQUH
DE PHïLOSOPHtK GO~iEMPOKAtNË
1/ANNÈE
SQCIOLOGIQUE
)'t,B~)~ESUL'~L.\mttKCT)u M
ÉMtLE DURKHEIM
t*r'th's'<~r<l<'sm)«)<ti;i<)T)H\<'r'iHfh']t'tr't't')<. x.
Ch«r(!d'f'.&)'tt'tct)h<'d<t't)fn.i'')'Mi*
A'):tc~!)A!mn.nms~).MM.
A.M):.)H.ET,pff<eurHn<:uH''trct]e~r!<)h'
mCWARO< ~ft'f':t*fMt i't'tnvm't~c Honteux,
BOUGt.Ê.p'phito~'Jphi')''m)aMl'Univt-~)t'T<'utoHtp:
HUBMT'MAtJM.t)<n")')<:nmf.'n~h't!))«t't'fmb')MHMtt!tMdoi);
WUVEUN<E).ËVY.pr')f'"<-N<Mt)<tFt''MM')<toi['i"t.)'ttnf
LAP'tE.t't'"f'<f-oi"t''tL't(iv('Mtih'')''tiur'!M'tX,
VACWEH,M'f''r''M'"))trt.'t!)"m)")tem''<;
AUe~N.it'r'i<'nu''A.t!)rit)m;
~.60URG)N. FAUCONNET. WAL8WACHS. HERTZ, HOURYtCO.
PAROD!. F. StMKMD. «Rre~M tto )')'<tirer:ite.
G.eoUf<GtN.n'M'i'(<.)MMf)fn)!he.
NEOVttMEANNÉE(i904-i905)
L MtMOiftËS Of<)G)NAUX
HftMet. – Cowftx'nt /A M~ f'AHMf/fn/ '/e WM.
!!t.N)m'<t. t'<"t.<<t't<M<'a"Mt<)f.'dM
<m-fc'<)'<<'<</wt. A'tmft f/<* mh)'/)/t«/')?j<* tuc/M/c.
)). ANALYSES
JI¡'< trAVaux du 1~· juillUl t90~ 111130 juin IP05. Socio.
))t'<traY.mx<h')"iu'H''t)eMt!t')30jt)in)M5..<!o<'m.
/'«; f/<'<tff0/< 'e<<f(')Mt\ th'!M/t'< /t<rM'0<«'.0'<)M<'
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SQCIOLOGIQUE
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A.MEtL).ËT,).ro~.«.MrM));untm.tbt'r!H)t'<
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HUBERT ot MAUSS. m~OfM ~t'<Mof.v..t,<.t-<t )'~k- det MtNte'6t)tdM:
HUWEt.tN rt e. LtVY. ).foff.r< ). t~t.)~ do -tmit .h LtM.
).AP)E, pr~f~tmr-«.)~tt t )L'tM'r.!t)'.h' ttftrdttm;
~ACWEft. t)titr« .).. coutfn'tm~ a )'L'nh<-rn!t<' dr ttchm-f
tUa~N, it«) <ft~)t .'t'~dfmio t A')~)M
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PAHOD). F. StMttttD. ~'<!<));mm,.i[<
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NEUV!EME ANNËE<i904-i90S)
MÉMO~ES OR)0)MAU!t
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MeOtO. –
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MaHft. – t'.tMt~Hf<M)'Mf')f<<«))).' MfMM<)X'f«f/M
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«.-ANALYSES
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t906
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L'ANNÉESOCIOLOGIQUE
1905-1906
PRÉFÈRE PARTIE
1. l~
ORIGINAUX
j t~EM~RES
1
COMMENTLES MOTSCHANGEAT DE SE~S
ParA.MEtLLKT
It
Le groupe de faits linguistiques où l'action de causes socia-
les est dès maintenant reconnue de la manière la plus cer.
taine et le ptus exactement déterminée est celui des innova-
tions apportées au sens des mots Mais, conformément au
principe qui vient d'être posé, celui de la distinction des
procès, il convient de ne pas envisager tous les changements
de sens d'une manière ~tobate.
La première classification des changements de sens a été
naturellement une ctassineatiou logique on s'est demande
comment avaient varié l'extension bt la compréhension des
mots et l'on a vu dans les changements de sens t'euet des
diverses sortes demétaphores. Lepetit livre d'Arsène Darmes-
eln.Wra
de«autreM; lola ritann..ilin.. rln.mnnn..nfti n1 ~lm emnnwln
dtsparitionducomparatit et du superlatif avait
du reste fait perdre l'habitude d'opposer ta comparaisou
entre deux objets (type c~/t'of nMKKHMt « la plus forte des
deux mains 1 ta comparaison entre ptusteors (t«/t<<'«wtM
<'«'o<<f<)le ph)sfort des hommes"). Demême, sous t'iuftuence
de K< tes muts français ~w, <'<fM.pt'fOKKf ont pris, dans
les phrases négatives, une valeur négative, si bien que la
négation «f est devenue inutile dans le français actuel et
que /M.s',;-<M,//<oKM<' sont négatifs par eux-mêmes dans ta
tangue famitiere et courante. Le mot lutin WH~M plus, de
ptus, Lien plus M.ptacc en tête de la phrase, comme il arrive
déjà en tatin, (ait l'effet d'une tiaisoa entre deux ])hraseset
devient le français M)~. On le voit, tous ces procès purement
tinguistifjues aboutissent moins à créer un changement de
sens qu'à transformer des mots il sens concret en simples
outils grammaticaux, eu ctements do construction de ta
phrase. C'est nue conséquence immédiate de la nature même
du procès eu question.
Inversement, les catégories granunaticales servent parfois
u transformer ie sens d'un mot le latin /MM<o servait à
indiquer t' '< t)omn)['en tant qu'être humain, sans accop.
tion (le sexe mais le genre ~rannnaticat (te /MM)<) '~tait to
masculin qui. ta ou il a une vuleur définie, a cette de désigner
le sexe mate; te représentant roman de /<)f) a été amen6
ainsi à joindre au sens de « etr': humain cetui de ttomme
de sexe masculin et le mut ''«'. qui avait ce sens en latin
ancien, a été etimiue. Une même racine fournit en grec un
aoriste signinitnt voir et un parfait signifiant « je
sais '<x: ces deux sens sont anciens, car ils se retrouvent
l'un dans latin nWw. etc., l'autre dans sanskrit re~< « je
sais ?. gotique t< fattemand~'fMt.etc.. et le slave oppose
également t'<W/<« voir a à r~<< « savoirs; its tiennent à ce
que l'aoriste indiquant faction pure et simple se prête a noter
une simple sensation « voir tandis que le parfait, qui
indique le résultat acquis d'un acte antérieur, convient pour
signifier « savoir
Ces cas uir l'agent essentiel du changement est ta forme
grammaticale sont d'une espèce assez rare, car les catégories
grammaticales qui repondent à quoique réalité objective
sont en petit nombre, et par suite les conditions de réali-
sation de ces procès ne se rencontrent pas très souvent;
mais la forme grammaticate du mot est partout l'un des
– COMMEST
A. M)!)).f.KT. M! MOTS
CMAtiMNT CRSEftt tt
élémentsdont dépend le changement ou le maintiendu
sens.
III
.A
L'action de la division des hommes en classes distinctes sur
le seus (tesmots a déjà été souvent signalée par les auteurs qui
ont écrit sur la sémantique et M.Breat en particulier l'a
exprimée avec une grande précision :« Amesure qu'uue civi-
lisation gnguo en variété et en richesse, les occupations, tes
actes, les intérêts dont se compose ta vie do la société se
partasent eutrediflérents~roupcsd hommes: ni t'etatd'esprit,
ni la direction de l'activité ne sont tes mêmes citez le prêtre,
le soldat, i'homme politique, l'agriculteur. Bien qu'ils aient
hérite de la même langue tes mots se colorent chez eux d'une
nuance distincte, taquette s'y fixe et finit par y adhérer.
Au mot <<'o/~<toK,s'il est prononce par un chirurgien, nous
voyons un patient, une plaie, des instruments pour couperet
taitter; supposez un militaire qui parle, nous pensons à des
armées en campagne que ce soit un financier, nous compre*
nons qu'il s'agit de capitaux en mouvement; un maltre de
L'A!!t)~OCMtOMOCE.iimS.i9M
1. M.B<'<i:tt
aurait))Uaj'))])<'r<)U'!m':t')t)r''))'s()t!Vin
'i'<B''fcy.~M'<'aff'M
<)'!<)Hn''
));)n)')<t))!de vitt,et ~ue[outh' tt'uu'tcy eutettJpar t'~<t<'<~)r''«-
<wfM un vittd': <:uap!tj~t.
A. MEtLLET. – COMMBKTLES MOTSCM~ORXT M SEX? <&
g
t:t~~tî<tA~~tA*i,t-t
ctattous <ttM6reatévidemment suivant le groupe où le mot est
employé. Le vocabulaire des femmesn'est pas identique à
celui des hommes le mot AaM~' a, eu fraucais, uuo tout
autre valeur chez les femmes que chez les hommes,
parce
qu'il s'applique à un acte dont te caractère et t'importance
sonteutierement différents. Ailleurs c'est par convenance
que
tes femmes s'expriment autrement que les hommes on cite
par exemple un dialecte serbe où les femmes éviteut le nom
propre du b<auf,<fM-/f~,employé par les hommes, parce que
ce mot a eu même temps le sens de «
p<'M<H, et recoureut à
d'autres mots. On emploie partiettement une
tcrmiuotogie
spéciale à la caserne, dans un groupe d'étudiants, dans un
groupe sportif; et, il importe de le noter, les mêmes individus
appartiennent simultanément ou successivement à plusieurs
des groupes en question, si bien qu'ils subissent à la fois ou
a divers moments do leur vie des inttuences diverses.
Les hommes qui exercent une même profession out a dési-
gner un grand nombre d'objets et de notions pour lesquels la
langue commune n'a pas do noms parce que le commun des
hommes ne s'en occupe pas. Beaucoup de ces
désignations
sont obtenues eu attribuant à des objets te nom d'autres
objets
avec lesquels ceux-ci ont une ressemblance ou
plus moins
lointaine; on désigne ainsi~ous le nom dec/~nv telle machine
servant a porter, l'anglais c«f « citât » est aussi un
crampon
qui sert à saisir l'ancre ~d'après les grilles du chat, etc.). O.n
n'enteud marquer par là que des analogies
vagues, et très
souvent, au lieu de recourir au mot tui-meme, ou se sert d'un
dérive le c/«'M/~ est autre chose que le c/«'M/, la MMKc~c
autre cboseque la M«<Mce procède de derivatiou est de
re"1e
en russe, où le « bec d'une cafetière est un ~t/~ et non
MM « nez a (voir Boyer et Spérauski, .t/~tMW</<-nf-w
p. t3, M.4;.
Quelle que soit la. nature du groupe considère, le sens des
mots est sujet à y varier non seulement en raison des circons-
tances spéciales qui 'te. déterminent, comme il arrive
pat-
exempte pour le mot o~/M; mais aussi en raiso.ndo ce
qu'H s'agit d'uu groupe plus ou moins isole du re~dc la
société, plus ou moins ft-rme, ptus ou moins autouomc car
la variation du vocabulaire ne se limite
pas a ce qu'exige la
nature même du groupe elle est grossie
inteutionuettement
par suite de la tendance qu'a chaque groupe it marquer exté-
rieurement sou indépendance et sou originalité; taudis
que
MOS-t90<:
t/AXX~ SUCtOLOUtOUE.
de la p)tontti<)))<;
t~nut'ittM et')e)afomxttiondes mats,ttmtonindu-earo-
cotuutUH
p~<;n quedausleslanguescuusidt~'ues.
A. Mt.:)t.t.):)'.– UMtMEXT
f.H'. MOT"
):m~.H\'T
))f! SKX< ~j
ave quetque proManune t.)~')')Csuccessivenés emprunts par
tesquets le sens (tes mots s'est progressivement transforme,
mais des exemptes têts que cetnici indiquent un moins eu
quette direction on u cttance d'apercevoir t'exptication des
cttangcments qu'on constate d'une période tin~uistique u un''
autre
Toutetois ou ne saurait demeter tes actions et réactions
comptexes aaxquettes sont (tus tes cttim~nx'nts de sens, ta
où t'histoiredes faits n'est pns <'xf)('ten)ct)tconnue. Sans des
temni~Mi~cshistoriques th'taith's on n'.)umit saus doute pu
Mt't'het'Mt'ecottai)it)'ecn)ntttettt,e'est-u-di)'ed!)ns()ue)s{troupes
sociaux. um))f)tqui<.it:tti<)!)ite)))!)th)"tam))our"!) pu prendre
enfr.m<(is)eseusde"titn))re-pnste.)!V<)ir.i)!H'tnestPter,(~
~m~.p.Stpt'?))h'St)r)emot~f~'f!.Partcf.titmem<'
qu'its dépendent itnmeth.ttetupnt df causes exteneures <)ta
i:)Ut:ue.les chMn~ementssonanti'juf's ne se ttnsst'nt p.)~resti-
tuer par ()es hypoUtesesproprement )itt!i''ti'ptes.
Hest des lors in)possi)))e.ou t'a vu. de donner m)e démons
trittiou en rej;)e de).) théorie proposée ici: cette demonstri)-
tion ne pourrait resuUpr que de t'ex~men de tnns)es<;him~e-
tnents (te sens constatei; <tansutte Jim~uc donnée entre deux
périodes données et de )!)('onst:)tatif)t) que tout <'e qui ne
s'expti<tuepas par de~ causes prt'pretnent tiugui'-tiqu)' ou
pur des changements <)escitoses ttesi~nt'espru\iettt (tu jtassi~e
des mots de tangues partit-utieres a )a tangue commune ou du
passive inverse de la tangue commune a une tangue piti'ticu-
tiere: pareith' constittation est irreaiisabte en r~tnt .tctue) des
connaissancescar on n'a sur aucun domaine tin~uistifjue. te
moyen de procédera um'xamen compte) de cette sorte. Mais
ta même où aucune indication de (ait ne pennet de marquer
par quette série d'emprunts intérieurs un mot a cttange df
seus, ta possibititu de ces passades demeure vraisemhtahte ia
phtpart du temps, et on est oMi;:ede !es supposer si t'ou ut'
veut pas admettre que les générations successives ont par pur
caprice associe des notions dim-rentesa un set)) et même mot.
Les conditions psychiques de ht sémantique sont constantes;
cites sont les mêmes dans les diverses tangues et aux diverses
périodes d'une même ian~ue si donc on veut expliquer ):)
variation, il faut introduire la considération d'un e)e)nent
variable tui-memp. et. étant données les conditions du )an-
t;a!;p,cet etement ne peut être que ta structure de la société
où est partee la tangue considérée.
Ht)'-nKM):)~.–nn~(')")..)''Ot-t''a:<. :t
'tX\tH:)t)).t'.tt-H.Ui.)'W.
t
t\l'
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SOC<H')HS
HSKtMOS
KTLDH
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SOCtALE
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Av.'<').))-<)H«bu).)tit)t)')''M.)).)tt!r..mt. r.
Sur )'U)!)! .f.- i.t f. t.,i. Xit,).. ;<. )<. !t.j. t.t B.thnsux. ~/<M.)'~t/f'-tt.
').'t)).~t!:u. ).t't.. ).. ), ~) -))r)')tnitr.)p)a ).H)i;u. Vui)'ftift):.tAM<-M.)
ttt' 'L H. )<. !j 'tum, n .~h~n-tt~t)).)< ;Mtuh't)ttt))''t)(, tuMt); t< hv-
)Mtht~~ d.' tUnk, ut ~urh.tft )t'\r.'))en))tvrr (). M. W.Th!t)bit~'t-< /M-
'<s'j;t/.)/<<. t'.t/ <),,vM,t.t.f/<<omt<')-tt~«))~, Y.)t.
\XX). 'nh.~t)r. !!h)t. .,t~. ~n.. uni).t'tai! t)t< fait f.i.-n
<)ttn) .t.~ ))fu~ .«).'t.;n.~ t'<p)ur.ih'ur.s. ta u ~-rvi d)' )n~ M\: iniih'm-tittt)~
.t~r.mt.)i<tJ.~ ,u.'r.<ur.-d~- franHit). ':f. Ft.mktin.M)-<w/;<v «/f);.
//<<rf'«' /f,.<m. ).)).)..n. Mmm'. tM~.p. 4:t:
Mt-rt-))i! /(~«.<.4, 3~.).. i~; )).n).),.t,,j. i,t J,t.).. fat.
S))f t ttott.ir ).)tu.(<~t t)).d.;<i.( t.t..mt.- ta (in,- ttc M. M)))-Jn.-h.
'/A(' <<tf A\)<t.V'~ .t,,t;tf<~ ;;<~w/ //«' ~)<)-<'tf<( 0/ /<Mt't.-M«
~~<).t)).md'' ~-tt h-n'KU'nt.<)ui. M. H. f. S~-tMbv.UM~iMto
~tn'nt ~<<M<A- C/~f/.).)<M/M/ u~ .<;t~)'<U~/MA t~~ff. L:).(;n-
h~~Ur )'J~. < ())u<'ri~j.'to.'td.tt-.t.'<\ it );n iYi!irt.(U,t))tna~nt'tirr) .-utt.s-
h'u. Ut)t'ccffc<)tt'tf<;t)t..M..)r.t)i..))du f. .jtt. u.tu- .n a«rm).<ot n- <))uttt)-)tt.
C'rt:m!n.)m!)t)-.)..tr:t\tM\t)))H)Mt~i))t")H'-< .-)'r.-i.H)\)nU«at<m..si jtro-
t.tn). -j.i'))\). M.t). )h.t). t-.j.ta' h!t. ).i.)i.ti,))p .\) ~Mr.t.n')).
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'co)'-tr.(t)t;!ti.<d<'MM.itta).).htM).trh")..Mft)t..nnc.)fr))n))t's.n.;m.m.
,:t'~H. (t~f. Vidit) d<' )<) )!)(«')t~. <~<')t'');/)'«~)t)' /)MmnfM)'tf< j'f~Hf~ (ff'fr
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t '<"M.-tt.).uttv~t!tMt))).')k'))).'tH
(.-ni)'t't!ttt)!tc.').)))'t)t«'\)))tM-Mu~i
..)UtL.h'tr;nitU<)))tf~))r'')')f'<i't«it<<h~<\t'tt(ni~)t)))n'<)t-tt<'n))))at
.j'').t.)ri..),)j;it.,ju').')dM')'t'')<anr)~ju'i)-:t«t<tj))ut~')t"! travaux
t~M')Mt.'('hi'.t')ri.)U't't))!.i~t))))tu'<)''))titn-i<)ct)ttiuu.i<t)')))t)h)Mt.
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~.«ff-. !')?. ).. &7. ~.j..i.' .\t. )t.)c)(i))f).'t.
Mf'/f«'/t-tf'.t<«'tt'<)f"/<f«<ot-j;
(;t'c'.t/< Jw< )iMt p. t~)..<.). ( .<U)t'jUth; 7«M.v<M f/f /a '/M<tt-a~/«<'t/c&t
/t<n<-<)).))M.V).)!tt.).-j.t)i).tt)~).(:.)t.<tt-M.itt'))).-)-tttttc<'Vt)).
j).')t:n)<tH'h')~)tt.rt;.itt-t))<'ta(<.)s<)<)t))tt'<t('rf')-t)t)t)'Mt't)<U)<'))t.t.dUt'~
~urt<tU~u'h'<t'tht)utt''iL)'ht-!itU)).')M.ti))!.<'t~ut~-).t))p~K'))''nt<'nt-())-t<)))u.~
<)''<'<-))))'-tt')))!.itn'«)'.h'))t<'ri.-j.)).,Y.)jnit.<t)ttuu)t)''montrer t'ttcXoo
tnt«t~)int)' 'tu )t)iti'-n phy~i~ut: .«tr ta vi~ !<-i.tt~ surtout
te<'))ni<)Ut'rt
't'tit!M)-tm. )'.tr))t'<))i!'r<-tMt!t)))'s)<))<)t!))H.M)t<'(}M<Mit!.M)<'<
.H)')<it)M~mt-f,t;W<),)t,,«.</m, )?.)).TU t't M).
MU~s. – mt'MKtmMt')t)'tt"t.t)),tHM)(:)A).K 4:t
m..r:c. _·.a.
rapport avec le milieu sociat dans sa totaUt6 et sa cotMptexite.
it «'eu peut être isote. Ht,de même, quand ou étudie les eitets,
c'est dans toutes les cat'~ories de ta vie cottectivequ'i) eu faut
suivre les répercussions'. Toutes ces questions ue sout doue
pas des questions {~o~raphiques, mais proprement socioto-
Kiques;et c'est dans nu esprit sociotogiqueque uousuttou~
aborder celles qui fout l'objet de ce travail. Si au mot d'an-
thropogeo~raphie nous preferooscetui de tnurpttoto~iesociate
pour designer tu discipline &taquette ressortit cette étude, ce
u'est pas p:u' un valu goatde ueuto~isme; c'est quecette ditte.
renée d'étiquettes traduit une ditttjreuce d'orientation.
U'aiiieurs, bieuque taquestiou (iet'atttiu'opogeograpitiedes.
Hskimosait assexfrt''fp)em)neutattire jest~o~rapttes. toujours
curieux de~ probtètnes pos'"i par tes r~gious polaires, )e sujet
qui va xous occuper u'est ~uere tmitt'dans iem's travaux que
d'Utte tnaniëre incidente et fran't'entiure. Les deux ouvraKes
tesptusreceuts soutceuxdeM. Stecosby, (~i A\/f<MoA'M~«/'<
«p'<K<M< et de M. Xiede). ~~<r'7/< A'<Hff/(«'<'A
M«~
/w/Nt~<<'/'< <t«('tt'f<')'~t''<'<tti/fr~r«/ Le pretHier. qui
est aussi le MeiHeur.e.-t ptutôt uue étude d'ethnograpinc: i)
Mpour priueip))) objet de marquer t'uuite de ta civilisation
Hskitoos et de)) cherctter t'origiue que fauteur croit trouver
aitteurs quecheztes Hstutuoseux-memes. saHS()ue,d'aitteur~.
cette thèse s'appuie sur des preuves bieo dentunstrative'
L'autre titre est plus exctusiventeat {;e<)};raptuque:il con-
tient nue bouue description qui nous ait été donnée jusqu'ici
des tribus esMmoset de leur itabitat. Xtais on y trouve, sous
uuc forme exa{;ereequi uest pas surprenante daus unedisser-
t'At~t~<H~t.t.t*<t.t..f.t.t~)t..
tatimt d'étëve, lu tth'orie de i'actiou exciusivedu facteur toUu-
rifjue. Quant aux autres travaux qui ont <te pubHe: it~ por*
tt:ut presque uniquement sur h' probteme des tni~mtions. Ce
~xtceux de MM. Hassert Mnas~, Wacttter', tssachsea
t'.tui.tmi' La troisiCme partie du travait de M. ~ta -~n° sur
tt'). tooyeus de transport concerne plus speciaieutont tes
Hskunos, mais c'est une étude surtout technologique. prioci.
pittonent consucree aux moyens de transport et de voyage.
Kn définitive, ~). Steensby est il )K'u près )<' seul (lui ait
iK'L'orde quoique attention a ta question spt'ciidedt's variations
Misonnieresde htmorphotogieHskintns pour ta traiter, nous
nituroasdonc j~uere reeuut's qu'aux dounces immédiates des
observateurs~.
t
'tO)t)')tOLOt;t):M~X~K.\).H
Mi()sav!)))ttterp(:)t(')'(;ht't'')tte))<f(H-u)t's~cia)cs)at))0!'
t'hoto~tede ces soci'-M's pn'sftttf aux ditï<'reuts mo'neuts (tu
t'!)t))u'e. it nous htttt tunt tt'Mburd ttt'ternxttpt'
<)ueHes eu sont
les eitt'iK'h't't's (;ons[!)))[s P.u- t))tf)qufH ctum~'ntcuts <}n'cHc
jMssp. il :)
y p~urt:)))t co'titios traits fondittoeotaux qui rfstpnt
tuujom's ies )))~))tM et dont d''peudo<t les p:)t'ticu)!)rit6s
variat'ks qui nuus oo'upct'ottt <'usuhe. La tnaniÈre dont tes
sociftcs )':skif))<H sont fixées an sot. le nombrt', h) )):)))))'<?. )a
t. L'U)u'<tri.!t)eiU'-MW< es)<'tK'")c
ij'))"n'-ttaHr'otiatt')
t)<~<-) (-<')k'<)uvit'i)
K);tti~.f«/H<.j).1. s').,<t')at!t!J! f<<'f<M<«t)<htf~f</<oM<K)))<vn. t7.
surtnat.Korn''ra)). C«'MMft'A'nf«'/«'nM (<'<'<'n/«;t</t
'f/HffMf/f~f .\<f~M)'-
;r/<oM.in.MnMf/. ~)-.))t.)8)!<).).. S7.
~.R')t[S.C~p.m.~)
t<t''arn;!«- /.ntf(«/ot',p. ').
4.t.tnM'Mtcu)c<h-s''tiptM'n''sthtp)a<)''Ct't')<))tt)))))))y.</Mt/'Mt<rt<)
fft )<)~0)'«tf)'H CaMOht. ~0)'). fOt. p. vil<') <') 'if0<0~it-«< ~MtTf~ 6/
'<««'/«. <S9i!. Mi!')):u't)a'n.')<'Ba't<-
Les'"tt)''<)itiot)-!itnt<?ri<;t))<t''
tk'u~t'et SiMtj'sott"nt)out'<Mtcdesc][p''t)i))ott.< ou lat'otc na''tr
<'ncu))'<(
m''<)M<t'')'tin''t!ta.tt))ft't'is!'a)!t.
fou)uneho))))'* t~ription't'' ttt't''<)'' tA)a<t!tt.voif'tu'o)' xtitintt-
«im),Mt'ft'hcy.<t<'<'a<«v of « «"?<' ~'e~<!t-t/ic. Loud.)82t''t f Mt~<'</
~<ff.tCo<t</ «««F/'M
/«t)ffiy<'o</fi<t'<MtTf~. 40, .~n~M. )Wt.
1.
'i. Kntreantres,.tt~A~c~eog' t. p. 2Ni.
);.))m);t)t!))t.–))nA'<oci")..)'Wt-H'Mt. 1
SU t.M:)t:)nt."t.t~Hi.)''Ui.tfU:)
<)''H<!Ud)'ctf~.rtn)nM'-rnnona),rKUh<'<ptct)ht<u)!t).'t''))Hn''S[':u'<)'tts.t/
t!tftth)t"!(<i<~tTnH~r))tt)bitx''r..< /)/tûM<«-a<.S/M</y,<-tt;M<-(Mc<. ';< XXX).
fut, )(. ?<), s.), et .jue S<'huttx Lun'Hhcn. M<M<af<-M<'t~Mt~<tM</<M~<
'<)/<fM'i)))').XX\').)''()4,jt.H<)!i'j.tmU!!jittr)t'prt-t'i<!etu<'ttt<)'u))t.'at)-
ci.'i)n<-di!~rt't)t;<'~-tttio jtftr tvs )k't)\ poputittions, ditMn'tx-K ftro'-&' nutiot'
oimt.Quant Ku~r~)t«')HH<]<'n).sd)V('rx't!)"'unt)tt)hf';uf.où it<')it<)u'<-
)i''ttd''t'JM)pu!i!ii))i!ih')cj''<-otnprt'n<h-(.'t'))h-c)-<)(it)tosfto));f)t''s.i!nt
''ntitretoent tunth's .«))-<)<').n'ottthjue!) fortuit' 't'obsprvittcut~ nia) ittfût'-
Nt't'ttuettj)abt't<)')tttc)hht')).'temps tn'e'x'iiiin' pour voir !i'o)i<-rf)-)!t
.<m<)ui't!eMtr<')'f)ia)f<'tc!i.
). NoN< par)o))!' su! (oM( 'fu ttistht-t. ttit At-t-txjuc, du t'Atasha. V* <)'-
)'tro(f. Vtt* de t'ortt't'. Ot, «on s''u)t'ttx'Mt )tt n««)en'-tatu)e <)cs triba'!
donnrf ptn- Utt). ?')'. t'j/t'. JV.-t~. t'oof.)««'< t')K.. t. p..)7 !itj. )t'<t.
~tt!;ith't)ti~ue.<n't)t'~(')'otrofr./tf~U<<.<t«.<'tM.tSSU.)).t5!i.).t~
p. t~X. qui <t pout-taot '-untribue à son <:tu))!i.<~ttntt;t)ttoa! t-th-on' <'<')h-<)':
t*')rt<')'(\Voutf<:)''u 'tittt-n' co)t)p)'tt'MK't)L/fc/). J/<M<-«..Vt~ f,'t'«t.:)'Ut~t))c.
't)ttu)'uHt!t:t!iun<;orM!.j]ondMt,itytn~tdivut-){'<r.p.Metp.<ti!).
Htttinut) tfuuvt'Dutans W'-Ux et K)'tty. u~. «< ut) )K)))MUtn<-m'<'())V)')-
~ftttt)M<)ia)t'<;)t't~')t;Mt'sft')<tUot)i!tyt't')<'striL)).'i.j).tt,3C<'L:!7.it«'<'
tUtt'ti)L<'<!))t!ntt'citrh'cti~)''t)Ht)<;uttn'sitpp)'o!ki<)t!iHv<
ht's seuts non~ proprt's que nous trnuvintts :.ont h' tt«t)))ide tieu.
tt)~tn<'i)nonousestpttSttit<)))'i)ii<-OtMpor(<'t)trttd!)itmtt')asu<)h"H)tM<.
.)U!t)t!S!K')''A))!tt'itit"t!i't'Ut))ifU.M'itt')t)p*")')''<)t)i!!(<'
d'afth' dut)t)'~ )')*)'Mit)):, t'st. 7'f t. p. M. omis s'' n'tronw y., p. SO.
-:tt~ ~jue !")n Msx):<'snit spt'-t'ith- nu): huttittti.tt du tit'M). Tottt th-n <'))tM
)''< 't)'fu)t.'nt''s" wintt-rin~ ptac-'s nous t'st ') fu)t<'a<~dit inptistttttt. <AM.
:t.')'Mr))'-r.p.)7').:ttiwy)))t)iHt<)M'MptM<)n!<'))-tt),Kt')is'«t);iNt(M's
't''t!tK.ukimtk.)i\'i'')t').tt'.
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'tt\bc)~tt.~r't)'t'h'.t~7,<<fOt,<yf(~At.\tY.
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1
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't.t'~n~t'Mt~~<Mt~MtttuH*frtrjtt~:jtu~t))ph't"m'ett~MM~<tattt
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t.H()hn,[<.t!j.
? t.'AS'iKB!!0(:)')M<!t<~E.<Mt.iM:i
't'<')r.))I.p!)~)~t)'"tttT.j..t,r..KH-im'himt!ut.~))).t~i~h)..
)'i<)'it.tb.
~.)'tn)tr,')'<)')).)j~;)~)):t))it<'Mtt:)t.~t)')i'trir).
3. Sur ).< t).y.)y.)'.)<)m.)<.t)0<.).i.-)!tt. A).: KiHH'f..).
).)'
t')Oh!thM:m<.<)))th..)..MM));t))i).t))ts.
t.P.~t..r.p.tC:
.'t.'<')U.<tt''tt'n"f)-t)H-t'm)))'t'ttpit)')!ttttait)!'i.!t<<;as)mtam«y!-t)tt'
''))<)ttt''t)tt;t fuit) d'h'<itt~'itt~ttt)t))"'fit))" t'im)if'ut)')<)')t));nt.
.)''<Sit)M)''iMM-)N'SMtj)nn'trattt))-.)'tt'-r.jL )'). )'t')r.)tf, (t. )t.).
MAt'-S. – tftU&R BB M')Hft)"t.K'!t<i XUCtALR ttt
t. \'f'y.t'ort(')',p. )3?.
CestMM desfMtslosplusMciennentent f'tMt~ju~ on lutroOYt' ()ej&
't(:)Mtt<?dansVoH)tt<M. MtMWMM A'atM~e, K bhvn, t OtX, iS: d'aprèsdes
<)<:
.turctM dernierordredans Cottts, )n J. Barrow.TAe CM~t'apAj~ o~
MMt/MM's t~nd. Hthtuyt,< 8X:,p. 3S. danit Kf;ede. ~'t~Mjt.p. Ct).C f.
