Paratxte

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Introduction générale.

I)-Définition du paratexte.

II)-les types du paratexte :

1)-le paratexte auctorial :

a- le péritexte

b– le titre

c– les fonctions du titre

2)-Interprétation du titre de l’œuvre

3)- le paratexte éditorial

4)-Epitexte:

a)-L’épitexte auctorial :

-l’épitexte public.

-l’épitexte privé.

b)- L’épitexte éditorial

Conclusion
Introduction générale.
A travers l’histoire littéraire, rares sont les œuvres qui se sont présentées à l’état
nu, sans l’accompagnement d’un certain nombre d’éléments, verbaux ou non. Le
texte littéraire est presque toujours escorté par le nom de l’auteur, le titre, la
préface, des illustrations,… dont, jusqu’à aujourd’hui, les critiques littéraires ne
se sont pas encore convenus qu’ils lui appartiennent ou non. Ces éléments
d’accompagnement constituent le paratexte.

Le paratexte est un ensemble de pratiques et de discours très diversifiés qui


gravitent autour du texte à des distances plus ou moins variables. Pour Gérard
Genette, il est « ce par quoi un texte se fait livre et se propose comme tel à ses
lecteurs, et plus généralement au public »1

Le paratexte constitue une « zone-frontière » plus ou moins abondante qui aide


le lecteur à intégrer un champ de possibles et à se placer dans la perspective
d’une réception adéquate. On perçoit ici le rôle majeur du paratexte qui, par une
série de signaux (son emplacement, sa date de parution, voire de disparition, son
instance de communication), met en place une stratégie destinée à organiser la
réception du texte. Auxiliaire dévoué à l’œuvre, il renferme un message
dévoilant son caractère essentiellement fonctionnel allant de la simple
information à l’interprétation en passant par l’intention. En d’autres termes le
paratexte est tous les éléments les plus proches du texte et qui contribuent à
l’existence d’un méta-discours ou d’un méta-texte. Dès lors, est paratexte ce qui
est en situation de commenter, de faire remarques sur, faire connaître, expliquer,
nommer, désigner le texte et ce qui gravite autour de lui. Le titre Illusions
perdues du roman de Balzac dont avons affaire ici, par exemple, commente le
texte en le désignant, le nommant d’avance. Tous les autres éléments
paratextuels à savoir, les sous-titre, les intertitres, la table des chapitres, les notes
en bas de page, les dédicaces, les épigraphes, les préfaces, les postfaces, les
avertissement, etc., commentent d’une façon ou d’une autre le texte, en plus
des fonctions qui incombent à chacun d’eux.

Il s’avère légitime de s’interroger sur l’existence du paratexte, est-ce qu’elle est


tributaire de celle du texte, ou non. Hélène Amrit affirme que « ces micro-textes
dépendent, d’une certaine façon, du texte. Sans le texte, point d’existence
possible. Le texte fini, inachevé, en cours d’élaboration ou à l’état de projet est
la matrice qui engendre ces éléments paratextuels.»2
1
Gentte G. Seuils, Seuil, 1987, p. 7-8.
2
Amrit H. Les stratégies paratextuelles dans l’œuvre de Réjean Ducharme, 1995, Série Littéraires, Vol. 2, P. 16
I)-Définition du paratexte.
Pour Gérard Genette, la paratextualité désigne la relation du texte au hors-
texte du livre lui-même : titres, sous titres ; intertitres, préfaces, postfaces,
avertissement, notes, épigraphes, illustrations, bande, jaquette, couverture et
aussi « avant-texte » (brouillons, esquisses…) comme on le voit il s’agit d’un
ensemble hétérogène comprenant des éléments verbaux et non verbaux présents
dans le livre ou précédant la version définitive du texte, comprenant aussi des
constituants dus à l’auteur ou dus à d’autres (sous son contrôle ou non, avant ou
après sa mort…) Genette décrit le paratexte comme un seuil du texte, une zone
de passage où celui-ci se fait livre et se propose comme tel à, son public, une
sphère de transaction entre son intérieur et son extérieur.

