Marketa Waasova - Les Strategies D Apprentissage
Marketa Waasova - Les Strategies D Apprentissage
Marketa Waasova - Les Strategies D Apprentissage
Fakulta filozofická
Diplomová práce
Fakulta filozofická
Diplomová práce
Markéta Waasová
Plzeň 2014
Západočeská univerzita v Plzni
Fakulta filozofická
Diplomová práce
Markéta Waasová
Vedoucí práce :
Plzeň 2014
Prohlašuji, že jsem práci zpracovala samostatně a použila jen
který mi věnovala.
Sommaire
1 INTRODUCTION ...................................................................................1
l´enseignement.......................................................................................3
du temps ......................................................................................5
vingt-dix ...................................................................................8
R. L. Oxford .......................................................................17
d´Oxford ............................................................................21
données ............................................................................24
et Chamot ...................................................................................27
6 LA PARTIE PRATIQUE....................................................................64
6.1 Les stratégies d´apprentissage employées dans le manuel
Alter ego – méthode de français .................................................64
6.2 Les exemples des stratégies dans les leçons du manuel Alter ego
– méthode de français ................................................................67
6.3 Résultats de l´analyse : La représentation de la typologie des
stratégies d´apprentissage d´après R. L. Oxford dans le manuel
Alter ego – méthode de français..................................................75
6.4 Résultats de l´analyse : La représentation de la typologie des
stratégies d´apprentissage selon Joan Rubin dans le manuel Alter
ego – méthode de fraçais ...........................................................76
6.5 Résultats de l´analyse : La représentation de la typologie des
stratégies d´apprentissage selon O´Malley et Chamot
représentées dans le manuel Alter ego – méthode de français..77
6.6 Les stratégies représentées dans le manuel Alter ego – cahier
d´activité ......................................................................................78
7 CONCLUSION .....................................................................................80
8 BIBLIOGRAPHIE ................................................................................82
8.1 Bibliographies ............................................................................82
8.2 Citographies ...............................................................................84
9 RÉSUMÉS ...........................................................................................85
9.1 Résumé en anglais ....................................................................85
9.2 Résumé en tchèque ...................................................................86
10 ANNEXES ............................................................................................87
1. Introduction
Pendant toute la vie nous faisons des efforts pour connaître les choses
autour de nous, pour trouver les résultats de nos problèmes, pour faciliter
notre vie. Comme le disent les paroles citées plus haut, l´homme fait des
recherches dans tous les domaines. Et cette activité touche aussi
l´enseignement. Les professeurs et les experts cherchent une méthode
convenable pour faciliter l´enseignement aux élèves. Et c´est un bon moment
pour les stratégies d´apprentissage qui deviennent un moyen pour une
meilleure acquisition des langues étrangères.
Le problème d´aujourd´hui consiste en incapacité des étudiants à
apprendre (Lojová et Vlčková, 2011). Et c´est pourquoi plusieurs auteurs se
concentrent sur ce sujet et publient des livres et des manuels. Bien qu´on
travaille avec beaucoup de matériaux, les informations qui apparaissent dans
ce travail de mémoire seront prises pour la plupart de la publication de P. Cyr,
qui se consacre à cette problématique dans son livre Les stratégies
d´apprentissage. Dans cette publication il y a des avis très intéressants à ce
sujet. On va se concentrer tant que sur la conception du français langue
étrangère (FLE), aussi bien que sur le français langue seconde (FLS). Nous
allons nous concentrer sur le but des stratégies d´apprentissage, la définition
des termes, les facteurs qui influencent les stratégies d´apprentissage. Dans
ce travail, nous allons aussi faire des efforts pour trouver une réponse si´il
existe juste une bonne manière d´enseigner les langues étrangères, juste une
bonne stratégie d´apprentissage ou si´il en a plusieurs. Nous allons présenter
1
„L´envie et la soif de connaître poussent des gens de début à un recherche humain et incessant.“ (traduction de
M. Waasová)
1
des types des stratégies qui étaient étudiées et triées par plusieurs
chercheurs, nous allons présenter un aperçu général de la classification des
stratégies et aussi des classifications différentes d´après les personnages
intéréssés à cette problématique. Nous allons essayer de choisir des
stratégies qui portent le grand sens dans l´apprentissage des langues
étrangères. Esperons que ce sujet, ce travail de mémoire et les résultats
acquis vont non seulement aider les professeurs de FLE, mais aussi les futurs
enseignants.
Ce travail se compose de deux parties. La première partie, c´est une
partie théorique, s´occupe d´expliquer le terme « stratégie d´apprentissage »,
mentionner la classification des stratégies, les facteurs qui les influencent et
les points de vue des auteurs qui s´intéressent à cette problématique. La
deuxième partie, la partie pratique, montre la présence des stratégies
d´apprentissage utilisée dans le manuel et dans le cahier d´activité Alter ego –
méthode de français.
La partie théorique
2
automatiquement. Alors comment nous pouvons aider le second type
d´élèves ?
Qu´est-ce que les stratégies dans l´enseignement des langues? Le terme
des stratégies d´apprentissage est-il nouveau? D´où vient l´intérêt pour les
stratégies d´apprentissage en langue étrangère? Il existe plusieurs questions
qui viennent à l´esprit de chercheurs, linguistes ou lecteurs de ce travail.
3
získávání, zapamatování, zpracování, vybavení a aplikaci různých informací,
např. jazykových poznatků.»2 (Lojová et Vlčková, 2011, p.108).
Les linguistes veulent éfectuer la situation d´apprentissage et aider les
élèves dans le processus d´acquisition de nouvelles informations et c´est
pourquoi ils font des nouvelles connaissances pour apprendre la langue
étrangère, « un ensemble d´opérations pour acquérir, intégrer et réutiliser la
langue cible » (Cyr, 1998, p. 5). Après l´acquisition de nouvelles informations,
l´individu les traite dans sa mémoire, il les laisse absorber et ensuite il est
capable de les récupérer et réutiliser.
Des linguistes se posaient beaucoup de questions et faisaient leurs
efforts pour former des stratégies d´apprentissage. Pour accélérer le travail, la
vie en général, il faut aussi changer et rendre efficace l´enseignement. Et est-
ce que c´est possible? Et si oui, comment? Quel est le mode d´un meilleur
apprentissage? Et qui peut l´influencer, l´enseignant par son style
d´apprentissage ou les points relatifs des apprenants? En général,
l´enseignement est influencé par plusieurs facteurs tels que l´âge, les attitudes
et la motivation, le style d´apprentissage, les facteurs de la personnalité (Cyr,
1998).
Il faut aussi mentionner que nous devons distinguer la différence entre
le terme « langue étrangère » et « langue seconde »3. Il y a la différence entre
l´apprentissage du FLE ou du FLS. Le français langue étrangère nous
montrons aux élèves qui l´apprennent dans son pays non francophone. Par
contre le français langue seconde qui est enseigné aux apprenants
francophones pour lesquels le français est aussi une langue de
communication. Il y a encore d´autres distinctions entre ces deux types
d´apprentissage de la langue et nous allons nous concentrer sur ce sujet dans
le chapître suivant (voir chapître 2.3). Les personnes sentent cette différence
pour la plupart dans la possibilité de faire des exercises approfondis de la
2
« Les stratégies d´apprentissage, ce sont souvent des méthodes conscientes et délibérées que nous
utilisons pour faciliter le processus de gagner, retenir, traiter, évoquer et apliquer des informations, par
exemple des connaissances de langues. » (traduction de M. Waasová)
3
viz chapitre 2.3 Langue maternelle, langue étrangère, langue seconde
4
langue, dans l´utilisation des stratégies sociales qui reflètent naturellement les
conditions d´apprentissage (Lojová et Vlčková, 2011).