.Y' t'er~fm/te)). )'* 6dit..p. !7. o) it est tt.'itexM'n) cfidt'n) <tu'i)n'est
jn-Mt-ttrc pus d'Mt''ar quine)'<titMU<:)it<Uestnfeme dit quetes fenoo'
t~kitxosM refuM'ot &croireque lesfe<t<tMN)!
<'«)))p)t'te«)ent Européennes
))uiss'*nt avoir 10et 12enfants.
Vuy.W<to)fe it)Porter,p. 437.)t'nMxitnnn)
-t-tfthk'f't)~t A5 enfants.Leseulcts t-'mtraite, connud''
sttttiifUtjuettx'nt
hou:'est et'tui(Boas, B. A..p. 0, 7) d'onefttn)i)toKiaipeta.recenitte
n <S98.par lu Cxpt.Corner. )nee<! enfants,tutti),il y a prohttbh'tnent.une
rreur d'ubservation. (Lemémoauteurpartede deuxfMtniHMi) aussinont-
hreases, ) nai!<
et)e fi<'M)e
ttpparatt4 son tabteau).
3. Nouspublionsplus)oinleshMeanxempruntes&M. Porter.Pourle
n«mbt'edes veuves.on trouventdes doeutnentsconcordantsdans h'
recensementdes Aifttit:(6 veuves(?) sur M fenones).l'ur contreon
"itnarqMert<)ti'it n a a<)M)' deuxveuveschezlesKtnipetu.tnaiscelapro-
vientdu ptUiigrandnotnbredocasde I)olypiiiies.lions,?. B. L.. 1). 7
8.
M L'AXXiK
soouUMWM;.
t'KM-tW!)
ceux qu'emploient les Kskimos'. t)s sont commandés les
par
circonstances ambiantes. N'ayant pas. comme d'autres hypet
horeeus, domestique le renne'.
les Hsttimos vivent de chasse
ou de pèche. Lj K'r consiste en rennes ut s'en
sauvages
trouve partout). en btcufs musqués, est ours en
polaires.
renards, en fièvres, quelques animaux carnassiers a fourrure,
assez rares d'ailleurs, diverses espèces d'oiseaux (ptarmif~aus.
corbeaux, cygnes sauvages, pingouins, petites chouettes).
Mais tout te gibier de terre est, est quoique sorte, accidenté)
et de fortune et. faute d'une technique il no peut
appropriée,
être chasse en hiver. Sauf donc les d'oiseaux et de
passages
rennes et quelques heureuses rencontres, tes Eskimos vivent
surtout du jtibier marin les cétacés tonnent te principal de
ton-subsistance. Le phoque, dans ses principales est
variétés,
t'animai te plus utile; aussi dit-on que ta où il a du
y phoque.
it doit y avoirdes Eskitoos".
Cependant tes detphhudes~orque.
baleine htanche ou bateino trauctiel, sont activement chasses
ainsi que les troupeaux de morse; ceux-ci principalement au
printemps; a t'automue.on s'attaque même ù la baleine'. Les
poissons do mer, ceux d'eau douée et les echinodermes
forment un léger appoint. Le kayak en eau libre, une attente
patiente sur ta glace de terre permetteat aux ttommes d'aller
tancer leurs remarquables ttarpons sur tes animaux marins.
Ou sait qu'ils ell manant )a chair crue et cuite.
t)
NU)tt'UOL'tK-.A)SO.\t)KttK
).t/af<i('<')!t)K<t)<i''W'<h',i!~)'<tt('t'.)).ti.jH'')~)"n))<tr)i')ttt)'"n!H'-
-.th<'t'«'tititn''tuit''at'o))N!h'-tNt'titt'~H'u~ruwt<'):tt)\t
't'!<[m:M)))''nt-<t'')'tt"<t.)).)i,"))))!ufai)'')tn'))tin'K'')')f)t-)t)")t'
'))))!<<h"-vi)titK'Y't)'
.'tt')ti))<'U!'tt'K')~)"t"t"'P"
<if)titt'<))<~<)))tTd'tu<'mh't'<')Mi)ut~'riH'i''(m)t! )'')M)')'i)tf<t)~-
i<tti<u!tftUhk'<t'Ht.))<d))!ct<')f)ii)it'')))innu<ttt't''(H)U')<)M'!i<'Mr.'i
tribus, \"y. K)t)')<f'<~A<< p. ''t. t:t~ttx.))),:t.~). )<M!'mMMt')<. (ttiht) <<n
C. Yor);f/f .<fM<HM<'<t'tO~. )'. i! ttujti. < (* ;tSt< tXc!i.'=<-t'«<M-
.<<Mf. X \'U). j.. S7t.uft//mf ~/«- jt. t)t5. )M)-).' «tt.uthci.h- <).'ttht))t<
.)
h' <ft'M\~ojsft n.(h). 'tit'h't'/<f'tt<fH)'fA.f/ )!t<i.i't7. MM'<t'ft.
UT.t. Sit)t))!<))tt.~m/<'m t'tt't'M<, p. ;M. !{'')'i"tt. )'. :< intitoth-h).'
tUiit'-)i(tt'tuttM*n()t'tUrt'utt)''ttitMinM'')'ttnt)<)))))~')')tun''))t)f..«'u'
~)tttt-)<)tt)t'))'<r't:t't'Uf')<r'tt'ht't))<i
'))!tttat)«n')<))t<)t'~ti<;i<ta)))6.(i<)()jthnh'Vt)y)(tu'=)'<in.)'.t!t).T:
<').m)')t)t')')))('sttH<<).<ptu)'t))<tt)!)"H,t'"tt!').t«ti~uMt'n))~'t.tv''uv<
~t))mr'i''uti''t.)'.n)v. )' t<)').t").y')M,)t..MX. )to)).<t~
~A'~M<).)<
.Ft')))t~)tt')'t!t.S'f'cfnt/)of/«f/f~)tt-~t.'),)))t)<)Myt !)'d.jt.~Kt.Cf
E.tH'tt)ft)rttt.tt<)f))..)?}.)'«): &
66 t.'AKSKKS<~t«).0)itOt:t.(9Mt-MU:)
)t!t)i))ty). \"t. t:.iiit. )<. MM: Jittftc~ )i!iH. in ).ut~ t''u)n; ~u.' .~ur<A
tt'<'t< <'<M<«' )'i: ('. M: fo.[t~. i)) !«' <;<'<)'yt'ff/)/<yo/(«~an< Na~, ~-tK'/
f~c t'cmttt'/M 0~ ~-t).)~HT. H:t).h)\-). <<).))tM. )). :t:t. 7: !!9<.t ')0:
Kift'ttt. .<* <'t'<<M<rn<tu)t. t* rdit. nj). j). ~7: <'<')/K.t'a<t'u;t. p. MM:
'r.HM. t.ivtf U). t.t: t-m;. )).<)!i~ fft'f'ohfn'tc ?'<«/<«;«'< Sou.t n)
ritxns p;~ )~< au(r''< auteurs !t)tri~'n'. t~us !H:mt 'nou funf <h"!'.ourt'<'<
~uc Moa" ftn))t.< <))-<:it!;r )f-t)\t<' ')'' ':):mx <'u jtfutx't))!)') :t Mt<t"[)r<t)t<-
tm'n) pojtutuitT t't u)iti'<- )):n' t«u~ i". y<)Y:tK''Ut~ t't ('thttt)){)a))t«'
)..S))< ht tHtt'' K~httttu ''<t x't. ~"y. Muntoch. p 8i.
Voy tus (iit;)~<ttn:t)rt. «~i'crt i* t~ M"'<'on<!n«~i <«wo<<t«f/tm
Att~HMMt,p. )~8: )'.«)' p. jM: )'~ttt<tittt«. /<<m'<m'/«'A H'<:t'/<*f&Mt'/f.
WuH.<ft Kcttv. Ë<'f<< < p. M. 4:t: v.n. Hitt).. J)M<M.. X). !.up).).
). 7~.).
!<. ~). M'jMMstn. Kt/ ÂM/< t~ )' tt:uiar)ivcim\ m<'tt't-~n-
ftu.-ioMs ~m. nuu: )j )'t<' 't. >)tiYUttt)'f!i~cUt)nnM<-H NVtiot. ou
f«rt<M))n <t< pitft.nt L;t formf <)u t't'tt)'' parfait )'t<*<tH<'fit*ta <*ivt)i-!ttMin
K'ikittt't ucmt~ukdt'. t.t' ttm'ictUK'i!t'~tatmtts nt'<teu)<mdiH!!<:s nuUii rc()nt-
~'ntcut tit tcnt' comfnc muni'' <)'m«' csp'n' d<' (tortc. voy. tc:t ptitMette:.
<)H)tt'<)t-.<'ff<«s., )) <;): df t:t\ut! t. ))L U), CrMh. UfM~Mùsf&Mto'.tC.
)<). V). f.tt. p. M. )) a )M()hitbi<'t)tt'«t .tU:t<iu)~' e<ax''r!itit))) de <h's;iin
~ui him&httKK't'x port'' ri'h-~H do tM'imx. jM'rjmn'tieutHtft'il es) tt'iti. <}?)
)<')'))<fith'nh' ''a .naot.
t. C«:[ts t't'xtar~uc. ~«'. <)~ )-. Xi. la <htf'«'t!< t-otn*)< modes (t'hitbtttt
K~tfi'tK~et h's h'n)' in<iit'nn'< !<:)-'('.<';) ))'<tt(!tf;tt!ti" <-t. Ht'orn"foMfKf'/
/o </))'</tM'v< ~tf*/)r't' .M. )). ift).
MA)!t. ËTt'M DE Mtjnt'XULOOH
SOC~t.H 07
.a.I .1.11.- _8.a. -&t.n
Co type normal présente naturottomeat quelques variations
suivant tes tocatites, mat!) ettes sont tout a fait secoudan'es.
Là ou te renne est rare', comme a Angmagssaiik et dans tout
le Gr'Xdand orientât la tente est faite avec des peaux de
~t/<«<~ff'<.
Fi(r.–~ttHjM''t'')<t)))!tiiun')'Atww"'atiht)t.H).
"j"t).t)i<).!t\Mt;)t)i)H!')))ttU!!n«U!i.M-t'mt)<)))!-t.Ut')f ))tt)t)tt'')')H-.
~uportant, ts~voif t'(mh:tprt* pritttitif <))' fit )««;{'«' mH)'")) Mtn)")*<'tf")'t
)."t jKtr M. S)<'<t)!!b\')«<)))'rittt.n'hr)' )!t tn.oscf) <)'h'y<'r''skitoo & lit tu)));
~'tMi-.tmhxtieonc tM)tn<)anot ))'u')uui< pri;. <-utt)titt'.<)n'cim''ns). si m:)) vcm)
~<t)'<oit.<)e!)h)nt)<)U')M)m't't.mt''Mr<t))tt<tt''()'mt'n')U<.<;f!d<'))\ty))'~
)t)a):!t)n~!ont hotnototW'i.
) ))an-'hmit).<!<)nt«an')!un-.p!n')!XM<f<ph-.n).u)')u''))t''))''«tu)f)ir.'[t('
i .")<- et ))))M)(atttM. Ste''n.<t)y vu) )it ntt))"<)'')x'r <h' la tH!U.s«n''skittttt:
b )<)n!!''))<*()"s~<t' t-'xMMtf~o«<CY ~« )M((«t«t«!)M')i''nnes. Mh t'o\r<'t*tttritt.
70 t.AXX)iKi.Of:!Ot.Mi~'K.<SM-t!'f;t
Cettedispositiondonneài'observateurt'impression fausseque
ia maison est souterraine. Les tnurs sont en pierres, en bois
recouvert de gaxon. et souvent de peaux; les parois on sont
presque toujours recouvertes. Kn avant, toujours a nn}{ie droit
aveciemnr,déboucnoiecouioir, par une entrée tellement basse
qu'on ne peut pénétrer dans la maison qu'a genoux. A t'inté-
riet))'. le sol est recouvert de pierres plates. Tout ie fond est
occupe par un banc profond et continu, dc'quatre à cinq pieds
cie large, et surélevé d'environ un pied et demi actuellement.
il Angma~ssaiik. il est porté sur des pierres et du gazon, mais
autrefois, dans te nrfiniand méridional et occidental, il
'lui n\ );i<t)' tjUt: thutb )' K)ai.'it))t.eshonos du ~u't <)'' )Atftshtt. ha xxti~on
't'tti~') ')u *< Att~ncitin r'xujtn'nd, cnc. )r ))N))c.et ftw <-)uisous «;f.
!<))jttt'k. T/f)' //<f<mtM< </tf A'H~/t H'M/ CfM~, t.<f< ;VM~
<)«< )). i)5 '.<).. c). )e.<ttUt-<t{!< fitt'-s ))tu'! fxts. )'. )~<i. )t.). )t):ii.<outn' h)
)'n;')-«<-)-du )«)-)') ('('t)tru) )'ftt)ii<'nn' <h)<uh)it' t k'ttt it~crdht' tout ra))))ru-
''h''<M).
). )h))H),t'<A«. p. (!< ti7. Cf. [tout' h' Hrf)u))m<)S. Otientat ftnch'tt,
())n)~. f'tt'<m.<-hm<-ft'«'. p. M <') pt. U. <'x<)k't~r. ):f.)tnt=en. M-iw).
Mt'tt. )<.))7, ). ~«MWffM.t~M'~< ft t! Kintt. f. tit.
X. K)t<'ft)-t. )'ed<' t))f,'ft)i«n)~')'<j)t'css('')H!'t)tt)U'- <<'s) auu.< )r bttMt'.jmr
<-t)f).~r.)t)CMtS"US M't t'id) (<-t'.)<< ).<)Uj)~st)'' ttMis"tt. /'ft'<M.t/)-t~M«t.j<). )X.
t.n-t'. )). tit. <;r.mx. p). )V.; <)<«. )tt<'ttfttt )M (:uuj))<'s )or:i <k's ca-i
')'' ))t:t')tf;es .<~ÏUC))<<.f< j~HMt/f~fMH/Mftt~;.\j/<' ~)'<(M<)'a<«t)'t.)" Gtiit..
)H).)). :?. Ct. )'. t-~fde, ~tc<t<'<«f)-<«'M ~'tMM~otM/xo /.a/tn«M<, n6ii, p. <0f)
(! t..tM/W/Mt). Il <"it d'itUt~' (Mtrt tx'i! tt'ttMU'~UH))))' t)U<' lu )))!tiSt)H
d'At)!tMHtt:S!:iUik .<)
<-t'rtt-)Mtht('' bh-n. !:nrt'<ut qmut) it ).t fomte <h) toi) m'w
ta umisuu du Hfuttttmd tx'fhh'Mtu)<)«)tt h's 'i!'u< :tut''ur- M'tMS<M)t<'o)t-
sen-)'i.t n-jtt-udmti'O). '-tiiitua) )tVM;<-<')<<t)U'')h").dt?)K'j~nt;ntt)'<H)teut~
tn'ttimt. <') t)u<)t)oe'- auteur. Kt)t'i't<.<ft)avi<. it) M«M<"<<t't'o~<t~f)!.)!(*
~)8t'.j~. ~)ti!)poureft~' )tt~me r<'t<n h"v..<ut')')Mt tc.<tx'is ')Mi iOu~n'nt t);
«))t'tiu<t~ <t<-r'tt)h's. t'. ttittk. r. 7'. ))Ks.<ittt..<wt!<u) )!. m.i, XS!. if), M)))!,ut-
h'rp))ttot )<'t)i(!'<n)'.tn<)is('. /t't'fM/.wt'<<a<) ~M/fKMt«'/<'M. t,)).K)t)n'n.,
<8<iS-<N:i.t (.dition Kskiom. K<tf<)<«)< Afi<«f<ia<<,fusc. [-tV. i8CO.UodUtMt).
))L ))*:(, n* t, '~t OM-urc tmi)))-t)n'). t.)t xmison in) mur dfMt. <et)ttiven<)-)tt
d<j{<tKedf rt'))v''tu)')'<' de h'w. ft sortut~ itu toit ))ui.M.U) <t<-sjtutttn's
pttt<'<!c.<f-)t<i-ttn'nn's !iMf)t' rnur litil MM''iotpn'~iton tf-ii tfttt' dt- tMMisnn
t'ttntjw'onc '*t)t jtt'Mt-t'tn't'tr fro~ i.<n).i)'int)u''n)'t'')~t.ut)cien!i f!"fy<'Mi';))s.
Sur eMttc ttft)u<'))<:<<-). Ty)m. UM ~'<-am/<tt<t<-tMn fH/~Mt'f am<'My//A<'
~Of/ffMA'~tM)" JoMt'M..<M/A)<~).<<t.<«'. ~W< X)t), iOX:<,)(. 27. S') (tf)US
t'rap))r')''h'~))')t)t- dt- M. ')')-)"). tK-noo-' j'XMi-.St'tt)d'iitth'Mr.- )Mti-fon'h~.
M.\L'<. – KTCOH t)E Mt)U'ttu).0'.fK -W:[At.E ~)1
).S''utMtt)'~t).)t'i.)ftMht'tttth')tr"'th)tn't)r)!h'tnr~a).<).M-.
<!t'Vt<h'«y.tit!X'')t. S.
t.)Mtt)')')'- n"m'.n) )!tvi-). Mur').M')). ttt:)),X')~").
'it;.8U."j.
.!C).Hti~t"t''<)"t'<'rt)'tj!)it''<'
.k)it)at))p't..))t.<))ap.).st.J~c)ois')n))t't))<'))tt))t)M!)t'<)is))antftnc!-
~:tt(!)m!nt)!t')U«pj)Mrit)tk'<~pitrti)t<f«t)'roj)r''M)t'nt<)it.<!tcn't<tt))'.
st pMbabh'ntunt n.'strein) <tUt!)'on)tt))<t.Ax t!~n))tn<)0':<')<)t't)ta)ht tMtnj"
)~kttM()))'a<)t!!pam~'ViiMt)~(t()t'tf<-utuj)'tt'tu''<-)«- )<-tit'h'
tCt.tMXt<<:it'iStt).tttt'tt')'r''t'<'<)''n)'t<!rMit/«'<.)'. 3! ~«'<
<'<t<~a.&t"<t.S)!cm')<)nfi,p.2't).).
~.Surt!ttn!«!!um)<'tiH't-M"tuM't'')t<')~n'<t.\tt')<r"f)t),Yu\mt«ut.
i't)i)'<)..W«tt..p.XX)''tj))itHch'«'t'K'<~t'~«<«")M'H,m.')Oj<ou)~h
~taiU'iH) <:)«' )("i)<t'it!)hit(*)<)<'n)"r''t'!tH'f')t'n~t il a'"M <))-
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tftttt. Aa<t'n<t«''t/ « .t)«/tf< ~.<~<'</<<tOM <n</«' .A"<f*. <'t'j). i),)'. )2).)t)..
)<tt'h.u<t!!m).f<)«/.()'ui<)(<'Atk)n~'n),)f.tb.~)<}(un))t.t)t)tutM'so'tMt)
it)it«!ct)u)tm!tn')a''n<)''<')')x))')))tt<'s')' ~)nt''n'<)t<)t)r').tn)')''
<nt)'ut) ff. ')M in'tx'ati'~x ')<: Mi<'r~(s<'))ittMt<f'')«'~f;t<KA ')' )!. :t5.
J7 t)m<)M-r.!<-«f.<< </«- ?'<f<t'. jt. 2i:i Hhh~r')<u)t..t.< <tc .S<'«fc/
<).pNM,r~a<<h'f/w~t.t).JMs'j:h''t!~ctipt)nn')''ttn~t'j))t)
M. S<;hut< in TAe h<KM<<i<«~e'«' ~)<'<«' ~f«* in r'a<M. H'<y.ef. ''«MM<<a,
t!'X:<.Vt).p.<t!)t'o.<)tm)t';tm'ntr'}n<)t'M''ttt)<)b!rv!ttt<'M.«i!<U)'h"'
'tu< <)<*MM. ))!)tH)):)< S.)it)vi))' ''< n'f"-t ~n'on'- «~j'i~' <)'EM't'' et ~t''
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t'it;–ti-")t!tnM.t.)f)t<i..
H~rM~m~M~~t~
'~MUt<u)t<d<'Pt'~totct.tt(tnta')it<tt'ttu'MtnM'M'<')f<'md'tu))tr.t~t<<M)tk)t)t< j<'
H<"t'H)ttrt~))<tn~))0'nnnw''t"L'VMH~t'<m~ih't~'t)
~r''))):)ud.)u:)iscot))ptMudsum'ent ptusiem':)rf<:t.mgtcs~reth's
sur un .sent coufoir'. (~omn)f. surtout dans t'A)as)<a tnén-
dio))!)). ietMis('stf'ncorf«bo)tdant.)<'sn)du rectangk'
ccntmt est ptauciK'ic. Le seul caractère qui apparUent pu
{tt'nprcaux maisons de cette fcgioa, c'est la disposition du
coutoir qui. :«) lieu dp d~hoxchcr dans )c tnu)' d'entn'c.
!V<n.t*!(t'<.)'<<«/'<;<Mt'.«'tt<)<t).
Il
~.)<i')):)t~.<<'«.t«)')t)din.p.~)6.i.j.t'-<uMtu~~)Mj.)".fH)'tf)<~)!'
.Mthh't'ttt'it.<-tnnt
3..Sm )<t)ttiU!t)[it)!<t'')iht.)t.))r'w.Mut't")'h.p.))).ti)<tp!
)t'<e)'MA'<.M~.).S<X.S'n').t)'!K~-nnaNdr)ruHdt;Bcnttj:.t'ft).
!<)m)t.)<JM.f)!j.
t.V'(Fiittt<)''ttt;u~"tt')')'tj'm'S''t~)),j')t
~A)' – thKtM: Ht: U'tttt'ttOt.t)t!)H SOO.U.t: ::t
FiM.~–PtB))'-t~).~tttit)t)d'm)iM)omh'M''i~)'nt')'tttX.W.tt.').tt)ti''
't)')f)sott 0). B ). ~f/t/tj/ f)-m))f)it.ct nit'he <'hi<'ns', f «<«);«/(ruisitf <'(
't')"'toir).L<<)Mtit-!s<'ftnpt))<).tnt:t~tt<~)ntt~'a''))fs.tj)t<tVi-)<'tt.)'h-.
ataTerredeRafMn~etsurtaeùtesepteutnooatederAnK'rique
.&, à .1 .A ..9.
encore évident maigre ces t:haM(;ements.Par ses traits essen-
liels, ta petite maison ressemble excoroata grande maison
Xr"ntand:)isc dont elle n'est an fond qu'une miniature on
y retrouve t'entrée enterrée. ta fenotre a ta même ptaee, le
banc suroteve & compartiments'. Knnnot surtout, eiteost
souvt'nt habitée put' plusieurs (amittes, ce qui, comme nous
h' verrons tout a t'tteure, es) un trait distiactif de).) )ouRue
OtitistML
Cette petite maisot)do pierre n'est donc. pour )tous. qu um'
tt!msforn)!)tionde ht~raude toaison du (!r<iu)andoudu Mac-
kcoxie Pnurtunt certains arch6t))ugt)t;sout soutenu '{ucc'était
<')h'. i)u contraire, qui constitttMit)c fait jtrimitif. Mais le seul
fai t &urte<)uet-n'appuiecette h ypathfso est la suivant. dans le
t!r"n)!ntd du uord ouest d'une part. la terre de François-
Joseph, au ScoresbySound', :t t'nrchipe) Parry 'de l'autre, <tn
a trouvé des ruines d'anciens établissements d'hiver qui sem-
btent bien avoir été des petites maisons de pierre, aua!oj;ne!:
af'etR'sdu détroit de Smith. Mais ce fait unique n'est nulle.
tnent probant. Kn effet on trouve ailleurs un grand notnbrf
de ruines de grandes tnaisonset (tont )c caractère est retativc-
ment uniforme ensnite, rien ae prouve que ces ruines soient
vraiment les plus ant'iens vestiges de maisons d'Iuver que
uous possédions ;ennn, si ia petite maison avaiteh'' te tait ini-
tiât, ou s'expliquerait bien difficitement !))gen6ra)it6 et ia
permanence, sous des modalités diverses, du type de ta
grande maison !) faudrait admettre qu'à un moment donne.
H.itru\L<t-nu«'nt''tt'tt't).tU.t/u.~<t.)..i)')!tr:tt\~t')'))).
~t).t-t.M~f')'')tt.t.M.tf..),.)~.o).itbt)))'t''n).')))M).)!i)t''
~th'n~)):tti~tt.~m.t)'r<i,r'K<v.<:). 3!<(i.Lt~vi))MM')'t-).r.
~xtju.tjn .t.t.-u~))).t..[-)ti~f.vm.\W-u.),).i.)t.:M).
'K<)"hut)nt!.M)) V.-tt).'M))<T.f)tt.t.t.<r.'<tt..t)[rtaMi.))).').trm
~t.t!!t!t-ut)t..ntt).~t)rt.'mj,<t)<!t. )'(tt)''t')0;i.)(~.))t.H;t.t't.
H\)ttm''tr~<t'"n.t!f~)).Mthr.tuYuhut)..tu\t'~tit)mshittt-.
.)it.).tr<'<)<<h'M<-<).Wn).)).. ),.)'). ~07, rt S<.)~~h.)).~M).v~
~'M~tt))~u~mHtt)t.<t).m.<.).t''tft)-f)!))'ti)).[ttt~;)j.)u.<it-ur<)iushim'
p.2<?M.)!th'<H)1).'it<H(!ir.t'j)n't)~trm'tun'swiah.urr)'<.
)~n~ht.<)~u\k~hi)t).i.)u.-H.) ).-))) ))h)U.)'u(-<-))-))))-))~
.tttd'')n'.<.t)'e'.jt.Wd.)r!jtm!s.t)httt)'tic).t))-.)<). M.!<c)«)M.t.ix"Kh"t.
\i))H!t'')")fittr<t\[tti.n.u'h~i<ka.)m'<'h)~t.M')t.t\:tit)))u<<)Uf
.t.u\.n))i.t;htr'iu.). ~.7.).).f.W.)tt.-i)))'.tt't..r. )..))(. mou-
!<'un~)r.')t~h.)M.[Mr.<i.<))i)n..)i~))t ..h')Mtw.h');«'<
tStt)t.'h!~))U)t.d).t)'nt.')t,)i..r!<)titit:fM(.t;/(.A'«./t.(..)j).
.1.)ft!tr()HM. ) <'<<«f~ \K).-M/<)f </)«-«' ,)/ ~,<uf-f/' H'f~
<n.<H'/< )r )5' )'U'U~)M;n<~t- j,. Hi''t)!ir<~t'n. t'' .~thinsut~.
)M~
'').tr<oi~))ht-hit")<r.<t'<'<t.<ft<),j,)i,
~.)t'Mt.j,.t,'J)-.):)).)H.f,j..<MM<<~<<).U[,: t.. jt.gjt)
L.Mm'~d.'ht~).iM.Ht ,.v!.t..n)),t .))(:< d'.tt).-irtt..K;t.,)))tt~
.)).)~~<h-tM)~iu~ t.t')v~)thdt'.f.))')'tj))!t)i.ju('('t!nt'-<)n-.<'rvt.
))~<h''y 'jtu it t'.tit )..)r))t' .). ht jumn-'r.. <(.L-.t)'iutt )h' )'(t<r% r.tp)<rttt'hr.
~<«'f'nr;/f.t.t).)).;)t2.).k.t<))i~.J.-)''H,,).(.)<)«i~<<.)-ki)t)u-.
..r).nt.m\.Crt);r''Bit~ L\utt..f<.MrK,)..ti).):t.)!t.'n')ti.ittit<Mt-.
<K!t."t)nt)d'' jtit't'r'"
.ib-tt)''d<)):k.tk.n')).itt)'rrm~i.M/.)<'C..««h<v<Ut.<t;t~t< <</(,.
.«ct u/ //«' <;);/<-</~t-<'<Af<-M. ).um). n' ). )). ~t. ')tn'Kh'<ttt-k ))t:uttt<
t.tHUtt<.n')\v)Mm't<)t:.mtt.m<))).t))<)n.i))n)iH-))tt:rc))r')Y'))'')t')t,)hfit'
.)M-.W('r\t'Ut!t)i)w.t-)!i)))i!'tttt)..o.)t<'))wh.)t'<t)Cvw<)t))d)))t\i Il
t;.t).)t'x:ttth'tt).t))ut)'t!).'ft)~.M!ti-t'<'tt.ti)t't<'tt«u'<)minin''tttddt)!.<'
~<ur.'h!u))i)!'f))t'ftt.t<!nt'~))t''r.r)'ti.t~)!nKh'<tt.)i.tr.'tt<Mr.)U!it)h-
.)M.')..)i')<t)t!tir"'))'ff«.(t!tt.i.tt)!)t<)m«t')U!'r.tv'))).<hMttt-uH)t-tt'))<
.uttth'MH*' )~ts<)t-r.f.rt;n< M))))t')tAft''A<'(~f/«f/<tf);'). \'o!f a)t.~) 't'umo-,
;). )':)t. t:t. 'rorn.'f..)M<-<-f.fttt Y«<f;f)/i~. )Si)T'L'usina B<t\
t. Mitth. m 'n;/< fM<< \'t)). j,. )i). t)i.<). cf. ).)t)s t.)~t;is.))).-
').)«-! Thdtht)~)') /'A..M<ftt/ .<Mf/ t-t< j). ~ù.t. )t. :!97.
:t.Cr.Hh~r.?..p.8.run~.p.r:).i:7t.).)<)~iM.-)t<()i.tt'<<-<<H-
<<;<t'M''U~/Aa. ):t<p..)))mi:)). )X'r). jL t~i ,)).) t~t eut. ;t. Rink. <M.
Tn'.<'<.)'i.if.itt.fM/t.n'))::<;f.t'<.)<)'<-).M.n°)t.)'ru)jat)h'-
~t.'u'')' in.))';ati')n-r:t)~nht~)utti'!MM/<t<e/)-<'m<d-;tt..t))~).)
M~ –HTt;MMMt)tt)'MOH)titH<f)t;ttt.f; 8t
On n doue de bonnes
~HM<!<* honttM f!)is<H)N
raisons n<1ttt'nf'nenr
pour penser fttt'i)
qu'il nntt'-tit x~n--
entrait nor-
tnatemeMt dans la eompositiot) de toute station primitive
estumo.
Le knsbim est une maison d'tnver.nmisit~t'andie.La
parentf entre ces deux constructions est si étroit)' que les
formes diverses que revêt le hashiu) suivant les régions sont
parattptes a cette que revêt):) maison. Les difïerences essen-
ticttes sont au nombre de deux. Sabord te kashin) :) un
foyer centrât, ators que ta maison n'en Il p.)s sauf dans
t'fxtt'eme suddL't'Atast<aot)t'i))t!nen<'ede ta maisonindienne
"etaitsentirt.Ce foyer sen'trom'e MonseutemeaUMoit il a nue
rnison d'être pratique par suite de t'emptui du bois eummc
'ombustibte maisaussi dans les kashims provisoires en neige
de!:) Ten'ede t:a))in Ensuite,le kashim est presque toujours
sans cumparUtnent et souvent sans banc. souvent ave(.'
si~es\ Même quand il est bâti en neipeet que. par su':e.i)il
h est pas possible de construire nt) ~rand dôme unique parce
que cette matière première lie s'y prêterait pas. )a façon, dont
les dômes sont accotest'ttespa rois (tonne fiuatemeut
au hashitn ta forme d'une sorte de srande sutte a piliers.
Ces différences dans t'amenagemcnt juteriet))' correspon-
dent à des ditterences fonctionnelles. S'il lie s'y trouve ni
division, ni compartiment, s'it a un foyer centrât, c est que
c'est la otaison commune de ta station tout entière Là, où
nous sommes bieu informes, il s'y tient des ct'rononie'! qui
rcunisseut toute la communauté A t'Ataska c'est plus spe-
< iatement ta maison des hommes": c'est ta qu'adultes, maries
ou not) maries, couchen*a part des femmes et des enfants.
bans tes tribus du sudde t'Ataska, il sert de maisoxde sueur
mais cette destination est, croyons-nous, de date retativonent
tt-cente et d'origine indienne, voire pent-etrc russe.
t.):').i.s.)u).it~.i~t.tt.h:.t.t.).,i.MO..).M~t..i~\i<t..
.)U~~u.m't.sc..t).hu~i.t.t,.t.).).)).
~t.Ui.)!~)~t.t
),«.-h.,).n~)~).)~)H.t-)t.)t),.)Mtt'ti.t.
.)').))'. !h.'t)t.t,t~)-).n.t.tn.t~.c.n' .).- tttMi'utu <)'u<).. ).)))).