II)-les types du paratexte :

Gérard Genette distingue deux sortes de paratexte regroupant des discours et des
pratiques hétéroclites émanant de l’auteur (paratexte auctorial) ou de l’éditeur
(paratexte éditorial). Il s’agit du paratexte situé à l’intérieur du livre – le
péritexte – (le titre, les sous-titres, les intertitres, le nom de l’éditeur, la date
d’édition, la préface, les notes, les illustrations, la table des matières, la
postface...) et celui situé à l’extérieur du livre – l’épitexte – (entretiens et
interviews donnés par l’auteur avant, après ou pendant la publication de l’œuvre,
sa correspondance, ses journaux intimes...). Le péritexte n’est jamais séparé du
texte alors que l’épitexte le rejoint souvent a posteriori.

le paratexte auctorial :
Le paratexte auctorial rassemble tous les éléments paratextuels placés sous la
responsabilité de l’auteur. Il est composé d’une part d’un péritexte et d’autre
part d’un épitexte privé et d’un épitexte public.

Le péritexte
Le péritexte:( du grec péri : autour) est constitué par les éléments paratextuels
qui entourent le texte dans un espace qui reste compris à l’intérieur du livre.
Nous incluons ici les pages de couverture, le nom de l’auteur et de l’éditeur, le
titre, les sous-titres et les intertitres, les préfaces et les postfaces, les dédicaces et
épigraphes, les commentaires et les notes en bas de page, la table des matières,
etc.

Le titre

le titre est l'élément le plus important de l’ensemble paratextuel, car c'est le


premier signe que l'œil du lecteur embrasse avant tout autre chose. Le titre c’est
le nom, la désignation d’un livre ou d’un chapitre, d’un article de journal ; d’une
pièce de théâtre, d’un film, d’une œuvre artistique. Les qualités essentielles d’un
titre sont la concision de la forme et la densité du contenu : il doit dire beaucoup
de choses en peu de mots.

Les fonctions du titre :


Une fonction informative : le titre précise quels sont le lieu, l’époque ; les
personnages, le contenu moral ou philosophique de l’œuvre.

Une fonction incitative : le titre, première appréhension de l’œuvre par le lecteur


potentiel doit le séduire, le pousser à lire etc. Il établi ainsi ‘’ un contrat de
lecture ‘’et l’œuvre est censée répondre aux attentes crées par un titre
‘alléchant’ ; cet appétit peut être stimulé par un titre

-poétique ou symbolique.
-humoristique ou parodique.

-énigmatique.

-Provocateur

Une fonction interrogative :’’embrigader’’ ou ’’embrouiller’’ ?

Un titre ; par exemple sans rapport avec le contenu de l’œuvre, interpelle le


lecteur, le titre doit embrouiller les idées, non les embrigader. Le titre ne doit
être univoque et imposer une idée préconçue sur l’œuvre, mais laisser ouvertes
la possibilité de choix, la pluralité de ’’lectures’’.Par ailleurs, certains titres ne
sont pleinement compris qu’une fois la lecture achevée. D’autres ne font
qu’ajouter à la perplexité du public, déjà désorienté par l’œuvre elle-même.

Ainsi ce sont les capacités d’interrogations, ‘’interpellation’’ qui sont ici


privilégiés, celles qui donnent à la lecture, mais aussi à toute contemplation
artistique, une valeur active et créatrice qui en font une re-création.

L’enjeu des titres et des intertitres n’est pas négligeable puisqu’ils donnent un
sens au texte ; une reformulation du titre ou un échange d’intertitres peut
modifier le sens initial d’un texte.

Interprétation du titre de l’œuvre

Comment peut-on lire le roman à partir du titre : ILLUSIONS PERDUES ?

Sans l’illusion où irons-nous (…) l’illusion est une foi démesurée !!