Et d´où vient l´intérêt pour les stratégies d´apprentissage? Les
premières mentions appartiennent à partir aux années 1970 (Cyr, 1998). Les
enseignants et les élèves se posent une question : Quelle est la chose la plus
importante dans le processus d´apprentissage? Est-ce qu´il est possible
d´influencer une mesure et une qualité des informations gagnées dans la
mémoire des apprenants? (Lojová et Vlčková, 2011).
La première étude concernante ce sujet était probablement le travail
d´Aron Carton The Method of Inference in Foreign Language Study publié en
1966. Par son travail il amenait plusieurs personnes à s´intéresser à cette
problématique. Il regardait les méthodes d´une façon différente et il arrivait à la
transition d´une attitude behavioriste à une attitude cognitive (Lojová et
Vlčková, 2011). L´attitude cognitive remplit une fonction d´approcher aux
élèves par son système. Cette deuxième méthode accepte l´argument que
certaines choses sont acquises des gens automatiquement (Vlčková et
Lojová, 2011). Il ne faut pas être assis devant le livre avec la grammaire pour
connaître cette règle parce qu´elle vient de la situation, de l´exercice qui est
fait à l´école ou d´expérience dans la vie quotidienne. Les stratégies cognitives
consistent entre autre à pratiquer la langue, recevoir et émettre des
messages, analyser et raisonner des choses et créer des structures (Cyr,
1998). Et c´est la plus grande modification dans le processus d´apprentissage
en comparaison avec l´attitude bahavioriste qui précède. Nous allons destiner
à la classification des stratégies l´un des chapitres suivants.
5
d´enseignant, ses qualités caractéristiques et son accès à l´enseignement. Il
apparaît des personnages qui s´intéressent à ce sujet, qui cherchent, trient et
examinent les stratégies d´apprentissage de plusieurs points de vue. Le but de
ces stratégies est l´identification des stratégies qui sont utilisées à l´aide des
recherches descriptives des élèves à succès. Il y a une idée simple – quand il
existe une stratégie qui aide les élèves à succès dans leur processus
d´apprentissage, nous allons la prendre pour l´offrir aussi aux élèves faibles
(Vlčková et Lojová, 2011).
2.1.1.1 Le sectionnement des stratégies d´après Hans Heindrich Stern
Stern utilise ses points du classement comme la base pour le livre The
good language learner qu´il a écrit en 1978 avec les autres chercheurs -
Naiman, Fröhlich et Todesco. Ici ils distinguent cinq groupes principaux des
stratégies :
1) L´accès actif de faire des devoirs (il faut réviser le vocabulaire, la
grammaire) ; travailler avec la faute – des élèves doivent la trouver, tirer une
leçon de la faute),
6
2) La réalisation de langue comme un système (évaluer le sens, systématiser
la langue, comparer la langue maternelle avec la langue étrangère, penser à
la langue adoptée),
3) L´utilisation de langue comme un moyen de la communication (préférer la
communication continue lors même qu´il y a des fautes dans la conversation,
profiter du milieu en langue étrangère – faire des dialogues avec les locuteurs
natifs, bavarder avec les étudiants étrangers ; prendre en considération la
culture et les habitudes différentes),
4) La direction d´un besoin affectif et
5) Le contrôle du progrès dans la langue. (Vlčková et Lojová, 2011).
7
2.1.1.4 Les recherches des années quatre-vingts et quantre-vingt-dix
Dans les années quatre-vingts évoluent les stratégies qui sont formées
et distinguées par O´Malley et Chamot. Ces deux auteurs classifient des
stratégies d´après leurs fonctions primaires, alors les stratégies
métacognitives, cognitives et socio-affectives. Ces stratégies sont prises plus
utilisables et opérationnelles que les classifications des autres auteurs (voir
chapitre 3).
Le temps intéressant dans l´évolution des stratégies d´apprentissage est
la naissance d´un système d´éducation des stratégies comme par exemple
CALLA – une attitude cognitive à l´enseignement des langues (Vlčková et
Lojová, 2011). On va consacrer le temps à ce sujet dans l´un des chapitres
suivants.
A vrai dire les enseignants quittent un avis qu´il n´y a qu´une seule
méthode pour enseigner et étudier des langues. Cent personnes, cent envies.
Chaque personne est l´individu et d´après ce slogan il faut chercher le mode
d´enseignement pour chacun, il faut essayer plusieurs types d´apprentissage
pour trouver une stratégie qui convient à la majorité quand nous n´avons pas
une possibilité d´enseigner des individus.
2. 2 Les définitions
8
d’une langue étrangère afin d’améliorer leur propre apprentissage » (2)
O´Malley et Chamot expliquent les définitions dans leur livre en tant que «
manières spéciales de traiter l’information qui assurent la
compréhension, l’apprentissage, ou la conservation des informations » (2)
Dans le livre essentiel pour notre sujet P. Cyr définit les stratégies comme
« un ensemble d’opérations mises en œuvre par les apprenants pour acquérir,
intégrer et réutiliser la langue cible » (Cyr, 1998, p. 5). La désignation des
stratégies de J.-P. Cuq/I. Gruca dit que ce sont « des façons d´apprendre qui
sont régulièrement préférées par un individu » (Cuq, 2002, p. 114).
Les stratégies nous accompagnent pendant tout le temps de gagner des
informations. Il s´agit de n´importe quelle stratégie utilisée par des élèves. Ces
méthodes de gagner des nouvelles informations influencent elles-mêmes et
aussi l´accès d´un élève aux autres apprentissages.
Les stratégies d´apprentissage viennent d´un style cognitif. Et comme
nous pouvons voir dans le graphique au-dessous, les stratégies, les
techniques et les résultats d´apprentissage des élèves sont influencés par tout
un style cognitif et par la personnalité des enseignants.
Certaines stratégies sont faites par les élèves, certaines par les
professeurs. « Člověk může své strategie diagnostikovat, měnit a vědomě se
učit nové. Učitel může vytvářet podmínky pro volbu adekvátních, efektivních,
ale i jím preferovaných strategií, může navozovat funkční situace motivující
9
žáky a studenty k nácviku potřebných strategií. »4 (Lojová et Vlčková, 2011, p.
123).
Nous confondons souvent le terme de stratégies et de techniques
d´apprentissage. Il faut distinguer ces deux opérations parce que les
stratégies sont prises comme un terme paronymique, elles comportent des
techniques (Lojová et Vlčková, 2011).
Dans un dictionnaire de pédagogie nous pouvons trouver une définition
des stratégies d´apprentissage qui les indique par des mots suivants :
« Posloupnost činností při učení, promyšleně řazených tak, aby bylo možné
dosáhnout učebního cíle. Pomocí ní žák rozhoduje, které dovednosti a v
jakém pořadí použije »5 (Průcha, Walterová, Mareš, 2013, p. 287). Jiří Mareš
s´intéresse beaucoup à cette thématique. Dans son livre consacré aux styles
d´apprentissages des élèves et des étudiants il mentionne qu´à l´aide des
stratégies des élèves veulent gagner ou éviter quelque chose. Les stratégies
ont plusieurs aspects et l´auteur les divise à un aspect à la tâche, perceptif, de
réalisation, avec une possibilité de choix, un aspect de contrôle et dirigeant
(Mareš, 1998). Chaque vue cache certains éléments positifs pour profiter de
nouvelles informations.