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.)').).) );t~~t. t.. t.),t.M ~.).t t~.tt~)).).)t
i..U).Vi~).-).t t.h.).),mit .).il:)..US.t(.))().t..U~nnt
t.~t..t.), h..i.,).h.t.ihtt..ti!i.).n..).:t ,(, autr.t'.nn
).).j.m~t..s.iij,h..u.)~v.),nt..t)'ntrw-.).'t').t~)' .m
.r..uw ')")"t'-h'i-i:).).t.r.),u. ,“),.<.<)
.t.j.())<U.).t.H,H.),t.ti~.tiiH.t)'t)t)Tt.'un.'v')t)t..
.ith.r.
'i')~.ti!.th..),!).w.'nt.)!).ju.tf)~df)i))itiv~.B~.i!t'
).).t'.)')..n),ntt.u!));t<)tV.))tu)tt.t))rt.t.<t.f,j),M,-)~.t)~
"M~tt'.)').)u.).;tu.'ûu~.inn.)..j)ht.))t~t.n)..ineti'rt.'t)n.
-.«..t.t))v..i-j.,ur-).).r.hu)r.<nat.)'i.K!<t)i-.«.t)< .).) .h.
.t~.t)).t'i..t,ni\n
)!<).t)i-n.<<y<w.j,;t.X.
)r.u-)~("n~.tt.)'tM).).~jh-ti~)t)Mi.tt.u<'))~-h''<tit.j),t'.t!.tt«-)~
.h.j.)ri.).).tt.t!U..t)).u))..ut.\tur<t~)! X)!
~H~h~tW.n~t~j~
~t.-surJ.un.))').L..).~t.)it\.t,i'.ta)').t.x.tU.4~ii,n't.t..
~.itu-h.~t~hj~i.)).).. ri~j~.).j. ))“)“.“),(,),““.“,
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uunp"in)tt)tuMtit'vi'te)~'))<'))taut)))miit)m))<t')')n'ntmtMm.«iii.
~-si'x)in Minh.~ft;«f<- )). )' N3.'~t'<tr<!i.))'))tt)'-<
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\).-t.tt'S';)t.uM).)'.tm!:tt..d'wtt'n.)'.Mt.
).<~t)t'pta''<'Hu')tt!.<t')ti\r ')t)'.t)ttT)-t)-<)<
tt.'t4'n(tf'trt'')n'!M))Math)a''<
!tt!n,v')y.)toas.)htSL!~<'art')'*))t)<))ur Mua')'*<'<<<)<'[))tt''t'H(<:ttti.
u!).it;Mt')'t'n')imt)t.tsfui'iHu<)<~surt'a))))'))<u't'-t)''t-f.<t))t)t).
'm'ht-
:.t.n<U)''(rii)U<)Mih~).'t.t)iv''tH'')')'))tiun.'t)tt<')!h't)r)'))t'
~~r)mit')''S<t))U<. \'<)y.K~)Mt'.ï'/<A'A.M«</t'*ot'tt~,)t.4t..<.j).
)'.m'Yut'~t"<f')'))'M.! .<')-.!"a!!in'tu-<v")ts.<)))t~M't«'ttya,
.'<)r~))t'))i)tM.<))')itht)'.)')Mt'j"Mt's.
't))u-)'u!,)<C).))'<H.«.tt').
St L'AXXJfE SOCMMG~t'E. t9at-t<m
i. f~'f.rontf:x.u'dentt.<ut(Mt-ti<-utit')<-))t<-ttt
)et)<fU)odu x.-as.jni \-ncttt
dinn <t' ))t)ti!i<MM iso~u~ tnais('t"it prMci~otent tt t'oust'<tut'arMtt'r)'
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tm)tNtM\«)ttt' ce c''nM'')'' vi' r.r.. p. ~8. M)!.Bo<is.B.N.t..p.i!))~.
~-(c.:UtyMS t":)))i()m'tt'xistt-m-c<h''iisoh's<t<'SorthanttK'rttux) )s)a)~!
())M)t-)..S.xith)..)n.trcficf)u«< ~«M<-M~. O n
)set).).. gH.~n fMtn.tx.- d"t'Ott
<'<tun'' !Mn-i<)'t').
t:S, tSG.~).
a.<t~«<M..)).
;t.Vuy.App.H. Mh.'stcfk's<:it.~ptushaut, p. :.t. n. 2, t.).
4. Vo\. plushaut. p. Tf.n. 3. 4.CI.Svffttru)'y< /.a<t<t. u. t:i0; t).
p. )?').). otrtc.. 1. p. 3M.)). p. t~: .)')tit)cm-il t.xbt.'MMidansc'~
r.ionj d!~ruin~<ie'naMu)~ Hruatn')'t-f.S\'er')ru)). ), p. ~ti, (),p. Mt.
!i. La )))u))itft
<h-.<tcth'i citt.~plus hMt. p. 7<T8.sont '-):tr<nt.~ <)<'
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dfiK'hptiutu stations')'))!<)')- Mou*
!tax<jMt'))t's )'<'nv«vons an'- fui<pour
t.~tM M.StMoshy<tunMf 't')ti))).Uf9.
M.~t)«. Mpc.p. !i)-ttt. (t'abon-
diuttt'i,)~f'm't:.«jue nousn'tn'txxpas besoin<h'<-f(t)t)))'~er.
6. t.Mphniidf LK'htenM:,le K''u Henttttutdonnasduns CmM.)t.
A"nt'tu*aux tnk~ioHntun'ii t'um~cn~.
7. ')t.L<)'i))i!t)<\)
Ni').~on.)t.~n. J)tc"tMen.«<'«<p. :t)t. rf. j'wtt'r, p. tx7.
t/un <t\u<: ut~t'crt.tioumf'nt Mnstruitsutt'! )'innu<'n<'t'russe.U cotnpor~'
un viUtt~'d'hiv-'t')iUt; f'i''<* du vi)ttjt<;
<)'yt<
MAUM. ÉTtiCR M MOM'tMUMitK«tCt.U.K ?
-3- J__.·.11_ re_1_ 10_ v.
augtats nous parlent de vtitages Eskimos enfonces (tant la
terre, comme des taupinières, et dont toutes les huttes étaient
groupées autour d'une hutte centrale, plus grande que les
autres Hest assezvraisemblable que estait le hasunn. D'un
autre cùte, pour tes tribua de l'est du Mackeuxie,il nous est
expressément paftc do comtauaieatioas entre tes maisons et
même entre tes maisonset te kashim On en vient ainsi &se
figurer le groupe d'hiver comme ayant pu jadis être constitué
par uue sorte de grande maisou unique et muttipte à la (ois.
On pourrait ainsi s'expliquer comment ont pu se (ornMt des
stations réduites à une seule maison comme celles d'Au~mag-
satik.
~M~'tt'MtMK <<M /)«At<~wtM ~~<t<!f < – En été )a dis-
positioH du groupe est tout autre La densité de t'hiver fait
p)ace au phèuom&UM eoutrairo. Non seulement chaque tente
ne comprend qu'une seule tamUte, mais eties sont très etoi.
~nées les unes des autres. A t'aggtomeratiou des familles
dans la maison et des maisons tal'intérieur de ta station suc-
cède uue dispersion des familles; le groupe se dissémine. En
même temps, à t'itnmobiHte relative de t'hiver s'opposent
des voyages et des migrations souvent considérables.
Suivant loscirconstances locales, cette dispersion se (ait de
manières différentes. Le mode le plus normal est l'égaille-
)uent le loug des côtes et dans t'iuterieur. Au Cruutand. des
(lue vient )'6t6,et il arrive vite tes (amittescoHeentreesdans
les iglotis de la statioM,chargent sur leur oumiaks (bateaux
des femmes) les tentes de deux ou trois familles associées.
t'ii!–Kt)tb)ii<f)))t-ntst)'hiv'').-)!)!tU)~t)t..nt<<r''t''
d'A))KHtaes!i!)fik()t.tt.)'.
t)ousituptU!nousuecotH{)tonspKS)nomsuev)ni:t.tteux places
detet]tesetde('a)np('u)eMts:eteertMine)nent,(!r!)t)xsesttrojnpt]!
p)utôte)) moins qu'tan plus. Outre ccttfdisucrsiou )f tooKdcs
)iort)s~, i) y u aussi. au (!r'i)))aud, des. excursious aux pâtu-
rages de rennes et h' )on~ dos rivières (te saumoo i) o) est
de utcme au Labrador `.
\ut)ssom<nes bieft t'fnsfi~ttfs sur )'exp.utsi')t) <[<'itt H'ibo
d)it)outi)<,u!'<'poquedG t':u'ry. p'.ice MUX('x<'t'Hpnt<<)t'tt'.<
t~tiimo qu'U nous a tr.Utsonst's'ft où t'utt \'oH eomn~'nt ht
t!'ihtt se disperse en t'te. Xou sentetnetH cette petite tribtt
s'(eud sur M))espace côtier tous de plus de suixaute étapes.
mais encore elle essititnele iou~ des rivières et (tes lacs intt'-
nent's:tt(M)tbt'edt' {atniHM passent. !<ta rf<;hM'<:h<* duboi'
-tu' t'autre tacc de lit penmsute Metvitte et sur (a terre df
Hitffin.:u')'iva))t ttt'~mea traverser ce)tc-d. Q't.tnd "n songe
~jueces migrationssaisonnieres sont faites et) {ixniHc, qu'eXes
detnandent de six il douze jours de marche, on se rend compte
!)ue ce mode de dispersion i)))p)i<)uenoc extrême mobilité
des groupes et des individus". Scton Hoas tes ttqomint. au
o'd do ta Terre de Ratth).arrh'craiext n traversf'r ie détroit
de Lancastre il la debacte et a remonter sur la terre d'Kttes-
)t)''re jusqu'au détroit de Smith. Hntout cas. il est certain que
f' t'tabtissetHeuts ruines du Oevou septentriouai ont eu des
:mfs de tUssetMinatiû))tout aussi étendues puisque, pour huit
''tatious d'ith'c)', on compte trente ruiues de stations d'cte sur
nu inxneuse deveiopponent de t:«tes. Ou pourrait )))u)tip)ier
tt's exemples. Xous pubtious ci-joint la carte (tes aires de
uontadisatton de trois tribus de la Terre de Hat)!)).
).)).m'-i<i-'ii-~)''t-~nSMd-t''ru!'n''t't'.«).t'u)t)M~u'~(*')'<).'jt!!)))
i)~<'))'mt'upt')!)n.n<<tt<t).))t(''tt)itt'i~n'tt<«))~)t~tit)-t.ib~
.).Kitt)'«'<<r.«/.M;)).jj.~u.j.
:('tt)N'u)!"[)r;)irt.)"'U)').').,t))rtK<"),.i."i.).t'i"t~'h'));'r~)"ra\=.
<'«..tt'.MM«f.)~t'jt.)Ut')~H)'t!tim'i.h'f.iti")t<d~t~\ux'').)V)''Y.t
-v. <'«<<.)). 4.j)().t<')'.tH));<n~'f'fH<tOt'«/f~<'m')<)<
'H!«..ni). <<vft<'K'/t'M';fiM'K)'tmt..)7S!<.p.2i&.
ihi.)h-<)f"<)i-)<r')~N-t <)t'sjm--i)M'j"'rh't)i')n'"<ttU\~i<frt)'t(t''f
"-<))!! f'm),m<)'p)tn))'')i'<t)n"'<'ic)')n''t!th)i'<tt)t')t).Xju"
~'v'.t<-pif t<))!ht'v't''j't)hti' !tr.n'it~t)''u"n')<-).'tL
t.)ri.)..<r-.)..))i.).t))ti.).tH.-))U)-')).t\td<)..<S.)'.[..)?).
<~).]t.~tf.t\t-('Ut)')UtL\u~<H~~«~.)'îi~-
'm)!'<))nf).))h't)-')~tn))U<<)''<!tTt.-n')t')Mit).t!t-it't. .1."
!~t'tt.ti'.ttit))t)'n''t..).)t.K~.(.f.)).H)<.).ù).t)'<upiH(')'t'
")')UVrt)tn".U)<
M ).'tXXt:HSt)C<()t.()t.i~tH.t90tH)M&
Fitr.–)<d'j~tM)n.t)t ~tr.)<-A)<uii4m)tiuLtt'Q!tUtttmtMm:
.).)'U!it)!"it)t.)~<<:t)))i-tt<M')ti\)!)Js.'ttf.it))')i~UC.<.D''U~
'i)Huh-t)).)))!)t')n~N)).n!)<"i!-<t).')))'"d~<)'f)t<)'t.'t<;t)t.)t.
t.ps trois dettas. tes trois cs)u:tires sont les seules régions
où t'ou (roufe des modps de dispersion qui devient quetfjup
peu du t\noroît: mais chacunf de ees déviations tient:) il
des circonstaMces particutifres :)t't-idente))es fjo'i! est pos-
sib!p d'it)t)i))uet'. Kn ptlet. sur te M:t<;ke)txie i~' Youhon et ta
'").tt'm..t\t.):tt!u)u).m)-r'<t.)tttt.t)t~f~t!.U)..j.r.~))t.-h)Us).'<V!)\.i.
~n~nh')uh-)-'r.U));)in..Yf<<-<<t:t/p.<~).)~t.).))-<')f!Uttout
t).tn-u\.h\ttv~!t).t)i'<'i)).h'!)'-t')ank)ih.~ui!!a)t !!)'-)<)-x: pho'Mtiut)'
<)' t~ r.uh~.iit !)i<'d-<-hiHu.f<<ift'f«</<'t)«-A.)<)-!tO).t)-ouv<'))t))art<'u)
)'' \iH.tH'"d')))~'t'atjattff')))«~)'))tt't('-)Kmt(tt')t~)'tm))"!))t<*nt'
<hp)~X'<us<H'(H)at'"tt't.nth''i''j'):t'~it)'H')t)''rtt)ttt)~))f<r);t'<r''n'< a
t«~<it'))M.<<)'.)i)tL'U)-))~tM.?')'t)<t)y.)t"M'.ajUt))ûtt-i<))p)'-)ne)t)nu\
~i)))~tMr~))'S<t~ M)t"a-:)).!tt))))tV.Mf'fttM~rtV«V<t«.t'~rtt
f'.«M.('h)i.),.i~.)<!t.);!t;,)j-r.m.tit. )t:)'r)i.):~)6;'fytt.)!.
.~c'ft''Mt~«vf«.('[).iMS,U<t.'(<Mr~<t<i")t'ph)!ttttai
t~nt)Me!tttr.'hC)f')Ktfi.'it)))))'')~)~-M:tc~Mif.
S))r .s tot-f~. <)Ut-)<)Mrf«i~ ~tcO'iU!.tUt df-U'!iH)". \u< MM)-')")).
).. 4:t. t. '-t. t.t ).'s t.'ïtcs )-it< Ct.SitM~ttt. tt't'ft« M'f!<M, )).24ï, )'"t-
)':rtW'Ht)f'.H<J~M<f<.)).)!T.s<j.
K.)'~tit')t.'ft'OM</t<t'm'fM.)..j!i.).):)i~~j.)~)~u)."tn~')t"t-Hi-
M\)!i. – )hfMt fK M<ttU'Ht't-tM:)H
!:Ut:tAt.K S~
!H
t.t:s<cSLSt)t:C):SVAKtA')'tOXSSA)SOXX)HMt,S
t.
). 11 tùul eu loul nu. rilimiurrla nulïunnlu,.i~lur·
«tMUtf)!t«utcu.<')indttt:t')ant)tiKn<'tM~)<jU4' ~L·la tuai:uu
(h.')a"tt)!H'(u'
a"ti.)u<' <)))'<)« tru)i\<-
< 'tt<t- tttU)~ U.-rKhitU! ~t~Mt/<f') .)/~n.
)'.(!
\'f)\ << ij~tttctot~)t)t''n<r
<)'))iv'r'tut)!-ttatthotuttM'w.
t'/<tft'a<.t~/M'.
M't.t'tttu(!y.t'XV))A!-U)'))hHt''t't.'j)~tt<ht)tt)t'))<~t.<)<-t<ui!)<))Wtr-
.h.)n))-ttiS)h'rie'.t-:t.'tfo~<J.)M<)'.)tH.
M t.'A~tSKsucmLOt.t~CK.tWt.tMa~
). tte.um'.)'Ut)d!~))fL't))i''f<X)')m'utt;))r-<Mit
.'c)t'-ujtjxxi'xM),
~t.fm'
''t. j).UM.)'H.t~)tt.<. <t'')tt.~o' ~p. :t3:<').t'tit«t, f<~x/<t'M).
<««Mjt. )).~ti.
ht j))a~M'.m'('-
J.tt-'))M''n)'))tan)Mett)ct'i~<m.'Mt t'M')t))'.t))c':t)'
hhtit'x'
<int'At~kit.W<'t<)t, ./f«-uA«'«< «<-<
Yuy.)'urt.-r.~< j).t')3.t:))).)t,f~)«- /M. ).. <?.
t. X«< M/M- )).)' .).: .-f.)).)~. t)<
MAt;:<s.– thTM OR Mnttt'Xm.fX.tK
S<)t:).\[.E 9a
1.).<tra<)u''t)''M'f's)
fn usage<)t'j)Uis <)<M
)o))~t<'K)))).'tUM tt")!.<'a)~
Es)o-
)!tu.de la )" Mtrn'w.''f. Mm'd'x't).p. 3<tM),n) M))))))).' on~)~y mvoit-
)'-itnjtor)~ Ht)tuut''asn'ftt' <)ue)m'))))('))tK'nt Kuttttx'tt. Con/«&t~to<M.
'-t. )).4~, H <ms. K. p. 4t. <?tai<'n)<'t'r)uin'-tttt'n)
tm-e~et t'CD'Mt)'!), pru-
)j:(htt'tneNti)Hpor)'!esptrh'~btth'ink't's.L'usa);)! en)t<tc n")''tti~ (Mtt' )t's
ftt)tjWintatt').
Ktttojtcott!' ft pat)' K-'tfitxu<)"ht Ter),'d'*Xaftitt ta ')''h'it
'te Smith.Mac!.0)tt).]')r)*M<)/ /ir<''/)')))'!~ rrx'e. fh- t. p. <? ritttiu'h'-
«
))r''<'t!K''nMnt )'ab~<:nc<'
<tei-
ra'ja'ttes la <i\a)i"n de n-~kimu la ct'tte.
M.Sk'e<M))y jMtrte assez <)'*
im))H~)r''ttt''nt Stx'sho M. AK< 0;
p tu, etc.. pua)'ti&itRnct
proha)))<*<)!t'nt le ~t))t)it'r
i<))pet'<nrah)c. t.&<cuh'
"o-optiu)) estt'eOedes Xoottoh')'*)Atask~:maisi)s!=«nt ))))?tan)!d'indien"
''t. puUt'axtsNivrt- )f gibh'r.vit''t)til intutiuttr tirlisuot prtMiicmcnt un''
««tt'photoRie presf)Uf semblable il celledesCréesoudes 'finn<')f.fCf. W<'))s
& < 26.
K.<)ty.Nt)~. ~ft-< p. 97. p. tt, cf. fj: t'nrter. p. < N')s"n.
p. t!t. n"U!i n'' !H'u)« <ttitteurs p'~ur ait~idire riensurct'tt<' UittU.)
94 ).'A\Kf:.<Uf:tt)LOmt)C)!.tHOt.)!)05
verttautt! pm'HOtueMc
t'frititbtt! uht'HOtuÈMf de svtttbiose
syxtbtose 'H)iubtire
~u) obt));ele trt'f)
groupe:')vivre
a )a (af.'oude son gibier. Cetui ci ? concentre ou se disperse.
'!uivantiessuiso))s. En hiver, les tuorses et surtout les phoques
'assemhtent sur certains points de ta côte. Le phoque. lui
aussi. u besoin de la ~tace tte terre pour pouvoir abriter ses
petits lui aussi Mbesoin d'uu endroit ou h) gtace de terre suit
)ibt'f le plus )onj{tempspussibie atht <)f pouvoir tacitement
vcuit' res{)tt't't'n fMsurfitee et te oofobrf de ces Hudt'dts.t ¡i
fom) doux. ph~cs. ites, eap~, est assez restreint <nemesur de
!~r.<udsesjMCtMde côtes. Ace Mmoeut, c'est donc uoiquemfxt
sur ces point!!fju'H est possible de h' chasser, surtout eu rai-
sonde tt'tttt ou so tt'uuvo h) technique des Rsknnos. Au c'))t-
trair' dfS(}ue i'Mtu devient )ibre. dus (juc les ~'«t~ y :)ppa-
t'aisseut. le phoftuo se (t~p)ace, se disperse, va jouer dans ht
mer, au fond des tiords, au-dessous (tes hdaises abruptes, et
les ehasseurs doivent se disperser pour t'atteindre, disperse
connneit est: car c'est tout a faitexccptit)m)e))ement()u'it se
présente eu troupe. H))même temps, )a pèche d'eau douce. au
samnon et aux divers salmonidés, la chasse au reune et au
doiot' sur les hauts pâturages ou dau!!la toundra des detta':
invitent à ht vie nomade et a Jadissemiuation a ia suite du
gibier. KM été. cette dispersion est tout aussi facile aux
HsMMosquaux tudiens tours voisins, car Hsu'ontpas ators
hesoiu de raquettes pour suivre et poursuivre. Quaut a ):)
pèche t'nrivicre. tittese pratique justement a proximité des
endroits on passe te gibier
HuD'sunt' taudis (tue )'et6 étend d'une manière presque
Hihnitee le <'))au)pouvert a )a chasse et a ta pèche, t'hiver, au
cotttritire. le restreint de ta manière ta plus etroHe Ht c'est
cette idtet'oam'e ()ui exprime te rythme de concentration et de
). Kh)s~. il n'y .t )'.mr.«)L-} 'i)r<)).).d') ;<ttt)""tih.)<-< f''
!)n:))')!))'r .<f'ftr!y.''( !t<)ttdi~m;n! ~))i<-u'- ')i~)~')~'))t ))a<pur ;~U"!
la r)H«'m\ tft)))~~)' .7).
J. )..<()'~ft'i)'t)")))))'h')th;~t rtt ~ttt~' )).H'tif ~))tM~)'i'' :t 'th' ')'.«-
)). jf.u.\t. M".)-.< A' )t. if, HO.'-t. )U'-i).Hi)«)f<, <'<<«;' <tf'/f«M. ),. :<UM
-.) ).x'h'n 'ju~ furto~tt!it- h'-kht~).<<).'t<t))«t<)to )t.u')'«w. h's'jn'-t~
tivtTttt.))hiv'r..t ta ''hti.~t'.tt)<r'-)t)n's'rt. sj~tj~o)),)f. /tt.. ),. ;;<i).
JM, .~t'mtwh.(t.<)/<.tntn'nt'' (n'i~')t)'')f))!t)'j)' jfai'i.jtt''''<) ~(<),'t-
M)';))).< r.hjM"tt)'jM'itsht ))<at)!jU''nt.
:t. ~m).- !:ti'-<< 'h-.t' t.t ')<)'"t)ot'
j)r')Vi-"in-«)!'ttt. ')'-).<t<n)t:M<m' ')'
j'tU)~ '') ')' nui)~ ith-)i~)h;<. r'fh-Mn)'' .ty.tttt)M)))r''tf"))';r.t)t't)ti'"t.-<t)'-)t<
~-))''t-u)d~ t.~vir v~'K-'t-t)''rt .)titttit)<r.i~nrut.'iM~ntittitot <)'ct<-
a\!u)t .t))
")))tm'p')n)M('t'«i<.<tn!<t C)..<)))'
in'<t<))Mt'.t)))t'. t't'jMtiKt <!))))«!«'An'h't-
:.rtt. Ge~
«)n.Xo''<l'/Ireutrny~·yi·
tw:t' rtrn .lrGlir,
~r.tt'~i'. ';)"<)'. ~t't'/))..
rn·.y/r. %.·il.r,·lrr.. ~·II1: n. Vl.
)9uJ.V)t):t).t.
19U_r.
Xih)'./t*M:<'<<t<'M .(. S'tH. !'M):).
MAL-–Kff)'HP)-:U"Kt'H')).tttitK''()t:t-t).t: ?
tV
t.Ë-'KFtW
\ucontt'!))t'<)''t!)b)issftnfHt()'hivt'rvit.))'<nt'!dttsi<tin'.
'):'))& un état d'p<.)ttati')t) )'<'H!{"s''<'n"t't'm'. C'e&t h' ntotm;))!
ot) tps mythes, tes co)t)cs sf tr.t))sn)fttet)t (fmix* ~'ucratiou .'<
t autn'. hf «toittdt'f ''Wtn'nx'nt tx-ccssitc t'H[(pr\'e)tttun pttts
~x tooins sotpmtt'tic de ox~icicas. d''t«'wA'.< Lf ))tt)ittd)t'
t:)bmt nt' se tfvc que par dfs ccretuumes pum~ne~ dt'~
visites i'tto(ttHti(('on)nttt)):)))h'<;fSt)t)t.i)<;haq'jc institut.
des séances imposantes de sh.unattisxx' pubitt' jMmr cuu)H)'f'r
)<"ifi))niues()t)in)''uacc))t)''}:fuut)<'stjtrt()tttpeud.)))t)<'sn)~is
'te «tars <i OMi, ators que les provisiuns ou ont
disparu, ou
pontet) n(!)t)v.)is ''tat et )tuf le ~ihict' <( iostithie'. Un p''ut.
''nsttnnne. se représenter toute t:< vit'de )'i)ivt'r''u))tn)e une
<urte de ioujtuu (etc..MOnc ce que ies vieux auteurs uous
))iU''rt'nt-('th'un'tm(MD')t''m'')t(.)).u'h'n.tmh)'))ittMh).)ft:~t'
t.t.'<t.j)-)-.itt)<'«' .THrth-t.)t.t't..t.'nif!)V!): Hn't.)'J'M'r.
j.<tt(:)nhm!
.;)..t)'))ttMt)t')'Ut')<t))t;b)~~Mihut)'uHt'h'')t~f.t)))~<r-
'.ut .<<)'< UMn'Ms.j)in'"<h-~tU''hta)'~ty<ut.<'('j)!n<)~nL)'i<))\.)!tM'.
~~h)t'tit:")t)'rit:)ieAtt)t<')i")i)iMtt'.t'')-)'m'u)t"tn\'i))'r!i.t)..it7t~
"<)Xt.ttM"HL.)
~SU)')-M<)'S!tH)t)'f'M)<tt)'t.KM't'Y'<t*/f.)~).(!
;tM~-«. )). Cmtt/. Ut.t:t"t 4).t't't!t')tt''tr\m-i'"t')u
"iI'¡"1I .,11,,1.1.. 'l"'oI"lIl;al"II~,u. I,UI .,Ir,' fuil.' ôI\'UIII1'11111""1111'
"M!x)''f't!)"f"t')<))'' .,1 'lU'
-U.-))ht-)-()Ut't't))tiY''r.Xitth.7'f..j'. M. ti0.)'t.«)').nt-tttt't')"'
.t\<'u.t'htY')'t:t.)))')')')"t~'t't))m')'.)).)''t,").))'')iift't't'))tt<t)"t!t)!t.<.
f.)~)M.(.).<).t:t.i't't'~ "'M. t)!t)).<
r;f~<t<f.n.)L;'n':)htrjk(.M/i)'n~.t..)f.)t.xxt\i'i))t'-
Ht)'r')W).M)))''io<')'.)' <)..S)t')j'«)t). Mf~. /)!t: Ah~k.t. ~t~n.
tKis'j.<')<)'
i.!<)'<(!i.~s.)'.)rt.r'fh'M')A<f.)'.tH'.
;.)'<tf).v.).t. j..)M. )'?)).</<<~</<A~Mf..H)). t!)7.
''Ct.)tt)i'<, )~ki«t')!t'))hNU\<t'.)'.<it).tN!thM!iyf<M~"n':
< )tJ.. p. m .«;. ):f. <))t~
un' <)'<tci)ttpMt<<<Ke'-tttx~St'n. Ah'Mtff~ft, p.t!
)-:);)< ~'t')- j'.K;<.t.~M~.m,3e.!<).:rf. r.'htti.jt' d'-K'-M-
h.trt)))«).
·! 7
t:))th).Mt:)'<.–t.)t~t~t~t-<')UN.
1
? t.'t.XXt;H'-u~M.)'K.t9m.)W&
t. Xc!son. t). ~Sj t.(. :mt s.) Mur(to<;h. )). ÏU: thNs. '<
j). tiM.
~)Mtt. )).3M.«). H)tiot,Jfct.~H)t'p. :tM~).<;f. XiiKO~it) i)) t'etrott.
Mf~t/ cf. )'urk.t-(\Vuotff). )). ~9. Wt-))!i et KoH)', A'M. t' ~fc/
)~. ~i. Cf. Murdorh, )<. Mt, et les t.ipjx-udx'Hx'ntsfitit:! t'n tntt'
:t. !<e)son, p. 3!i8 sq.
4. t''<t-tt!t'(Wuo)h).)'. )mjH ;jMutjsMu.h't<:a(f;")H~t));. ~Mw.ot.Wutdt, l,
)<.JtM. (ct's <)eu< vuytt~eUMfont lu ««'-«te urr'-ur "( ))c t'otoptvnn'-nt pa!.
'))) ii !<'a)ji( nm)"kt's). Wassitit'n' in Wmn~'U. S<af. <;)-</<'<<«. p. <<t.
<.) mhott.Ot«'J)-cf<c~fOf)'<te<)).:MO. :193, t-t'.ttt t~tiuft du Xttwt~io in
)'<- ruff. «cju. ~< p. <:M.Wt'tts e) K''))y, tAM. KuU!!nM j)oss)'(to)!s uMcun
t't).~t'i(;M~'))tt'Mtsur lu ))nMM<)<'<' ou t'tthscttce d'' ce rite ft fit )" ttin'n~w.
t'oor les )\?t!!on< contra)'~ jus.ju'an C))Mt<!t)i<-)<t tntot onus sonun'-s tn:t)
'M-fif;m~: voy. pourtant, t't'titot. <;)-a/)</t-
t'~M;, p. );i6, ter '~u .<Hr.
)''<nr f<:s )')ii«)o:i <)tt t-t.nhf, t-f. Uu)t.<.< p. 6M, OC, '-f. p, K<t. n. t..
A. p.iM. <H!. cf.m)(e. p. MU. 186: ));))). /.t/C K'ffA ~f(- t'~«f.,
)). p. t~)). RttK<ti(-n.CaHh-i&MfiotM.etc.. p. 4S. )'<;rh. in ï'Ae /.</<'«/ Ht't-.
<'ft-<. p. 4t s~). (triba de t''M't <:t)))n.-))i)t).p. ~tï tt)f)i'')<)L-<n) )!.);. – )-:)<
~ui t'on'rnc )'- Cruxt-ind ttox'! m' counai'isofM ')N~'des h<ic.s <)<-rit'
f\. )'. H~ctte <)«-<t«K<t)'<nM< ~CK~Mf/teo ~.n/iMMO).)TM, p. Atteh-
)f"-i«<()):. dut ''t)i '?)«) ttuotit))!! jtratitL x. rf. tLtbntdun )-;t'<))tt.U)n.A'~t-
Kt«;M-/<Mn'&f')-&Mc/t, p. H, ~e.'co). f. Cf. )tiH)f, T.tôt):- )e t-not'-
untit' d\riUh)'- A uttott~m ')Ui p'frtf h- ttx'-MK'm'm .{M'un ntut't;
':t<tf. fu)~ p. )tt).:):)t.
tW) ).<<'<t:tiS('r.)))).ft)!t<K.tt'it)'&
habitats humains pour retourner au pays des morts. Ainsi. :<
ce moment, non seulement )f groupe retrouve son unité,
mais voit se refonoer dans un m~tne rite le };t'oupcideat
compost' de toutes les ~eneratious qui se sont succède df
puis les tcntps les plus reçûtes. Les ancêtres myttuques et
historiques aussi bien que récents viennent se'neiet-aux
vivants et tous eomnmuient enscmhte par des t'chan~es ele
cadeaux.
Les fêtes so)sUcie))esd'hiver ont~a même portée. Le rite
<sentie). chez !esRs)<i)))osducentre' et de t'est, consiste ou.
du moins, acotisistt'Méteindre et M)'aHumerx<M«~wtA)t<'H;
)'mtt's)es)ampesde)astation.S)))Ot)sre)nar<{uo)tSfj)up)c
feu était t'crtainenteot t'attuntf a un (<'uunique, produit par
{t'i~t-inM.<Mtvoit ')ttf*«(ma avou': iei une sorte de ctttte du
feu collectif.
