DESCARTES Discours Méthode

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DESCARTES, Discours de la méthode : Pour bien conduire sa raison, et

chercher la vérité dans les sciences.

Ce livre est un discours dans lequel le penseur met en avant une méthode pour trouver la vérité. Sa
rédaction est assez autobiographique car elle correspond à son cheminement de pensée. Sa méthode
au fur et à mesure du Discours est de n’accepter que les faits absolument certains afin d’avancer dans
la vérité en allant du plus simple au plus compliqué. On y retrouve à la fin du Discours la vérité
indubitable du cogito ergo sum, je pense donc je suis qui est la conclusion à laquelle le philosophie
aboutit.

Ayant eu une révélation entre l’accord posible entre philosophie, mathématique et science de la nature,
Descartes se donne pour objectif de trouver une méthode qui permet de réorganiser les savoirs à partir
des fondemets nouveaux Il s’intéresse à la méthaphysiqe.
Ce dernier est un contemporain de Blaise Pascal: XVIIè siècle.

Plan de l'ouvrage :

 Première partie : considérations sur les sciences


 Seconde partie : principales règles de la méthode
 Troisième partie : règles de la morale issues de la méthode.
 Quatrième partie : preuve ontologique de l'existence de Dieu et de l'âme humaine.
 Cinquième partie : petit traité d'anatomie : distinction entre l'homme et la bête.
 Dernière partie : Considérations diverses

Résumé & Analyse :

1.Chacun d’entre nous est doté de bon sens c'est-à-dire de raison, autrement dit la capacité à
raisonner de juger des choses et de dire ce qui est souhaitable et ce qui ne l’est pas et de
même de distinguer le vrai du faux. Descartes aborde le thème de la raison et de la
spécificité de l’homme. Il s’efforce de résoudre le problème de savoir comment les hommes
peuvent soutenir des opinions divergentes alors qu’ils sont tous dotés également de la même
raison. L’enjeu de ce texte est la recherche de la vérité. Pour résoudre ce problème, l’auteur
soutient la thèse selon laquelle si tout homme est pourvu de raison, tous ne conduisent pas cette
faculté avec la même efficacité.

Comment si nous sommes tous égaux en matière de raison comment se fait-il qu’on a des
opinions aussi divergentes ?

Réponse : Nous ne conduisons pas notre raison tous de la même manière : « nous conduisons
nos pensées [….] l’appliquer bien ». Par là, il veut dire qu’un jugement erroné ne trouverai pas
pour origine un défaut de la raison mais plus un défaut de la méthode.
Donc s’appliquer à trouver la bonne méthode est la quête de Descartes dans cette œuvre.
Lorsque Descartes cite « mais je ne craindrai pas […..] d’atteindre » il se met en quête d’une
méthode qui serai vertueuse par elle-même. La méthode de Descartes doit permettre à tout
homme qui l’utilise d’être conduit mécaniquement, de manière évidente à la vérité.

Descartes nous explique que plus il avançait dans sa connaissance des lettres et plus il
découvrait l’étendu de son ignorance. Le paradoxe de Pascal : Plus il en savait moins il en
savait. Ne dit-on pas que la science pose plus de question qu’elle n’en résous ? Plus celle-ci
avance/progresse, plus elle met des continents inexplorées mettant en exergue l’étendu de
l’ignorance humaine.
4. Résumé :

Métaphysique : science des causes 1ère et des fondements de la connaisance de ce qui rend
possible à la fois, le monde et la connaissance que nous pouvons en avoir.
La métaphysique requiert une certitude absolue, sans cela, on ne peut rien bâtir de solide, et
les sciences elle-même auront des bases fragiles où allons-nous trouver cette certtitude ?

Hypothèse :

Dans nos 5 sens ?


Rep : Qui nus trompe, et nous conduit souvent en erreur souvent.
Dans la pensée ? Mais quel pensée ?
Rep : Beaucoup d’idée et de mot dans notre esprit sont faux ou mal défini.

Le fameux mot ‘cogito ergo’ est une pensée absolument certaine dont on ne peut douter et sur
lequel, on va pouvoir bâtir tout le reste de la métaphysique, voir des autres sciences.

L’évidence : cest ce que je conçoit clairement comme je conçois clairement que j’ai une âme qui
pense Ou encore comme je distingue l’âme différent du corps.
Descartes ne veut pas qu’on le confonde avec les sceptique’ qui ne doutent que pour douter’
Lui ne doupe pas dans le vide mais pour arriver à ses propes conclusions.

‘penser c’est être’ : cogito ergo sum (dualisme corps et esprit).

De plus il démontre l’existence de Dieu


puisque l’homme a des perfections, il les tire forcément d’un être, plus parfait que lui, lequel ne
peut-etre d’autre que Dieu.

*or l’existence d’un Etree parfait est incluse dans les idées même de cet Etre, c'est-à-dire,
léquidistance des points d’un cercle par rapport au centre ( dans l’idée meme du cercle).

Le cogito de Descartes :

Il est séduit par la certitude que l’on retrouve dans les raisonnements mathématiques 2+2=4.
C’est indubitable. Il imagine donc de refonder la science et la philosophie dans le but de
parvenir à cette certitude de type mathématique. Tout construction requière des fondations
solides pour tenir debout. Descartes va chercher une vérité 1ère qui ne sera jamais remsie en
question. Donc il va douter de tout.

Peut-on s’appuyer sur les sens, l’expience sensorielle pour penser avec certitude ?
Rép : Non, car les sens nous trompent.
Ex : le fait de plonger un bâton dans l’eau, nos yeux, nous rapporte le message qu’il est brisé ;
alors qu’il s’agit d’une simple illusion d’optique.

Descartes utilise l’argument du ‘’malin génie’’. Et si un malingénit voulait me tromper


volontairement, et si Dieume trompait ? Restaerait-il un vérité dont je puisse douter ?
Pour trouver cette réponse de vérité 1ère, il s’appuie sur l’argument d’un philosophe du moyen-
age St Augustin d’Hippone : IVè siècle ap. J-C(350).
Augustin avait écrit ‘’ si fallor sum’’ : si je me trompe, je suis.
C'est-à-dire que même si tout ce que je pense serait faux, il reste vrai que je suis. J’existe et je
ne peux pas douter de cela. Voilà un ex qui peut résister à tous les doutes.

Séduit par la certitude de cette conclusion. Il adopte une démarche similaire et dit : cogito
ergo sum : je pense donc je suis.

Ce cogito est une réponse à la vérité 1ère .

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