4
L´homme peut diagnostiquer, changer des stratégies et il peut consciemment apprendre des nouvelles
stratégies. L´enseignant peut former des conditions pour le choix des stratégies adequates, effenctives, mais aussi
des stratégies préférées pour lui-même, il peut faire des situations fonctionnelles qui motivent des élèves et des
étudiants pour s´exercer aux stratégies necéssaires. (přeložila M. Waasová)
5
Une succession des opérations pendant le procès d´apprentissage, qui sont placées au rang méthodiquement
pour gagner le but d´enseignement. A l´aide de cette succession un élève décide quelles habiletés et à quel ordre
il les utilise.
10
54). Elle s’intéresse à ce qui se passe entre l’enseignant, l’élève et les
savoirs.
11
Nous distinguons la didactique du français langue maternelle, langue
étrangère ou langue seconde. Le français langue maternelle est une langue
de parole, la première langue d´une personne qui l´utilise sans problème,
naturellement. La différence entre FLS et FLE nous voyons dans le tableau
suivant.
FLS FLE
Langue maternelle non non
Langue parlée dans un pays où l´homme vit oui non
L´accession à un niveau social plus élevé oui non
Langue de scolarisation oui non
Langue enseignée à des non francophones non oui
12
La langue étrangère fait une fonction différente. « Apprendre une langue
étrangère ne signifie plus simplement acquérir un savoir linguistique, mais
savoir s´en servir pour agir dans cette langue et savoir opérer un choix entre
différentes expressions possibles liées aux structures grammaticales et au
vocabulaire qui sont subordonnés à l´acte que l´on désire accomplir et aux
paramètres qui en commandent la réalisation. » (5)
Dans l´enseignement du FLE, l´accent est mis à l´oral. Il faut noter la
phonétique qui est très difficile pour le public tchèque et dans les cours de la
langue il est nécessaire d´automatiser les structures phonétiques.
L´enseignement est adapté aux élèves et les enseignants font les efforts pour
approcher la langue française aux étrangères. Les thèmes de cours se
concentrent pour la plupart sur les situations quotidiennes, par exemple
voyager, faire des achats, les situations au restaurant. Les élèves arrivent au
cours de français (FLE) avec un désir – ils veulent comprendre des gens dans
le pays où ils vont passer leurs vacances ou ils ont besoin de connaître la
langue étrangère pour l´utiliser au travail. FLE et ses enseignants adaptent les
cours et l´enseignement à ces désir des gens, des élèves.
13
stratégies, il est capable de terminer le travail dans le temps plus court et
aussi plus facilement.
Alors pourquoi il est bon d´utiliser les stratégies, quel est leur but ? Les
stratégies appuient l´apprentissage, soit directement, soit indirectement. Cela
dépend des stratégies directes (de mémoire, cognitives, compensatoire) ou
indirectes (métacognitives, affectives, sociales) (Lojová et Vlčková, 2011). Ces
stratégies s´interpénètrent. En utilisation des stratégies directes ou indirectes
nous pouvons arriver au but apprécié.
Le rôle important dans ce processus joue un personnage de professeur.
C´est lui qui guide un élève. L´enseignant s´efforce de donner un plan aux
élèves. Un plan comment utiliser les stratégies. Étant donné que l´homme ne
passe qu´un court temps à l´école ou au cours de langue où l´enseignement
est intensif et l´homme a toujours un contact avec la langue étrangère. Le but
des stratégies, dans ce cas le but des enseignements c´est apprendre les
élèves comment apprendre, comment gagner les informations par la forme la
plus facile. Le but est en général la transition de diriger l´apprentissage par un
enseignant à diriger le procès d´apprendre par un élève lui-même. Un élève
ne peut pas être toujours dépendant d´enseignant. Dans la vie l´homme passe
beaucoup de situation lesquelles il doit résoudre tout seul. Et il n´est pas
possible d´apprendre toutes les choses par coeur. Et c´est un but principal des
enseignants – apprendre leurs élèves l´autorégulation (Lojová, p. 135) cela
veut dire comment dominer la situation tout seul.
14
3 Les classifications des stratégies
15
Orientation Groupe Stratégie
Créer des liens mentaux
Utiliser des images et des
Stratégies
sons
mnémoniques
Bien réviser
Utiliser des actions
Pratiquer la langue
Stratégies directes Recevoir et émettre des
Stratégies cognitives messages
Analyser et raisonner
Créer des structures
Deviner intelligemment
Stratégies
Surmonter ses lacunes à
compensatoires
l´oral et à l´écrit
Centrer ses
apprentissages
Stratégies Planifier et aménager ses
métacognitives apprentissages
Évaluer ses
apprentissages
Stratégies indirectes
Diminuer son anxiété
Stratégies affectives S´auto-encourager
Prendre son pouls émotif
Poser des questions
Stratégies sociales Coopérer avec les autres
Cultiver l´empathie
(Cyr, 1998, p. 32-33)
16
parmi ces stratégies celles, qui sont les plus important ou les plus
productives » (Cyr, 1998, p. 34).
17
déterminons le champ sémantique et nous utilisons des mots clés pour
meilleure orientation dans un texte.
La base de ce type de stratégies consiste aussi à la bonne révision des
nouvelles informations et à l´utilisation des actions. La révision exige des
intervalles réguliers. Certains élèves veulent savoir tout dans le temps très
court, mais le cerveau n´est pas capable d´absorber autant d´informations tout
de suite. À l´autre côté, quand des étudiants ne révisent pas le vocabulaire et
la grammaire de la langue étrangère régulièrement, cela veut dire quand il y a
un grand retard dans leur processus d´apprendre, il est plus difficile de retenir
toutes les informations gagnées dans la mémoire. Il faut travailler avec les
informations, chercher les possibilités pour les utiliser et pour pratiquer la
langue. Ce qui nous mène au deuxième type des stratégies directes – les
stratégies cognitives.
18
Pour la conversation dans la langue, il est important de savoir recevoir
et émettre des messages. La conversation passe en ligne, pour la plupart en
parole. Il faut alors comprendre rapidement. Pour répondre ou poser des
questions nous devons savoir le vocabulaire, le contexte. Pendant la
conversation face à face, nous pouvons nous aider par des gestes ou par la
mimique, mais par exemple pendant la conversation au téléphone, il n´y a pas
le temps pour réfléchir longtemps, nous devons réagir tout de suite.
En cadre des stratégies cognitives il faut savoir analyser et raisonner les
informations dans la langue étrangère. Ce type des stratégies comporte
beaucoup d´activités qui sont connectées. Nous devons déduire, trouver le
sens caché dans le texte ou dans la parole, analyser des expressions – dans
le français autant que dans les autres langues étrangères, il existe des
idiotismes6 et pour la plupart dans ce cas nous devons bien analyser et
traduire les mots. À l´aide nous utilisons la comparaison avec les langues
connues. Nous transférons des expressions à la langue maternelle ou à la
langue proche pour meilleure compréhension.