\}<mtons entin ()ue ces ditterextes Mtes succotnpa~ttent
toujours et partout de très impot'tants phenotneoes de iieeuce
sexuette. sur tcsquets nous mM'onsil reveuir il propos d«
statut personne) Or te connnunisfne sexuel est une fonne de.
t'otnmuamtt. et peut'&tre tu ptus intime tjui soit. Quaud il
re~ne. il se produit une sorte de fusion des personuajites
indh'idueUes les unes daus tes autres. Nous voilà bien loin
de t état d'individxation et d'isotentent ou vivent, pendant
t'et)*. ies petits groupes familiaux disperses sur d't'tK'rtnes
''tendues de cotes.
)«~t'j..60t.t-t.))().tt.«:t')..ttt.
~A')).(i)t.r./i'.N.),.);f).)ta))t.tita))M<iMt.7<M<A<'&«;.
t).t)Xu)tt))'ito')aiMtnsi<)<'A))r''s~')t)tt''t<t'))<'t)ta)tt~))~'s<.())Hi"
~itnf'<H):t'nu<'))t'im')'oi.m.
!(n)t-x'dt'M«us<f.j).)M.))<'))))''t)).')i'<t)j')M'T)'.
i ttotm. ).)). Cf. )t'ï).)).-U),t-:t:<).<'<-<<<M. )).!)).
XuM'' hn~os it)h)!iiu)) <tt) foythe tt'i t!e<))M.')"))< n<~u.< t'r'<\()p!i pouvoir
~h")m)t)'<<<'<)t)t)''<~att-.t<)M<)<tfh))isa(t')n <Utn')<))"
t(H L'A~M! S()t:)()ht)t})'jPE.
tMt-tt~
).).i.<)..t~i.
J.)').~i(<.
.p.t~.
i Cf.thnkh'-ituf) )).m=s.C<MY«/«H<tuM< <<««<<'€<))«" .~<'<m<.
t.~iiXMi)i< parut;tasi''r ';nh!H)t)<'n).<
t)')t)<"nt ))ret-i6')M!;nt <)'nxphnttti'
h'<rhMrs<'<)ch'r')i<'e)'t't''))Mf's <)')' La')t'i'!)''n'*))('h')))'')')
.!t<)''t'~r)'<')!t!)!~K''Htt)<'s))0))-))))))''<)'t'<)t'"t''t''t''
.t.t'-ntiv.-r.
'<HH-.ttt:tut."t;)~'K.t!Mi-t''Mj
c')tntmi)t'.nfi)ntdott(-t)<)t)s:tt(t't)d)'(':)t'<<(m't'm(hM'n<~df
c''t[t'dou)t)ftm))'pt)utoK"'s<))tt'ttt;ot-cp)us)t)i<t'qu~e!itn-htvit<
j'idiftU(.'oski)tt~')m.'sur t.tvit'tpH~icuseXuusidtous voir.
en ftîct.<[u'i)\ itttntt )-<)))d'hht't-t't un ())-nit(t't'(<cn nx~uc
tonpsqnn)tt't't'in-tiuttd(')'mtsu)'tat))rt'
/)/'«Mt/ –'<'mstt!t\()))-j)!ts:(f;tir<-iciu)tCtjtudt'dt'ht
{:uniH)'th".)')ti)))u<M:)i~))uu.()t()tt-it)tm)trt'r()tte te'; prin-
cipaux tt-aHstte K'tn' ut-~itttisittiou(h'fnf-ititjm' sont fouctinu
dt')!t<tttutttt'Mt'nimis.;)ti')t))))u)-p)it))o~njUt'(ju<'uous:n'(m<
<)t'('t'itt'.
"ns:)it<tU('):)n<.tm-n(-t:t~'{:tt))i)i!)~~t)tn(t('sph)s-:)'tt-s
<))'<)'t')tsdcdt't't'k't'tt'stit'tt-.t)uittttis~'t)tt')ttt'('N)x)<'stth't't-.
)t)t'n)h)'~ 'ittn)t))'-)))f'~rou))t'df))m'sti([m'.
tA'tndt'e)ip)'n)
~tn'f.tth'n<h~h't-~nn~)).~t':t<'p;tttxt!t)t!e:utx.t)()Ut-t:nttntt
P<ti~))U)))!'Ht" 't"t)"JL:!tt)\Orit.(pt):)
r:tit:t))n')))i''t-<m.()u'ijt.xistf'<)t.)txsof-t('i,defit)))il)cs.tuu(-
ou):<p!<t't')ttt''est )-<)))''cti\<n's-.«r)it!tt)ty)<t'<}<«.'M<t)';t:<u!< a
!tpp(')<'<-t!tssi)i(-at't)n-:)'.)t)t)-t-t)U('))t-(-stit)di\-)dm'))e.)':nctt'').
deux <)-:))-(". dx pn-ft)H')-sy.<tt'))K".u))sistt'))t )-:)t)iKU('desccn-
di)nk'.)~))"t))d'</t".td())))tt'Huxpt-ti)s-ti)!t)<)si qu'aux
individus, (-unsitn~u))~ on !tdo;))t-s.<)uisont dune t)i(n't)t<-
tdn!tni~n<'< 't".t-.)-di)'<uxc)tt<)t)).(t<<nc\'t.'ttxctdf-.
'-uusittsdt')!(~-m')'atio~d''s )))' ht-n)~t))t-Jt's))tjt()tsd'«-
<)'V//f's!(p()H<t)K'ntn<)n~'u)<')))p))t!)USt'!)))d-pf')'('t't
:'):)~T.)ftd))))'('<<-())<<) ))~uit)t.'(M d'ad()ptiMt!.n)!)i-.tf'M(-ort'H FI
)'')<)'tt~<('s''tst)'Ht-s.t't:))()))s)''stHtt'ea~d<m-j.;uM<'t'nti<'t).
Ht) )i~tt'o)tMt''r:(tt'.i<-s cousins dfs divers de~rcsue sont
nnf)t')))t'))tfti..ti)~tt<-sd'!tuttvs~)-nu~'sd<'))Ht'<'t)tsctpf)t-t<'nt
'r.)h)i'it.i~“ ,if,)..t~j,
~.)..H~t~.tt.)Ut~h'r..tt.j;j,ti,),).~( );“),,p.j,).i;j~~
H..<Wr.M,<.(.t).~t )<“<. j.),j.).p,)~
).ip!tr)U.ha~.).tt.f.(.i)!<).~).u<t..t.t\r.tt.ii.
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.)("<)..u )').M.ht..)<j(.)..)~j.j.)iYr.'<~t.~)L-))~
p.)r .n!f.:u(.t.. )tin);.V'7'. j.j;t ..)..). 7')j,
.)'4-~<t.))n'')" ),(.)),.“),)j,j~j,j,j,j~~m~
h~usf..))r)t~-rn'u)tw.ttttt't,.i.t..t.d.)..).).t)~)ti.).-<t..t)..t))..<)r).
') in)-.)!)tt.htrn)]..tMtf.t~tit.jr\)..<t.tt.').(Mi.i):)t)i<'t~uru)t[M).
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~.u<<'<).f'MM<t.~MtM'<<<f<,M~f,,t;~<f~ith.)~.t;<))t)rit!.tt.
K<w).-ti);Y"X\'t).\V.t<)ti),)S' ).s.(.U~-MUt~)~)L-.i)t
~nu)~)'t.tt)')'Utt.(:t.t.: ),u).ti.)..tr))~n .).)))-f'M),<), )/<
A7/<o..). p.
M~ –t:Tm)-:)'HUtt)tt')(").'M:tK'<tK:tA).K <~t
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iV"?')).t.<n).(<. )?'
~.?'.n)t~'t!!tt')m'h<.)!n"h~.h. ht~.)jn~it.)t..)-< )<t)t.u)t-
-t)t~<')ttt'hit-.t~<-L'nrM<i~<)tt.))tM-tn))h-r!'t:'))~t'HK<<)m')'!r)<.
t'"in)'')hr)<)<<n~'ai)'tn)nt't<~nt
j'.X))t.«t!ti~t)M))t)t).tti"t<!)'t
.htU.
t~'J t.'AXXHH-=0<;Mt.om),it'R.tW'K'M'S
'L''HU.I, 1..
t'enMnjuabte que le Hen con~u~ai y est d'une extrême fra-
!!iHte.
i) autres traits viennent connnner cette Mbysiouomiede )a
(ami)tp d'été. C'est d'abord Ja puissance retative (tu chef <)e
(ami))e, «/~<'<f,au <!r"n(and'. it a te droit absotu de ('ont)nan-
dement menu' sut' ses tils adnites, et i) parait que les cas de
désobéissance sont ronarquabtenteut rares. t~'estfui quitixe
les déph<een)entset tes parts'. t) it le droit .tt~jtu (ie punir.
m&Mesa ten))He; mais il n'eu abuse pas pot't'eq))' sit a ie
droit de ta répudie)'. eHc. de sonc<)t< a f~fonott tafacntt"
de rabaudonupr
L'or~autsatiou de ta famille paternette est. d urdiunire, H'e
!)u besoin de postérité: et ce c:n-actere ))<-fnauquc pas Mou
plus à lu fatnitte es)<i)M<). Même h) nécessite et) est ici ptus
marquée qu'!)i))eurs. En etïet, J'existencedcvieiiiesgens sans
fnhtuts est hnpossibte. Sa'M fiis adultes toatescouscutaatMit
chasser pour eux, surtout 0) e~ les couptes vieiHis, a (dus
forte raison les vieiitcs veuves, ue trouvext oietne pas à vivre
Cesdernières n'ont pas )))t''u)eta ressource du toaria~u ou d<'
i adoption<}tK'fou n'.t iotcret a pratiquer qu'avec de jt'unes
enfants. Cemême besoin peut, <t'aiiieurs, au tnoiusda))~ cer-
tains cas. prendre uue (onne rengieuse. Lesascendants savent
qu'ils doivent se rcincarner après teur inort dans te corps de
tcurs itomonytnes M.tes derniert nés de ta station; et h'
culte a rendre a teurs .nnes daus )a personne de ce represft)-
taxt, t'st devotu a ieurs ettOuits. Par suite, t'absence d'entants,
tegitunes ou adoptifs. mettrait en question m''me ta vie tte
leurs .nnes
Tout autre est te droit domestique de hiver. Lu petite
t. \')y. j)h)a))Mt.)).8:).
!/('"J"<<'M<M".
J':I4'I,S'Vf
KM' f,'lllsll'alil}/1,)" ,lit.. p.:1' /'t'<<t7f'
''dit.. fi, l'e/'I,I' )). p. a)
(II; Cr.n)i!
Crallz:)I)).
II.
:t. :S M tht~t<t. t;t'u)t{'ttt(<ste <t<'t'<<«'K'')' ');(ts. <or. < ~fM<t7<-
««!/MCtaMf x. j')')~)t:tut.j) K. n. t'atry. p. MU.XNfpot't'-t'tia t'oisKm
n' tv~imM tour:))'te ta :tt:tth)nd'hiv<'rt 'tui d'' )a!onKU<; )nu!)t) d'hiver.
)At)n.<'<-«-<(M<t' p.~O; Wt'.tHK''tt 'W.t.~Uie!r''t t!tuiunm)..S<«<. ~'f/fA..
p. )~!).X on-: n
n"~' t 'ittinfi h"i
')«'' ph)!. am'i''))ii!mt~M).<. )''s «'««tf~uef'~u'~
dovt'nML~
d.O:IIII.:> .L'puiscuu'I'I';¡"'III:ul
,k/,uis c~ftj)~h')u<'<t) ¡J"slyJ. G r.
th-styh'.Cf.XU.II:;t'lI,
<t'):t('n,
f:ki>ilfllel'f'It,
t;fM"/)'<K'<). ¡¡!la.
(l,
p:H s.)..
5iJ..
i;!S. f
{). St). ~'M«Mt.~
K.Cf.surtoutCrany.tH, t. ;:JS.t'M'' '))'<;t' df ta)')''it)thi.<t0fi~m; <teii
Mt!-'tiYcucnAt~ktt,'-n )M).t8S~. ')u))M<' c~ pdr M. r"«)<t, ).. :))))t-(
t~tiv.
t. ttioh.T. r., p.
:i. Ex.))u.)<t'-)t. )<4~0,cf. Simp~mt- tt'f.<<.M )).!M:)'.t<')Y (t~outik),
p.M'Ww<tf.))Po't'-)-. ~<)..</M.o.ji. ).< WcUst') K''t)y.~M.f/A'
~«. 1t.
llicl., l' (..·
)'. t'J.). tvlW anxi·n··
phcuotnt'n'' ')''
~ la la
tit lid.~lil.·
titi~'iit~
n
mctlriuumiulr·
uttrixtooia)~ )'!tm!tït
parait H<<rr·: ')'')~
dt·m
M\Ms.–KTt;M:DKM<')tt'HW()tKSM:tA).H jj) t
).)tit~.?'r..).)t..h.j.t.).j.).
;t<fn!
:f<.t.t<«.)..).').j.),))tt;n)t.t)(t.n,).itt)tit')utt.i<m.
\MrMM~w.(.i).hn'r.tM~-h')'').t')'))'h.)).<ni<tat~f)')..)tM~.j,.tr
~<)ti))''rt'j)'(Mtu't)att")t~"t.tf)~t).n'!ttt-fft)f'L
..t!t-
M<tist't'qun'tahtitt)ueuxt't)cur<'([n'i)<'xistt'c)th't')n<'H)h)<'s
d'uttc tn~nu* stittiot) 'mu vcritabtt' parctttf. c'est Fus-tKC 'te
t'<t)<u~<'dMf('n)n)t's-Otim)Ustc si!tH!))''(t.tU!i~rt'sf)m'
h)utes)esswi''h'spskimt)s.6ps<eha)f~es')!)t)i('u('at)h't't-
''t))re tous tes )tottum'eHoutcs tes fonttx'sdetit statino. <):u)-.
'rt)tinsMt<i)u~)''it)).ut<t<)c<'idpnta)p.trcxctnp)'t')).n)~'
''titit auU'cfuis «'sU'cit~ aux sents<'(mp)''s t)).u'it's. Mais h)
rt'Ktf ta p)us ~))f ('.))(' Mt t)ue tous te. individus )mbH<"< y )'t'e)t
!)''nt pitt't. hot'ttinaireceUepratiquc se rattacheaux (t'~cs co)
t''eti\'cs d'hh'pr': fjttctqttf'fo~cppendattt p!tcen cstttcvpxuc
i<td''pc))(ti)tth',t)f)ht)U)))c)ttat)<))'))<)))d.La.th)t)toit)sdH)t':
~<))<tysf)uin«)tt)t.)sst)bit'i))ttm'ucc<)H'tie))))('.t-f\'ifH
~~KC s)) t'\itint)'g)'.))t'n)e))t.u)t moment <)omtt',)t's)<ttnpL".
~tci!net~ i't de \'Hrit.)b)M o'~iM on) )h'u Xnus sonnnt";
)u:ttt'cn!iei!tK'ssm')t'p(tint(t<'siH'())t's)f<))t(i~'st<'tnn)<'s
')t-tct'tnh)''es qui sont i~t)i)jth'e:tdfst)ot)i)t)Mdftct't)tin~s",
!.)t<n.e')).);0'<i.)i't'(.r.)))~i~)!it)!7.7'p.t).
-)!tt''at)!f):n'<iuttj'<d~t!)t'
.Ur)itM't''t')'t'')!t!n''r)M')~~)))t'
!jHt.)-ut).<f<t(tY/t«.)t..«')tX.h'r)).tt::
.:)-:U!~).<'f')'~M~)'.t)t)t~)'<WtMri'<t,<U!it<!tMidti~L.
'"U..S)Cfdn/.nr)).trt~)u~r.') t~.tt;ttit)t'it~)!j)t!n.t.'
.'t~.t.tm.)!mt'r.n)H~.)M'tt~)h's.)tt.t!))t)~t))i"t)hr.!tti.ti)t<'ti«)nf..
.t'~pt: )n)m-t.<'))!)"t)u)!4d!'i)t' ))). i3L.'t.hu!tr'').tti'!)t')r'
')"it)t)'. )t)m-ttt~<<)\~)i.tn-t).)))tt<.t).()-.<.)\.rn)'Mf<«/«'<'«..r.).
-n:)).)' ))~~)t.*)<-))).t<~t.))!).jM~tti))<. ni tt\'t)p.uf''ni n. <<)!. ~ti'
'").)«'/h.~):h)h<)tt-)'itt'~).-).t)t)! ')h~i)t.tf-.)ni
j~)r'i<)t~ittt<)tr'm<f<))h)<hntihv'jM')'))j.tU«.).Ut'.
<!t'tt!-)tit!i.tn~tut.')t''mrMU')f<t)''<'t't.t))~tttt~h)~ti'!tt~)'').!)tt)f.
!')!.)i.)j;ri)).hi')''<r..t)trit) H".)-, t.).. :t~tth't.)'t~)-
)*)..W~<~t''<[t. J~t)'<i)Hî'"t~Uit.)t)"U\m't.t~t'f.'h'
'h)'tf)''unitu''n'ttt'h')t~:tt~~ttttt~<'tt.A~t'<t'r;.ji.)~t
:)\.)ttH-.))iU)).~)W.n).t. )'ti'nf"<M' !< )'<r!
rf!f;)-.)')'J:.t)~)tu~M('c<'n'ntt!tfh')t.i'if"k(Ki)ti)"'ht.
!)-. J'«.)t.)~.):!t'.Kh)t.c)':< t.. )t.~tn:'t'unt.t.).)t.).t).'
~j'ti<)it))~itttb)(;fst)tt)<t))ad''f~i'~itt~)!.tu'~v,<)n~)M~t.h'it.t)'h'-irtt.-
..mt)'u~nt't't'ut-t'[)t'ih-u))!-at~)u''H) ').tit. )'7:) )..t.ututt)'t'
~'h.tHt:t't')'«M)r'<~t'))t"M)'<-)~.<)i.)))'t)tttn)"t) t.t~d))))<h''
'M "!tttt))UtJ)''ttt''«'<)!('),)..)).').
!.<< int''r')i'-ti<)t)~att\r.tt'("'tt-m')~t't)h-)i-tt)):uit)<)~i')<')~
.)Mt.S!))u)t)).j).n.f.).').)t;t'n)c<-)![)'')!))uu'ti)u-~i.n.
'<!)))~')).«~ /t')~t)t''t~).tta'tt'i"f))~trith'.)'m<)«"
H.t)'KMK)M.–nn"<-it')..)')t-i''t' K
Ht HM.tfU;.
t.'AXSKHsOCtt't.'Mj~n-t:
.r'H.U
saut dans deux <;ns.,mais qui sont des ptus typiques. Dans b~
fêtes masquées du Cumbertand Sound~doutnousavoui! p!<t')e.
iuu des masques repte-eutHnt ta dresse ~ednu accoupte t~
itonunes et les fetmnes sans tenir compte de tenr parente. uni
()uement<<«p<<<<'«< M('t«. Il faut entendre pur ta que hommes
et (emmes tout unis comme étaient unis autrefois iesaucetre~
mythiques dout les sujets actuel portent tes ttomset soat les
rept'ésent:t[)ts\ivattts Le tneme (ait est attesta eu Ataska-, et
semble indi~ueumeurs. Aiusi.a ce munx'nt, toute t'orgatii'.a-
tiou. de ):) fami))et'estreiutf et de ):)ntHisouneedispa)'a!ta\'ec
sun ~rdnmire t'e~t<*mfnt:ttimtdes rapports scxuets tous ces
Kroupe- particutiers vipnnpnt se perdre dans le gt'oupp tota)
()ue tonne ta station et dont t or~attisationmythique, recons-
tituée pom' un tet)))M. etiacc toutes les autre: Pendant mt
instant, peut ou din'. )e c)au, dans tout sou a)MO)'phisme a
:msorbc ta {amitié.
Hn dehors de ces ~'hitMgpsgénéraux qui ont lieu entre tous
tes membres du groupe et qui sont ptutôt des rites sexuels.
i)y en a d'autres, phts ou moins permanents, qui se font entre
particuliers, pour des raisons particutieres Lesuns se pra.
tiquent dans la maison d'hin')", d'autres se contractent avant
ta dispersion de juin eu vue de ta saison d'été cesderniers
sont accompagnes d'un t'ebauge de présents Maisles uns
et les autres semblent bien n'avoir lieu qu'entre gens d'une
même station. Au détroit de Smith' ils sont nombreux pen-
dant tes premières années de mariage et ne peuvent se taire
't.. 'r)ti-t..i~t..)'t:iJ.H.).iT.k.)tittt)n.)uhht.(U
t~U).. ,“).t. ), ,,H.n .)u .j,t .). s.it).. M.t.m.u-
.t.. t., ~t.).
"jf~ t..t.tK.- .)<“ :M. ))~). t. ) 1.
)'. ).'<. )). )~t. < j.. j. t. ;“. ,,““. j~ j~
ti.hk
7-. ?.. b -'s ..n ,“) ~u. ,““.).“ ,“.“, tnutt,,m ·r:ttl.
)).)).t. -h)!.<).L. tt.-)!t)i..M..r: )" M.)ht!.), ),.).. i:!s.
)' 7' j. X.,u- h. t.
).))..)H.N.- r),). j t.(
).iit..ttn )u.iH.)~ .ttttt~.t. )tt.jtirtL..rh..))aii.)..)t.~i)t..<~).)tt.
).)-nt.. ,)t. -.t:h. ,u- [..tt.n.. ~Utj.it-Nt.'nt .ju. r.))'it .j'.i) .h.
!)~ .iM.h..it ,t. t., .n,h.))).))t.<–),.).f.r)..)f)f t.t.n,-
)~U- )..tt(.t .)t)i. hti. )..)tr'i..t)<t~ -))H..m hivr.
i. )ii~ 7'. ),. j'.t p)..<htit ~.n./ .[ )).t).)M.)-.
Xit))~<t. x. )- j.. ;);.
'Mi))<. '<. 7. p. :).) ,t..t).).).)u.'
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')'tttfmtU):.tpou)'<'th)d''j)r')dN)<f)'a!)UM)):um't)''<i'')K'
<~ L\'<XÉKMt:tOt.uf!K.<'W)-<')OS
..I..I. uu 1_ n
compagnons au partage, plutôt que de teur rendre ob)it{atoi-
rement des comptes. AiUeurs'. te propriétaire (tu nihicr. ou
tordre des parts sont déterminés parnn retttementqui
marque une espace de compromis entre tes deux droits en
cunttit par exempte, c'est le harponneur qui a donné te der
nier ou te seul cunp qui a droit a ta tèto (ht phmpte; les .tutrcs
chasseurs viettoent ensuite, puis les parents AiHeurs.au cou
traire, iht'existe aucuae timitation au droit absotude:
«'«w~fsur le butiu. etc.
Ce tjued)''tnout)'eut ces reactious, c'e-it que, surttien d''<
jMMHts, te!;ressembla tf'esque preaeMtentles deux n'imessont
dues n des sortes de survivauee, saus ces repereussious, i'op
position entre iesdeuxsaisottsseraitexeore bief)ptttstrauctx:')'.
et tout se passe cottone si tout ce qu'it y a d'iudh'iduatistc
dans ta ci\'itis:ttiou eshiuto veHait de t'été: tout ce qu'i) y :<
deconxnttuiste.det'ttiver.
Aiais, quoi 'ju it f.uttepenser de t'importauee rotative d)~
ces ditît'rence'; extrêmes et de ces tuttueuces mutuettes. il
reste que te droit Kskiulo. daus sa totatite. correspond a la
double toorptmto~ie sociale Hskitoo. et ne correspond qu'H
ette.
V
CtM):).L-S)0~
)K\\m.(:u)ttt')))t<t)a!<M.)t.N!<.tuu)<'st'nu)~M')t.t~o)~
')t-)<'i)i)s)<h)).
).:t (tj)fn\-tm' t-.<t )t):u<jUct <)a<ts(::u.<tt'tm'«. Jf/'c ~< p. )'
mitt)..r. ï' St). )/an({)tM'Mttttiun<h)w"t"t''<c '<'u)M)ni'i'tt«))!.i<)tw
trH\h(')t:)/u<<)))us))!tut,)'7.t).K).t'nt)<t<)<*un))<'«!iti'><)fH).)!t
i"t)rt~tm''t.
<M t.'AXXËËMCtOt.<WH)t;Ë.
i!)et.t!)0;i
).)).)h))'Mtf~i<i~)w'tttUt<'ttt,.t)<)-.)j. <)''t'i't'ftt'-t.<tn)w.t n
)))\)n'ttt'<)'ut)ry)ttHt'd!'hvie''f)nf('titt'~ui')')itjU<').tH).))'<)tt)M)i~))
tu ';a.)<n~t'i<:t. f. M<f(A*~m~ <<<ttM ~(t (f/i~ott 4'< t.t <f)<t<;x'.Ri))')), ~f
)'t;<).< ))!tm.Ktu.t.)M:<
\'o\. U)tr).))''in'.Mf.~)' '<tMt'«'t~m(-tW..3' t~tiL. )'. ):Ht't ~th.
~V.tMrhhfittt.tMMtf'f'OMf/M/)'<;)''«/)rM/.)tM..iut.
i.)(m-ti)t''tt)).Af.«'t'<<)h'.n.<)M)).t.
MittHSet f)Ut~)t'*)n). ~Mt «M'''/M<«t'.< ~t<'M<t'<
~<«.t'/ft'<< < r/<M«/t-
'«..tMHft'.SocM.. t.V).
Ënrn).))):tM.–At)n'«'i')).. )?;-)!'<?. M
)~) ).A\XXK.<Ut:t'H.)~)'t!.)'t-t9U:t
M. Mu's<
Avec In ruttHhorj~tOt) <h' M H tt'uj'
<'L'
). Lu')it'tioft ~'tta 't't~ctiuMd~ ~))r~m't".<h tmmit xjtj~MctMtttL
puMrla ptu~t!ftU)'tL- )fut)k'.ù M.MaU! M.Heu'hattt.tt(u''m!<'
t't"-))'~)<;(.
)"<<h'ttr- <)))'<)
)'i)it~<)an<= ')n(ft)ir
pourrai!
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DEUXIÈMEPARTIE
ANALYSES
t
t'n)-:Mtf:)u:sEc't'tt)x
SOCtOLOUŒ GÉNÉRALE
). MHTt)Ot)OLOG)H.C<)Xf:Ht'TtO!<
O~KALH
))ELAS()CtOLtW,H-:
)'tKMM.)PmKMt)t,B')t..t.f:.tt.)mT)~))ttS!)<M)AM'
K. LAAÏPHKCHT.–Moderne GescMchtswissenschttft. –
Freiuurg iu Breisgau, Heyfetder. !(?, 131p.
Hecuei) de conférences <aitesen Amérique idées générâtes
exposées parfois un peu sommairement.Ainsi, dans la pre-
mière conférence. t'antenr montre les principides conceptions
sur t'histoire. depuis les âges héroïque:, des ('popf'esjusqu'aux
ttistorieas attemands Mtodcrnes.tt montreque chaque <'oueep-
tioMcorrespond a une forme de la vie sociate.J~ans ta penséee
de t historien se refléterait le sentiment que iOsoo'h' aurait
de sa propre nature. Uneconférence est consacrée a un histo-
rique rapide de ta civilisation :)t)emande. t) autresit de~gen<"
nttitcs sociologiques sur les cpoqnes de transition, sur lu
dvitisatiott. L'auteur insiste sur t'importauce de premier
ordre que les questions <'co)tontiquesont prise dans t'Atte-
ttS11; !XXKt:M)t:ttt).t)t!i~Ut:.<!)"M~'
ttesuu)anttesttt)[nt)reus''stnonu~ritpt)ies))ub)it'espe))dat)t
nu demi-siectf! par Le t'tay et par ses disciptes. M. t)emutin<
'))erc))e une ctasstf! cationet)M;toha)tta)atuistoutes tes (ortnes
')<'ta vie sociate:famitte.(ritvait,groupement politique, ter-
titoria). )t cmit.'tune subordination de ces (onctions sociales.
.'<peu près conmtc Cuvier a t.) SMb'))-din.)tit)n des foactioHi.et
~cs organes des ~trfs vivants.
Il )!tss('mb)e)f"<socicté-;en <tenxgroupes tiistit~ut's p:)t- )e
at.tctct'c suiv:H)t on la cotnmuu.utté teud à pt'hner te p:u-ti-
"uliel'
'))!)Hr ,soeiéti:sÎI flll'lIIationCOnllllUlIIlUlaire"
ou te
socictcst) fu)'t)).)tioucot)t)nut)autiure~,ou Il' pin'tit'utit't'
JJaI'til'ulil!I'
tt'ndu s'.ttft'.tttt'hit'dc ta cottunnuank' <s')t;i<'tt's.( fm't)t<tth)n
ttitt'Ht'tttaristc'.
C'-nedinercoce tiendrait.') t.) n!ttt)n'dt)su)))ittjitt'.eta.c-i
tt".s<)ttrc('s.Les soctctt's <ht prooiet' ~t'tntjteSMsunt (ortnces
~m-un sul f.iciiitMnt )(' s''oup<')neut des individus. celles du
'k'uxiente );roup<'sm- un sot exigeant )em'dis'ntiu.t)iot).
Lessoctetesufortn.ttitXtcommuuautiUt'cpeuvutttt'cK'tn'tt'ois
ttU'mt's n'Uessoutstahies quand ettes viventsur ua sotintraos-
''tt'm.thte. ()ui sf pr~te it )'.u') pastund. et aux vastus~ruupH-
))H.'nt<; de fa)ni))<'sou de tribus (steppes asiatiques. dcscrt<
"t "asis aft'icahtt, c))es sont ittstahtcs ))uat(dctks pratiquent
).) chasse,la peeht' nu ta cueittette, ressoun'es ate.ttoit'es. <)ue
'.t'uts )es jeunes seas peuvent utitcment .tUeindr' < (jui
'titninuct'autorit~patt'iarcate'tcs tuundms, t'Msavanes, les
tot'ets de !'A)nen)tU<'du Sud, le centt'e et te sud de l'Afrique;
')tun ettes sont ébmniees. torsqm' ta culture rend )))us<tif<i.
'ite te maintien de ta comni ))mautet[.uni)i.det"utt'0rie)tt,
) Kttropeoccidonhtte et fHeridionatt'.t'Antt'ri'tUt'du Snd
t)e même. tes sociétés il tormatioMparticutariste se sont
")~aaeht':esd'abord dans les fiords Scandinaves t)u ta péctte
'tiere. et t'etroitesse des terresont des t'ahord dissemin'' ta
i'nnitte etameoc t'mdividu à ne compter une sut-soi:Kttes
se sont de mente ébauchées avec t.t-petite eutture de ta ptaine
s.)xonne, le petit c<nnmerce et la petite industrie des potders
tiamands. Cetteformation, transportée dans l'Europe centt'ate
et dans t'Hurope occidentatt! par les invasions des ~onnaHds
et des Danois, y a étf ebrindee par le contact avec tes torma-
tionseommunaut.dn's préexistantes. Kttes'est au contraire
tibrement d6ve)oppee dans la Crande-Hretague et dans ses
)')~K);.tt:t<)–t<ttr.)t-i.)).M~.t'))).!). In
H6 t.'AXXKt!t)(:tm.O'!t~L'K.ti")t-tft!,
)U-)'Y':))')).<));)')-:SCX"t)'KS
-–t/<t')/~t<<~r«M/'M<'tt<«~<
)'dfMM.))u~(tt:m.)h.cm'tC..i.).):
)V. – KACKS
KTSOf:)K')')-<
t'MM.nmMtT.
SOt:)OLO(;!EHEH(:muSK
t')))LOS(t)'))tt:
«):m:tt.:L'MK.
t:<).'<C);)'TXMS
ti):Nt;M.\U~
t't''M)).th)t);MKtMu-
H. – SYSTHMHSRHUGtHtJX
,a.
tribu, ou d,n. UHgroupe
N.hn4 .1.
de .1-1.
tnbus nnnnnn
encore u nnw nuS
peu près indemnes
de grandes modifications. M. Howitt Il préfère la tàche de
fixer, une fois pour toutes, tout ce que nous savons, et pour-
rous peut-être jamais savoir, sur les tribus du Sud-Est aus-
tralieu. Pareiite tentative était à la lois plus utito et moins
utite que la première du moins pour ta sociologie, pour la
sociologie religieuse et juridique en particulier.
