1 Qualité Première Partie (Enregistrement Automatique)
1 Qualité Première Partie (Enregistrement Automatique)
1 Qualité Première Partie (Enregistrement Automatique)
Activités prévues
N.LABJAR
Evaluation des connaissances
N.LABJAR
Qualité
Définitions
Principes de bases
N.LABJAR
1. À la recherche de ce qu’est la qualité aujourd’hui
1.1 Approches empiriques de la qualité
N.LABJAR
Perspective Mode approche de la
qualité
N.LABJAR
1. À la recherche de ce qu’est la qualité aujourd’hui
1.2 Approches normative de la qualité
N.LABJAR
1. À la recherche de ce qu’est la qualité aujourd’hui
1.3 Intégration des définitions empiriques dans les définitions normatives
N.LABJAR
1. À la recherche de ce qu’est la qualité aujourd’hui
1.3 Intégration des définitions empiriques dans les définitions normatives
Quel dialogue avec le client pour définir quelles caractéristiques doit recouvrir la qualité ?
CONSTRUCTION EXTERNE DE LA QUALITE
N.LABJAR
Client Entreprise
Qualité
attendue Qualité
programmée
Qualité Qualité
perçue réalisée
N.LABJAR
N.LABJAR
1 2 3 L ’ espace s ’ insère dans le cercle de la qualité
Besoins clients Qualité 3 programmée. L’entreprise définit sa qualité sur un
périmètre qui ne fait pas partie des besoins du client.
programmée Cette conception est de la surqualité qui a un coût
7 pour l’entreprise. Le client ne voit pas le produit ; il y
est donc indifférent.
6 4
Qualité
réalisée
L ’ espace appartient aux cercles de la qualité
5 4 programmée et de la qualité réalisée. Un produit est
conçu et réalisé mais il ne répond pas à un besoin
client. Le client y est indifférent, il n ’ est pas
demandeur et l’entreprise va subir un fort surcoût.
1 Elle contient les besoins des
clients qui ne sont pas encore pris
en compte. C ’ est une zone L’espace appartient au cercle de la qualité réalisée
d’insatisfaction 5 mais n’est pas inclus dans les deux autres. C’est un
domaine de surcoût sans incidence sur la satisfaction
du client.
2 Le client manifeste un besoin
auquel l ’ entreprise décide de L’espace est intéressant . Un produit ou service est
répondre. L’ entreprise s’ engage 6 délivré au client , correspondant à son besoin. Mais
comme on est extérieur au cercle de la qualité
de façon contractuelle ou pas à programmée , il n’est pas sûr que l’on sache répéter.
répondre à son besoin. Mais C’est la qualité « Coup de chance ».
comme cet espace n’est pas dans
le cercle de la qualité réalisée, le
client est mécontent car on ne lui L ’ espace est idéal . Situé à l ’ intersection des 3
fournit pas le produit ou service
attendue.
7 cercles , le client est satisfait , un produit ou service
correspond à ses besoins. Pour l ’ entreprise, une
commande a été reçue ,réalisé et livré en cohérence
avec les exigences du client.
N.LABJAR
La performance Les accessoires La fiabilité La conformité
N.LABJAR
Construction externe de la qualité
N.LABJAR
Construction interne de la qualité
N.LABJAR
2. La qualité en action
N.LABJAR
Stratégie
Définition d'un système d'objectifs et identification
des facteurs clés de succès
Niveau 1
Stratégie générique de volume Stratégie générique de différenciation
La qualité en tant qu'instrument La qualité en tant que vecteur de modification
de maîtrise des coûts réussie du couple valeur prix
Niveau 2
Pilotage des activités de production Pilotage financier
Mise en place d’un système management qualité Minimisation des coûts non-qualité
Niveau 3
Opérations de maîtrise
techniques de la production
Opérations de maîtrise
organisationnelle
de la production
N.LABJAR
2. La qualité en action
(niveau 2):
Le pilotage
Cohérence
Au niveau supérieur (niveau 1) par la définition d'une
stratégie et de principes généraux d'action adaptés au
contexte ;
Au niveau inférieur (niveau 3) par une action quotidienne
(opérations courantes) conforme à ces principes d'action.