Nous nous approchons plutôt la parole de la langue, dans la théorie au-
dessus. Par rapport à la forme écrite, il faut penser à créer des structures du
texte. Pendant le processus de lire le texte ou aussi par exemple en
téléphone, ce sont des notes qui nous servent à notre aide. Le travail avec un
texte consiste aussi de souligner des informations importantes et de résumer
le texte en tout. Et c´est la base du travail avec un texte écrit – faire le résumé.
Il ne faut pas comprendre tous, il s´agit de trouver et gagner les informations
pour comprendre le message d´un autre locuteur.
6
les locutions figées; nous ne pouvons pas les traduire mot à mot
19
3.1.1.3 Les stratégies compensatoires
20
3.1.2 La classification des stratégies indirectes dans la division d´Oxford
21
Et parce que tous les stratégies métacognitives sont liées sur l´auto-
cognition, la chose importante dans cette partie d´apprendre la langue est
aussi l´évaluation notre apprentissage. Les stratégies métacognitives sont
basées sur le fait que nous sommes capables de se contrôler et de s´évaluer
(Cyr, 1998).
22
3.1.2.3 Les stratégies sociales
23
Les stratégies d´apprentissage
Les processus
d´entreposage ou de 1. Les stratégies de mémorisation
mémorisation
Comme le titre déjà sous-entend, dans ce type des stratégies nous nous
concentrons sur la compréhension. Sans comprendre la langue et les phrases
d´un locuteur, nous ne pouvons pas répondre et travailler avec la langue.
24
Pour cela il faut tout d´abord clarifier et vérifier la parole. Il y a beaucoup
de modes pour la clarifications – nous pouvons solliciter la confirmation de
notre compréhension de la grammaire ou la phonologie d´une langue. Le
meilleur moyen pour cela sont des paraphrases, des répetitions ou des
explications et des exemples.
Nous devons connaître la grammaire et aussi des règles de langue,
alors il est aussi important de bien comprendre le sens d´un mot, d´un concept
ou d´un point de grammaire en utilisant des ouvrages de référence. La
compréhension fait la base d´utilisation de langue. Nous pouvons l´apprendre
tout seul à la maison, à l´aide d´un livre et des enrégistrements, mais ce qui
est plus productif c´est la visite d´un cours avec un enseignant. Par rapport à
la compréhension et aussi la prononciation qui fait une partie très importante
dans la langue française, nous pouvons observer la bouche d´un enseignant
ou d´un locuteur natif afin de modeler notre prononciation.
Il y a des cas quand nous ne sommes pas sûrs de la compréhension.
Rubin classifie parmi ses stratégies celle qui est basée sur le devinement ou
l´inférence. Nous pouvons deviner le sens d´après le contexte, d´après la
situation ou par exemple d´après les gestes qui sont faits par les locuteurs. Il
faut connecter des informations dans la tête – la culture de langue, les
connaissances antérieures du monde ou de processus de communication afin
d´inférer le sens ou le déroulement d´un acte de communication.
Toujours il faut garder les règles de la langue en général, les règles de
grammaire ou de formation des mots. Dans chaque langue existe des
exceptions. Alors il faut déduire et compter avec ce cas par exemple à l´aide
de résumer ou synthétiser notre compréhension du système de la langue. Et si
nous avons encore le problème avec la compréhension, Rubin mentionne des
stratégies de ressourcment qui nous donnent à recourir à des ouvrages de
référence tels que des dictionnaires, des glossaires et des manuels.
25
3.2.2 Les processus d´entreposage ou de mémorisation
26
Une partie intégrante du processus d´apprentissage par rapport aux
stratégies sociales fait la communication avec un groupe pour essayer de
comprendre la langue seconde. Le travail avec des amis nous assure une
possibilité de pratiquer la langue, à travers tous les domaines de la langue. Il
est bien de visiter aussi des groupes avec des locuteurs natifs pour faire la
conversation ou partages des informations de la langue en général, des
événements socioculturels etc (Cyr, 1998).
Chaque catégorie distingue encore des activités qui sont typiques juste pour
ce types des stratégies et qui nous sous-entendent comment s´approcher du
processus d´apprentissage à l´aide de ces stratégies.
27
Classification des stratégies : Aperçu général
L´anticipation ou la planification
L´attention générale
L´attention sélective
Les stratégies métacognitives
L´autogestion
L´autorégulation
L´identification d´un problème
L´autoévaluation
La répétition
L´utilisation de ressources
Le classement ou le regroupement
La prise de notes
La déduction ou l´induction
Les stratégies cognitives
La substitution
L´élaboration
Le résumé
La traduction
Le transfert des connaissances
L´inférence
La clarification ou la vérification
La coopération
Les stratégies socio-affectives
Le contrôle des émotions
L´autorenforcement
28
3.3.1 Les stratégies métacognitives
29
Ce type des stratégies vient d´un fait que les enseignants sont
responsables de leur comportement en cadre du processus
d´apprentissage. Des élèves sont capables de travailler
indépendamment. Le rôle d´enseigneur consiste à diriger ses élèves à
une bonne réponse ou un bon mode pour faciliter l´acquisition des
nouvelles informations de la langue étrangère.
Par l´intermédiaire de l´autogestion les élèves utilisent et combinent
plusieurs activités pour étudier et réviser leurs connaissances. Un bien
mode se révéle juste enregistrer l´émision et puis la réécuter pour
vérifier la compréhension (Cyr, 1998).
4. L´autorégulation – « vérifier et corriger sa performance au cours d´une
tâche d´apprentissage ou d´un acte de communication » (Cyr, 1998, p.
45).
Les élèves se contrôlent et vérifient leur compréhension, leur
production, leur style d´apprentissage. Ils corrigent eux-mêmes (Cyr,
1998).
5. L´identification du problème – « cerner le point central d´une tâche
langagière ou un aspect de cette tâche qui nécessite une solution en
vue d´une réalisation satisfaisante » (Cyr, 1998, p. 46).
Les enseignants sont capables de trouver et de comprendre le problème
qui apparaît dans l´apprentissage. Ils comprennent rapidement et ils
savent l´expliquer.
6. L´autoévaluation – « évaluer ses habiletés à accomplir une tâche
langagière ou un acte de communication, évaluer le résultat de sa
performance langagière ou de ses apprentissages » (Cyr, 1998, p. 46).
A l´aide de ce type des stratégies, l´apprenant peut évaluer sa
compréhension, sa production, son niveau de compétence à l´oral ou à
l´écrit (Cyr, 1998).
30
3.3.2 Les stratégies cognitives
3. Prendre des notes : « noter dans un cahier les mots nouveaux, les
expressions, les locutions figées ou ritualisées qui peuvent servir à la
31
réalisation d´une tâche d´apprentissage ou d´un acte de
communication » (Cyr, 1998, p. 48).
Avoir un petit aide sous la main nous encourage dans la communication
ou dans les autres activités d´apprendre la langue étrangère.
32
gagnées d´une langue maternelle. Nous pouvons comparer, mais il faut
toujours compter avec le fait qu´ils existent toujours des exceptions et il
n´est pas possible de transmettre tous les verbes ou tous les mots
d´après une seule règle.
Ce type des stratégies est basé sur une interaction avec les autres.