Elle a l'avantage de sauver des documents précieux, de
retirer de l'oubli fatat des taits qui ne subsistent plus que
dans la mémoire de vieux colous ou d indigènes isolés et
sevrésdo teur ancienne vie sociale. HUea encore pour résul-
tat de mieux permettre les généralisations, et de mieux faire
seutir les dinérenees. Elle a comme inconvénient celui de
s'attacher plutôt à des témoignages qu'à des observations
directes: a des répétition!* artiticiettes des rites et des cou-
tumes ptutot qu'a teur fonctionnement uormat (exempte le
grand ~«)'~ que M. ttowitt a provoque chex les Yuin.
p. a t6, sq. a des fragments de phénomènes ptutûtqu'à des sys-
tèmes de faits sociaux. C'est ainsi que certaines tribus !Her-
riait, p. !?. Kmon. p tt)t) sont l'objet ptutot de mentions
que d'observations, et que surcertaines autres tKombaiasberi
par exempte v. n'ferences a t'iudex;. les renseignements plus
que sommaires eussent pu être heureusement complètes par
une meith'ure utitisati'm de ce qui Il fh' pubtie.
~noi qu'i) en soit, la bf's'~nH menée a bien par M. ttowitt
a ftt' très grande, tt a étudie, en somme, toutes les tribus.
plus ou moins mat connues, tocatiseeaet ideutinees qui cou-
vrent. dans t'Austratie Orientate, une aire limitée d'une
part par lit côte, du de tatitude S au t~ de longitude E.
detireenw..tri bu de Port Huc)a,Yer)(t!)Miuins'et d'autre part
par une ti~ne qui. partant de ce :H' de latitude s'abaisserait
suivant te t4~ parattete. jusqu au ~4 puis irait en oblique
rejoindre ia cote de ta Haie d'Austratie a t'ort-Eucta. Ainsi.
u)«.' partie du <Jueenstand. toutes les Xouvettes-(<attesdu
Sud. tout Victoria, toute tAustratieMéridiouatesauf ta par-
tit' t'tudit'e par Spencer et Citten, voila le champ immense
parcouru par M. HowiH-'cf. l'excellente série de cartes p. 44.
ttt.t't ta carte p.).. J.
M. t)urkt)ein) dira plus toin tes ootabies contributions
apportées parce livre ta socioto~ie juridique. ttisous tout
de suite combien manquent et une étude technologiquedéve-
loppée (exception faite concernantlit technique du feu. p. ?'?U'
ANAt.V!!H!i. itfSTKMM Mt.tatBt'X t79
J_ Ytu r v a
difuse littérature ethnographique. Les magiciens les mieux
étudier sont naturettement ceux des Kurnai 'bieu que M. tto-
witt n'en ait pas vu de véritables en tram (i'opérer/, ceux des
Wurunjerri, ceux des Wotjobatuk La repartition des ma);i-
ciens Kurnai est mieux ètnbtie qu'auparavant. Et il y a une
intéressante tentative pour déterminer l'extension de certains
types de rites, ceux de t'entevonent de la graisse humaine en
particulier p :)67.:?)). Sur l'initiation du magicien, tout ce
qui est nouveau confirme ce que nous avons dit ailleurs. La
discussion IIIplus interessaute estcette ou M. Howitt reprend
la question de ia simulation chexte magicien (p. 4t2).
V. Reste nu certain notnttre de faits énoncos au ttasard
sur quelques-uns, nous tenonsàappetert'attentiou.LesystenM:
des interdictioni: alimentaires, se trouve expose tp.T?u) trës
exactement en ce qui concerne les Kurnai et les tribus de
t'extretne Sud-Est. est même temps que les règles du partage
du gibier suivant la parente. JI est parlé d'une remarquable
contrée tabou ~p. ~0~. Sur les classifications primitives, oit
trouvera une assez grande quantité de faits et de circons-
tances uouvettes Le tabiean des totems et sous-totems Wot.
jobaluk, entin complet fp. ) H),est des plus intéressants pour
nous.
VI. La seule vt'ritabte tacune qui soit a regretter dans tes
observations de M. tiowitt touchant la religion, concerne te
totemistne. S'it a MJoutequelques documents décisifs sur les
totems Kurnai, quelques renseignements complémentaires
sur les totems sexuels très répandus dans le Sud-Est austra-
lien. sur les ctassifïcatiotfs des Wakethura, s'it a expose fort
prudeanuent une théorie qui se rapproche plutôt de celle de
Ni. iiaddon que d'aucune autre, il n'en a pas moins grande-
ment ntigUgéun grand nombre de faits. Sans parler de toutes
les tribus dispersées où il n'y a presque rien eu a glaner,
Il. Howit.teut dû pousser plus loin son analyseotïaire pousser
plus loin celle de M. Siebert son collaborateur pour les
croyances Dieri. Les renseignements concernant les céré-
monies du type de t'tntichiuma chez les t)ieri (p. 399. p. 798;
sont plus incomplets que ceux que Cason avait autrefois
puttties. Et quoique lit fameuse légende des .t/Kn/Met de t'ori-
~inedo t'exogamicsoitbien discutée (p. 480, sq.t lit nature de
la mythotogie totetnique. la notion de ht renaissance des
Mura Mura, tout cela reste dans l'ombre. Le groupe des tribus
Dieri, Urabunna, Yaurorha, yantnnvanta est pourtant telle-
AXAU-SKit. – MitTXMtMBB).)NtBt;X <M
Les Atiikuyu sont une societ<'du même type que tes Masai.
AKAMStM. – itïS'r&MM MKUt.HUX Ht
X ANNANt)ALE«H<<H.(:.ROHt~SON –FMCtcaHM&ïay
enaes. tM<A<w~t/. Part. l. Univorsity Press, Liverpoot.
t~onsmans. London. )''OH,tv-tOOp.in 4.–Pa)t. n <a).Univ.
)~r. Liverpobt. Loudou, \ittia<ns and Xorsa'e. ttC p. in 4.
H.–/f<'<<~tWt.fM«<<M<)(~M.
)'.n').th)~ r
.ttt.ttt~~t~tt~t~
du t.t..t.-t.t-, t..
peuple d !st'Mëteu faisant abstraction du connnentoir<'
tf~at de h) loi, ({ui, en somme. a enregistre une bonne part df
la coutume ancienne, uou~ para!t pou scientitittue.
M. tt
Pt). )')-:t''Kf.t':t:.
)ttPt')'s(-.e()t'sn<jt<'sdttMti)p!)rsptne!!OHth'r<'))esnutp!t<<d')n Il
ntittcfitttpret.
Lf seut inconvt'nx'nt que ce cnurt mannet présentera A
) usi~e sera prccis~'nx'ttt son cxtr~ox' 'Mttctc <k'suffit-matiotts
<-tnmne('('tteqne)eefmcop(p)'inHtifdest':ttux.d!)))st!tt'e)i!{i<)t)
h'anioutc.utiutt-ftuidt't'ont bso-
pm'<'(p4S. stjj.o)tt )t'«p:<
)u<ft exposeront les lion sp~'otistHsi~se trMmper. Des
hypothèses sans preuves, uuMncces c<)tn)nc<:p))c suivant
)!<(tneUeh'rite de la construction de t'imtet ht'ahmintitjue
-t't:)itunt'(t<'tt')treh't)t'()ncuHt!duf(;uHr.micn)t't)))tpas
pi.tcedittts un livre destine :< un H''i""tt'"t))ie. Ht c'est, pn)-
haittonent.eutt'atttPjMr M'besoindcfmppert'Gsprittjttf
Uetiry pade souvent de t'Ave~tMcoHUttu<ita)ttexctustve-
xx'ttt mt recueil de priëres 'p Ct. etc ~.cf qu'it sait. mieux
')t)euous.etrei)iexuct. M
C. – /<f<<MK.<
t<Mn'<'f'w<~f'.f
)'M)MM.))K)tT):t:T))')~KttT
LKS SKUTKS
('arM.MAtss
.1 tn an..a.1..
Btano et la aeote du v.Nuage B!ano.
w_
~(~. K<o</),.o~.
.<Rr<<<~t'<'f)<.ttM.n.)t.M6.().
). Gt'tttAt't). Les idëM morales chez tes hétérodoxes tatina
auXHt''aMcte.~t'<-Me~<'«t)Mt'.<<M<))! n t8!i-
/<t'<~MM«M,JMnt.t90X
tOO.
tV.-CULTHS SPECIAUX
t'tt'M.HumiMt
1.
applique la en.v.tNe
lea
sttvanteaubtitite .l.cr
(te sonesprit a v:are.e_.·
tirer d'iuscriptious
obscures et tragmeutnircs des cuactnsions claires jusqu'à
t'~idexce. BorttOHs-noMsa citer tes pages ou Hétablit qup
t itth'oductioMdu cuttede UioM~os eu Attique est antérieure
au syuoeeisme de Titëst'c ~p. H8, culte t'oudu à Dionysos pur
le T''tr:'[Mto de MMratho))), ta nature de ta c6r6tuome des
'~iM tp. 85. Dionystcs ehantpetres, ttiscriptions du dûme
d ieuriu), etc. Mais que de prudence oe faut-ii pas apporter a
i'ixterprctation desbribes de textesavectesqueUesoucoHStruh
t'histoire aneie))Me!it se peut qu'Apottodoro soit le premier
-tuteur qui doutte aux DionysiM d'AHthesterinn le nom d'Au-
ttfstenes: s'ensuit-it que ta tête n'ait été appelée auparavant
qu': Uiouysies tomenurt? Nous tlutis obsUoousàcroire, en
'tt-pit des textes, que les Anthesteries sont une Mte autoch-
tt)o)te, auterieuro a t'itnportation du i)iouysos thrace ou
du Monysos égyptien et absorbée dans Bonculte.
H. H.
CXOYAXCKS
HT t'MADQ)t:S t))Tt-:S)'())'UL.UH)-:S
t'ofM.HotEm
\).-t.AMAUt<:
t'«rM.Httt)!)tT
Ct <<'A~tO!t'<'
~<!t!9M <<'(tt'C/«'0<0<jf«' ;Mt <f0<f f~K-
p)t&<tM
r(«M'(le~OMf. t903, p. !6~.
~r.
te bûcher Ne sommea-nous pus eu _a_
présence d'uu mythe de
seconde formation et le monstre de bambou qu'on hrû!esur
ta p!aee d'UboMn'est-U pas un oiseau convoyeur d&ran)o?
0. tt.
A. ~<*C<t~tK<<'«'<- et <<i/?<M.
<'<'<<(/<t'tU'
h. LMtKh.
LI 1 W'IIt. _1L.a_
Da. Omooohifost u
in V&roaa ~t'tbeAn~des Vtw~:
~<' ~</MAMHd< i90t, p. :)!!(),
M).
H.))ËSt'A)?<< –L'EnnayeroheBÏeaBeni-SNûNa. «<-WM<'a~c<!tHe.
t905. p. Xt.70 ;)titps<)Mgttro)t&
pour t'unnee qui vient. Henuuyette-
ment du fo.ver.'
s
H. t'OMtj~'wet /'<<MBtHHKf~.
t'f~AKOMt'M
C. .VeKfMMMtM
n<«< ~tC~
XOTEUR LA~OMHNKLATURB
B)SSt'MÉNOM~NËS
REHG)H).'X
VANCHNNHP(A.).–T<tboaet Totëmtsme&Ma.da.gascar.
~M~<'~MCr<~)P<'et ~W~W (~<&<f0<t«' de<CO<ft<M /~Kf<
A'<K<<M.
Scieuces rotigieuses, vol. xvtt). – Puris. Leroux.
)H04,3Mp. iu.8".
STANDtNO(H. Jj KTJULLY (F. Les Fady Malgaches.
BM«<< ÏW<M.t~«'<<<<- r~Mdt'Mtf .M~~<Wx'. tHOt. m. 2
Tananarive, imprimerie officielle. p. tOS-HM.
Voici un sujet particulièrement classique dans lu science
''omparuedes rotiëions, et pourtant. avHot M. van <:eunep.
personne n'avait tenté la description comptëte d'un système
de tabous dans une famille do societcs duternnnut'. Les ana-
lyses générâtes avaient succédé aux analyses générâtes, et on
n'avait pas encore considère un ensemble de tabous cononc
formant une institution religieuse dans un ensemble d'autres
institutions sociales.
~on seulement le sujet du livre est heureusement choisi.
mais te terrain même des observations est des plus fertiles.
Les pays malgaches sont tous de tangue et de civilisation
matayo.potynesiennes.et l'ou sait t importance des inter-
dictions rituelles dans cette grande famiite do peuples. Le
recueil des faits a été opère d'uutre part avec assez de soin
par tout un corps d'observateurs, dont quelques-uns. M. Stan-
ding entre autres, sont excellents. Enfin, même là ou les
observations laissent de graves lacunes il était urgent et
intéressant de les signaler pour qu'ettes puissent être rapide-
ment comblées avant que la décomposition exercée par l'in-
nuence européenne ait fait oublier et les pratiques et tour
sens. M. van Gennep signale nombre de ces lacunes ~p. 47.
li. 74. etc); ce n'est pas la moindre qualité de son travail.
Celui-ci, en ce qui concerne le tabou, est essentiellement
une collection de faits. Les /Mt/ sont rangés exclusivement
suivant les objets et ceux-ci sont rangés sous les rubriques
f/ASXÉE MeMMCt~t!)!. )90H90S
~Q.
suivantes: le ~a,normal, n.
te nouveau,~t. v"
t'6tranger(<v); le matade(v):
le mort 'vt', le chef ~'tt;, ctans, castes et classes (vnu, ta vie
sexuelle (<x), tenant et ta famitte ~x), la propriété <xt), le
tieu'xnt. le temps et t'oriantatioa(X)u), tes animaux et les
vegctaux 'x'v-xvn. Um' recherche vraiment eoasciencieusc
{ait. que,dans la littérature actuellement accessible, M. van
Oennep a laisse vraimeut échapper peu de faits. La seule
grave t.teune que nous puissions indiquer eoucerue les nom-
breux tabous des têtes, lesquels. si nous en croyons la defitti-
tiM)(tu jour (t'ri'' t'omnx' jour sacre, méritaient une étude
ptus ftpprufuudie.
t) u'ypas grande objection à faire à ta {açon dont M. van
<!e))a<*j)il ctassé (es tabous. Ces ctassiHeations u'out pas d'int-
por~m'etheorique. Peut ~treotéote tes fneittettressout-ettestes
ptxs sitnptes, cfXtuuecelle dout se sont servis MM. Staodin~
et Jutty tes Andriana. tes hooxoes, te tuariage, les veufs on
tesvem'Ms.t'enfautefnettt et la grossesse, les enfants, ta cir-
concision, tes morts et le tonneau, la maison, le feu et ta
cuissun d<'satiments. Certes rien ue Huns assure après une
enmm'ratiun de ce ~eure <p)enutte omission n'a pu etrecom-
ntise. mais elle il t'avantage de distinguer par exempte ta
circoncision, objet d'interdictions multiples que M. van
Gen)Mpa laissé échapper (voy. seulement p. ~)i. p. )3t).
D'autre part. elle marque que certains fady ont pour objet,
no)) pas des choses, ou des {troupesd'individus, maisdes États
doatu's <)cces individus, ou des circonstances de la vie. et
elle tait ressortir des objets qui comme le feu. ta maison,
les aliments sont entoures de fady plus précis que bien des
t!'rou))M<;onst'ttu''spar M. vau <!e[mep.
Lesseutsctmpitres Hu'criques du travait de M. van Cennep
portent sur te tabou, ta contagion, et la sainteté t'edie-
tion et ta sanction du tabou. Les résultats n'en sont pas très
grands. M van <!ennt'p se rattache plutôt à ta théorie conta-
gioHaistcdu tabou 'cf. n" 7G;,et, avec raison, marque que ta
notion de (ady st; rattache, il Madagascar, à cette de ~t«M
(contagion)et de /M.«~<vertu surnatnrette contagieuse, p. t7j
t'analyse de cette dernière notion est d'aitteurs bien conduite.
nous demonttf ensuite te caractère éminemment obliga-
toire et socia) du tabou et des tabous (p. 26). Sur t'édiction
du tabou il disposait de trop peu de faits, sur la sanction reli-
gieuse ou ma~icorctigieuse il en a analyse trop peu pour arri-
ver Ades résultats autres que de contribuer à éclairer un peu
ASALYSBit. t,B HfTOttL g~g
D.–/<<ft'.<M7!M.).
'M<<')!(<<*
<tC<')'t'«et «MHOtCM.
/h't<«- (/M<f«f<t(«)tM
p0p«f<t«'t' i9t):t,
p.M-82.
.f.t!0t/n- – Deutsche Sogen des i6 Jahfhuaderta. ~<-t'~c/i«'
.h'.<t'<-«'tM.< t'jOt. p. M:i H<.
/'<«'t~)M;f<;tfM<<t-,
s. \)Kt)-;n. – Wottersegen..s<:At<'<t~-<'t)!<tt'.<
.tt-c/ttr /(;- ro/~xo~
t90t, vt'). \tH. (t. 4~-49.
H. – (~<<<<'eK~)'.
)'MM.MAn<
)X. RH)')U-:SHXTAT)OXS
KHtJUtHL'SHS
PMt-MM.n':BEttTt'tMtMs
A – /<<f'.t<tf<~WKx
rf<<~t<'<MM
<<'<'<<'<<
f<</<'p/t~(OM<~«'<!
K<)t«<'<'<<.
d'avoir débute par h' Maisce n'est pas assez (te t'avoir
fait,
pour nous du ntoins. tt faut ent'ore retrouver et les soutimouts
sociaux. et tes structures socialesdonnas faits sont t'cxpt-M.
siot). doutées mythes lie sont que les représentations, dont
'-es rites ne sont que tes ~estM. C'est à cette condition
que
tôt) peut arriver a sentit- non pas si)))())e)nputtes notious
qui
pour Mre jK~mtftircs n'en out pus tnoios queique <;husede
vtoutitit'e. de fortuit. de tibre. mais tes choses, les choses
sociates.
Or nul sujet n'etnit plus (eeuodsurcu point t)uecetui qo'a
partiellement, mais si heurettsement traite M.Dictet'ifh. !).)tv
lui. n~tuesenti. d:)ttsdiverses notes, tesfusouit fidtitit chet'ctter
p.(i).M~.)).~t<'t<t. t.,p.3~,p. tMet)).4,)))e)t)e('ettederuiet'e
n~pf!))t tet-.tppructx'foettt que nottsf.tisons. piusexitctetnout,
pt'fs t«in. p.. effjue t'i.ttfunnatfurdf M. i). lui a fait (.ure
;)ssex)t)a);. C'est eu effet grAcea ta notion de la reineitrnatiott
des tttot-ts <juet'ot) peut comprettdre tuut ce ptexus d idées
et d'' pratique'! et de senti)))Ctitset de choses sociales
qui a
donne oni-sauceit tant de ricttesft'uctiticatious diverses. Mais
''et te notion ne fooctionne pas nonnatetnent à part de toute
or~aniMtiou sociate et ta v<'ritabteexplication consiste à déce.
tero'tte organisation. Ur. si t'on fait attention à un certain
nombre des faits indiques par M. D. toi-tneme, on s'aperçoit
tont de suite de t'iutportance que prennent tes deux faits du
pn'notn et du ctan.
Cen'est pas fn effet un mortquetcotttjue qui se réincarne
not'tnatetnettt dans un naissant queteonque. Cest. dans toute
t'antiquite indo européenne, uu tnembre de Ja tribu, (le la
oatioa. qui vieutse réincat'Mrdaus le nouvenu-néMK~cAfAw~
indigène. Lesatoesd'Ath~uiensdonnaient naissancead'autres
Athéniens Mais cette rf~te de h) réincarnation tribate ne
coïncide qu'avec un système déjà etîace des droits et des id';es.
Elle a dt) n être qu'une survivance, dans les sociétés indo-
t'nropeenttes déjà hors de cette pttase d'organisation, d'une
fortne ttcaucoupptus ancienne dont nous saisissons des traces
ptus nettes aittears. Cependant s'il est vrai. connne t'indique.
après d'antres. M. Oh-ik dans un travai) f}MCM. Dieteric!)n'a
pu utitiser. que les anciens Vittin~s aient cru a une véri-
table réincarnation (ht dernier mort dans le dernier né <<<' /«
/~<~t', dernier))<' qui aurait reçu le prénoo) du mort, il ne
serait pas dcraisonnatde d'espérer que des recherches nou-
velles sur le système des pr~nonts. d'ailleurs hercditatrcs et
AK~YSBS. – H);cx~!H<!<TAtmS-(MKhtt:tK"sR-
t'ifteai des
< philosophes.
nhitosonhes. –– Mais
Mais cette
cette vua
vuo r<'st«
reste )nt«
une einmif
simple
indication et n'interviettt pas dans te corps do ouvrage. L'au-
teur s'y'tuoott'e préoccupé dune part. d'~taMu'que chacuue
des grandes doctrines morales grecques « pour objet t'atïran-
cttissemeut intérieur de t ttonune. et d'autre part d'expliquer
par tes tendances porsounottes des philosophes les formutes
divet-ses qu'ils ont données de teur commun idéa).
t'ourtaut lit question posée pitt- fauteur comportai),un oxa-
toeo sociott~ique. n ue sufttssit pas en effet d')udK)uer hypo-
tfietiquetoeot l'oriftiue de rideid du sage; il f)t))!tHmontrer
quenes causes toot itHposéatous les potseura ~recs. ou plu-
tôt (car cette attirnotion absolue de t'inUcur semble bien
sujette a caution) aux penseurs d'une époque détet'minee.
M. Brochard avait déjà appe!e notre atteutiou sur )'}deMtit6
d'iosph'atiot) ttui existe entre t'épicurisnte, le stoïcisme et !a
nouvette Acadoxie. Cet accord profond entre des doctrines
'joi partent de prineipt-s antaRonistes. entre des hommes de
«'tnpératnexts si divers doit rester un paradoxe pour t'his-
'"rien qui ne s'occupeque de ta tonique dessystèmes ou de la
psycitotuRiedes individus; c'est au contt'aireuu fait normal
''t certaiMementexpiicabte. si i'on en cherche ta raison dans la
structure sociale du temps et les besoius collectifs qu'eite
<it'ter<nim))t.
Ajoutons qu'on retrouvera dans ce livre agréable à lire et
suggestif t'erudition. l'ingéniosité hantic, le don de vie qui
caracteri.sent fauteur de <fr<ff/)Mf/«' /)pMA'f<
H. ttEHTZ.
qu'it y tint et le rôle qu'il y joua. Ceci soit dit pouf ceux qui
seraient tentes de se ptaindre (le ce que te livre (te Ltteius ne
so présente [tas tout a faiLcfMM'nei'ëtudo d'un phénomène
tteuerat dans un exempte particutier, mais ptntot conunc
i'ctude historique de ):) genèse d'un eus sp6eiat. ~ne préoc-
cupation dominante dans œ livre est eu e<!etcet)edo ntontt't'r
ttans le culte dus saints, tel qu'U s'orgauise aux prexuers Hif-
ctes dtt t'hristhtuismc, )!t eontittuutiou du pit~anisMe. Ou
trouve, cela va sans dire. un ct)!)pitre ou tels saint:; StHttcot)-
side)'t'sco))H))ples successeurs directs detc)s(!ieux :s.m))t'
Theda siSt'R'ucic rctnphtœ Att~ne; saint Mnx'triusde Thes-
~aiouiquc. le K:thireumc<'duun'n. sMmtTtteodored'Hmjhaïti).
h'dicuAtt'n: tes saiots guérisseurs, Cosmaset Uatntnons,succè-
dent a tAstdt'pios d'.H):ae; Cyrus et Johanoes. a t'tsis <te
Menuttus. ~«us n'avons pas ta place d'apprécier ici la )t)s-
tes~' de ces associations. Vous avons déjà vu qne tes criti
ques cath'tiiques avaient beau jeu a montrer qu'ettes suut
hypotttétiqnes et reposent su)' des preuves terres. Lf
P. Uetehaye.dans le livre que nous anatysions ptns haut.a pris
a partie tes inpothesestieLncius. Mais, s'il est diHicitedeproa-
ver que le cuite d'un saint Mit remptace direetetuent, inmx'
diaternent celui d'un certain dieu, OHadmet sans ditficuitt'
qn'i) rentptisse ta tneme fonction et qu'i) provoque les tnemes
sentitnents.
t.a tttes'' principale de Luchts est qne le cutte des saints.
dans sa ~nfratite. ett sotti du cntte des morts. L« cutte dc'<
)tt"rts.d!<ns la societt' paicnnedes proniers siècles denot"'
''ré. mmseutement subsistait encore, tnais était eu pleine tt'<
raison A ''ùte des fantittes rendant a teurs morts te cui('-
ancestra). il y avait des associations, deseoHegestunerairt-
propriétaires de monuments sociaux où leurs membresrece-
vaieut après la tnort les devoirs nécessaires, tt va de soi que
tes pren)ierschré)iens partnseaient a cet e~ard les idées de la
société dans )a(}ue)teils vivaient et t'on saitque ta fortnedu ';t)t
teKetn))erairetutunedecenesqM''p'iH'sso);mtio))ehreUenM'
Les catacombes des Chrétiens ressonbient aux catacombes
patennes H))esétaient pourvues th'sattes ou)'o)) se réunissait
pour les (êtes de commentoration. U'aitteurs. t ideedet'inter-
cession des morts pour tes vivants et des vivants pour it'.<
morts était, dans techrii-tianisntt:. le ptincipe dogmatique
d'un cuite funéraire actif et routier. Ceculte comportai dM
prières, des sacrifiées, des onrandes. Le sacrifice était fait ait
ANAt.MtM. – MPRË-iiiNTATtMMKKUMKUSKS MS
H.it)"i~'X'M'de))tf')t''n\hth<'t"):i'Kut)if!t"t!t't't
rJ"sj~.i)t-tf.
t.utfs <tKAy. – Thé dowbte nature of thé ïraaian archaNgets.
.tf~A<t'/<f<h'/<(U«.<"<if.<t<\t'/<'<t')<'t,\)!.n.
))..tH':)/t'XK)t. Der Fetiech des ZeneAmmon. Mt~f/M.
'H)t.t'.M)t,)t.tW-t.
Vt).\ f.AXt)U Bettrage zur Attertumskuade dee Orients.
A't'ttCf/t.<C/t«~ '<M~f/<t'f. y'XttMf": – 'f<ttt7 /]«'
).(-i))xi!K.t't'<'itï'~)'.)t'iSj..it)-)<.
!t. t). ))<n\'<)U)t). -Thégod Asshur.'aad the épie of.. Marduk
aNdTtamat<.<wM<<tt~.<<<uci<?<'?'hc/9.
n't'i,v).).M;t')(':t,x\t.t~.
f4tttV\'
Cittetneutfaux); 3' celui ttitu
~"fttttuï des f\~K~
Ogres /tt.Aft !n.f.t:t~t
(très imparfaitement .iAt!
deti-
mite; 1
On voit de suite le défaut do cette méthode, et aussi ses
qualités. Elle a le mérite do montrer t'extensiou énorme non
sfutemeut do thèmes de mythes, mais de mythes eux m6mes,
<)ontles thèmes sont disposes d'une façon tettement identiques
()ueta moindre faiblesse de méthode peut permettre de croire
ut) empruut. Elle a le défaut de détacher perpetuettement
le mythe de sou milieu, de défigurer les tutagei! qu'elle sec.
tiunue aiusi Qat, )e héros tnetanusieu,)'un des plus (au)itiers
-t M. Frotwnius. n'est pas (ju'un héros sotaire, c'est aussi un
dieu des sociétés secrètes. Htieeutndne à des foules de petites
ioexuctitudesqui déparent une louable tentative, et qu'il serait
)rop loug de rechercher ici. Elle a le défaut eufiu de lie pas
assurer que ta recherche est bieu complète, c'est ainsi ((ue le
thotne de i'iocestc "soteit tune o nomque, et que le mythe du
-')teit et de la terre mère, si fécond, MMuque aussi. Peut-être
viendront t)s avec le second volume.
Les courts paragrapttes sur ta formation du mythe con-
tiennent d'heureuses formules, metangees à bien des imprn-
t'rietÈs.
tt reste à M. Frobeuius d'avoir contribue Hrestaurer en la
~tace qui lui est due le uaturisme très xegti~t:.
M.M.
\nEN8CHE (A.). Die Sagea vom Lebenebaum und
Lebenswftsser. ~~w~K~~Mf/K' j~/tM R)- ~«'«~ /.<u.
~3. Leipzig, Hd. Pfeitïer, )90! t08 p. in-8".
nous attachons,
:)f'hn<m tout conxne M.
t<))tt.'<t«t.tt.. U tt~.titt;
Hewitt(v. :)iud.«~.
.< ~)
f~Ai.r.
Quelques douuées sont iuturessatttes pour ta aocioJogie
juridique. en piu-tit'utier celles qui concernent te conseit des
(cnuues, ta rotation d'ox'fAtr't (parents en tigue utérine) et
).t situation particulière de t'entant prodige et de sou
gardifu
p. ~i, net h h
l'eu de puhtieations douueut plus que ceUe-cibt seMMttiun
'< t'insutfisance des doutt~es .)ctue)tes, tM~nesur les
groupes
<!cpopuhttmns ttusst {anuttët-esà ta science et au
public qttc
t'-suatioosdt's tt'Ottuois.Ëitesdouaeut aussi ta sensation de
mstabititt' de biou des ~cuoratisations (oudees sur des
"bservations dt'cidonetit trop s()t)tMt:urcs.Mais queUe suite
)): Ut'gtigences scieutHIques supposecette date tardive où t'<m
.cueitte. dans des tribus decon~Msecs, tes {rugtnents.Uicrfs
''f. tM. p. ;~0) de toute mM extraordinaire mythotogie!
M. M.
m't't<t'))t'dp-!At'tH)'<t)t<)~)M<<t)K'tm;s,')'"n'()'jKtfcn(''<.[t Il
t'otx'tnt :t t cxittf'nft' ))'M)tt'ou'ts')'* i'~<'n<t<"=
[)tt'h)'t)'))iqMt's).
A MUSHt.t.t. – Il mUo de@U ArgotMmti NoHa peasta gMoa
prima d ApoUonio Rodio. /<" t<f'f ~t~K);'< '<«/fw, )w:i.)'. :'i':t-
H~.()<f''m'it<t<<t)t-)tt)tt'nt-.)
1
T~M~~w~~J~M~tM~~n~~M~~j ~[n;.
t:d(')<t<~n.t'i<;th~.t'U)'')~.tn.)n~h.t)xirt-r<'<.
)t. (:!t.\hAT)AKX. Die iranischeHeidensagebeiden Arme
niern X''tf<tft~ )hv t'(.vcto.<« )'.tM..<AH<tf~.
ftUt. )'. ~tO-jOf ~K'i-
:M:
J.\AxXA.\«U. --LodasoheTek8<enenVei'halon,<«.t-t~.<tA,.)..
/(/)-«;/C« <<)/</C'.('ff't.'<)<<')t ~o/tf't<tMt)(/f )f)tt .(')/'«)<<t/t <«.;)<
tmtt,t'Kei).\t.t't'tt;)rt.u)tc..)))(-rti'))t'tt-t.'tttc.t .te
)t)yUte~.)'.H)ts<j.
D'H'MA~X. – Modem araMe tales. )..t<~<.<. ).<'i.~n.
th'iU.ttK'))-
<:0).UX)HK!(. Orientatisohe Bautegenden ';<uh)< h"'t.
L\p.~)tt~.
J. W. t.))tX.-Speohnem8ofSomaUTates.L"rc-.H)t<t. ).<(<
:<~t:~-ontci! ))tv).ki'tm"<moraux. <:onU":<<\mittm)t\. t.c-.rontcs -ttt
<;))ttt't'.t't)'MSt*nt<'t)t()M)!tt;)))M;
t.tt't'KttT. Haussa-Marohon. tit-ca )!.))-) .<< )h~<'<7'«t.;<
<t: .ScH«xf<r.</)«' <)t«'<t<««M'~<:
Sp)o'<)ct) :M HcWttt.vu)' ;)))n'e
n)' portie. <t~'t/.f<MM';At'
Sf«~<cM.
<<«~ff<t'.f~.Ht))~)K.t-ih.)''t'tHtUinttt)<)«.t)
p')))t.<9Mt.~t5ptn~t'nt)t.)t.t.t,tt.),
U. \tt-\t)t BosniecheVotksmaroheN. ~t<t t'
'/t;V<<)'<A' ))n)!.fn-').')t
tjtfi)t!r.)'tt:)!-t:t~t,. j~
\'iUt))m't'r)<t).<.jH;tt~«;),,)s,.t,<
t:. )t.\SSt-:t. Un recueil des uoatos de t'Anstratasio /<<
<«(<««.x.<«f.tit.-<.hM:)..)tt ')"'u-ti'J.th-.jt.)))e)-.F.);M,.