A partir du titre on peut lire le roman comme un roman des illusions ou plutôt
de l’illusion

Dans illusions perdues ; immense est l’empire des illusions. Nul n’y échappe.
Pas même Mme de Bargeton, idéalisant le jeune poète qu’elle a rencontré, pas le
jeune Lousteau, pas non plus David et Eve, pourtant davantage ancrés dans le
réel.

Balzac nous propose, à travers la représentation du regard de Lucien et sa


trajectoire, une véritable pensée sur l’illusion.

Qu’est ce que l’illusion ? En quoi le rapport des hommes aux illusions peut-être
la source d’un romanesque spécifique ? Nous voudrions interroger illusions
perdues à partir de ces questions, en partant de l’hypothèse, que le roman jusque
son organisation narrative, explore cet aspect de l’existence humaine qu’est
l’illusion, en la nouant à la question de l’enchantement selon une perspective
« métaphysique » qu’axiologique.

En fait, l’être illusionné se voit là où il n’est pas, remplit le vide dans lequel il
se meut « la réflexion »Balzacienne consiste ainsi à souligner, en chacun des
épisodes de son récit, la coexistence du vide effectif et originel, et de la
plénitude rêvée et visée. Les multiples évocations des « espérances » des jeunes
personnages, contribuent à préciser le sens de ce mouvement illusoire,
l’espérance « ce sentiment qui fait entrevoir comme probable la réalisation de
ce que l’on désire », relève certes du temps mais en liaison directe avec
l’illusion. De la même façon que l’illusion remplace le vide existant par une
plénitude fantasmée, l’espérance donne un contenu factuel et positif à
l’indétermination du futur.

L’une comme l’autre font du rien un tout. Telle est la conscience des
personnages qu’illusions Perdues représentent.

La couverture :
Dans l’approche du lecteur, il est difficile de séparer le titre de l’ouvrage de sa
couverture. Celle-ci peut contenir non seulement le nom de l’auteur et le titre
seul, parfois une illustration explicitant le contenu (ce qui est en général le cas
d’une première édition) mais aussi une courte biographie de l’auteur, un bref
résumé du roman ou alors on fragment, voire des critiques élogieuses de
l’ouvrage dans le cas (d’une réédition ultérieure) tous ces éléments dépendent de
l’autorité auctoriale que du désir de l’éditeur d’obtenir un succès commercial
auprès du public.

Dédicace

Dédicace : est un phénomène singulier parmi les autres éléments paratextuels.


Son appartenance est double : elle contribue évidemment à la dimension
paratextuelle du roman, mais elle renvoie aussi à l’espace privé et intime de
l’écrivain. Souvent adressée aux personnes les plus proches dans la vie
personnelle, la dédicace laisse entrevoir la transformation de l’auteur concret en
auteur implicite, c’est –à- dire la manière dont un auteur est intrinsèquement
présent à son texte par ses choix d’écriture et par les orientations qu’il donne à
son livre.

L’épigraphe

courte citation en tête d’un livre ou d’un chapitre. L’épigraphe en donne le


ton ; « la présence ou l’absence d’épigraphe signe, à elle seule ; à quelques
fractions d’erreurs près, l’époque, le genre ou la tendance d’un écrit » Gérard
Genette.

Fréquente chez les essayistes du XVII e .s ; l’épigraphe fait ensuite son


entrée dans le domaine de la littérature grâce aux romans gothiques anglais.

Disparue progressivement dans la deuxième moitié du XIXe.s, car jugée


prétentieuse et inutile, l’épigraphe connaît une renaissance dans les romans
historiques de la deuxième moitié du XXe.s, mais sa forme et ses fonctions
changent.

LA PRFACE

Une préface, du latin præ : avant, et fari : parler, est, en littérature, un texte
d’introduction et de présentation qui, placé en tête d’un livre, en fait connaître
les vues ou le plan, prévenir des objections ou répondre à des critiques

La préface est tout texte linaire, il peut être préliminaire ou bien post-liminaire
(au début ou à la fin).