Avec des locuteurs natifs ou avec des collègues en classe. Il s´agit de vérifier
et clarifier des questions, des nouvelles informations gagnées pendant le
33
processus d´apprentissage. Il faut demander la répétition des expressions qui
ne sont pas claires.
Les moments où des apprenants exigent une explication de la
grammaire, du sujet ou des règles apparaissantes dans la langue étrangère
signifient pour les enseignants un fait qu´ils font bien son travail, qu´ils sont
capable de captiver l´attention chez leurs élèves. Ils sont heureux de répondre
aux questions pour approfondir des connaissances des apprenants.
En cadre d´interaction avec les autres étudiants, la coopération prend
une place très importante. Cette activité nous fournit une occasion de
pratiquer la langue en classe. Les apprenants deviennent plus encouragés et
ils gagnent des attitudes appropriées dans la conversation. Il faut dire « qu´en
travaillant ainsi avec d´autres, les élèves risquent d´apprendre des erreurs »
(Cyr, 1998, p. 57). Certains auteurs (comme Rubin et Thompson) s´opposent
à cette opinion. Il est clair qu´il existe un risque en forme d´apprendre des
erreurs en communication avec les autres, mais la coopération et la
communication avec les pairs apportent pour la plupart un bénéfice pour les
participants de la parole (Cyr, 1998).
Pendant tout le processus d´apprentissage les apprenants sont
accompagnés par leurs émotions, soit positives, soit négatives. Il faut prendre
conscience de la mesure de ces sentiments et se concentrer sur leur gestion.
En exprimant les sentiments nous pouvons atteindre meilleur résultat, c´est un
mode de s´encourager, de se récompenser (Cyr, 1998).
34
baser principalement sur l´un des chapîtres du livre Styly a strategie ve výuce
cizích jazyků de Lojová et Vlčková (2011) pour ce sujet.
Le rôle principal des enseignants consiste à apprendre leurs élèves
comment gagner les nouvelles informations et ensuite comment les utiliser à
la pratique. Cela veut dire développer des stratégies efficaces chez les
apprenants (Lojová et Vlčková, 2011).
Une citation bien trouvée pour cette situation est aussi mentionnée dans
le livre de Lojová et Vlčková (Styly a strategie ve výuce cizích jazyků). Elle
vient de la parole d´un philosophe chinois Konfucius qui dit : « Quand un
homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un
poisson. » Il faut diriger les apprenants à s´auto-réflexion de leur propre
processus d´apprentissage (Lojová et Vlčková, 2011, p. 175).
Et dans cet esprit évolue les stratégies d´apprentissage. Les chercheurs
jettent des regardes rapides dans la recherche d´application les stratégies
d´apprentissage depuis longtemps et dans les années trente de 20ème siècle
ils offrent deux formes des accès à l´apprentissage en nous aidant – un
formalisme didactique et un matérialisme didactique. La question principale
qui se pose de cette méthode de l´infiltration des deux formes consiste à la
transmission des stratégies – directement ou indirectement (Lojová et Vlčková,
2011).
Le point de vue indirecte parle d´une préférence catégorique d´un
contenu des stratégies d´apprentissage. Cet accès apporte aussi
malheureusement des désavantages, à savoir le lien des stratégies acquises
aux cas concrets. Tandis que l´accès direct apprend aux apprenants à
l´optimisation des stratégies qui sont après plus réalisables dans plusieurs
cas. L´inconvénient de ce type de mode didactique peut être un conflit entre
des stratégies déjà connues et celles qui sont nouvelles (Lojová et Vlčková,
2011).
L´acquisition et l´utilisation des stratégies vient d´un bon mode
d´enseigner les stratégies aux élèves. Il faut respecter des groupes des
apprenants, des buts dans le processus d´apprentissage. Chacun perçoit
35
l´interprétation des stratégies et leur contexte différemment. Entre les élèves
apparaissent les différences et c´est pourquoi l´enseignant doit les respecter
et travailler avec elles. Mais l´accès d´un apprenant au processus
d´apprentissage joue aussi un rôle indispensable. Ici nous voyons l´influence
de la conception d´apprentissage (la motivation, le niveau des connaissances,
etc.). L´enseignant expliquerait et présenterait les règles pour utiliser des
stratégies pour la plupart aux élèves avec des déficit dans le domaine
d´apprentissage. Et une méthode qui semble la plus éprouvée est de travailler
avec de petits groupes ou individuellement avec des élèves (Lojová et
Vlčková, 2011).
Il faut faire attention au problème qui peut apparaître de cette situation
d´enseigner les stratégies. De temps en temps l´enseignement des stratégies
n´a pas du tout des résultats ou même des résultats négatifs, par exemple le
changement des stratégies chez les apprenants qui ont déjà leur méthode
pour les utiliser et l´enseignant apporte un nouveau mode de travail. Au début,
la situation peut avoir l´air positif, mais elle peut avoir une influence négative
(par exemple quand un apprenant ne communique pas longtemps dans le
cours de la langue tandis que ses collègues sont capables d´utiliser toutes les
nouvelles informations avec l´utilisation des stratégies gagnées récemment).
L´individualisme entre des élèves se montre aussi au cas d´utilisation des
stratégies – bien que les apprenants moins fortes utilisent les mêmes
stratégies comme leurs collègues, ils ne peuvent pas atteindre le même
résultat (Lojová et Vlčková, 2011).
36
stratégies et que l´enseignant fait des efforts pour expliquer un mode,
comment travailler avec la langue étrangère plus effectivement. L´enseignant
peut choisir une forme d´apprentissage non récurrente pour enseigner les
stratégies. Les apprenants gagnent des informations de l´utilisation, du sens
des stratégies et ils peuvent les essayer. Mais dans ce moment ils ne
connaissent que des tâches langagières où il est possible d´utiliser
exactement ce type des stratégies.
Le regard d´apprentissage des stratégies dans la langue est diffusé pour
les élèves beaucoup plus par l´enseignement de longue durée des stratégies.
Les apprenants peuvent acquérir non seulement toutes les informations
nécessaires pour utiliser et pratiquer la langue étrangère, mais aussi ils
choisissent le transfert des stratégies et des règles aux autres situations
(Vlčková et Lojová, 2011).
Nous pouvons travailler avec le sectionnement de R.L. Oxford qui offre
son modèle d´apprentissage des stratégies pendant le processus
d´apprentissage (Lojová et Vlčková, 2011).
37
9. Úprava 1. Příprava
výuky
strategií
2. Vstupní
diagnostika
8. Evaluace
(sebehodnocení žáků)
3. Výběr strategií
do výuky
7. Realizace
výuky strategií 4. Integrace
strategií do
cílů,
materiálů,
6. Příprava 5. úloh
materiálů Promyšlení
motivace
žáků
Ce modèle formé par cette femme nous bien montre la liaison entre les
phases dans le processus d´apprentissage. La première partie – la
préparation – est une partie clé. Il faut prendre en conscience tous les facteurs
qui apparaissent dans la classe pendant le processus d´apprentissage.
L´enseignant doit se concentrer beaucoup sur cette partie. Il ne suffit pas de
recommander ses modes de travail, mais il faut aussi réagir à plusieurs
besoins des élèves, entre autre leur attitude et leur motivation. À cette phase
du processus d´apprentissage, l´enseignant doit réfléchir toutes les parties, il
7
1. La préparation; 2. La diagnostique d´introduction; 3. Le choix des stratégies pour le processus
d´apprentissage; 4. L´intégration des stratégies aux buts, à la documentation, aux tâches; 5. Réfléchir mûrement à
la motivation des apprenants; 6. La préparation des matériaux; 7. La réalisation d´apprentissage des stratégies; 8.