C~M~
Hindoust'ttr~\tt)*)))n)!m.
« J..)<)\):s. Stories from Leitrim and Cavan.
)..)<).h<'s.
tu"
in-~ttt-t(-n.)t)t't))))))nth<f).:<tt)fti)t).t(.t)ut('stt<'t't'
K tt):)1S':ttt:).. -DieTaNnhausersage ~)fc/
/fft- /t.<-
~'fA<t«ft«ttM.<)!C/.tc&<L <m~t~)t<.«;~t<t-.M(Mf. n' <(nH''f.X't)"~<t
t't.t''i:):t-t'.ti7.
\t. ))))')');. ZweiBrestauer
Sagen..tM/x,s,t.
<t.btA'~7/.t;'t'M.<«K'h't)t,[t.)j-tt'
H. –
/?'<«'.<.
il y m'ait des fois contre t'~t; des moyens (te réprimer tes
infractions aux rituels étahtis, profanations de sauetUHires,
r''véttttiotM dp mystères. A Athènes, ta tôt de Mopoithes tes
''tendit aux nouveaux détits d'impiété. Htto atteignit « qui.
conque ne croit pas aux dieux ou donne un enseignement sur
tt'scttosescétestesx. On menaçaitainsi t'euseignement dumé-
.tnismo cosmique. AuaxMgorofut traduit eu justice et exile.
)')us tard, ce fut Soo'ate. Contre Socrate on invoquait égate-
txeut les fois relatives u l'introduction clundestine de cultes
~raugers. M. Decharme nous montre que iesprm'es de cette
'.ttc~orie se tnuitipiierent aiors. Le (ait est signincatifetit
''))t valu !:) peine d'y insister, car il signate une autre face
')(' l'inquiétude religieuse de cette époque. Au seepUeisme
~'t autibertinngc des uns répondait le mysticisme des .tutres.
tvides d'émotions reti~ieuses nouveites.
Il est à croire que la répression violente de t'impiftc, <(uiue
Nousest guère connuequ'a Athènes, mais qui dut se produire
paiement partout, consolida )a religion onicieiie. Les philo-
st'phes, Platon, Aristote et lit plupart de leurs disciples, dou-
'rent, des gages & t'orthodoxie. Cependant, Aristote fut, lui
~ossi. inquiète Chez Ptaton et chezAristote, dont M. Decharme
minutieusement analysé t'muvre à ce point de vue, on re-
trouve, mais Mvecl'appareil d'une philosophie bien armée, les
divers courants de pensée que nous avons distingues déjà:
.'ppréeiation de !a vraisemblance et de la moralité des mythés,
"mrdination hiérarcttique des pouvoirs divins. dénniUon de
idéetranscendante d'une divinité, unique ou saus nombre.
~"minant le panthéon officiel. Mais, eu no de compte, tesspé
utationssur ladivinité parfaite restent plutôt métaphysiques
~e!tes ne deviennent théotogiques. Les Épicuriens, plus nets
mais s'imposant les mêmes précautions, construisent libre-
~ent leur physique et leur métaphysique, en conservant les
'tieux dans un Otympe tranquitte. sans communication avec le
monde, et en ne leur laissant de leurs antiques fonctions
')"e des stnfCMt-cshonoréfs.
Les Stoïciens suivent, avec une égale netteté, l'autre pcn-
hautde la philosophie du )V siècle. Ils font la synthèse de la
nnthotogie et de la philosophie. Os sauvt'nt les mythes par
t exégèseet y trouvent l'expression concrète de leurs idées
abstraites. C'est d'ailleurs t'age de t'exégèse. Hxégëteségale-
'oent se font les sceptiques. Lexégése évttéméristf fait pen-
dant a l'exégèse :tttégori<)uedes Stoïcienset a t'exégèse numé-
MS t.'AXXKHSOKtftt.tH.tt~'K.tWt.tMO;.
.i. 1).I.n.h. 1. _·
rique des Pythagoriciens. La phitosoptne stoïcienne est beau.
coup plus près de t!tretij;ion que (te h) motophysiquede Ptaton
et d'Aristote. Ktte fait vëritabtetneut (onction de
phitosophh'
dogmatique. EUeest inspir'-e pat' deprofondes préoccupations
de pieté. Htte répond « un besoin pratique de croyance rôti
pieuse. mais de croyauae dont t'ohjef soit susceptible de s'ex-
primer en propositions rationnettes La ptdtosopttie de Plu-
tarque est uuimt'e du tuôme esprit et repond au tnOne objet
que ta ptutosopttie atoïcientte.
t'otH'quoiM. Decttarnte s'est-it arrête il Phttarquf L'Ufott'
<t'Atex!)t)(triRlui aurait tnoxtré t ampiiOcatioucontinue du
tnente phénotnéMe.La )netap!)ysiques'y croiseavec tes diverses
titeoto~iesdes sectes p~ypto-ttetteniques. hertuetiques. guos-
fiques. tuaK'ques. qui pt't~arercnt lit transitiou des retif;ions
aucieuues au cttristianistne. et, par son entremise, t'héritagc de
Ptaton est passe dans la theotoRie chretieune. M. t~ecttarme.
s'il avait vécu. nous aurait-il répondu que l'histoire de rÉcote
d'Alexandrie n'appartient pas a cette de la critique des tradi-
tions relieuses che:!tesGrt'c: et que sa pttitosophieretigieust-
sutimente a d'autres sources? Qu'a ceta ne tienne! Depuis
t'taton, il nous parlait de temps :<autre, des dieux sidéraux
et de leur importance croissante. Cesdieux astres ne sont
pas
des créations de philosophes. Leur apparition dans lit
philo-
sophie signate t'etabtissement eu Urècede t'astrotogio etd<'
ta retigion astrologique, qui avait ses racines en Chatdeee)
qui ne cessa de se développer dans le monde hellénistique et
i;reco-tatin jusqu'au moment ou prévalut le christianisme.
Quand tesphitusophes partent de dieux-astres, ils grelient leur
pttitosoptne sur un tronc de représentations reti~ieuses exis-
tant dans lit masse de ta société. Mais M. Decharme était un
historien de la titteratut-e. Qui disait histoire de la tittera
turc disait, jusqu'à présent, histoire des auteurs plutôt que
des idées. M. Uecharme nous adonne fidèlement l'histoire des
auteurs.Mais il risque denous tromper sur la nature des repre-
sentittions qu'on y trouve. A lire ce qu'il nous dit des démons
dans)')u):)rque. on ne se douterait pas de la ptacequ'itsoccu
pent dans la littérature magique contemporaine, ni surtout.
hienquit reconnaisse t'antiquitede cette croyance, qu'elle
appartient aux couches primitives de la religion, a peine
recouvertes par la mythologie poétique, mais remises fi nu
par les superstitions et le mysticisme récents.
H H.
AX.U.MKit. –' MHt'BH'.tMT.m'tM Kt!).)':tm'-H< ~Ui~
F–<~)'«'.<<fr<T<.
X -U~St)CU:'r);s)U:U'i)t:USt:s.).t-:URM')K.\U:
t:Tt.t~ftORCAXtSATf()X
t'.u)tM.)'t:i''f:t.tt:):(-'nn)t;t!r
M.<)uht)tt''tudi('.da))stare)igiund'tst':)i').c('qtt'itapppt)t'
t("o~/<w'f7t~<. c'est-à-dire des individus revêtus d'un
t'.tractêrereti~ieoxspt'ciat.exceptiouuct.t/itnpf'rtaneede
c''s personuatites resutte pour tui ff uu ('et'tai)i uontbt'e de
principes qu'i) t'uonct' pn cotttmpnçiiut. Tout'' retiginn nittt
't «ne\'is)<m, de quctque t'\<np)nentt'otn'ret. d'une premit'rf
't'))(;outrect)trfuuin\'isih!t'etuupmdi\'idu:ttitt')n))n:u)m'
)"'ta.M Otthn'eondut a iitopcpssitt'd'étudié)'ta )'e!it;ion,
tmtt datts )ps on'Htps. qui ne sp retrouvent pas dans toute'!
h's t't'ti};io[)' non dans les rites, dont ta plupart sunt des
j'roduits de ta civitisation, mais dans tes personnalités qui.
!tt)dt'but. servirent d'intenm'diaire''entre tes êtres iM\isihte-
''t t'humanite Ces persounatites. ce sont te'! ~<'«'ct7<t<'«
!)sse divisent en deux catégories entre tesquettes tes prêtre!-
prenaient une position intennediaire. t.it première cotHprcnd
<):n)s ta rétinien dt; t'Aocien Testatncnt, ceux que .tattveh
s est.consacres a iui-tnente. les )~<«<< la seconde ceux qm
"nt été ou se sont consa);r''s a Jahvet). tes /{<</«'«.
Les voyants sont tes veritahtes tontateurs de ta retigion.
"'))X qui assurent aussi sa <'onservation. Les ptus anciens
s')))) t'es favoris de la divinité dont te peuptf a sarde tesou-
n't)ir,un.\brahan!,ut)Motse.unÈtic,un Htis<'e.tts<tH<
reocontre Jatn'et) dans des circonstances dcternnnées its t'ont
\)) sons une (orme précise, its se sont entretenus avec lui. Ce
«'a) des hommes, et pourtant ils possèdent un pouvoir sur-
humain. Autour de ces tM'ros.tes récits miraeuteux segron
("'nt~its deviennentdes êtres exceptionnels,des incarnations
'tt". torces spirituette" et invisibles, des repn'sentants de
-dtVGhsur ta terre.
Leurs vrais successeurs sont tes prophètes Kux aussi ont
'tutscieuce d une vocati<tn spéciale, d'un l'apport particotier
'lui tes unit a t)ieu mais ce rapport est transporte du domaine
naturel et magique dans le domaine moral.
<tt f t-'AXXKK !t<)MKt.U)!h)CE. t''0t-t''tt''
.1 .1.. A. .I!H
i.roupe qu H uppette tes « Hetigieux 01 certainesdiatiuctious.
Les uus sont tes restes do groupes anciens &rites ptus aus
tëreSt d'autres sotit des personnes tous:mrces par suite de
nenx: d'autres. des serviteurs du sanctuaire d'ordre secoa-
(taire, desesclaves dune espèce speciate; d'autres enfio, des
ittdividus aMormaux.
ftt. nE F.
U. tt.
te~HM<MA&eM~aft(<e (H~Mc/tfc&fc<<tC&o-
t<«'Zeit<<efKt'et<Mw~e
tCU5,tv-t96p. tn-8".
Ï" sMo). Manchon,Kt)-chhenn,
MA(e<-tiM<f)'«,
0. S. B. AMOTT. – EnerUah moaaatie Ufe. Londres.Methoen,
i90t.
n. BO~ET-MAL'XY.Les prëourseura de la Réforme et de la
Uberté de oonacieNoedans les pays latins du Xïï au XV"aia-
cle. Ilaris, Ftsehbacher,i9t)4,vm-268p. m.8".
W. M.MAt.hUCK. Free Thought imthe Ohurch ofNm~land.
~Me<M'M(A dM. 1904,p. 905-024.
Cc<t<M~,
D.L. f!AUSC)t. -DaaReohtatnatitut der PapatwaM. &MC /<M<o
)'M-&<!MOttMc~eStxdtc,Wien,Manz,4905,m.ti"(tendancieux).
TROISIÈMESEC'ftON
SOCIOLOGIE JURIDIQUE
règlesn)ofa<e.!
(~«</c<<<'< e<~'«~Ht~MM
ceHM'f~~m
<~Mleurgenèse.)
Avec nous,
ntMta avec M
HMOf M. tMttt'-Hfttttt \t HHunt «~H.. nA*.nn
Levy-Bruht.M. Hayet admet lit nécea.
sité de bien séparer, dans toute spéculation relative aux
choses morales, la science et les appllealious pratiques qu'on
en peut faire. Lui aussi, il estime que « le rôle de la science
dans le domaine morat. consiste &étudier la réatito morale,
c'est-à-dire les faits moraux et leurs lois. Les sentiments, les
idées, tes -coutumes, les mcuurs doivent être considères
comme des choses et étudies comme telles (p. 4.S~.Ce prin-
cipe uue fois accepté, il semble que, si t'en veut rester consé.
(juent avec soi-même, il taille necessairetneut considérer
comme des choses, comme des reutités fondées et normales,
doscroyoncesou des pratiques morutes que l'ou observe de
tout temps dans toute espèce de sociétés. Car si t'uuiversaUte
n'est pas le signe de ta uormatite. ou trouver cosigne? Si un
fait qui se retrouve partout n'est pas uu fait objectif, qu'est-
ce qui mérite d'être appelé de ce nom? L'auteur ne parait
pourtant pus avoir aperçu que c'était là uu corottaireimme.
diat de son postulat fondamental.
Lu morato se présente partout a l'observateur comme un
code de devoirs. Qu'en faut-il conclure, sinon que la tnorate
est essentiellement un code do ce genre, que t idéede devoir
en exprime la caractéristique fondamentate Et tout te rote
de la science des mœurs doit être d'expliquer cette notion, en
faisant voir comment elle est fondée dans lit réalité. Au lieu
da procéder ainsi, notreauteur, au contraire, admet que cette
idée du devoir est une sorte de fantasmagorie sans base objec-
tive. tt n'y voit pas uu objet do recherche scientifique. L'art
seul a ou à s'en occuper, non pour la développer, ta préciser, la
rectifier, mais pour la dissiper, comme une sorte de cauche-
mar qui obsède et angoisse, depuis des siècles, l'humanité.
Et il faut dissiper également toutes les idées qui sont soli-
daires de cette-ta, comme l'idée de responsabilité, comme le
principe d'après tequet c'est l'intention seule qui a une véri-
table valeur morale. La seule raison qui soitdonnée pour jus-
tifier cette attitude, c'est que les arts qui correspondent aux
sciences physiques, art de t'ingénieur, du médecin, etc.,
apportent '< des machines et, en abondance, des engins, des
produits, mais non l'idée que c'est un devoir d'employer
ces machines et ces produits – non t'idéo qu'il y a mérite à
s'eu servir ou démérite â les dédaigner o tp. 353(!).
Sans doute, il est certain que Fart de l'ingénieur ou de
l'agriculteur ne traite de rien qui ressemble à des devoirs
?0 t/AMtHt! ~et.tWS
M)M(M.MM~.
__r_ c'est
mais qu'aussiles phénomènesde la mécaniqueou dola
chimieorganique.dont traitent les sciencescorrespondantes,
ne contiennentrien qui ressembleà une obligationmorale.
Maisde ce que les faite physiquesexcluenttoute idée de
devoir,pourquoienseruit-itainsides faits moraux?Qu'est-ce
qui nous autoriseà construireune portionde la réalitésur le
modèleexactde l'autre, sans nous préoccuperdesdifférences
toujours possibleset m&moa pt'Mt'tprobablesentre des
règnesdiiïéreuts? Supposezque les phénomènesde la vie
morale soient esseutiellementdes devoirs, et l'art moral,
commela sciencedes nxeurs,aura à traiter dedevoirs; l'une
pour tes expliquer,l'autre pour se préoccuperde ce qu'ils
doiventêtre. C'estdoncsaosaucundroit, noussembie-tit. que
l'auteur proclame lé néant d'une idée d'une telle universa.
lité. Et eu vérité, qu'est-cedouequi t'empêchede considérer
les obligationsqui s'imposentà nouscommedes taits, aussi
définiset aussi réels que les faits de ia nature matérieite?
C'estun fait que nousnous sentons,que noussommesobli-
gés, et obligés de telleset telles façons.H n'est rien de plus
contraireà l'esprit scientifiqueque de nier un fait.
Pour dissiper des malentendusqui, à notre grande sur-
prise, se sont produits, il nous a paru nécessairede nous
expliquernettementsur ce point.Ajoutonsque,dansle reste
de l'ouvrage,l'auteurfait preuve d'un sens juste de ce qu'ii
y a de concret et de complexedhus la réalité morale, II
montre bien l'insuffisancedes formulestrès générâtesdans
lesquellesse complaisenttes moralistes.
E.D.
E. D.
H. SYSTÈMESJUR!OtQUESHT MORAUX
Par MM.RMtiHEtX.
F~t;COXXt!T
<TRtCHAM
KOHLEU(JosR)' – Zum ReeMe der Tahinmk /eMxd<t.
xvn, S" H., p. 3&t-3M.
Mt~~tcA. /<ec&(!to.,
DesCt<MOo& 7*p.r<publiés par Boas en î89Sfdans tes &<~<<M
du Bureau d'ethnologie de Washington) Knhier
dégage tes
faits qui peuvent intéresser te droitcomparé.
Noussignalerons
certains usages relatifs à la couvado et qui sont de nature à
AJtAMMh!. S)fMËMt!<
~tMMHit)t4et MOMAUX 3ït
éclairercette institution.ttyy manifestement un tienmxgiqM
qui unit le père à t'entant et en vertu duquel tout ce que fait
le premier retentit sympathiquemetitsur le second. Ainsi,
quand le père est àlachasse, l'enfantdoit s'abstenirde faire
du bruit ou de s'approcherde t'eau autrement, it
risque de
tomberou de se Noyer. – A noterégalementun rite curieux
d'expiationauquel est soumisle meurtrierqui atué quelqu'un
de sa famille. On lui noircit lit figureavec du charbon,de
manièreà le rendre méconnaissable;on lui recouvreles
membresd'écorcede cèdre pendant cinqjours il'ne doit ni
boire, ni se reposer. Ce temps écoulé,on lui lave le visage,et
l'écorcede cèdreest remplacéepar de la peau dechèvre pen-
dant trente jours encore, il se contente d'une alimentation
très restreinte et ne mangeque debout.Mornequandl'expia-
tion est accomplie,il reste d'un mauvais contactet M évite
sa présence. D.
maires
fYY4livnn ft~I: A &
comprend A sou tour un certain nombre de dans
r
des r<'ptv.<tttttnts
<)fs.jtMtrc<-)ansso trouvent,fairepartie<runf-aM.les
tMctnttrt's
thMth'ut j)rt;««uM !i«t)tt-oHsidffes cummeforotantan t~utet
sont'M~i~th~ftiti- ut)ht;u)e t Ut~nm Mom )ks be~ntuxMagesa))t{)ettes
mt'mbtM.)..<.tcnit.h'rnit'M..)<' t.'ur< sf'ntréunisfgahxtteMt sousune
tnftM0)t))e))tHi~n )tc~).t'!iH<tUt;
noiM). Cufait t.-ndt-itit
à fuift)e roire
ces t)M.ttre
ctttnssotttd)Mve:{XtrM);t)n:nt)tU«a. <tno
t)e tt'-ojtgroupeoMats
a<tr.th-)tt
pfi)t)ttU!i..jui .'te h-~v)-ai:!
ctan! t.ritttnin:sde h thbu; e'.Mt-n.dift-
<)ucies Mu!nttUfiiioMt etudh' à t'otisinu.en (t.-txuhMtfica. sur )o
modetH)<!)tt)i''n.
ASALTSKS.– xYSTËMMit
tCMOWM ET MQMAUX 333
ur De
y habiter. Iln nlun
plus, nhn..un K..o.a.m_
chaqueguerrier a sa maîtresse. m_
C'estuue
jeune tttte qui M'estpas encorecirconcise.Commeune gros-
sesse avant Ja circoncisionest considéréecommeunechose
honteuse,ces jeunescouplesout recoursà des proeëdesartin.
t'iets pour rendre leur unionstérite(p. 83, M.i).
Cetteorganisationmititairese trouvedoueen contradiction
avecla première.puisqu'etteobligeJeunesgens et jeunesNttes
à quitter leur famille a un momentdonné. et pendant une
longuepériodede temps,pourvivreensembted'une vietoute
spéciale. Et comme cette organisationest prépondérante,
parceque lesMasaiviventdansun état de guerre à peuprès
chronique,le tien domestiqueest naturellementassezfaible.
Nonseulementpendantlitpériodemilitaire, maismêmeaupa-
ravant,un enfantpeut, avecsa mère,quitter te toit paternelet
s'établir ailleurs (p. 38). A un moment quelconque, tout
membrede la famillepeut s'enretireret se laire recevoirdans
une autre familledu mêmeclan, ou il acquiert ses lettresde
)t:)tura!isationen amenant aveclui quelques tètes de bétait
votéesà sonpère.– Henestde mémeduiiencottjugat.Le fait
mêmeque la mèresuit sonitts au kraal militaireou quand il
s'établiten dehors de la maisonpaternelle,impliqueque la
femmequitte facilementson mari. D'autre part, la jalousie
conjugaleest un sentimentà peu près inconnu « la femme
est à la dispositionde tout hommequi appartientà la mémo
t tassed'âgeque son mari et qui la désire (p. 118)a.
Toutcommele droit domestique,et peut-êtreun plushaut
degré, le droitde propriétéest dans un grand état d'indéter-
mination(p. M4,cf. 19Set 28-30).Les prairies d'un district
sontà tousles habitantsd'unemanière indistincte. Lebétait
appartientau chefde la famille;maisil semblebien que ses
droits soient assez indéunis.On nous dit que le fils vote les
bestiauxde son père et sansque.pourtant, le volsoit réprimé
ip. 28;. it est inutile d'ajouterque,dans de pareillescondi-
tions, le droit contractuelest égatementdes plus rudimen-
(:ures.Au contraire, t'échangede présents est une pratique
très développée (p.206).tt y a mêmeun curieux usaged'après
lequelon donne à un parent des noms différents suivantle
présentqu'on en a reçu; ces présents consistenten têtes de
bétail (p. 42).
En résumé,ce qui caractérisela consciencejuridique de ce
peuple,c'estson extrêmeindécision.Qu'ils'agissedela famille,
dola propriétéou du contrat,tes prescriptionsont quelque
~M t.'At:!(hssO<t'M.(MK)t!E.t''tH.<')<K)
--II.. _t.
domestique. c'est que pelle-ci est réduite à une souche. De
otOnc, a tu page 46, on nous dit que, lors du mariage, la
(iancceest achetée et que, par cet achat, elle sort de sa famille
nataie pour entrer tout entière dans celle de son mari; à ta
pittte t98. au contraire, nous apprenons que ta veuve, quand
(')tt' n'a pas de )i)s. revient, après la mort do son mari. dans
sa famille originaire. C'est donc qu'elle n'était pas devenue
pMrtiointégrautedeta famittedeson mari. Et, en euet, des faits
mêmes rapportes par fauteur H résulte que. chez les Masai
<'<))))me chez nombre d'autres peuples, ce qui est acheté par le
tianeé, ce n'est pas la personne de sa femme, mais tes enfants
a naitre du mariage car ses droits sur ces entants varient sui-
vnnt que le prix d'achat a été réellement et totalement versé,
mt non(voy. p. 40). – Nousnourriotts retever un certain ttotn-
t't~ d obscurités ou de contradictions du mOne genre qui prou-
\t'nt combiea une cutture sociotogiqueest indispensable aux
''xpiorateurs pour qu'its voioutbien les faits qu'ils ont sous
ft-syeux. E. 0.
sur cette
sur Cette thèse, )'it)m')nin<t/tf)n!.t~t,).)!
th~sa
l'ingéniosité do la démonstration ne sutura!)
pas à rendre intéressante. A nos yeux, cette conception du
« droit comparé c'est t'exptication socioto~iqoe des anit
tories juridiques qui importe et non ta reconstruction
conje<;
turale des canaux par où quelques expressions ont
pu bistori
quement passer d'un texte dans un autre, a supposer
qu'il y
ait emprunt. Mais t'analyse du Code et ta
comparaison insti-
tuée entre les documents babylonien, hébreux et rom:)incott.
duisent M. Mutter a des résultats dout ii) vateor
subsiste,
quelle que soit celle de lu thèse eUe-nteme ainsi ses obser'
vatious sur la disposition syst6mati(tue des tuattÈres dans ic
Code f p. t0.t3, p. p. où l'on voit des dispositions
relatives à une société plus avancée intercalées entre des di-!
positions relatives à MMétat soeiat intérieur ~p: s!~ sq.) snr
t'importance de ta répartition de ta population en ctasscs
supérieures et inférieures (p. H, p. p. ~t: sur la respo.
sabitit~ du propriétaire du fait des animaux (p.
t9-at): sto-
ta compositionau doubleet au quintuple'p. Ht). Nous nous
proposons, comme uous l'avons dit t'au dernier, de rêve
uir ptus ton~uemem sur les travaux dont te Code
d'Hammou
rabi a déjà été t'ubjet. p. j.'
institution
ilbints en
sa wnl.r_a. _i.
retrouve, au moins danscoqu'etto a d'essentiel,
.'Itome et en Chine, ello doit dépendre do
quetqnesconditions
sociales communes aux deux peuples, et
qu'il est possible de
déterminer pin' voie de comparaison.
Mois tes autres rapproettements que
risque M. Farjonet
uous paraissent bien ptus hasardeux. Entre te
régime deti) cité
en Grèce et en ttatie et l'organisation des villes
chinoises. ta
distance nous paraît ff'ande. Nous en dirons autant des com-
paraisons que fuit t'auteurentre le culte chinois et celui de la
Grèce ou des peuples hébreux et
assyro.baby)oniens. Sans
doute. H y a desressembtances maiscttes n'ont rieude carac-
téristique it n'est guère de religion qui ne les présente (com-
munion. eonsect'utiou au moyen du sang de la
victime,
onrandea. Hbationa, etc.). ~aiitetn-s, môme pour ee
qui
regarde h fatnittc, des difïerences seraient à si~uater et elles
ne seraient, sans doute, pas moins instructives
que les aua-
togies coustatees. II en est une que nous croyons entrevoir. A
Honte, le pouvoir du pèrede famittea undoubto
aspect. D'une
part, it le tient do sa f~mitte elle-même. qui lui confie le soin
do lu représenter au dehors de l'autre, il le tient do
t'Ëtat
dont itest, souscertains rapports, te representanta l'intérieur
marne de la tnaison. C'est un père, et c'est nu
magistrat.
L'institution est privée par un côté.
publique par l'autre. H
semble bien qu'en Chine le premier aspect soit seul
marque.
Le père n'a pas do caractère public. Toute
t'organisatioo de
t'Htat s'est développée par-dessus l'organisation
domestique,
mais sans la pénetreret se t'assimiler.
Un des chapitres les plus intéressants du livre est celui où
l'auteur entreprend de déterminer l'influence du
langage
employé par les Chinois sur leur mentatité. Il y a là d'inté-
ressantes remarques, tt est certain que le système
idcogra.
pirique doit rendre l'esprit refractaire à t analyseet a la pré-
cision. Des intelligences formées à cette école doivent donc
se faire de lu réalité une représentation
indécise, Hottante,
nébuleuse; et ne serait-ce pas cette inconsistance qui expti.
quorait la médiocre véracité des ChinotsPPouraimer lit vérité,
il faut sentir nettement que les choses ont des formes
arrêtées,
sont d'une façon et non d'une autre; et, pour cela, il faut
penser nettement.
L. WENGEH. –Romischeund&nM&e
ReohtsgescMohte.
– Grax, Lensehner et Lubcnsky, t~5, 3) p. in.8".
isolées du
isolées du reste
festedtt du monde
monde tt!))')tt<)i<n<<)h)f)
par la dift!cutt6 il(tes transports,
s'associaient ainsi. Le Donexan constituait une (te ces com
munnutés générâtes; au xvn" siècle, tes vattwsd'Aspe. d'Os-
sau et de Harctous, « prétendaient avoir été autrefois des
républiques M, c est-adire des syndicats de villages. Mansta
Catalogue, tu vattée de «ibes fournit un exemple de ces agrt'
gats de paroisses et Atart t'a justement eo~parce a )a vnttt'e
d'Andorre. Dans le \'oisi)t:tKede t'Attdorre, lu vatteedo Caro).
!a vallée d Osst'JKpreseutaieut une or;p)uisatiou analogue ).
(p. ~8;. Le syndicat andorran comprend six pitroi.sses,dont
trois (Andorre, Ordino et )a Massane) se divisent en sections
ou f'w~.ontreiesqueUes les divisions sont parfois très vives.
Lecum't, tàoùit existe, a un cunseil subordonne au conseil
de paroisse et dout aucun texte ne fixe ia contpositiot). Au-
dessus du conseil de paroisse, auquel revient le choix(ics(-on
suis, est le conseil genem), denon)nte autrefois ~K.w/< f/<-
ï'<-n-<' ou CoMWtt <<Mt'«)~t-</MM~'f, composé de quatre conseil-
iers par paroisse, distincts des cotiseillersde paroisse.
Dans les vatiees. la séparation des pouvoirs est inconnue.
Les couseits exercent des ttttributions religieuses et servent
d'intermédiaires fiscaux entre les particuliers et )e seigneur
éveque d'Urgei. Ils exercent aussi des attributions judiciaires
et frnppent directement de sanctions pénates les infractions
a leurs décisions. Entro les prétentions des autorités locales
et les titres des cosei~neurs, les conflits sont incessants, et ii
eu résulte un état qui ressemble fort à l'anarchie.
Le passage nortnat de lit coutume à la toi n'a donc pu s'ef-
fectuer. Lit coutume andorranne est conxne « un dialecte de
la coutume catataue Le droit supplétoire est d'abord le droit
canonique, puis le droit romain.
Le droit des personnes est ordonné en vue de la prospérité
de la famille, qui a conserve toute sa force. Le régime (tes
biens se distingue par l'imporlaace desexpedients« imagines
pour permettre aux chefs de maison de conjurer un embarras
momentané sans entamer ta fortune familiale. Un autre
eftet de ta persistancede ta coutumearchaïque dans l'Andorre
est l'importance qu'y conserve la propriété collective. Elle y
prend toutes les formes, mainmorte religieuse, propriété com-
munale, droits d'usage sur tes propriétés particulières, mo
nopoles. Comme on peut le présumer, le droit de l'indi-
vidu est à peine soupçonné et aussi peu garanti que possible.
<R.
AXAMME' GMANtSATttMfSOCtALE 3tS
Ht.-ORCAStSATtOSSUMtAt.K
)'<()'MM.
))t't<)tHMt:t)t*mwM)t<!
A.–Api!f<<!M<'<!<0<'tH<f!.
.~aul.1- v v
1_
titution de la noblesse, sa pensée <'st ptus incertaine. H))o
peut, dit-il, avoir pour origine la possession héréditaire de
terres, ou avoir été une conséquence du servies royal (p. 4(~t
et il montre ailleurs (p. 376)
que ces deux expiations lie
sont pas incompatiblest'uneavec l'autre, tes terres étant géné-
ralement attribuées par le roi à ses serviteurs.
R. !)
B. – OryctrtiscrtionfOmHtMFMt~
une nOUVPHe
Une nouvelle toi
loi d~ftinn
déctaro «un
que, s! tae pnmmomnn
si les communes nnne consentent
pas :< teur réunion, ou ne pourra y procéder que par voie
législative, et, d'autre part, que los communes qui.s'opposent
à leur fusion, ou revendiquent leur division, no sout pas
capables de supporter leurs charges les demandes de sub-
venlious se multiplient. H faut du temps pour
qu'on s'aper-
çoive des inconvénients d'une telle pratique. Mes !880, des
tendances plus rationnettes paraissent prévaloir. On sent le
besoin d'uu règlement nouveau facititant tareuniondes
petites
communes, et atténuant !es motifs locaux qui poussent à
réctamer'ta division. La toi actuelle s'inspire de ces idées, en
s'euurcant surtout de conserver aux communes réunies, au
sein de la commune nouvelle, une part d indépendance. et
par là de désarmer leurs déttances. L'auteur reproduit en
annexe (p. t07-~ la liste des communes Aconstituer, telle
qu'elle fut dressée en )849, par des fonctionnaires dont.tes
idées, longtemps abandonnées, sont de nouveauen faveur
elle indique, avec la surface des communes, le nombre des
maisons et des habitants, et aide mieux
comprendre les
parties du livre où les conditions particulières du développe-
ment des communes sont étudiées dans chacun des cercles,
avec une grande précision.
Cet ouvrage étudie un fait social important, savoir tecon-
Ilit qui s'établit entre l'attachement des communes à leur
indépendance territoriale, et l'obligation de s'acquitter do
leurs devoirs nouveaux envers t'Ètat cas
particulier de
l'opposition entre le pouvoir central et tes autorités locales.
tt indique en même temps les rapports
qui apparaissent
entre la situation géographique ou
économiquedes communes
et leur extension possible dans l'espace (les
petites tocMtités
des régions de montagne, même éloignées, tirant
profit de
leur union; les communes riches refusant de s'unir à de
plus
pauvres les grands propriétaires fonciers trouvant avan-
tage, tantôt à se rattacher aux communes, tantôt, surtout
lorsqu'ils défrichent, et pour se réserver leur liberté d'action,
& s'en distinguer). L'auteur cherche plutôt à éclairer la
pra-
tique administrative qu'u faire de la science mais le simple
exposé des faits, t'analyse des projets et des fois, est l'occa-
sion de poser des problèmes d'une réette généralité.
