Diaspora Africaine en Afrique (Récupération Automatique)

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Plan

Introduction

I. -Origine et Définition

1-Origne

2-Définition

II. Les causes de la diaspora africaine en Amérique

1. L’esclavage

2. La migration

III. Les difficultés rencontrées de la diaspora africaine en


Amérique

1. La ségrégation

2. Les inconvénients de la migration en


Amérique

IV. La contribution de la diaspora africaine

1. Apport pour l’Amérique

2. Apport pour l’Afrique

V. Les perspectives sur la question de la diaspora africaine en


Amérique

Conclusion

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Introduction

Une diaspora est la dispersion d’une communauté ethnique ou d’un peuple à travers le
monde. A cet effet, la traite négrière transatlantique constitue la plus grande migration forcée
de l’histoire. Pendant près de quatre siècles (du XVème au XIXème siècle) environ 12000 000
d’Africains ont été déplacés de force de leurs pays pour être réduits en esclavage. C’est en
Amérique que l’on observe le plus d’esclavages environ 95%. Cette migration forcée et massive
de personne a changé radicalement le paysage génétique du nouveau monde. A la suite de notre
travail, nous montrerons d’abord les causes et les difficultés rencontrées de la diaspora africaine
en Amérique. Ensuite, nous évoquerons les combats pour l’égalité des noirs à l’Amérique.
Enfin, nous apporterons la contribution de la diaspora africaine ainsi que la perspective pour
l’amélioration de ce phénomène.

I-définition et origine

1-définition

Une diaspora est la dispersion d’une communauté ethnique ou d’un peuple à travers le
monde. A l’origine, ce terme ne recouvrait que le phénomène de dispersion proprement dit
aujourd’hui, par extension, il désigne aussi l’ensemble des membres d’une communauté à
travers plusieurs pays. Autrement dit la diaspora Noire ou africaine désigne l’ensemble des
populations descendantes des esclaves transbordés depuis l’Afrique aux Amériques dans le
cadre du commerce triangulaire dirigé par les puissances européennes entre le XVIème siècle et
XIXème siècle.

2-Origine

Les premières diasporas sont les diaspora grecques de l’antiquité : ainsi la diaspora
phocéenne, de la cite de Phocée, fonda Massalia vers 600 avant J.C, le future Marseille. En
français, le mot fut d’abord employé pour la diaspora juive comme l’indiquent l’encyclopédie
Larousse et le dictionnaire du CNRTL.

Le terme fut repris au XXème siècle pour designer d’autre communauté telles que les
diaspora russe, arménienne, irlandaise, africaine….

La diaspora en étant qualifiée soit ‶noir″ soit ‶africaine soit encore de transatlantique″
répercute un débat à la fois académique et politique ou la place accordée à la ‶race ″ à
l’esclavage et à ‶l’Afrique″ devient constitutive des positions adoptées cette conférence vise

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ainsi à établir un panorama historique des principaux repères qui oriente la destinée des
populations africaines et de leurs descendants aux Amériques.

L’intérêt accordé à l’usage même de la notion de diaspora se destine en outre à montrer


comment les variations sémantiques autours d’un terme se font l’écho de l’histoire de la
population que celui-ci désigne et des manières plurielles de mettre l’histoire en récit.

II . Les causes de la diaspora africaine en Amérique

1-l’esclavage

La découverte du nouveau monde et sa colonisation par les grandes puissances maritime


européennes accélèrent le processus de façon exponentielle. L’exploitation des richesses et des
territoires de l’Amérique demande une main d’œuvre abondante pour alimenter mines et
plantations .ni les émigrants européens, trop peu nombreux, ni les indiens, décimés par
l’exploitation et les maladies, ne suffisent à la tâche, se met alors en place dès le XVIéme siècle,
un commerce transatlantique que l’on a appelé « commerce triangulaire » : des négriers
européens partent d’Europe avec des marchandises manufacturées qu’ils échangent sur les côtes
d’Afriques contre des captifs fournis par certains royaumes et negriens africaines.

Les navires européens transportent ensuite leur marchandise humaine à travers


l’atlantique, dans un terrible voyage que certains historiens ont nommé la grande déportation.