L´évaluation (la s´auto-évaluation des élèves); 9. L´adaptation d´apprentissage des stratégies (traduction de M.
Waasová)
38
doit prévoir et chercher le rapport entre ces parties. Il faut faire un plan pour
l´apprentissage optimal, alors non seulement la téorie, mais aussi donner un
espace aux élèves pour la pratiquer (Lojová et Vlčková, 2011).
Après la détermination d´entrée qui nous aide à choisir les stratégies
d´après les besoins des apprenants arrive la partie d´un choix directe des
stratégies. Oxford recommande de choisir plusieurs types de stratégies qui se
complètent mutuellement. Elle se penche pour des stratégies utilisables
généralement pour la majorité des élèves et lesquelles ils peuvent
successivmenent appliquer dans les autres situations (Lojová et Vlčková,
2011). Par l´utilisation des stratégies convenables à la majorité, les
apprenants peuvent faire les liaisons et la continuité des stratégies.
Les stratégies orientées vers la première sélection des gens permettent
d´épargner le temps et leur apprentissage peut être fait à long terme. Il est
possible de combiner les deux modes, mais il faut commencer par
l´enseignement des stratégies utilisables pour la majorité et de les tenir
jusqu´au moment où l´enseignant connaît bien ses élèves et il est capable de
choisir l´une ou plusieurs stratégies convenables à leurs besoins pour gagner
le meilleur résultat et rendre efficace le processus d´apprentissage.
D´autre question concernant des phases d´apprentissage des
stratégies apparaît à leur intégration dans le processus d´apprentissage.
Prendre les stratégies comme une partie d´apprentissage a une forme plus
effective qu´enseigner les stratégies séparément (Lojová et Vlčková, 2011).
L´enseignement des stratégies, comme les autres parties dans le processus
d´apprentissage ne doit pas manquer la motivation. Et pour la raffermir, il est
bon d´inclure dans le processus d´apprentissage l´évaluation des informations
acquises. La motivation des apprenants peut être renforcée aussi par la
préparation des matériaux pour le cours de la langue. À l´aide de leur
enseignant, ils choisissent tous seuls les documents ou les moyens
d´apprentissage. Les élèves forment des stratégies inconsciemment et le rôle
d´enseignant consiste ici à décrire, analyser et évaluer leur fonction (Lojová et
Vlčková, 2011).
39
Par l´apprentissage des stratégies l´enseignant démontrerait l´utilisation
et aussi le transfert des stratégies entre les situations. Les apprenants doivent
être informés des fonctions des stratégies, par exemple à l´aide des exercices.
Ils essayeraient de trouver le sens et les liaisons des stratégies de la
présentation d´enseignant, mais aussi des tâches qui sont faites en couple,
avec leurs collègues et chercher là un effet en retour qui peut arriver
successivement à l´adaptation d´enseignement des stratégies (Lojová et
Vlčková, 2011).
40
Nous distinguons certains types de style d´apprentissage. Nous
pouvons mentionner la distinction entre sérialistes et holistes en relation des
styles d´apprentissage. Tandis que « les sérialistes adoptent une démarche
pas à pas, analytique, en s´arrêtant aux détails, les holistes prennent plutôt
connaissance de l´ensemble de la tâche à effectuer avant de traiter des
détails » (Cuq, 2003).
Les apprenants dans la classe n´utilisent pas les mêmes styles
d´apprentissage et chacun réagit par un mode différent au style et à la
stratégie choisie par l´enseignant pour le cours. La différence principale
apparaît pour la plupart l´intelligence, l´appartenance ethnique et culturelle, la
motivation, les connaissances préalables etc. [6] Cela exige un grand effort de
la partie d´enseignant qui ne peut par être passif et qui doit réagir aux besoins
de ses élèves.
Dans la division principale des styles d´apprentissage nous pouvons
inclure un style auditif, visuel et tactile. Le style auditif se distingue par la
préférence d´écoute, de la conversation ou par exemple des chansons. Par
contre le style visuel est préféré par les apprenants qui apprennent à voir le
texte, les dessins, les plans etc. Et le style tactile est aimé par les élèves pour
la possibilité de toucher les matériaux, les sujets utilisés dans le processus
d´apprentissage [6].
J. P. Das mentionne dans son livre Learning strategies and learning
styles la différence entre les styles et les stratégies d´apprentissage (Mareš,
1998). Il compare le style au terme « dessin » et la stratégie au terme « plan ».
Tandis que le style reflète le personnage d´homme, ses connaissances et ses
habitudes de soi-même, la stratégie exprime l´exécution d´un courant des
actions. Tous les deux influencent la résolution d´un problème dans le
processus d´apprentissage parce que ce qui est très important c´est une
bonne compréhension d´un dessin du problème et aussi d´un bon plan de
l´activité de la partie des apprenants.
A la différence des styles, les stratégies d´apprentissage sont des actions
de l´extension plus grande, par lesquelles les apprenants veulent atteidre les
41
meilleurs résultats ou au contraire ils veulent éviter quelque chose (Mareš,
1998). Nous avons déjà mentionné les fonctions des stratégies dans la partie
théorique et il faut ajouter que c´est un enseignant qui transmet les stratégies
aux élèves et qui choisit un style d´apprentissage. Les apprenants les utilisent
(Mareš, 1998).
Il existe plusieurs méthodes comment trier les styles d´apprentissage.
Nous pouvons mentionner celle de L. Curry qui trie les styles d´après les
relations mutuelles. La première composante exprime les facteurs personnels,
ensuite un mode typique qui l´enseignant utilise pour le traitement des
informations et finalement les préférences des apprenants dans le processus
d´apprentissage (Mareš, 1998).
En conclusion nous pouvons dire qu´il existe plusieurs types de styles et
de stratégies. Les enseignants doivent respecter les besoins de ses
apprenants et faire des efforts pour choisir les meilleurs styles et stratégies
dans le cours de la langue qui conviennent à la majorité des étudiants.
42
4 Les facteurs qui influencent les stratégies
d´apprentissage
4.1.1 Aptitude
8
Aptitude et affectivité dans l´apprentissage des langues étrangères
43
deuxième étape dure de 1945 à 1965 et la dernière période s´évolue de 1970
jusqu´à maintenant.
Les chercheurs se concentrent tout d´abord pour la plupart sur un test
d´aptitude d´après lequel ils mesurent l´aptitude générale. Ce test est essayé
par le latin et il porte sur les analogies linguistiques et sur les connaissances
des mots venants de la langue maternelle. Le test devrait « prédire les
réussites et les échecs des élèves qui seront confrontés à une méthodologie
fixe et bien déterminée. » (Bogaards, 1991, p. 34) La première génération
marquent ces tests comme des tests pronostiques (Bogaards, 1991, p. 35).
Cela veut dire d´après les connaissances prépondérantes dans la langue
maternelle ils déterminent le succès dans la langue étrangère.