M. H.
tV.-OHGA~)SAT)OX)'Oh)'t'tQUK
t'arMM.HomTt<)'t)K)t)t)iT))uMtt)!)<t.
V. – OHGAX!SÀTfOX
nOMEST)QUH
)'!H')).))~t)iMEtM.
A. – La /«?<«<
différents; Pt.
diCfi'mtts; et, <'nttf!)<'nx'tma«t
confunMcment .ntt. a notre ),) 1
tor)niuoto!;ie usuelle,
nous continucruus, metne dons t'exposé qui vu suivre. a
appe.
terpbratt-ie ce quo M. ttuwitt appette dasse.et. ctasse ou,
plus spéciaiement. ctasse matrimottiaicce qu'i) appette sous-
ctasse; nous disons classe tnatrimuuiate. parce que ce groupa
ne manifeste sou existence que dans ta maniéro duut ii Mtïecte
lu higtemcHtutiou des ))):tr!.tges.Quant au mot de pttr:)t<'io.il
a cetuvaut:i(;cdc meth'e eu nvidcucHte cat'actcrc faotitiut des
rdaUousqu: mussent tes Metttbt-esde chacuuHdes deux dh'i-
siuus fuuda<ncnt)tlt!!ide la tribu, tttversoueut. uous nous t-afu-
sous ù udmuttM ta distittetion du c):)))et do ta horde,
qm ue
peul donuer ))aissauKequ'a des cuufusious. Coufom'Ctueu).à
rus~e, nous uppeiterous clan le groupe tutoniquc, sauta dis.
tiM~ur entre un ctau utérin et uu ctun cunsauguin suivaut te
Mtodcde fttiatiou qui y est pratique. D'uu autre côte, il est
bieu vrai que le ctau tautùt cuxstituc eu U)HUM
toups Mue
divisiou g~rMpttique dcfmic et se confond, par
consequeut,
avecte groupe toca), tantôt eu est indfpeudaut. Maiss'it parait
certaiu que la titiatiou en ti{;uepatentettc facilite lu cuufusiuu,
U n'y a pout-titnt à ceia aucune nccessite (voyez )o cas des
Yuia, p. t: On n'est dom: pas funde à rattacher aussi ctroi-
temcut te cat'actere tocat ou uoa-tocat du ctan au systëtue
de descendance. Ou conçoit tneme très biet) un ctau uteriu
({uiserait eu même tonps un ~pc tocat il suffirait pour
cela que lu femme continuât a vivre auprès de ses
pareuts.
Ces reserves faites, abordons t'analyse du livre. Xou
pas
qu'it puisse être question de te résume)' il est pour cela trop
touffu. Muis nous voudrions du moins dégager t)t tes faits
nouveaux qu'Hcouticut etteseonctusiousgenet'aies qu'il nous
sentbte suggérer.
Tout d'abord, ce qui nous parintt-essottir des détails
qui
nous sont donnes sur t'org.tnisatiou ten-itoriate do ces socié-
tés, c'est sa très grande indeterntiuation. Sous t'iunueuce de
nus idées tnoderues, on serait tenté de ta concevoir comme
constituée à sa base par un district ~eograpbique fondanten-
tat et bien défini, qui, réuni a d'autres districts du marne
Seurc, formerait une circonscrintiou territoriate plus eteodue,
jusqu'à ce (ju'on atteigne ta société politique daus sou ensem-
ble. Et c'est bien ainsi que t'entend l'auteur quand it définit
la tribu une réunion dégroupes locaux, c'est-à-dire suivantaa
terminoto~ic, dcctans ou débordes. Matheureusement. il est
très malaisé, sinon impossible de définir avec quelque
pt-ëci-
AKAt~K~. – <~t;A!ttAAT)(W tM~KATt~R 369
tf'<)<'<c<'mhucfmt'rmotU!Mt'.
Iluut
~mU~t la t;H'1I1f' .14.' r
h "f"M~ p·rï, C.'3"l'Url.
mal < Am.tdM~m.tnnMnh). "c"«~i)M!);<m.hMi).
'F.
Arrr x cl~se5 matriatonialas 't'-w')MtMM.-)M")-aMmK;tmtmm.
Att-("t~M..t.,matnMt')))i!t)~Ar)tt)ttdt)\oht'.
f'mt'fM't~Mdc
).j.M<)-t.t.h.~ArN-.)..<. t.,t.hw<-f.'miuiwW..ti.,)M).t<-)t
~M ..) m.r- .~t..Ftt.Mt.u~m.. ,ti.n. ~wt~Mt.'<<ffMt!.M!.
St)Mj.)tt-!t)ri."
nichMM .natrimoMiatt.)<t.u.hu..< m<tt.n'ine
Httnmi)
~.L..n.t.t.).t))..<t)).itp<.ur)ai)[..at:tMj)ht~'a[)).ti.)t)<tf))~))<i))i)M<
s.(aws )t-st d..sG..urn<):t<-)t.nMrt
mais-t)..),sn'in-onssut-mUfon;<mi-
MUonf)ue')'< t-enieiRnan~nts eontnt.iictoit-M.
Aat<tnt
c e<t.cetk .).-.:e~derniers,pout-~treun pouebrfUtMf na'.monp<-nt .)u)t..r.
et .-avotu<t.<t.~<itu-
tirtn.
AXALMKt.– n)M:AM!.AmM<
UOMËSTUtt'K 3M
). Ue~t vrai ~ae chez les Mt'ri Irept-re hti-)tK''tm'.t't. non pus sententen) ta
Ht~r<<'stc')))sit)<!«iMt))))ttm!)v)tH)t'!)nu)!t" ')M h'~ooftmtsde sitCH'
~r.s'))t'nttt.).)n~tt't)'it')an)~<t)''('t.t!;su)))it))itn~)tia)('.t'-(.)nt()'ano
~)tt'<'[)ht.~ti'M)ii<t'f'tteti\t''nf')t)nnan''n<)0) doive .<Ut'))r<'n<h'M
chez tes
i. ou i enf-mt hfrite sottvcnt <ttHute<n 'tu iiox jM'tn CMo~Mt):tctMps <)Uu
'ittt~~fttt)titt<!)ttf~p.)6T.~i).
t.'AX!!ÉESOCtOLOOtQCK.
t'JOt-taO!:
fnflmtaiemn
totémisme nlema
dans mnn
une lnihn
tribu laustraHenne ou dans rldes peuplades
anatogues Atanifestenteut. on peut vivre tun~tempa dans une
société sans rien voir qui roppetteie totémisme «tors que,
pourtant, i! ycstpraUqu6.
Siguatous eufiu Un chapitre intéressant M'rt'organisation
gouveruetnentaie, sur les <;h<'fsde (;tau ou de groupes iocxux,
sur les chefs de la tribu, les cuacites tribaux dont te rote est
beaucoup plus importont qu'un ne t'a souvent dit. Ettun uu
paraë;r:)phe traite du droit penat (p. 3j6 35t).
E. D.
etsociale
OOUTTÉ(EDHoxD).–L'organtsation
domestique
chez les H&h'&. Contribution à la sociologie maro-
caine. Extrait des ~M<'<~KMtMt<.<
<'o~oMMM.ff<~oc«H«*H~
Kt)c!t)fHt:)t!.–Amx!eMc!o)..ii'0<.t')M. M
37~ L'AtSÉB socmK"!t<!U< Wt-t'JOS
pt<Mtf~pW ~<'CUM!)'~
</<'/)/Mf /)f<n~<.«'ff <f COtM<7<'
~K
.t/«<w,n"t,p.t-!«.
XACHARLK im ~r.
(T.i– Zur r..r~v.
indtschen ~~s~sa.L~
Wittweaverbren*
nung – ~ff~fA~ ~f.<t~<«.< /'(()' t'of~&MH~c, )U04, xn,
t.. t:)0. 3()2.~t3, HM.-407;t90o, xv, p. 74-90.
HAHTSCtt.– BheMehea
tt:ltt'l'SCIi. Eheüohes QCittterrealitim
ttterreoht tm Erzharzogtam
~rsher:eogtum CEtter-
LTate~r-
– LeijMig,
rotoh~ hn XV)"Jttht-ttMndt'ct. Voit undC".
Ut'rMHft(ttx)ttKn:n). – Ueber die Auffassuag von der Ehe und
die Dnrohfohruog der Viotweiberet tn Manater wàhroad der
Tauferherrschaft. –MuMtet',Cuppomth,t9U4,Mp. iu-& (AUri-
huelu pmtift'te de
httet<tjJl'ltlÍlllI1!
detu chl!z
IUl'olygnmil!
jtutygfunie les11IlIllluplisies
che!!tes u 1'111:11011
Ii
noxbuptistes t'aettonper-
pl!r-
sonneth'de Jean de Leyde. Atais,en ~niite, le milieu favorisait
t'e!fe)'c!!ceae<! scxuctk.)
C. La MMM<<f
M.TMe«e.
KMAL'SS[t-'tt.-S.).–Amthropophyteia.Ja/t~M~~M<'fM/Mo<-MfMcte
~MettM~M
Brl~e6ungen :uudfoMt;/(MM(it<M
«<)<<
Forschungcn:ur clcr0~'
<<<'fge-
:«)'EK<H'K:/f<:<<(ttj)Sj)McAt<:ft<e
BuUriclcclungsgrxchichte
sci4lechilichoit
1. Bil. SÜcC$l(/II';sc/,e
,rLeip-
OeutscheVertogs
<'c/</M/<</(e/<e<t
i:ij;, .Mnt'o/.AhtieugescHsctttttt,
7. ?/. MfMawKcAt' in-8".(Celivre, qui
~u~K~'Wtt/t'ntMsett.
tfOt,
n'Mtpaiftoisdans te':omtnercc.est des plustmportant~.) J
ST)MS<~(t).-A.). Thé évolution of chasUty. B<M.Mo-tt,jan-
vier <90t,p. 80-<f8.
Mt'f.LEM(J.). – Das sexuelle Leben der chrittMchenKottur-
~oUter. – Letpiiig,Th.(.rieben.
j. )'Mr<xc))t))tK.
it n'Ciit 'lue la ttMMeipation
<s)'))-
)<u~ d'une)'et'MeB)««<:tpt
nuv.tiHt!~a H~mM''ha~hi~tt.
AXAt~i! – t.E HM')tT R't'C.
CCXTHACT~L, MT
seule, une certitude. Ces textes sont trop rares, trop mutités.
C'est l'histoire cotnparath'e du droit qui devra désormais nonx
fournir tes orientations néccss.tires, et nous aide)' a pon-
prendre les tétnotgni~es directs que nous possédons. Mai<il
faudraquecetteétudc soit entreprise scientifiquement; ett'on
commence seutemeut à réunir tes etcmeutsdu travaitafaire'.
P. H.
il. t'<'4f'
<. Yoy.Sw))"")a.Be)M~<:M)''y)-«'c/tMcA<'M/<ec/t~<fe/tM<<
&hc/<)'.</<-<'
~teft<MC/t'«: .<C/t'~(/A-<)<'C/t/«:/M/'<. ~u"!
t'«f)'~H~-N<<«M~,
~t</t.,xxn, iMj, p. tUO-Nt.
A:tAt.ï=HM. – m MMtT COXTttACTt'E' KTC. ~t~
V))t.L):)))«)t'rt't'~AL r.
)'<u)t.)'MKT.
A.– 7'/«W«'<y<'M~)~</<<~<'<MC.
(~.– f<'ofM<<«'e
~M«(c.
SCH<J)%THNSACK fA – Der Str~f~rozess der Ca-roUna
– Leipzig. Engelmann, t')m. )hS h) 8".
p.
L'auteur eoNstxteque ht procédure de la t'on.~K~o M<M«-
H«<MC«ro~)« a été beaucoup moius étudiée que son droit
penat, bien qu'eue y tienne une ptaee beaucoup ptusconsidc
t'itbte. Il expose ici cette procédure. Dans lit manière dont il
en groupe systetnatiquement les ftOneots, on peut lui
repro
citer d accorder trop d'importance aux retations toniques de
ces eh'ments entre eux et avec des principes étrangers, sous
leur formeabstraite.à i'œuvre juridique quit étudie: son Hvn'
n'y gagne pas en clarté.
L'organisation des tribunaux criminels (p. )~-3t n'est pas
profondément transformée par taCaroiina: celle-ci ne pouvait
supprimer les tribuuaux traditionnels formés d'hommes peu
compétents ef) matière juridique. Mais elle tour impose de
recourir dans tous les cas douteux à de véritables juristes et
de leur abandonner la décision de là te rôteconsidérabte des
Af*).MK4. –LKMMMT~KA'. Mi
</MtV'j~~~tftWt~m'.t
ft<M</<- (~M.jrH/px
~MtX/ftW.t./««.!
~tff
/"«<'<
««t<t<'a<ft<<.
t. LHMKCTK~KHM~-t' )M.:s)'<S')'tTt"i'h~sP()HT)Qt;HS
t'itt;M.nH.)Hm:tM.
Il. FfW:-nft:<:Ot:Mt::<T
))Et;tXSTtTUTtOXS
t)OM):STtQUKS
HTMATRtMnXtALES
)'nrH.fh«K)<):t)t
– Die Stiefv&terf!fnnMte aaeheUchen
SPANN (OTUHAM).
Urspfumgs. Zugtetch eine Stadie zur Méthodologie
der UneheUchkeits-Stattattk. /f~w/u. -vocta/M' 1904,
p.53a-S74.
Au lieu de s'en teniraux chittres f;tohaux que donnent d'or-
dinaire les stutistiques sur la natalité ou sur ta mortalité i!!e-
4M t9M.<9<tï
L'AXXËSjiOCMLOUH~K.
H) -).ACKO))~At.n't:HXt.f:'<):)tA).
t'«fMM.)ht.)'t<t:r t))~mt:tt
t'ETt':HSH~H
(E.t–UnterauchaagenaberdteKrimiaaiit&t
in der Provtnz Saoheen. Ein tteitra~ xur Landcshunde
auf statistiseher tiruudtase. 'Recherches sur ta crintittatitt'
dans lit t'rovince de Saxf). ~M t<f't'«-Af.t'(«j.~<'<~<'Ac/i'
;«
/~)~).\n-.–StttK};at't.FM'<)it)!)n(tHt)ke.t!W.xt))-t!)<!p.
itt-
4M t.'A'<<B SO<:tOLO(!!Ot))!.
f)0~9e5
Mitx'ttr«)t"<'h!'<tK!.
pon~uitK. t).:))9~.Mt.)')i.t)t<tt'))T.'i.M79.<!<e'i.MiS.
HiHfun'tdcMiMtttt
pwoMM. ).M!)t.u'J7t.O<'t.0)3).Mi) M K<;
')«,Mt MO
V. – )-'C)?tCTtONXKM):X't'
Or SYST)~)HHHt'MHSStF
t'at'M.ti.MtcmK)'
KRAUSS(K.). –DerK&mpf~e~endieVerbrechensarsa
chen. – Paderborn, Schœuit~. t!M~,p. 48'? in-8'
SOC!OLU(JtE ~COKOMtQUE
). -TM'Arr)!s.-t;'t'unt:St!HHALËS
t'mM.F.StXt~ft)
1. T/tt<'):<)(tf<tOH
«/'HMtttt'tt t. V.p. H5.
H«r<tttttt'C<OCM<K~<«',
tM L'AttS~K <Mt-<905
~OCMt.O(:[<)CR.
nous paraissent valoir de ta<on positive et avoir chance de
conslituerà eties sentes une science économique satisfatsaxte
mais &titre de suggestions, et dumoinspourteur valeur nega*
tive. elles sont pro<H.ti)toset méritent d'être remarquées.
Le présent ouvrage comprend trois parties une de consi-
dératious méthodologiques générâtes (intitutée t« <m/tf/tWe
f'f'M«oM«'~/t<~M<'). une présenhmt à titre d exempto-type
une critique <)equelques points foadamentuux de lu doctrine
économique (partie intitulée !f'<~)M~'f'f'<'K<'AonoM)t~«'),uae
emin appiiquant tesobservations faites et le mode decritique
propre à l'auteur au problème du fibre-échange et du protec
uouttisme ~iutitutee /cnv<«' ~fff'fMKKM~).
Deces trois parties, c'est ht seconde qui nous parait ia pius
utH~a retenir. La troisième, si uegutivoncut elle n'est pas
saM intérêt, daus !:) portée positive qu'elle vent avoir, ne
semble pas entiÈremeot probante et du reste c'est ta une
question particutierequi ne nous intéresse pas proprement:') Ii
cette place. Quanta ta première, elle nous parait prendre sa
faiblesse do sa ~cneraiité mente. L'auteur y oppose les
méthodes qui couvieuneut aux sciences physiques et cette qui
rt'pood aux sciences morateset en particutierà ta science éco-
nomique. et préconiseessentiellement unretour de ia doctrine
économique au tan};e ordinaire et aux idées et expressions
de tout le monde. Saus doute, il n'est pas sans vérité, ni
sans portée, de nous montrer que ces auteurs mômes de
t'écoie qui pensent, par leurs spéculations, découvrir des
vérités échappant au vuigHireet constituer une disciptiuo ea
quelque mesure <'sot6rique,et qui ne craigneot pas d'en écarter
la foule par un tan~o rébarbatif, no laissent pas, a queique
moment de leurs raisonnements et de leur théorie, et sur des
points décisifs, de recourir aux constatationsdu sens commun
et de faire appel, comme a t'argument souverain, à lit prouve
par t'opiuion de tout « le monde Cen'est point ia unesimpte
ntatica polémique, et l'indication est bonne a retenir maisà
queiie nu ? a fin de contribuer à montrer qu'en somme t éco-
nomie traditionnelle n'est pas comme sont les sciences
d observation proprement constituées uu corps scientifique,
constitué par uneé)itboration techniquespéciaie, par une accu-
mutation de recherches de laboratoire méthodiques et d'ex-
périmentations rigoureuses, reprenant et soumettant a uxe
investigation propre et nouvelle les données de expérience
courante et n'admettant que les résultats reconnus par
A')At.M)!!t. – THAnË- ÉTUMS O&t&tAL)! 46)
!t.– 8YHTÈMHSÉCOSOMtQUKS
ParMM.Il. Bot.tUiM
et P. SMtt~u
*«)YHS (\).)!XAx))){)t
)).). Thé reoemt ecoaontio htetoty of thé
United StateB ). '('he f-i\nt nr~'t-t~t;. H. )nttnt<:<tt-apituHïntion
«)«) th'' tnanm of sp<))h)ti'm in )U(H.~«'«'<. J~<«'<t«<
«y &:<w.,ftib.
tW:i. X). 2, p. t6'8?.
Ut.-)t);mMt:SH);L.\t'H')t)(;CTtO~
t'arMM.X.Bot'tMt'ftP.StOt~R
1. J'ntM<i.<t)riftina)';)«ent
en )on);U)'fnm'aii'e.Nouf!sijtn:ttons
p)u~
)")<)unetr«')))<'tion
frxn'ftti!n'eenh' d)ttivn'f<i<'n
connuth:M"*Bt'attirf
t'otter-Wctit).II<-itMt
n)i<-M nt!pasmpjx'tcrte )i\-r<!
de M. Hubfrt-Va)-
!r')<!xintitute Lacoep<')'(tf)M).
~4 L'AXNKH
SOCt(tMt:«i);K.i9tt-t!)()S
il ~iw~ii..u.,u.aio.v:
chaudises. dédire que la coopération supprime des interme.
(tiaires: entre le producteur originaire et le consommateur,
il y toujours une écrie do. touctious
spécialisées remplies
par des individus spécialises; le produit fabriqué dans une
usine coopérative et vendu à un membre d'une
coopérative
atuiiee il une whotesate, et le produit d'une
(abriqne depen.
'tant du Ron MarcitÉ,pin-exempte, et
vendu, soit directement.
-oit même indirectement. par le HouMarche a un
pin-tieutier,
fassent exactement parie même nombre d'iuterntediah-eset
j'ar dos intermédiaires accompiissaot exactt'meut ta tnOne
Onction 6cono)nit;ue ce qui différencie les deux
organisa-
Uons,ce n'est pas la suppression des intermédiaires, c'est le
tait que ces intertmidiaires sont. dans t'unc.
indépendants et,
'ianst'autre, directement dépendants et mente veritabtes fonc-
tionnaires du consommateur c'est une ditlereuce non de
forme
')e ta production, mais de n~<M«'de ta
production. Ainsi t'ob-
<cssiond'unoformutedoctrinate, traditionneiio mais inexacte,
unduità donner pour essentiel à i institution
coopérative un
'r.tctere inexistant et a rejeter dans une incidente de fin de
t'hrase, et eucore sous une expression de tour beaucoup trop
finaliste et interprétatif, le caractère essentiel. Lesincorti.
ludes du pian ont aussi, sans doute, leur
origine dans cette
confusion du point de vue de l'analyse positive et de celui du
'atechisme doctrinat: le cadre adopté par l'auteur est, dans
'nsembie. historique (du point do vue scientifique propre, ce
"aurait pas été du reste le meilleur) mais, sans
cesse, dans
'et exposé historique, s'intercalent des
exposés de doctrine
'tui troubtent i'unito de ton et rompent le développement (il
arrive aussi, par là, que les mentes
sujets soient repris par
'ux fois, les fédérations et whoiesaies,
chapitre )x et
hapitresxn, t'orgaaisation de propagande, chapitre x eteba
pitre xn, etc.) Les quatre premiers chapitres sont, inten-
'ionnettemeut d'ailleurs, une sorte de manifeste des
principes
''ooperateurs piutôt qu'une détermination scientifique con-
crete du <t type? de l'institution coopérative (ce
qui serait fin.
t'oduction indiquée à un ouvrage de science
pure).
Mais toutes ces observations ne sont qu'un
témoignage de
t'interet scieutique que nous attachons à ce livre, et a ceux
')ue l'auteur nous promet comme suites, et qui traiteront des
institutions coopératives en d'autres pays. Tel
quel, it sera
une source d informations prfcieuse, ot un
ouvrage de refe-
rence très utile, Pour donner une idée de tout son riche cou-
47C L'AM~t! SOCtOMCt~Ë. tWtiM5
tenu, !L.Il
nous transcrivons ici le titre ses
de quatorze chapitres
La fondation d'une société coopérative de consommation.
Le rôle éducateur des sociétés coopératives de conaonuMatiou.
Les unionsde sociétés, Lu coopération intégrale. Robert Ow
eu,
Les pionniers de Moehdaie,Les premières sociétés roehd:<
tiennes, Les socialistes chrétiens, t-'edération du mouvement
coopératif. Organisation intérieure des sociétés coopératives.
Les suppty associations, Les Whotesates, Les associations de
production autonomes. L'union coopérative. F. S.
B. – ~f~tme.!<<tw.t.
tiondet'exp)oitationaj{ric")edat)s)<'prt'seut.e'est-n-dir<'
après ~880. Après 1880 se produit une baisse consittfrabte
ditus te prix des cereak's et (h*t:) viande. L'e)t'va{;ecru!t en
importance et s'atoetiore; une {{rande transformation sac-
cu)t)ptit:oncnvk'))taunpeco))0!niedanst!tqnf')tetespriti-
ries sont exptuitt'es pour ettes metneset se snttisent. D'autre
part. la production des fruits, (tes te~u'~es, de ).) votaitte se
développe pour t.) première fois depuis t~Uans, ta cuttut'e
des cM't'atcsperd <:)prcutifre ptucedans )'a;trieu)tut' anghtise.
qui tttitoiffstfd'itnieurs un progrès seostbtc.
Ou peut constater ators. t'ortchttiveotcnt, un chint~tnent
d:)ns t'importituce rctMth'pdes exportations de diverses t<:t':U)
dcm's. tt existe désormais trois cat~ork's de biens tt's
biens p!<rc<*H!<Tr<"i; tpspptit!? biens tsmatt hntftitfgst, f~uc ht
fitminc suftit il expifuter; !<°les biens ~i'u~s et tnoyt'ns.
h'itbord o)) rcnt:n'qu'' la participation, nécessitire aujourd'hui,
du gros fet')t)ier!mtritvaiht~rico)e, sous la fortned'uuc direc-
tiun dtt'etm'. Rn second lieu, raetion dp rKtat o) (aveuf dt's
smaH t)o)dif)~ a pu rcnssir parcf qu'elle i; accordaitavt'c tt's
besoins et tes intentions des grands propriétaires portas a
subdiviser leurs fermages pour au~mcntet' la rcntabiitte (le
leurs terres il en r<'sutt<* aussi t'augtncntatiou du nombre et
de t'fteudue tct.dc des petites exptoitations. Les t-:)tt"escc(t-
notniques de ce ptn'uoHMttGdoivent ett'o cherchées dans
t'etude de la reotabiiitf'' n ne faut pas s'en tenir a ta cousid)'-
ratiou des prix (le feruta~e. mais il faut otMervfr que les
demandes de fertna~cdes petites et moyennes exptoitations
~esont tnu)tipiMe:idepuis )880. taoUis (}ue tt' nuntbrt' des
demandes pour tes grandes exploitations n dimioué <*xtr~
mentent preuve (lue ):' rontabitih' a cru dans les prentiercs
t't ditninn'' dans les d~rnit'rcs Quette est ta cause de ce-.
t'han~ements ? Un coMstide<)Uf'ptus les exploitations sont
petites, plus y est grande la part des prairies, de t'etevage
< dontta rentabititt*est accrue~,tandis <}nele bte s'est ntaiutenu
dans les plus grandes: ft que tes braucttes les ptus rentables
de t't'tevaKe se trouvent surtout dans tes plus petites exploi-
tations. L'econontie a}!r!nrc de t'Angteierre contentporaine.
dans t'etat où elle se tr<mv< a rendu dcsirabtc la culture en
petit de là la muttiptication des petites exploitations.
Ici interviennent des faits d'ordre sociat et politique. Cer-
tains libéraux se font tes défenseurs de ta petite nnttnre pour
<;<unb!)tt)ete depeuptement des campagnes vainonent, car
t'<u.t'<. – f'xtMH:-ne t.~ t'nttm'r~t 40S
m:t('hittis)t)t'.):tctM!{':tfit.ttid))de'!n)at'))i)ies,)fdt'Vt')t)ppt'tnent
du tnachnu~m' )n(Mtprm''moteurs et !)Mc))in<*s d<*trayait.
t'appticatiot) tk' ta science :m tnat'ttmumM: pMM. (<aM t~
tot)n')),i));'tt)di'')i) H):tct)i))<'rieagt'i<k' t'))A))t't))!)!)e<:
t'ausfsd)' t'intrmtuttton dM t))Mchi)tt'tdans )')~t'i<)))m'p fcrist'
agl'UÎI'I!,tx'ccssih-
.t~t'uire. IIl~f~I~ssilf"
d'lU/ l'ullIl/'t' plus
<t'u))''''ufton* i/ltf~/lSÍ\'f!eetl p)us
l,lus httf'nsivc scif'lI-
plus scicn-
tt<)qu<<th't'rst"; sorte-, d'' t))!)<;t)i)«"< et t<'t))')'pntftbi)it<'
maehitK.'s du tt'!(v:tiL stn'ttxit t.) ''h:t)')'o' '~moteurs.
i))t!u'')h'<'d))tt)!tchititstt)t':)srtt'ote't)t'')'<'))t('pt'isf'{)t'ud'M)<'
\ttinndttj)t"(t)titt)et,)J)'udert')nj))!t(;t'n)et)td''t:)f<'t'('<'fUti-
)na!e.tt)His)-t<d<t('t)())tdt'sft':tisd'<'Xt~o!tatnot~ditnit)nti'm~'
t)t:(h)-d'<)'uvn'.s))))t'tt'i)\:)))h'ur- ):tfn.)t'hin<'tu')t's.tpi)s
supphmtcs. )))!)isuH'*:< comM<'les nntnqtx": t't'sxttaot du
'tepëuptco'eot (tes t-:ttHp.)!;t)cs <'tdt.')'inL<'nsit)'ttt<tt)de ta Ct)t
tut'<t'e)('v<'tt)''<)tdt')!t<'<)nditiuuttmt<'t-«')t('.int('I)t'ctue)t<'<'t
sociate dos tt'avuiHcut'i: sur t'ontttxn' 'itUi!'n''t'tMtionde ta
n'nt:tbi)ttt': ft'snmchint"'pGuv'')tt~trt'f'(t)())t)yt't's<:ttr)<'s
)wt!U'sex)))ott!ttif))tst'tpat'h's('.a()))ft':)tives.
Oh voit que t.t tnati~tv d''s deux pRtits voiuMMsdf M. Limj;:
est abondante. ))'!C).)t)tie))m?utd('st't<')net)tsd<'cuMn!)iss)nx'
pos!tivt',m))iUume)ttsu!'h(ct.)M)t)cati<)))deK())!)chi)t's))r
t<'st))"t''u)'s<t).)).~i«jj<).)))')c''tn!t<'hi)M's.)~t'te')t''s<tn.
)) ''<)st)<[.:i)s(''))tti('nttt't)t<)ussi<ttttHt'sit)dici)ti))t)!!Mur()f'-
t'h'iMOnX'nesittsxftis.ottnteat ''xptot't" ~i'; prfcis~'mt'fttc<*H''
insuf<is:)MCt' de )'<'he)c))<;ou d'cxp«sitif)u -ienta)!)(''stc t)f))'
souvent :!)))isi)hist()itf()t))t)MMhit)isn)''es) ph)s<)uc ~ottt-
)))it)t't'.dt'pum'vu('d).'<)!)tt's.)j(':n)CO))p<t~pHn'<'s<tue:j!)dc!
t'riptimt des .tp))ti':attM)sdf J:) scit'ncc au )))afi)it))sntptn'st
HUèn*'ju'uuc s<;chc'')UHM''m(i')«:le tome rep')se sur des
~Ma6r:tHtt's:)'et)td''<t)'t)t)(t))<')t<d<'<a)))M<'))met'ie!.ur)("-
~:)\'aH)pmsfst po) :<pp)'ofundit':une botiuf partit'de t'on-
vt'.tj!;p:tpp.)ri)ttsupet'<ici<'))t'.Surbicitdpsttomts.c'est):)
théorie (jui:) cache :'))'autt'ur)M t'Gchet'fh(id<'tan'Mittc: )t;
<;h:)pitr('sdim8!~uetsitex)MMft')ustt'irRet tG(h;ve)oppen)M)t
du )!):)';))))) ist))e'-<n)tr<')))ptisdf pur' <thstr;)f'tn't)s)f~if~))'s
''t dt'duetivps. M~)tt<* )t;s .n.mtases part.it'uti';)~ dus n):tchi)n's
:)g)'ico))'ssout caicutes daus <'cH<'sorte d'itbstrait <est-:t
dire <):tt)s)MconJGet()re(H).tt.M'-qq.):d'? m<t))eaMssisur)<'u)'
innuencp tuf )'Rxp)(Mt!(tio)n).o.ch. 3). ifs (ftits positifs font
défaut. ))t't) n'suttp que. presquf partout, ce livre u'est pits
x'cttcment explicatif Au n'ate, quand fauteur recourt à des
detnntt&tratiottsen <nrmc, i) s'abase ptns tt'unp (ois sur !cur
\\At.t'.H- – t'tKMHS. )H: LA fH()t)t!):tt< 49t
\Af.t:tM.f')t)\)t~~A)j:
)'a)-M.)ht:t'ict:))t).)<Wtt.Mt
Lt'tit)'p()e<;(')i\')'t'<'N)Mt')Mrfttt!)':))('rHdMux;{')"
trt'~ks()nit))tttte))uis.to))gte)np8 droit')ccttc'):)ns )'<'<'<)
))t)mi''t'())itn)m*. Toutefois, il cou'mh'r son contenu, "n
:t*itpt'rçoitfju'i) rentt't' phttotdans ii) cntc~orx' des n'fhet't)"
stn- )fs prix. Sans donte on y c.)tni)M bit')), .) propos d<-
')n)o))n!in<'f'sd))h.'ttitHt'Ht~ucce'ssh'cs.ct (test!n)sforft):ttion-
<tt*ta \'iUe dues a t'initiittivc d)'x prineM. t'aetion de !'?:')
sur ):t \it'cottonuf)ttt'. teiic qu'eHe s'esUt):'uifest<'e jusquit'i:
<'t. pottst:tti)))tle notnhre !nsu)!isnnt des to~cmentsit bits prix
par rapport :t)a Réputation, ottuxttfjttf'suivant'pteHen)'
tttmk*eeUf m~nx' i«:tion sf pourrait ntt)pn<))t <)<'vett)p}M'r .1
t'avenir :t<)ntchn<t.tinttm'nee<tt'cet)''rt'j!te)))''nti<ti')M
s'étant cxct'Ct't;qu'A iutfrv:t))cs. et en detiMitiveassex faibtt'-
tnent, et tes propositions df refortnes t)'tant présentées d<)it-
)'urs<ju'atitn* <tecom:)t)sio))spr!)titjm:iiet.)it tej;ititned<
pus voir di)ns ces parties t'essentiet de t'ouvr!)~' ~oton~'
t'tudt' df la rcnt~ {onciere sous sa f<n'n"'u)'bi))np. t'onv~n:")-
AX.\LYSt~. – VAUtt'tt, t'tttX, MO~SAtH tM
\'–f:t.\s<Ks):Xo~t~n;s
)'.t!tM.H)t"nn.)\.)).))~))~Kt)-SH)~\).
t'art'ptravai)
~t. Xicefon* pense frityor la voie vers une
scienceuuuveHe Lesnotn'eattxn'suitats des rechprcftRsscif~-
titiques tnotternt's, dit-it. pft'mpttput qu'un d6t:(ehe du graud
:tt-bt'cdes sciences .mUu'oputo~fqnes une nouveth; bt'anetK'
:n)tf)notnccons:)crfp:< t'~t< <tt</tf<t'<'(teshu)n)nes:)ppart<
)m)~aux t)assp<!ctasses socifdt"<ai ces classes qui vh'Gfttdans
un état de ntis~'e cttt'oniqut' et qui forment la ~eande arntw
du paupf'rismt* Cette oomeHt' )«':tuch<'constitxc ainsi uop
partie de t'anthropoto:ie des t'in~ses sociétés, et ptus pt'f'cise-
meN).t'oMf/'<o~f~'«'M''<! /<~f<fyv.< Jusqu'ici 00 étudiait
)e paupt'nsnte et tous tfsdittprfnt-: aspects de ce qu'on a
appete le pfotdeme ottt'ripr. d'ttttp tttfotn'rcabstt'aite, pa tais-
santd.u)-!to)nb)'R)ho)nnh'()''chair et d'os. f) faut, au cou-
traire, fairp passer ce pe)'snt)t)!<g<' en p)'e)nn'r<' Hg'ne. ft en
<airc)\'t))dcn!dnr<'))f<'<'f))m'')axo<)h~i<'{a)t)t'tudt'de)'ani-
.~ALY~. – ';f.A< 6<<')Mt'j)'K-! 4M
t. (.tt )t')U.)t))-'«))i);M'H!