Les captifs sont ensuite vendus à des colons aux Antilles, au brésil, en Amérique du
nord, mais aussi à la réunion ou à l’ile Maurice dans l’océan indien réduits en esclavage, ils
travaillent sous la contrainte, dans les conditions le plus souvent très dures ; en moyenne,
l’Esperance de vie d’un esclave de plantation ne dépasse pas dix ans. Les marchandises
produites par les esclaves (sucre, café, cacao, coton, tabac…) sont exportées vers l’Europe pour
y être vendus.

Les historiens estiment qui en moyenne, les bénéfices des expéditions de traite sont
compris entre 15% et 20%. La traite contribue à l’essor économique des ports et plus largement
des pays qui pratiquent le commerce d’êtres humains.

Le système atteint son apogée aux XVIIIème siècle entre le milieu du XVème siècle et la
fin du XIXème siècle on entre le milieu du XVème siècle et la fin du XIXème on estime que plus
de 12 millions et demi de captifs furent déporté d’Afrique vers les Amériques et les iles de
l’atlantique plus d’un million et demi de personnes périrent pendant la traversée.

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En Afrique même, d’innombrables victimes moururent lors de capture ou lors de leur
marche vers la cote avant même d’embarquer sur les navires négriers. Le nombre véritable des
victimes de ce commerce criminel ne sera donc jamais connu dans les années 1860, la
population des Etats Unis comptait 31.443.321 d’habitants dont 4.441.830 étaient des noirs.

2- les migrations

Les conditions de vie très difficiles ou les ambitions personnelles et collectives obligent
souvent les populations africaines à quitter leurs pays d’origine pour d’autres ‶cieux meilleurs″
ou d’autres Eldorado réels ou imaginaire. Dans les années 1960, les pays du Sahel (Mali,
Mauritanie, Sénégal), généralement pauvres, accèdent à l’indépendance. Devant de graves
problèmes de chômage, ils mettent en œuvre des programmes de développement qui favorisent
l’émigration de leurs ressortissants vers les anciennes métropoles, Amérique, France, … Dans
les années 1970, une nouvelle politique migratoire favorise l’arrivée des marchands ambulants
du sahel qui sillonnent, outre l France, les Pays Bas, l’Amérique, … Dans la même période,
l’Afrique connaît « l’exode des cerveaux ». Les meilleurs ingénieurs, techniciens, juristes,
médecins, professeurs, chercheurs, scientifiques, artistes, écrivains, etc. africains quittent leur
pays pour l’Europe et l’Amérique de Nord « à la recherche d’un véritable statut, d’une
reconnaissance de la valeur de leur capacités ». Les régimes de dictatures et la crise économique
et sociale, provoquée par les programmes d’ajustements structurels imposés aux pays africains
par la Banque mondiale et le Fonds Monétaire international (FMI) au début des années 1980
forcent des entrepreneurs commerçant et négociant, à prendre le chemin des pays riche (USA).
Par exemple, en Amérique du Nord, les données de ces années estimaient à 16949 le nombre
total d’étudiants, scientifiques et ingénieurs de l’Afrique. Le Canada a accueilli quelques flux
migratoires de cette partie du continent africain.

Nous avons également les causes politiques. En effet, elle porte sur la démocratie
participative et d’inclusion des migrants aux processus de développement du pays d’accueil, le
manque de volonté politique pour l’autonomisation des gouvernements locaux.

Il Ya les causes éducationnelles psychologiques, volontaire diplomatique. Elles sont


relatives au système éducationnel non adapté créant une inéquation Emploi-Formation, le
chômage et au suivisme des autres de la diaspora. Elle concerne, le commerce, le tourisme, la
religion, les études, les visites, les réunions et les migrations diplomatiques.

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III. Les difficultés rencontrées