A la place de la préface on peut trouver : introduction, avant-propos, prologue,


note, notice, présentation, préambule, avertissement, prélude, exorde, avant-dire,
…etc.

les préfaces peuvent se multiplier d’édition en édition et tienne compte d’une


historicité plus empirique et concrète.

les types de préface

La préface peut être écrite par :

 L’auteur réel : autographe

 Un personnage de l’action : actoriel

 Tiers personne ( qui critique, un ami …) : allographe

 Personne réel confirmé : authentique

 Personne non confirmé (infirmé) : fictive.

les fonctions de la préface


 Elles sont pour l’essentiel déterminées à la fois par les considérations du
lieu, du moment et de la nature du destinateur.

 Par leurs emplacements préliminaires, elles ont une fonction monitoire :


(avertissement : comment il faut lire ce texte), voici pourquoi ? et voici
comment vous devez lire ce texte?( c’est comme le mode d’emploi)

Le thème du pourquoi ?

C’est la dimension pragmatique : attirer et retenir le lecteur par un appareil


rhétorique de persuasion (le pourquoi pour valoriser le texte et pour influencer le
lecteur).

 Le but c’est de valoriser le texte en montrant essentiellement l’utilité


(intellectuelle, morale, sociale, politique, etc.).

 Cette exposition de l’importance du sujet constitue le principal de sujet.

La préface disait Novalis fournit le mode d’emploi du livre. Le thème commun


étant : « voici ce que j’ai voulu faire ». la valorisation du texte se fait
recommandation et l’information se fait présentation.

Dans le cas des préfaces allographes on trouve:

« moi X je vous dis que Y a du génie et qu’il faut lire son livre ».

Patrick Brethier (l'éditeur)

Pierre Citron(Professeur à la faculté des lettres)


Epitexte

Ce qui distingue l’épitexte du péritexte, est premièrement, le critère purement


spatial : le deuxième accompagne le texte, tandis que le premier se situe hors du
texte. L’épitexte (du grec épi’’sur ‘’ » est défini par Gérard Genette « comme
tout élément paratextuel qui ne se trouve pas matériellement annexé au texte
dans le même volume, mais qui circule en quelque sorte à l’air libre, dans un
espace physique et social virtuellement illimité. »

Il nous faudra ensuite définir l’épitexte éditorial, dont la fonction est


essentiellement publicitaire et promotionnelle de l’épitexte auctorial, qui peut
prendre plusieurs formes. Interviews, conférences et colloques, débats,
entretiens dans la presse ; émissions radiophoniques ou télévisuelles etc.
Constituent l’épitexte public, lettres, journaux intimes, confidences, brouillons
constituent l’épitexte privé.

Il y a une autre différence entre l’épitexte et le paratexte, et elle concerne


sa réception.
Bien que le destinataire de l’épitexte soit habituellement l’auteur du roman,
voire son éditeur ; son destinataire n’est pas le lecteur-vu sa localisation hors
texte-mais un public plus vaste parfois ignorant même de question de littérature,
idéalement le public potentiel. D’où le contexte temporel varié :

L’épitexte antérieur est constitué des témoignages sur les projets de l’auteur,
sur l’œuvre à venir voire sa genèse.

L’épitexte original accompagne la sortie de l’œuvre, en assure la promotion à


travers des interviews, des conférences, des dédicaces.

L’épitexte ultérieur ou tardif comprend toute sorte d’entretiens, colloques,


autocommentaires de toute sorte.

Les études de l’épitexte auctorial ont beaucoup de succès. Il est clair que
les interviews, la correspondance et le journal intime d’un écrivain séduiront
toujours

les critiques littéraires et les éditions savants, qui en incluront une bonne
partie de leurs publications ultérieures. Même le public le plus naïf, attiré par la
frontière entre ce qu’un ’’auteur semble être ‘’et ‘’ce qu’il est vraiment’’, y
trouvera son compte aussi.