:HM t:. t~-fM:.
L'.tSSKK~K.tOt.cut~H
t .)«tt< ~t<t«'~f/~Mt't'
UMht't.p. ~t<
MS t/AXKMt "OOttUntt~tJH. ftH t9tt'
)..tt~f~ ~t~Mt\ t. t
!t.t~.
StU [.XHH ~)Ct.)H).iH~Ct!. f'Ot-ttM.
A. – ~M<)ft'M~r<t<.
B. – ~tfMOCKttMMM
pt'0/fjMfOMMt'HM.
BRtNGMANN(AfGUST). Gesehiohte der deutsehen Zim
merer-BewegMmg. herausgegebeu im Auftrage des Zen-
tratverbandcs der Zimmerleute und verw. Berufsgenossen
S36 t.SKÉ8 SOCtOMGtQU)!.
t90t-t9M
et gouvernementaux,
~rnnmnnln.r .è7rti.l.
dimoites AA ..LV.t_
obtenir. IrLes compagnons
pouvaient user de tu grève. mais ils étaient exposés a des
peines graves, en cas de répression. Des conHits.en nombre
croissant, avaient aussi lieu entre mattres et compagnons.
M. Bringmannétudieonsuite'p. 7~sqq.)tedévetoppeme))t
de l'industrie de ta charpente. Cette industrie réunissait ori-
ginairement les travaux ducharpentier.du maçon, (tu menui-
sier. qui se sont ensuite ditïérenciés. Les métiers du bâti-
ment se sont transformés surtout en raison de l'agrandisse-
ment des vit)es: il s'y est accompli une spécialisation crois-
sante des tâches (part de l'architecte, de l'ingénieur) ;surtout,
tescoustructioMsen bois ont diminue. Au début du x)x° siecte,
il y avait peu de grandes entreprises dans l'industrie do ta
charpente; les ouvriers étaient asse~ indépendants du patron,
travaillaient sur les chantiers des propriétaires d'immeubles
Mconstruire, touchaient parfois leur salaire directement
'jusque vers !8(!0t. Aujourd'hui, il existe de grandes entre-
prises à personuet très mobile; le patron est intéresse de près
a ta construction l'opposition grandit entre le
patron et les
ouvriers.
Daprèa tes rares données Balistiques utitisabtes, il s'est pro-
duit au x)x' siècle une grande augmentation du nombre des
charpentiers, qui a cru beaucoup plus vite que ta population:
et il s'est produit aussi une augmentation du nombre des
ouvriers relativement au nombre des patrons. De la statis-
tique de t882 à celle de 189S,te nombre des charpentiers s'est
cteve, celui des ouvriers aussi, mais retativement moins (il a
augmente dans les villes. mais diminué dans les campagnes).
i) y a encore une proportion relativement forte de
charpeu-
tiers ayant un métier accessoire (.VctwM&fn~.d'ailleurs
presque exclusivement dans les campagnes, et aussi d'arti-
sans ayant le métier de charpentier comme métier acces-
soire.
La fondation de syndicats modernes, en Allemagne, est due
au mouvement ouvrier politique Et. it ce propos, M. Bring
tnanu retrace l'histoire de ce mouvement. – Le volume se
termine par une étude d'Adotf Braun sur le MCM~tMp les
«/«'/«'«<s. et par une série d'annexés 'ordonnances, règle.
tnents, statuts) et de reproductions de documents.
Danste second volume. M. Bringmann retrace t'histoire de
t'.«~fM<e(t«'<<<'<t<<!<'t<' sa fusion avec t'c.
~<tMmft<'<Mn''M,de
w<')w t/cx~e/tc .t~<MM~<<<tjMtt<~r<'<'t(Ut<~du ~'«~cAc
SaS L'AKft~BSOCMLOG!OM.t90t<905
~ttMMMwtM~,de <tMOft«t<ontHf<'rnaf<oHa(f<~ m«fMM<-<
<<arpfH«<'< du ~«(.wAc ~{(HOM'tWMt'ent, du CeM(f!ehM ~tMt.
MM'f~fM'f<-<! jusqu'à sa dissolution eu t8W, des or~tn~MMtf:
~«<t'OK«~dans tes industries du. bâtiment de t8(i8 &t88t. de
ta ~<'Kf~A't'<M&<'K-MMf< .S<M't<MMF </<v~Mtmctw. qui mani-
teste toute la vigueurcréatriced'institutions d'assistance dans
le syndicalisme allemand, qui d'aitieurs a été rendue compte-
tement indépendante de t'orgauisation syndicale. pour per-
tnettre le développement libre et sur des deux couvres. Une
série étendue d'annexés termine le volume (procès-verbaux,
statuts, documents judiciaires).
La documentation de cet ouvrage est très abondante, et
généralement étahtip avec un souci évident d'esprit critique
< parexempte, 1.1, p. n sqq) )pschinres statistiques sont sou-
vent accompagnesdobservations. dediscussions utiles sur tes
calculs de Schmotter (t. t. p. 92 sqq.), sur la statistique de
l'empire (p. 9S sqq.), sur les lacunes des statistiques (p. 94j.
Les deux volumessont remplis de faits, te ptussouvent précis,
inédits et importants sur les corporations de charpentiers
dans les diuérentes villes, p. t sqq. tes comparons, et en par-
ticuiier ceuxd'Attoua. p. 30 sqq.; t'organisatiou des
compa-
gnons, 35 sqq p. S4 sqq.; le métier primitif, p. 7~ sqq.; la
~«'<MM~/<~<A-,p. t02sqq.; t'tustoire interne des syndicats
modernes et des organisations patronales, t. tt. notamment
p. t44 sqq. Sans commentaires, le récit montre l'importance
que prennent, dans un mouvement syndicat, les questions de
salaire et de durée du travail: la seule revue des grèves con.
tient tout un enseignement (t. Il, p. sqq.). La tutte pour le
salaire, avec ses incidents et ses événements, s'cxpiique à la
lumière des faits, d'une valeur documentaire de premier
ordre fp. 6'! sqq.
Maison regrettera, en un pareil ouvrage, l'absence complète
de références, que l'auteur ne Justine pas en disant qu'il pou-
vait s'eu dispenser, ses sources étant sares, et d'ailleurs sou-
vent orales, et, de ptus, souvent incorporées au texte m&me
(t. p xf; Quant auxdocnments, tottguementcités in extenso
dans le texte, sans commentaire et même sans analyse suffi-
sante (notamment 1.1. p. ti sqq.. 2t. 6t sqq.. t. U, p. i sqq.).
cette pratique, assez usitée en ces travaux, nuit à la compré-
hension. M. Bringmaun reconnaît tui mêmecombien il est
maiaiséde réunir tesdocuments les ptus utiles, parexemplesur
tes corporations (t. Lp. H) mais comment te lecteur pourra t-
AJfALVSM. – tttSTnUTtOSS M LA HËPAMTmM SZ<t
C. ~M(<<M~WM
<MM</efOHC~M<Mtt
et HM<(()<tfOKft
~/r<'f~.f.
HOMBURCERH'Af~.-Die Bntwtcketaa~desZtosfnaBee
ln DeutscMtUKt von t870 t903. Yotkswirtschafttiche Stu-
dio. Fnmkfurt-a.-M. n. Saueriiinder, )HOS,99 p. in 8".
M. ttombut'Ker
wyrr.u W a.o
et saus d.u.W
doute d.iv.r
(te pénétrer ptus avant dans
) .<u:)tyseexplicative et lit tttéorie expérimentate de t'intérét.
P. S.
) ;tnM<'f<!<)<'«i/of/
t' .utnft. 1).
E.))mKMt!tM.–A)))~)-«-iu)..)Wi-)~i. :i
:it6 ).'AX.'<)iKtUt;tU).<tM~ftt.ti)Mt.t''U;t
Hnfjim't't'tttj;:<))<(
~t)i~bttiding.<<at<t!f.f!t<c.,nmr('h<'tj')()ct'
(Suite <<e-<tf<n')<u\dt'ja tignatei..utnws (n't'mtt't)tt'.s.;
t\ –A'.t't')Xt));).)-;TA'tsr)<).V)t:t:(:U\')MtO('t:
)).tt'))M.)t)h't')M)\~tM.)htJtWAt:M<.
–n~<q<«' <'<)<t«ft('«'<«<<
tt. – /.t~M/f~/HM
«M'M~
x. -):t:u\t'n):ss)'):c).\).
)'t))~t't..t:ETtt')'):m)t«tMt\
A.–A<'(«)<tMf«'fft/t'ff«'.
WALTX(WtUtHLML – Vom Reinertrag in der ~andwirt
sehaft. Hioetustonch-kntischt' Studio. StuHn!t Ber)i)t.
C~H.a'sc!)<'Ruch))M))tth)))s,)Wt,in-K',x.t~t.p.
M Wa)txsCst jnopost' <hnts<'p)ivrM)t'iuth- hi'.turxjuc et
<'riUqtte<ittrevenu net dans )'!)~)'ictt)tt*r<tta <'u))st.)teque h'
~ran() travai) d ettt))n''tf et de techen'he ttott) tes comtitMMM
de ):t pt'oduetiott i~t'icote ont 6t<' t'objet depuis un certain
nombre d'années condutSMitA cette conctusint) que tes agri-
culteurs tnnnqueut d esprit cotnmercia!. qu'its n'ont point de
< omptabHité,«n que teur ('omptatMtitcest mauvaise. Or, i)
importe que cette comptabitit)' existe, et qu'e))e cnmpremto
\!<~t.~t!s. – A):)t\ttmf-. '.t'HHtAt.)~ ;;?
1 f. «
.\At!t)t: n.MKLM;Me brandeNburgischpreusaiaehe ftetrei-
dehandetapoUttk von fM9 1808 ScAMf~etxJA& t905. t.
p.ttit.tMO.
WtNTKXS(M.tx. Zur Organisation der sad amerikanischM
Getreide-ExporthaadotB..St/t-t <~< tWX. ). p. <ttt Mt.
t)ULLMAX\(A.-))i. Die Entwioketumg der daniachen Land-
wirtBohaft tmtt't ')t'm ht'mk t)t't intcrnMtt«nt)et))<ooh"r<)))'
tt<n \tUf«tt't<t Xertin.t'!tt'<'y.
t<m)ihre(:<('nw:tf)it!St)')t))))MMt)t
)9Ut.v-<:Hi)'. io-x".
AL'm-).A)<nU:Mtt:HK).. Le rMe du oapitat dans la viticut-
turelangfuedooionne «f << ~'<~ )'o; ;< t's-}'
HKttKNKH – BetrieboseiBriohtumgen und Rant&bi
(ttt;)!<KtcM.
Utat der sohweizerisohea Landwirtschaft. St/ttHoy/o M.,
t9(M.:<.p. :!5-4:i.
H. – A't'0«MW<
<W~<(f'~('. t't'«MW!< .~<'f'Mh'f/f<'f'«'<.
):.)))'ttf)tK)]t.–A))t)(;iK)..t''t)t-)'")&. ?.
S)\)f:MHSK'"nu\
M<JH!'HUt~t<.tHSOCtAt.Ë
) -)t.\S);St!)<;R.\t')t)<JU):Sttt:LA\'t~-<Ot.:)AH:
)'.u)t.Amtm.
U –Mt't;ËMK~TU);t.\)'Ot')'t.A)H~);(!t;Xë)t.\t. 1.
)'.U'M.t)tL~W~'H<
"t. –"t;t'tn'n'H)Xt)t-:)..t)'"t')'mtt)\
)'arM.))t).)n\t<~
tV ).):St't)Ë.\UMt:)!);S)tL.\ht.B.\T)')~
)'it!M.)ht.)n\ts
BAUER '!)' mcd. Lucwtu). Der Zug nach der Sta.dt and
die Stadterwetterung. Eine rassentty~ienische Studio –
Stutt~ft, W. Konthantmer, t9M. x<.t7J:,p. iu-
Dans ce livre, où tes donnéesdémographiques sont utilisées
surtout pour poser et tenter de résoudre des problèmes
d'hy-
giène publique et de politique sociate. L. U:tuerse préoccupe
moins d'expliquer le phénomène générât de t'émigratto)) vers
les vittes que do faire coainaltre ses
conséquences, provisoire-
ment mauvaises & son sens. et de chercher par
quittes ré-
formes on les pourrait limiter ou rendre heureuses. Retenons
les points tes plus intéressants de cette étude assez touttue.
Dans l'empire allemand, depuis t887, te tnouvemeat d'é-
migration s'est ralenti, mais les tM~t'ahotMc~ txUM ont
augmenté c'est seulement dans les communes do la cam-
pagne, de moins de 2.000 habitants, que des pertes se sont
fait sentir même dans tes provinces dont ta population a
diminué, les vittes ont grandi. AM/ftMMMsont proportiouoet-
tement très nombreuses dans les campagnes par suite du
départ des hommes, et dans tes grandes villes, parce qu'elles
&M tf'ASAKK )9))t.i9U6
iiUCtOLOOtQUK.
Vt. L'EXt'AXStOK
)M-:8
GMOUt'tM
800AUXSCKLHSOL
t'MM.nmtitti
DtVERS
t.– SOCIOLOGIEESTMÉTtQUH
ParM.M.MMMT.
LE BHAXfA)
(A.). t!tt-<–t't.i~t-f~-jt–~t~~tt-
Eaa~t sur FhiaMtfe du thë&tre oeKtque.
Paris, Caimann-Lévy, t904, vm-544p. in-8*.
O.-TECH~OLOGtt-:
H.BKUCMtT.
LËNTNEn.–UeberVoMt8ti'aohttmOeMrge.~<'«M/tW/</i«'&<e!'re<-
i90S, fasc. U2, p. 35-32 et 7MO.
cAttcAe V«<M«M(<e,
tU.– LE LANGAGE
Par M.A. M)!tt.).)!T.
PMEMiËMPAHT)E
MÉMOIRES ORIGINAUX
t. Oomment les mots changent de sens.
t'<tfA.M)au.m.
tt. – Eaeaiear les variations Misomai&reedeaaooiMa EtMmoe.
Étude de morphotogiesociate.
PtFM.MttM.
hmtoneottM). ? S -– têt <~h <Mfla vie
). – MoM'UOt.oCM CbjtMLti.. 46 M$
~MfM~Me.
–
M. MmtfHOKMas a*ttttt)aM. 65 S –1<* t~fj mf te r~me
9.
–
)M. DM CAeiMt): M CMVAMA- <<Mt)eM. ~t9
Tt<MttUMttXt&XtS 9t S4. Mac~M <<'«Hr~tme
f.–LMt!f)'t!Tt. ~«Wtt~Me <t<f ~'ttxtt'e <at
S i.t. – Gea ~<<<M)'
J.e<e/J'e!asur lo
ta eie
nie V. CoxeM'NOtt. Mt
M<t~««w. 9e
DEUXtËME
t'AMIE
ANALYSES
PREMIÈRE SECTION. SOCMLOGM G~~MLB
t. M6thodo!ogle. Conceptton générale de h Sooictegte.
ParMM.CcMntM.tiemiK.
MotMMt).
MMM. K'cMM.
TtttMt. – L'tnterpsyehotof;") t33 Gt!MMM!tMM ÂMAHAT)!.–
QocsHoM de Mëthodoto~'e Coaeeptode ht tHM:iutog)&<<0
d<M9hHwaeda Synthèse AspMOTTt.–L'ind«MCoe~ocio*
hiBtodqoe. 135 tug)c<meUo studio doldirKto
LtMfMOM.– ModerneGesehi. penate.Mi
ehbwtmenMhttft. 137 M*TT):t'ct.– tutomoal riconos-
RMf. – Questionnaireethno- etmento dolla sociologia
graphique pour te Congo iM eome aeteaza antoMtoa i4t
von Lt)tM*!<.–Antettan(t fftr M*Tt)!tCt. – L'inMgnMMento
ethoogHtphheheBeobachtan- de))aMdo)egta.<4t
gon aad 8ammlungen ln Tc:t)OM. – L'odiemo pro-
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MF. S9t 8<:tta<:t:
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BoHMt.–TMd!tWMofthc Notices. ï9)t
SkidtPawnee. ~:)
t). eOM<M
J~jfC<t<<M, <<<~<~M'M.
STMtM.–MttttOiMcheStUttipn. !)<? chen. (MieMu und KMst't. 300
SftttttE. – Mattfi.iiithe MSt- j iXotieu! am
E. D<'j)MM.
DttMAMtt!. –L)t critique dM )o)!pottttvc<)epuisrt)rt.
tradRiun:! fetiHieuxe~ chf!! etnuj~a'ttu Concitcde
tetGr<:c!<h'!iongtne!<itt Tn'ote. 309
te)t)p!!det')utart)uc. 3M Notices. 9M
TcMEt.. Hhto:r<; de la (ht;o- Il
B. Organisation communale.
SfAMNt.– Bie Constituierune Notice* 3M
der OdegetueindenNfederOB-
tofrotcin. M6 1
V. OrganiMtion domestique.
PtrM.DcMxettt.
A. La famille,
HowKt. – The native tribM DeoïTt. – t.'enpMtMtfen do-
ofS.E.AMtntittt. 3M et sudale chertés
)t)<')!ti()M9
KoHt.m. – Au dom matnyb- H'&h'a.369
chenBftht. 9)a Ltvv (L.-G.).La ftmiMe dano
Kev~mwMY.– Le chn chez t'MUqatMiontOitc. 3K
les tribus indt~ène: de la OMMtMeesN(MK). – Hthno-
MM<te.M9 t«Khb-j)MM)seheBeMitun.
M3. 'HMhKt)MMtT~)tKS
B. – Le Man'o~. la CM<MM'w
de la ~etMM)~.
C. M.ct«:Me.
La M<efa<e
KELU!K)t~.–Lut-ini"0'<<i t! 1XoUn' ~Wt
intef(tieHoa!n'xue)tM. 999
Le droit de propriété.
t'MM!t.M*M.))Ut[!mt.)').n.
VA!<0!)M'!UtM!t.<:)!X.–OYCt-ht't )tM'a)t!T. – Histnir'' th'ttt prc-
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C<M!tSM!f.– Les société!:coo- t'M)<))t. Du <«n<)wi)'t«eht'n-
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Vt – OtaaMe éoo&omiqaeB
Par MM.Bo~MM,Mtt.!iwjtot<et 8))t)t)(t<.
NtMfoM. – Lesclasses p<m- JexM. – Thé sociotogy of )t
VMt. <? Kcw.Yofkc~y Moett 507
HM'iTM.–t'wrty. M3 8)!)'f)!f. – Stadien )tur Cet:-
CLAA!!)!x.–Dt<- toziate Bcruh- chtehta de)'ettf;)iseheMLohn.
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Vottteitnteh NtthmnxMtuet. Fubm. – MeVerhacttatMeder
t'!nunttf)tt))i)ien. Mt )nt)u:trieMbeit<)t'in t7 Land-
Mo<T.–Mebafanie)tuund gemcinden bci KM)snth< !i(0
tMia)a.(HMMungderBot&t. ~HeM. StS
ttemnftOMterfeiehs 01
X. – Economies spéciales
)'<trMM.ti..tH.)hnt<
A – ~COttCMM tf~ntW.
B. KeoMomfe
MM~e. ~coxemfM~c~M <<t<wrf!<M.
Le charbon datas te nord do du
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hteo)gi<)ue. dtott. Kali syn- s&a
–
SToepet. Die deutsche KaM MO 1 Notices.
industriuyund SM
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t. – Sociologie esthétique.
f'«rM.)fn'c''r.
M~ct'sxY (E.). – L'aiHVM S~ux. – D!o t)tge<'n)Mt!c)<e
d'<trtet!ott)Uon. :'? T))i<)Mrn<m«')tti)(. S90
Notice! Mt
LeB~zfA.). –EtsatBart'his.
totn) du tMjUre t'cttiquf 5M 1I
«. Technologie.
BEMt-)M.–)tM'fnt)g'in't't)t< K*tt)T. – Gowefbein Ruanda N99
t'nacM.as) Xotices. &M
Le iangage.
PM)).A.MMt.U!f.
WM:)<T(W.).–Vœ)){efpi.ye)m ) SET.M.ti.–L'eberdieSpnM'h-
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Breytte. MX HMcs, MO
Mn(!m<UM, MS UatHpier, XM
BfucMt. 4M Dittosto, :tM.M9
Brodait! CM Davidson, MO
Bf'wn. Me Oe~hM'tne. 3tt4
BfOehno)'. 3t0 DechecHe, 49<
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Branner. 4Xt Uotaporta. ZSt
Bruston, 2M OeLeunef, 480
Bnthtth, 3t~ Detehttyt, 8M
Bryce, m t)e)nn; Bateftae. 810
B<teMer. 2t8 HeMoffns. «4
B6chner, h93 Ucmpte, !M
Burkitt. ZM Oemttwo)ft, 164
Bott-t. an neni! ~M
Butterftetd. ~)t Péteux. ttS
t)e!tchudee, KM
C<n{geM, 349 UeMtevheBdoDetert, t36
Cahen. 4M UMtainR, Mt
Cattegtrt, Nt~ Uotlller,' 398
Cttttttette. M6 Dietrich. Mt
Cantttoube, Mt t))<!t:et, SM
CappettMi, 355 mtttfch, M3
Cttrin). m Dixon, 137
Carlile, t&C Debschût!, 2H
Carman, ma Dochow, S38
Cttfjtente)'. aM HoHt'M)!, 4M
CartttdoVttM. <7i t~Mdo, 4M
Carriede Vœ. 803 OoKey. SB3.30S
Cttrver, S39 DoM);tM-Kn<Mp. 4*)7
C)tt.)M)t. MO UoutM, 369
Cxthretn, Mt) Dreyftit, i7<
Cauwes, 497 Omry, M9
Cumeston. 473 UaMte. 37!t
Chttdwick, M9,8M ))aMe«x. ~M
C)M)et))tn! 3Mt Dnhm, 3<3
ChMteptode la Saussaye, t70 Oamoutier, M9
ChttpntM. tT9, 49~ DoMtmd, «S,Mt
Ct<)n')!er, Ma Uytenfttrth. 4M
Chauvin, ??
Ht)!apetU, t43 Hettett. 66i
UMtMn, Mt M)r)ieh. <!3S.37)t
Mt!<'mont.Canaeau, i!)f!) Ht<!M(h<;fopoa<os, i53
Ctcve. 603 KUwood. <M
Colm, t(i<i HHou. <7i
Cohjiinn), i67 Hn)p'tn«t))n, 378
Commons. 830 Ht-iMt-dt, 387
Conrad. SM Hrniit, ~M
Conti, 4M t:y!B(Andr~). MO
Coott. 20)!
CofoMMni, MS Fa~ot. 554
CoMnttn), <5e MH. 236
Crotnbrogghe(van). 3« Fatkcnhort:. 443
Canyngh)t))te, 4M ~octu))i. <M
Cutomins. 2111 Kamet). ZM
Cumont, ~9 f~fjene). 338
Curtiss. ~M )-').))rt-. 07
63(~ MOM C)t<Nom (/At)TttCt<&
Ct'hvn'.
Febvre, <!tS)f<mhh«
<!? Otehhe. MO
FebUoger, <M (iott~tein. 57<
F~rri. tM Ho)di!)het-. N6. 303. U4
FeOfMMM, S)S ~) (!(ttUtX'fz. MS
Ft'wkc! !!6f.9f.N!t Gt-ttbowtikv, SM
H~. MO (!mf. 280
Pinot. )M UMhtUM, 3M
Fiifutt. <M (hanser, 3tii
Ffotcbef. ~tt Grass, N~
Ftind.-Mt'<'tr)!t'. 2m (:Mt.ef)e(<te~. lSC.4:!)t,M3
Fochiet'. tM (!ntY. !)?
Fut-td~. <~ C~'Mf. 156
fu);ot. t55 (in:Mrd, !0,Nï9
Fouk. ?!' Urctticr. Mt.3tM
Foufart. &~ titfiistttonn. 3~
f(tttttt<'«. Mit tMt'tttk'ttt. ?5
Franko. ÏM Ctt)t')«tti, t!iS.3i!&
Ft'«UM~hH!<H. tM Cros!i,
Gross, 691
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FraMr, ans Urubb. tM
FtfUttfnUMt. Mt Ct'Btïhttteher. 3t0
fMhentut, ~9t) Ct-y. ~99
Fue))!), !t~.S~ U.S. ?9
Futt'-r. (!u''ntMttfU, t()3
FtHMk(S.) 4:M Uatirinot, 119
F<t"ckc(K..t;). ~S GuimudtY.). K!T
Funh(F.-X.). :!H,9t!<.a!He Gui)-)md()')t<tt). 3U<.tKS
t!u«K'):e. ia?
Galloway, m (ian)p)owicï, tM
Ctttton. tt77 UunkMt. ~9
Gtmbarott~. m CM)-ot(Yve~. SM
G<ton<tv, S5:t
GttrdMOt-, !!it.3)t f «Mit. M:.3t)!.
Garmijn. ~tt) XacktUMn. NC
Gttachttt, 59;i Heddon. 6Mt
G<mdeffny-0emo)t)b\'n<'s. <?!! M<t'twi)!er. *?
Gtupp, t5~ )))tha(von). 3~
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Gide, MC Herk. 3M
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Ginger. tM Uette)-. i)M
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Gœb, 2M Hertd, SM
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Hewtt. 6))3 Kidd. ~S
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))t)H)bMr);e)'. 'i4t 403
)tu))))))H). Mt Kov!t)<ws)fv. it8,3(i9
ttnft). :tt9 ttt'u'tuuf. M~NM
t)o\<m), ït!t K.MttM(R.). ~M
t)ow.'H. S37 Kmu!!i)(Ff.X.). 3M
)tMW;H. K'Z.ÏM.MS Kr<ntiism.). 4M
))ow')~)), ~U Krc!:tM)tri){. ~t
ftunrt. Me.'tH.Xtit H'Oher. ~7,3:!0
t)uh.'f. ÏM KMhn. 300
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Huoh't-. &<M Ktth)enb<i).k. 330
Xttttt'r. i!tt Kuxter. 29H
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)M))))Mr(. t~ L!tt{fHM8N, 212
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jMohy. tM ).<nnprecht. <3!t,<36
Jt.Umt!)<. MM L)mn)<m(voat. M*)
Jt))tt<!i, M3 Landry, 498
J.-rt'utms. ~3 Lang(A)et)tnt)w). 4<!9
Javous(Stant''v), MM httptat)! 330
Jo<:he))so<). ~t L<t)))))tf. Sti
Joh-, ~i )~ru<))!< Mtt
J.H)G<tM.~).j. :Mt Litrtori. ~M
Ju)te<(J.-K.i. M7 Lxuttoy. 3M
Ju)))t!.tOM. ~)M Lttux'nt. 4M
Jt)nk''r. :W) Utmtt'n'r.
Juv.a. t:<S Luttra: !.t9
jM'))y. M! Lectarct). M)
juy))bo)t. 3m LcK-bun!, !S'?.M9
L(!htMtinn)\Vj, 4M
Kahto. 9M LehMtttnnCJ.-)-). 2M
K<n~-t-, ~6 t.t'xmtthtdour, 44it
Knt))!!)). &? t~ttttt'). N44
KM~, MM Lc))tn<-f. !ii'3
Ktrktttitt. M) Lcr<ty.M<;)tu)ie)t. i?t 1
K<m)M< 33U !<<')i'iM)Mtt, 303
K<ntf))Ht)m. 2M LcsteHe, 477
KMHa. t'M Louba. t'!7
KeUer. NM Lf-vy (MertttaxN), 48t. M))!,StU
Rcmn'tt. 3itt L<y(L.M.). 37~
Kf)t«ud. 3MO t~tytH.-H.), MM
CM MMXMit NOMS
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Lewy, i~ MM)w(vMt), sM
Lh~'eo. s)o
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LifMhttt. 4M,W Mon. BM
Linttf'ma.m). 4M MomtOMM, U4
UppeU. 3M Muttdatftt, a<9
Liszt (von). U3 Mon'tiiehein, Me
Linnxtnn, 303 MMKin. s~
Lods, Monteur, j~t
t.'Bbet'. N3 MuntettoM. ~9
LoncM. aM Mont<)itt<, ZOO
LMOM. S~ Mum-e.
Lotft. ;(m Montad, s59
Lola, KM Mo!:t, B~
Lowettthttt, SM MotytfM):).
t.acius, ~3 Moutton. g~
L&beek, M<)t)t'r(t).-H.). a!f
LnU)ar, MaUertË.),
Lumhottt, M) Moth.f(J.), 3M
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Lyon. M
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MMM, Naville. << 8M
MacCattoeh, i~ N)MM<t. )M
blac Donald, t~ ~erun~.
Mach'r. j~ Siceforo.
Mahaim, SM ~M~. sM
Mahler, KM'tette, ettO.S~
Maire, j~ t<<B!){en. MO
Mattre. ~5 KonHemMn, Mo
Mallock, ~jj Novicow, j~
Mttnes. 561 KoyM.
Mann. f<'H" '8M.M)t
Manit!)t. 4;$
Manitius, O'Ferra). sM
Manuiloff. Ohr, 3~
Mat-t~ary, s~ Oldenborg, g~
Martine.). M) Oppert. i88
Martin(H.). MO.SB) Ossenbraggen(v<u)), 313. S9t
MaHMet. m.)5t O~thofr. g~
MaHhew8(!t.-H.), Owen, gM
Matthews (T..T.), 21i
Maxn-r, MMn. 4~
MaxweU. tM )'an))Mys(v!jm). 59t
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Meter(t'Y.), :),1 t'aii~argo. 3~
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Morker(M.), i84.3M 'Pt'er. SM
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Meyer (E..M.), e~, t'ttroMM. 3~9
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MiUefMd. SM PetorsiMe, t~
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