1. La ségrégation sociale en Amérique

Porteuse de tous les espoirs, la période de la reconstruction qui avait permis l’accès aux
droits civiques s’achève définitivement à peine une décennie après ses débuts et de façon
dérisoire quand les enjeux politiques pour la présidence des Etats-Unis, en 1877, sont l’occasion
d’un marché. Pour gagner les voix précieuses des grands électeurs du Sud que sont le
« Bourbons » ayant fini par reprendre le pouvoir, les républicains promettent le retrait des
troupes fédérales des Etats du Sud. C’est la porte ouverte au retour à une idéologie raciste
virulente. Elle se met en place peu à peu au travers de lois primant la séparation des races.
Connu sous le nom de « loi de Jim Crow » (Jim Crow étant une désignation péjorative du noir),
ce processus législatif installe les ségrégations complète dans la plupart des Etats ex-confédérés,
où les noirs doivent être séparés des blancs dans tous les espaces publics. Le mariage entre races
est interdit, les relations sexuelles interraciales soumises à des peines. L’institutionnalisation de
la ségrégation est acquise quand la cour suprême, garante de la constitution, au lieu de faire
respecter l’égalité des droits sans distinctions raciale (15ème et 14ème amendement), entérine le
dispositif au cours de déclarations successives. Celles-ci affirment d’abord l’existence de deux
citoyennetés, l’une fédérale et l’autre propre à chaque Etat (1873), laissant ainsi une grande
marge de manœuvre aux Etats pour fixer les termes des droits civiques. Elles déclarent ensuite
l’interdiction de discrimination raciale comme ne relevant pas des compétences du
gouvernement fédéral quand elle est pratiquée individuellement (1883). Autrement dit, il
n’existe plus aucune protection contre le terrorisme des individus agissant dans des groupes
« privés » comme le Ku Klux Klan. C’est aux Etats à faire la loi en ce domaine. Enfin, l’arrêt
« Plessis contre Ferguson » de 1896 apporte son soutien aux principes du « séparé mais égal »
du moment que les noirs bénéficient de commodités à celles des blancs.

2. Les inconvénients des migrations en Amérique

Les émigrants qui quittent leur pays pour chercher du travail ne sont actuellement
pas suffisamment protégés par le droit international. Parfois, pendant de long mois, de jeunes
africains, hommes et femmes, risquent tout, y compris leur vie, pour entreprendre un périlleux
périple qui leur fait traverser des dizaines de frontières et les dangereux courant de la

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méditerranée à la recherche d’une vie meilleure dans le Nord. La diaspora africaine en
Amérique est ainsi confrontée à plusieurs difficultés qui sont entre autres :

• La pénurie de main d’œuvre dans les zones d’accueil.

• Les pertes en vie humaine lié souvent aux migrations clandestines et aux conditions d’hygiène
déplorable (manque de nourriture, eau potable, l’absence d’accès aux soins).

• Les expulsions : chaque années les autorités demandent le départ de certains étrangers. Ceux
qui refusent d’obtempérer sont expulsés. Ce fut le cas en 1987, de 382 touristes africains, 242
étudiants, 19 membres d’équipages et 11 passagers clandestins des nigérians, ghanéens et
nigériens pour la plupart. Dans l’immense majorité des cas, les expulsés le sont pour infraction
à la loi sur le titre de séjour : visa touristique périmé, emploi sans visa de travail. Les expulsions
pour cause « d’anarchisme » et de subversion sont rares chez les africains.

• Du point de vue social, nous avons dans les pays d’accueil, l’accroissement des minorités
ethniques qui engendre des phénomènes de racismes et de xénophobie. Elle entraîne également
dans la modification du droit de circulation des personnes d’autres branches du droit influencés
par la présence d’étranger (Droit de l’Homme, Droit International Privé, Droit familial, Droit
social et administratif, Droit pénal,)

• Les migrations hautement qualifiées (on parle de Brain drain, drainage des cerveau) contribuent
à augmenter le niveau de qualification du pays d’accueil (Amérique) tandis que les migrations
faiblement fournissent une main d’œuvre peu coûteuse.

IV. Contribution de la diaspora africaine en Amérique

1. Apport pour l’Afrique

La diaspora et les migrants aident leurs proches depuis des années, comme l’illustre
l’ampleur des fonds qu’ils envoient chaque année dans leur pays d’origine ; Au-delà des
transferts d’argents, leur contribution pouvait avoir un impact non négligeable sur le
développement.

Selon la banque mondiale, l’épargne de la diaspora, qui s’élève à 53 milliards de dollars


par an est supérieur aux envois de fonds annuels vers le continent et est principalement investie
ailleurs.