Les chercheurs commencent à examiner les succès non seulement au
latin, mais aussi aux langues modernes comme par exemple l´anglais. Il
apparaît des opinions qu´il faut connaître plusieurs facteurs influençant un
succès des apprenants dans l´apprentissage des langues étrangères et qu´il
ne suffit plus la comparaison avec la langue maternelle.
La deuxième période est en signe de développer des tests d´aptitude.
« C´est à cause de l´insuffisance des tests disponibles, mais plus encore en
raison des changements dans l´orientation des objectifs de l´enseignement
des langues, que de nouveaux tests d´aptitude étaient devenus nécessaires. »
(Bogaards, 1991, p. 35) L´aptitude est une caractéristique souhaitable dans
l´apprentissage des langues. Mais qu´est-ce que l´aptitude ? Nous pouvons
utiliser la définition de mot « aptitude » selon Carroll qui dit « qu´il s´agit d´une
caractéristique relativement stable de l´individu, non sujette à des
modifications faciles sous l´influence d´un apprentissage » (Bogaards, 1991,
p. 36). Les chercheurs regardent la corrélation entre l´aptitude et l´intelligence
laquelle est marquée comme d´autre facteur qui influence le processus
d´apprentissage. L´intelligence devient toujours plus demandée.
A partir des années 70, la critique se concentre sur la validité des tests
d´aptitude. Les chercheurs comparent toujours la corrélation entre l´aptitude,
l´intelligence et les autres dons. La réflexion systématique apparait surtout en
44
Allemagne où Mierke distingue des dons spéciaux, comme par exemple des
dons mathématiques, techniques, pratiques etc. Il mentionne aussi des dons
linguistiques, mais il faut dire qu´il ne s´agit qu´au cas de la langue maternelle
(Bogaards, 1991). En général nous pouvons récapituler que « la notion
d´aptitude est vague et scientifiquement inutilisable. L´aptitude à
l´apprentissage des langues est une notion opérationnelle, développées
empiriquement, qui prédit dans quelle mesure et à quel rythme un individu
apprend une langue dans un cadre scolaire, en comparaison avec d´autres
individus» (Bogaards, 1991, p. 41).
4.1.2 Intelligence
45
processus d´apprentissage et est-elle nécessaire d´apprendre des langues ?
Tous les facteurs figurants au processus d´apprentissage influencent son
développement. Comme nous avons déjà mentionné, les chercheurs
comparent beaucoup l´apprentissage des langues étrangères avec le
processus d´apprendre la langue maternelle et sa maîtrise. Mais pendant la
recherche de l´intelligence, il apparaît des faits que si l´élève ne connaît pas
sa langue maternelle à cent pour cent, il n´est pas capable de maîtriser
sûrement des connaissances d´une langue étrangère.
De ce point de vue il est mieux de commencer à apprendre tout d´abord
la langue maternelle et après nous pouvons ajouter d´autre langue. Cette
succession est plus facile pour l´apprenant et elle a plus grand succès. Mais il
faut aussi noter que dans le cas des enfants bilingues la situation change. Ces
enfants sont habitués à écouter plusieurs langues dans un moment, ils ont des
connaissances de ces langues plus tôt et grâce à ce fait ils gagnent une
avance. Nous pouvons dire qu´« aux résultats d´autres études qui suggèrent
l´existence d´une flexibilité cognitive plus grande chez les bilingues comparés
aux unilingues. En fin de compte, il est permis de conclure que l´apprentissage
précoce d´une L2 ne nuit pas au développement cognitif des enfants mais
que, très probablement, cet apprentissage favorise justement
l´épanouissement intellectuel » (Bogaards, 1991, p. 44).
D´autre question concernante la liaison de l´intelligence et
l´apprentissage des langues parle de la nécessité d´intelligence dans le
processus d´apprentissage. Il existe beaucoup d´opinions de plusieurs
chercheurs. Par exemple Morgan affirme qu´« une base intellectuelle est
indispensable à l´apprentissage des langues. On n´a pas besoin de nous
rappeler cela » (Bogaards, 1991, p. 45). Le point de vue de Selinker et
Lamendella dit que « tout individu ayant réussi à maîtriser sa langue
maternelle a l´équipement intellectuel nécessaire à l´apprentissage d´une
langue seconde » (Bogaards, 1991, p. 45).
Il existe beaucoup d´opinions sur le rapport de QI, mais la plus
témoignante paraît celle-ci : « Il y a en effet une corrélation positive entre
46
l´intelligence et l´apprentissage des langues secondes, mais l´importance de
cette relation est plutôt faible et sujette à des variations » (Bogaards, 1991, p.
45). Les chercheurs essaient de pratiquer des méthodes différentes qui
n´arrivent pas de résultats pareils, mais il n´est pas possible d´utiliser toujours
les mêmes méthodes dans tous les cas, nous ne pouvons pas appliquer
toujours un simple calcul de corrélations, parce que chaque individu réagit
différemment et les méthodes satisfaisantes chez les premiers apprenants ne
doivent pas être convenables pour les autres. Jakobovits considère justement
lien entre l´intelligence des élèves et leurs résultats comme un indice de la
qualité de l´instruction (Bogaards, 1991, p. 46). Autrement dit ce n´est pas
toujours la faute d´une partie d´un apprenant qu´il n´est pas capable de
répondre aux questions posées par des enseignants. Il y a plusieurs facteurs
qui influencent tout le processus d´apprentissage et des efforts doivent être
développer non seulement d´une partie des élèves, mais aussi des
enseignants. Les apprenants montrent leur intelligence différemment dans la
vie quotidienne que pendant les tâches scolaires. Des recherches et des tests
peuvent constater que l´intelligence influence le processus d´apprentissage,
parfois positivement, parfois négativement, mais il faut mentionner qu´il s´agit
toujours d´un point de vue regardant d´une partie de la chose partielle parce
que, comme nous avons déjà dit, il y a plusieurs facteurs influençants
l´apprentissage des langues et il faut les prendre en considération.
47
Fishbein et Ajzen, des chercheurs examinants l´attitude des élèves,
présentent leur théorie où figurent les croyances, les attitudes, les intentions et
les conduites. Ils nous montrent que tous ces facteurs s´interpénètrent et se
complètent. L´unité principale, à laquelle nous mettons la confiance, peut être
un objet concret, une personne, un groupe de personnes, un phénomène
naturel, une idée abstraite ou un comportement spécifique (Bogaards, 1991).
L´attitude des apprenant est influencée par plusieurs facteurs, comme
par exemple le sexe, la profession, l´éducation etc. Il s´agit aussi de la
situation. Nous croyons aux personnes, aux idées, à notre attitude. Et il faut
toujours compter à un effet en retour. Les conséquences de nos attitudes
rentrent. L´attitude des gens se projet non seulement dans les situations
scolaires, mais aussi dans la vie naturelle, quotidienne. L´attitude positive
arrive toujours plus de joie et du contentement entre les gens et avec ce
facteur il est plus facile de travailler. Bien que nous n´engageons pas
directement aux affaires mondiales, notre l´attitude positive assure la meilleure
résolution des problèmes dans le monde et éveille la motivation et la croyance
de nouveau.
Concernant la motivation, ce n´est pas uniquement un phénomène
interne ou personnel, ni même statique (Cyr, 1998, p. 95). Elle est influencée
par plusieurs facteurs externes comme les approches pédagogiques, les
pratiques d´évaluation, l´interaction avec les pairs, les exigences de
l´environnement ou de l´institution (Cyr, 1998, p. 95).