N.LABJAR
Déploiement de la stratégie
2.1 Au niveau de la stratégie d'ensemble
• Pour assurer une maîtrise des coûts il faut mettre en place un certain
nombre d'actions :
il faut promouvoir une production de qualité (qualité intrinsèque,
qualité de production, qualité de certification),
il faut avoir des actions continues dans un certain nombre de
domaines pour maintenir le leadership,
il faut promouvoir des actions commerciales soutenues pour
installer le produit sur son créneau (ex. : les rasoirs BIC avec les
frères CANTONA),
il faut assurer une politique de recherche et développement (ex. : le
type d’encre utilisé par les stylos BIC),
il faut produire sur une assez grande échelle,
il faut assurer une distribution efficace.
N.LABJAR
A - Stratégie de domination par les coûts
N.LABJAR
B - Stratégie de différenciation
N.LABJAR
B - Stratégie de différenciation
N.LABJAR
B - Stratégie de différenciation
• Avantages :
– dégager des marges relativement
confortables,
– pouvoir couvrir les parts de marché les plus
grandes possibles.
• Risques :
– risque d’un écart trop important entre les prix de
l’entreprise et ceux de la concurrence,
– risque d’imitation de la part des concurrents (ex. : le
monospace),
– changement de goût du consommateur.
N.LABJAR
C - Stratégie de créneau, de focalisation de l’activité
(, de concentration ou de niche)
N.LABJAR
C - Stratégie de créneau, de focalisation de l’activité
(, de concentration ou de niche)
N.LABJAR
D - Stratégie de dégagement, de recentrage, de retrait
N.LABJAR
2.3 Au niveau des opérations courantes
2.3.1 Maîtrise technique de la production
C’est elle qui doit permettre ici et maintenant d’atteindre la qualité promise au client
dans les délais requis.
• Deux grands champs sont à maîtriser :
N.LABJAR
1882 France Création du Laboratoire Central d'Electricité
Student met au point des méthodes statistiques pour l'industrie. Elles permettent le
1908 Irlande
traitement des petits échantillons (T de Student).
1945 USA Feigenbaum publie son article " quality as a management ".
N.LABJAR
USA Création de l' American Society for Quality control ( ASQC )
1946
Japon Création de la JUSE sous la direction d' Ishikawa .
Loi US impose l'obligation de respecter des critères d'AQ pour la construction des
USA
centrales nucléaires.
1970
France L' AFNOR lance l'étude des normes relatives à la gestion de l'Assurance Qualité.
Publication du " Manuel des Cercles de Qualité " par la JUSE . Ce manuel rappelant
1971 Japon que les cercles de qualité étaient à la fois des groupes de réflexion et des groupes d'auto-
formation.
EDF impose la mise en place d'une organisation de la qualité pour la construction des
France
centrales nucléaires (160 fournisseurs principaux).
1974
USA Création des premiers cercles de qualité américains , à partir des ouvrages d' Ishikawa .
USA Le français Michel Vigier reçoit le prix de la Division Automobile de l' ASQC (seul non
1977
France américain à avoir reçu ce prix).
Création de l' Association Française pour l'Analyse de Valeur ( AFAV ). Elle a pour
1978 France mission de promouvoir l'utilisation d'analyse de la valeur.
Premiers cercles de qualité aux usines Citroën de Rennes.
1991 L' EFQM ( en collaboration avec l' European Organization for Quality ,
et la Commission Européenne ) crée l' European Quality Award , pour
Europe
inciter les entreprises européennes à jouer un rôle actif en terme de qualité
face aux très puissants Américains et Japonais.
La norme ISO 19011 qui fixe les lignes directrice de l'audit pour
2002 France
les systèmes de management de la qualité.