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« Si l’on pouvait convaincre un membre de la diaspora sur dix d’investir 1000 dollars
dans son pays d’origine, l’Afrique collecterait ainsi 3 milliards de dollars par an pour financer
le développement » ont écrit Dilip Ratha et Sonia Plaza dans le rapport 2011de la banque
mondiale, la diaspora pour le développement en Afrique. De nombreux africains vivant en
Amérique ont un profond sentiment d’attachement à leur pays d’origine et veulent contribuer à
son développement. Selon le docteur Girma Tefera, président de l’Ethiopian-Américain
Docteur Group (EADG), basé aux Etats Unis, les professionnels appartenant les choses dans
leur pays d’origine grâce à leur expertise et à leur compétence.

« La motivation première de nombre de mes collègues est de redonner à la société de


leur pays d’origine dans son ensemble » a dit M.Tefera en parlant des 161 médecins éthiopiens
travaillants aux Etas Unis qui se sont engagés à donner leur temps et de leur argent pour un
projet de l’EADG consistant à construire un hôpital ultramoderne à Addis Abeba.

Gaetan Getafe, président du réseau de la diaspora Rwandaise aux Etats Unis, estime que
les africains installés à l’étranger cherchent ce qu’ils peuvent donner, mais également ce qu’ils
peuvent obtenir en retour. « Nous pensons à la manière d’investir notre argent, d’être le lien
commercial entre ici et notre pays d’origine » a dit Getafe à IRIN

Les individus, groupes ou réseaux de la diaspora renvoient de l’argent de leur pays de


diverses manières, par le biais de l’entreprenariat, d’échanger de compétences et de techniques
d’un renforcement de liens commerciaux, de fondations philanthropiques, d’investissements et
de liens relatifs au patrimoine et au tourisme.

2. Apport pour l’Amérique

− Sur le plan économique

Les Noirs ont permis l’expansion du continent Américain. En effet, la force du travail
des Noirs a littéralement propulsé l’économie des pays d’outre Atlantique, il s’agit
essentiellement des états côtiers Latino-Américain du Brésil surtout les ILES dites continentales
et de l’Amérique du nord. L’économie brésilienne s’est construite à partir des millions des noirs
qui travaillaient dans les plantations. Également, la richesse initiale Américaine s’est construite
à partir du roi coton dont les Etats du sud assureront 75%de la production mondiale. Le travail
gratuit des esclaves rapportera plus de 60% des recettes d’exploitations des USA. Ainsi, donc
c’est la sueur, les larmes et le sang des millions d’esclaves qui ont permis, il y a un siècle et

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demi l’accumulation primitive des capitaux nécessaires au décollage de la puissance
économique Américaine.

A l’instar au temps esclavagiste, les diasporas africaines d’aujourd’hui apportent


beaucoup aux USA. Un nombre considérable de personnes intelligentes et compétentes
originaires d’Afrique subsaharienne suivant aux Etats Unis. Les immigrés d’Afrique
subsaharienne ont un niveau d’étude plus élevé que l’ensemble des immigrés et que les citoyens
natifs des Etats Unis. Selon un rapport du migration Policy Institute, présenté sous formes de
tableau de données provenant du US Censés Bureau (bureau du recensement des Etats Unis
)40% des personnes originaires d’Afrique subsaharienne de 25 ans et plus avaient une licence
ou un niveau d’étude supérieur en 2016, contre 31% de l’ensemble de la population née à
l’étranger et 32% de la population née aux USA. La même année environ 75% des immigrés
d’Afrique subsaharienne de 16 ans et plus faisaient partie de la population active civile contre
66% des adultes nés à l’étranger et 62% des adultes nés dans le pays. En outre, un pourcentage
élevé de personnes originaires d’Afrique subsaharienne avait un emploi dans les domaines de
la gestion, du commerce de la science ou de l’art. Selon une étude menée par l’organisation
New American Economy, en 2018 seulement les immigrés africains ont gagné plus de 133
milliards de dollars E-U ont payé presque 36milliards de dollars E-U d’impôts et avaient un
pouvoir d’achat d’environ 98 milliards de dollars E-U.