Epitexte public

Interviews et entretiens :

Tout d’abord une interrogation s’impose : ya-t-il réellement une différence entre
une interview et un entretien ? Bien que les deux termes soient souvent traités
comme synonymes ; Genette établit entre eux une distinction d’ordre temporel :

«j’appellerai interview un dialogue, généralement bref et assuré par un


journaliste professionnel, commis d’office à l’occasion ponctuelle de la sortie
d’un livre, et portant en principe exclusivement sur ce livre ; et entretien un
dialogue généralement plus étendu, à échéance plus tardive, sans occasion
précise(ou débordant largement cette occasion, si la publication d’un livre ou
l’obtention d’un prix, donne prétexte à une rétrospection plus vaste)est souvent
assuré par un médiateur moins interchangeable, plus ‘’personnalisé ‘’plus
spécifiquement intéressé à l’œuvre en question, à la limite d’un ami de
l’auteur »Gérard Genette, Seuils ;p ;360-361

Dans tous les cas de figure, voila la forme certainement la plus accessible et
le plus courante de l’épitexte auctorial public, qui offre la possibilité de
confronter immédiatement notre vision de l’écrivain modèle avec l’écrivain en
tant que personnage public. Genre relativement récent introduit en Europe à la
fin du XXe.s. La raison d’un tel succès s’explique par le fait que l’interview tout
autant que l’entretien répondent immédiatement aux besoins du marché du livre.
Barthes lui-même grand dispensateur d’interviews et d’entretiens de toute sorte
l’expliquait clairement : « l’interview fait partie, pour le dire de façon
désinvolte, d’un jeu social, auquel on peut se dérober, ou, pour le dire de
façon plus sérieuse, d’une solidarité de travail intellectuel, entre les écrivains
d’une part, et les médias d’autre part. Il y a des engrenages qu’il faut
accepter : à partir du moment où l’on écrit, c’est finalement pour

être publié, et à partir du moment où l’on publie, il faut accepter ce que la


société demande, aux livres et ce qu’elle en fait » .

Le jeu social mentionné par Barthes se base donc sur une certitude : si un
livre a paru, il faut le faire savoir, il faut également divulguer en quoi il consiste,
d’où l’idée d’en parler avec son auteur.

Le colloque :

Bien que la fonction paratextuelle du colloque ou du débat soit comparable à


celle de l’entretien ou d’une interview habilement menée, les deux situations ne
sont pas totalement identiques. D’une part, seuls les auteurs assez célèbres,
peuvent devenir protagonistes dans les colloques littéraires. Même s’il s’agit
d’un auteur ‘’obscur ‘’, le fait de lui consacrer un colloque ou de l’inviter à
participer à un débat prouve que son œuvre et lue et connue. D’autre part le
public de ces colloques est aussi un public spécialisé, qui exige une exégèse
d’un livre que son simple résumé, comme c’est le cas d’une interview
accompagnant une sortie littéraire.

L’épitexte éditorial :

Promouvoir le livre est la raison d’être de l’épitexte éditorial. Il n’est pas annexé
au livre mais lui est associé de façon obligatoire. La publicité nécessite la mise
en place d’une stratégie commerciale ; les catalogues permettent d’émettre des
hypothèses sur le discours des éditeurs et la presse d’édition ajuste cet épitexte
éditorial aux nécessités du moment. Ces trois éléments font partie des moyens
utilisés pour faire cette promotion ; ainsi, les livres faisant l’objet d’une annonce
publicitaire dans les magazines doivent être susceptibles d’intéresser les lecteurs
respectifs de ces magazines.
Bibliographie

• G. Genette, Palimpsestes, Le Seuil, coll. « Poétique », 1982.

• G. Genette, Seuils-Paris :seuil « Poétique », 1987.

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