N.LABJAR
Les gourous de la qualité
N.LABJAR
Deming
• Deming fut largement crédité d'avoir conduit la révolution japonaise
de la qualité. Les japonais commencèrent à suivre ses
recommandations dans la mise en oeuvre, des contrôles statistiques
de process (SPC) ainsi que des techniques de résolution de
problèmes durant les années 50. Il s'écoula plus de trente ans avant
que l'industrie américaine commença à réagir. :
• le message de Deming aux managers américains fut très clair:
N.LABJAR
14 points de Deming
1. Se donner des objectifs fermes pour améliorer le produit et le service, pour devenir
compétitif, rester présent et créer des emplois.
1. Améliorer le leadership.
N.LABJAR
14 points de Deming
8. Chasser la crainte pour que chacun puisse travailler plus efficacement
pour l'entreprise.
10. Eliminer les slogans, les exhortations et les objectifs qui demandent au
personnel d'atteindre le zéro défaut ou de nouveaux seuils de
productivité.
N.LABJAR
N.LABJAR
JURAN
1. qualité de la conception,
2. conformité aux spécifications,
3. disponibilité,
4. sécurité,
5. Champ d’utilisation
N.LABJAR
COQ : Coût d’obtention de la qualité
N.LABJAR
Coûts des défaillance internes:
N.LABJAR
Coût des défaillances externes
Préventif Préventif
Détection
des erreurs Détection
des erreurs
Curatif
Curatif
Bénéfice
N.LABJAR
Grosby
• Crosby parle de qualité en tant que :
"conformité à des exigences" et tout produit répondant à ces critères sont déclarés de haute
qualité
De ce fait,les objectifs de qualité sont à atteindre par la prévention et non par le constat
après coup. C'est Crosby qui a initialisé le concept du zéro défaut.
La perfection était possible quand elle était effectivement attendue.
Pour Crosby, le zéro défaut devint une méthode de management standard et non pas,
simplement, une démarche de motivation du personnel.
Reporting du
Le responsable de la
Limité à: Leader qualité en place. département
qualité est un Le RAQ appartient à la
Niveau d'organisation de production,con Actions limitées à qualité vers la
cadre. Actions direction, focalisé
la qualité ception, l'évaluation et au Direction,
préventives sur la prévention
évaluation et tri tri participation au
fortes
management
Coût de la non-qualité en
Détectée 5% Détectée 8% Détectée 6,5% Détectée 2,5%
pourcentage des Environ 20%
Effective 15% Effective 12% Effective 8% Effective 2,5%
ventes
Poursuite du
Programme en 14 programme en 14 Actions continues
Actions d'amélioration de Pas d'actions Réactives et court
étapes en cours étapes et entrée d'amélioration de
la qualité planifiées terme
d'implantation dans la zone des la qualité
certitudes
Du fait de l'engagement
du management
et des
Nous ignorons Nous savons pourquoi
programmes
pourquoi nous Aurons-nous toujours Prévention permanente nous n'avons pas
Bilan de l'attitude de d'amélioration de
avons des des problèmes de contre les de problèmes
l'entreprise la qualité,
problèmes de qualité? défauts relatifs à la
identification et
qualité qualité
traitement des
N.LABJAR problèmes
qualité
Terminologie
N.LABJAR
Système : Management : Direction : personne
ensemble d’éléments ou groupe de
corrélés ou interactifs Activités coordonnées pour
personnes qui oriente et
orienter et contrôler un contrôle un organisme
organisme au plus haut niveau
Système de management:
Système permettant d’établir
une politique et des objectifs Politique qualité :
et d’atteindre ces objectifs Orientations et intentions
générales d’un organisme
relatives à la qualité
Système de management
de la qualité:
Système de management Management de la qualité:
permettant d’orienter Activités coordonnées pour Objectifs qualité :
et contrôler un organisme orienter et contrôler un organisme Ce qui est recherché ou
en matière de qualité en matière de qualité visé , relatif à la qualité
N.LABJAR