− Sur le plan politique

Sur ce plan, la présence des noirs a joué un rôle non négligeable. En effet, les noirs ont
participé aux mouvements d’indépendance en Amérique Latine. Ils se sont soulevés dans
différentes colonies. C’est l’exemple de Toussaint‒LOUVERTURE qui dirigea la révolte à
Saint Dominique en 1691 et déclara l’indépendance de l’Ile en 1800. Il fut également le
fondateur de la république d’Haiti , première république noir. Ensuite l’abolition de l’esclavage
fut l’origine de la guerre de sécession entre le nord, région industrielle qui souhaitait l’abolition
de l’esclavage et la région du sud, région de planteur qui y étaient opposé. Enfin l’abolition de
l’esclavage a donné naissance à des formes de politiques racistes visant à enrayer les noirs de
la cité Américaine tel que le Klu-Klux Klan.

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V. Perspectives sur la question de la diaspora africaine en Amérique

La diaspora peut constituer un potentiel de ressources tout comme elle peut représenter
un défi pour les gouvernements des pays d’origine, notamment dans les situations de conflit,
où elle peut avoir une certaine influence. Le pays d’origine peut tenter de limiter son influence
en empêchant la transmission d’idées, en particulier dans les régions fragilisées et touchées par
les conflits. Ainsi l’on se pose la question sur quelle forme prendra la participation des diasporas
en période de bouleversement mondial constants, de progrès techniques et disparités
démographiques croissante entre le Nord et le sud de la planète ?

Cependant il est de nécessaire pour les gouvernements (des pays d’accueil, et d’origine)
d’adopter une vision plus large et plus ambitieuse et de planifier la participation de la diaspora
à long terme afin de garantir de futurs investissements. Quelques éléments de base sont
envisagés à savoir :

➢ La génération : les dirigeants doivent envisager dès maintenant la participation de


la diaspora de manière inter générationnelle, une vision actuellement absente dans
les nombreuses activités des plans. Quelle relation entretient la première généra-
tion avec la seconde et les suivantes ? Peut-elle se prolonger au-delà du cadre
habituel ''devoir ’’ familial ? Qu’avons-nous à offrir à la diaspora en retour ?

➢ Inclure régulièrement les questions relatives aux diasporas dans les débats publics
nationaux, de manière à accroitre la visibilité et à favoriser l’inclusion des com-
munautés dispersées dans les affaires nations.

➢ Evaluer les impacts des politiques d’engagements des diasporas de manière sys-
tématique pour toutes les destinations et dans le temps, afin d’améliorer la con-
ception, la mise en œuvre et l’efficacité des politiques

➢ Former les cadres des affaires étrangères aux questions liées à la migration, afin
de valider l’inclusion des affaires de la diaspora dans les agendas consulaire et
sensibiliser à l’importance d’aller au-delà de l’assistance consulaire tradition-
nelle.

➢ Améliorer la coordination entre les organismes d’Etat qui traitent des aspects
différents mais interdépendants de la politique des diasporas (par exemple, les
aspects économiques, financiers, politiques, culturels, sociaux et d’éducatif) ainsi

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qu’entre les institutions dans les pays étrangers (à savoir ambassades, les consul-
tants et autres.

Conclusion

Au terme de notre analyse nous pouvons dire que la diaspora africaine en Amérique
remonte d’une part par l’esclavage car pour la mise en valeur des territoires, les colons ont eu
besoin d’une main d’œuvre servile d’où l’essai des indiens qui s’est avéré improductif du fait
qu’ils ne se tardaient à s’enfuir. D’autres part, les causes sont dues par la migration des Africains
en Amérique pour des meilleurs conditions de vie ou pour des raisons d’études ...Cependant, la
diaspora africaine en Amérique est confrontée à plusieurs difficultés dont la ségrégation raciale,
la xénophobie etc. Par ailleurs de multiples mesures sont envisagés pour l’amélioration des
conditions de vie de la diaspora africaine en Amérique et du fait qu’elle contribue au
développement de l’Afrique (pays d’origine) des actions sont prises par les gouvernements pour
plus de coordination et de participation de la diaspora.

Source

➢ https/the conversation .com.cdn.amp project.org/v/s the conversation ‒


com/amp/diaspora ‒le potential ‒ de developpement ‒sous ‒estime.de l’Afrique

➢ la diaspora africaine dans les amériques WWW. Cairn info

➢ diapora africaine fr ‒m‒wikipedia.org

➢ the futur of diaspora Inside ‒FR‒O PDF

➢ the diaspora hand book French www . migration policy .org

➢ https /www. Equal times ‒org /pour les migrations africaine ?

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