La MAAF peut continuer à préférer la ouate

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La nouvelle campagne publicitaire de la MAAF inspirée de la chanson "C'est la ouate" n'a pas violé les droits des co-auteurs de la chanson selon la cour d'appel de Paris.

Par contrat d'édition, l'interprète et co-auteur de la chanson "C'est la ouate", ainsi que son compositeur et son co-auteur, ont cédé leurs droits patrimoniaux sur cette oeuvre à une société d'édition musicale. Les ayants droit de cette œuvre ont autorisé l'annonceur publicitaire d'une compagnie d'assurance à modifier le texte original de la chanson : "De toutes les matières, C'est la ouate qu'elle préfère ' C'est la ouate" en l'adaptant de la façon suivante : "Efficace et pas chère, c'est la MAAF que je préfère ' c'est la MAAF !".Constatant que l'assureur avait continué d'exploiter l'œuvre dans le cadre d'une nouvelle (...)

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