Les forces de propulsion de la motivation sont des besoins non
satisfaits. Il s´agit des besoins « primaires » ou physiologiques et des besoins
« supérieurs » ou psychologiques. Tous les deux types des besoins
s´interpénétrent et par exemple Nuttin, un tenant d´accès behavioriste dans
l´apprentissage, refuse de faire une distinction nette entre ces deux besoins.
Tous les deux sont également inhérents à l´individu (Bogaards, 1991, p. 50).
La motivation est liée avec plusieurs choses, plusieurs facteurs non
négligeables non seulement dans le processus d´apprentissage, mais dans
tous les cas où la motivation est souhaitable. L´un des facteurs est par
48
exemple la conduite. Et concernant la relation entre la motivation et les
conduites, Nuttin souligne que « la compréhension ou l´explication d´un
comportement en termes de motivation est très partielle. La motivation ne
fournit pas « la réponse au « pourquoi » d´un comportement (...). D´autres
facteurs situationnels et personnels, physiques et psychologiques, jouent leur
rôle, non seulement dans le « comment » du processus, mais aussi dans sa
détermination et ses modalités » (Bogaards, 1991, p. 51).
L´attitude et la motivation se manifestent pendant toute la vie des gens.
Mais comment apparaît la liaison entre l´attitude, la motivation et
l´apprentissage des langues ? La réponse vient des recherches de la théorie
de Gardner et Lambert qui se concentrent tout d´abord à la langue maternelle.
L´enfant apprend sa première langue par l´identification de ses parents. Il les
imite et par cela il gagne des connaissances de base de la langue. Pour les
enfants, « il s´agit de la satisfaction de besoins physiques, tandis que dans le
cas de l´apprentissage des langues il est plutôt question de besoins sociaux »
(Bogaards, 1991, p. 53). Nous distinguons la motivation d´intégration et la
motivation instrumentale. Gardner et Lambert les définissent par des mots
suivants : « L´orientation est dite instrumentale si le objectifs de
l´apprentissage d´une langue reflètent une valeur plutôt utilitaire de la
performance linguistique, par exemple quand celle-ci doit servir à faire
carrière. Par contre, l´orientation est intégrative si l´apprenant souhaite en
apprendre davantage sur l´autre communauté culturelle parce qu´il s´y
intéresse avec une certaine ouverture d´esprit, au point d´être accepté à la
limite comme membre de l´autre groupe » (Bogaards, 1991, p. 53-54).
Toutes les composantes se complètent et se montrent pendant
l´apprentissage. Mais nous pouvons former tant la motivation que l´attitude
parce que les avis et les comportements positifs ou négatifs ce sont des faits
acquis, non innés. Alors le but principal reste de créer l´ambiance optimale et
former positivement les facteurs figurants dans le processus d´apprentissage.
49
4.1.4 Personnalité
50
communicatif (Choděra et Ries, 1999). De plus ici nous pouvons trouver des
gens qui disposent des traits de plusieurs groupes caractéristiques et puis,
c´est à eux, comment ils sont capables de profiter de la situation.
4.1.5 Âge
Habituellement nous écoutons des avis que les plus jeunes apprennent
plus facilement grâce à leur cerveau jeune. Est-ce que c´est vrai ? Et quand
l´homme est plus âgé, il n´a pas de la chance d´étudier et de gagner
beaucoup de nouvelles connaissances ? Pour trouver les réponses nous
allons regarder une publication de P. Bogaards qui parle des recherches de
neurophysiologies et aussi didactiques par rapport l´influence de l´âge au
processus d´apprentissage.
La recherche faite par Penfield et Robert et plus tard par Lenneberg
montre que de l´âge de dix ans les parties concernantes les aires langagières
dans le cerveau sont capables de se complètent dans le cas de difficulté l´une
d´elles. Il y passe la plasticité du cerveau. Chez les enfants plus âgés et les
adultes, cette action ne transfère pas et si oui, cela dure plus lent. Dans le
cerveau se déroule le processus de « latéralisation », un état que l´un des
deux hémisphères cérébraux devient dominant. Par suite de la latéralisation,
le cerveau devient rigide (Bogaards, 1991, p. 72). Nous apercevons ici aussi la
différence entre les droitiers et les gauchers parce que chez les premiers,
« c´est pratiquement toujours l´hémisphère gauche qui domine, tandis que
40% seulement des gauchers ont l´hémisphère droit dominant » (Bogaards,
1991, p. 72).
Les chercheurs tombent d´accord sur un espace de la conclusion de
gagner les informations très facilement et c´est de 9 à 12 ans. « La plupart des
individus d´intelligence normale sont capables d´apprendre une langue
seconde après le début de leur deuxième décennie, bien que l´influence de
« blocages » croisse rapidement après la puberté. L´acquisition automatique,
51
provoquée par le seul contact avec une langue donnée semble disparaître
après cet âge et les langues étrangères doivent être enseignées et apprises
dans un processus conscient et laborieux » (Bogaards, 1991, p. 72).
Il y a beaucoup de chercheurs qui expriment leur avis. Et nous ne
pouvons pas donner une réponse claire parce que chaque opinion est
regardée d´un point de vue différent et alors les recherches n´apportent pas
les résultats identiques. Pour meilleure orientation voilà le schéma suivant qui
marque des moments plus ou moins propices à l´apprentissage des langues
secondes et qui nous approche un peu l´évolution des parties dans la langue
transformente à l´âge différent.
0-6 7 - 11 12 - 16 17 et plus
Prononciation - ++ diminuant -
Grammaire - + ++ +
Vocabulaire -? +? +? +?
Skills ? ? ? ?
4.1.6 Sexe
52
États-Unis il y a plusieurs enseignantes qu´enseignants, au contraire
qu´Allemange, où la situation est opposée (Bogaards, 1991).
Les adultes nous pouvons classifier par le fait que « les différences dans
les résultats obtenus en langue seconde ne se manifestent pas encore dans
l´enseignement primaire, alees sont nettement en faveur des filles dans
l´enseignement secondaire et elles disparaissent au niveau supérieur »
(Bogaards, 1991, p. 82).
Il faut comparer toutes les différences entre les femmes et les hommes
par l´âge des apprenants, parce que les adultes sont capables de prendre
conscience les avantages de leurs efforts prêtants à l´apprentissage des
langues à la différence des enfants et des adolescents.
Les chercheurs sont en désaccord en fait, qui utilise plus de langues
dans la vie, d´après les uns ce sont les femmes qui ont besoin des langues
étrangères pour leur travail et ailleurs elles apprennent plus que les garçons.
Les autres chercheurs affirment le contraire. Généralement nous pouvons dire
que « les filles ont une attitude positive parce qu´elles ont plus ou moins
vaguement l´idée que les langues secondes leur seront utiles, même si elles
ne pensent pas à des carrières typiquement féminines ; les garçons n´ont une
attitude positive que s´ils voient l´utilité directe et pratique de l´apprentissage
des langues secondes » (Bogaards, 1991, p. 83).
4.1.7 Milieu
53
etc. Le milieu socio-économique est lié avec la profession future des
apprenants. Les élèves créent la vie juste par leur éducation et cette idée leur
va gagner les bons résultats. La situation différence apparaît chez les enfants
qui suivent leurs parents. Dans ce cas il n´est pas possible de prendre la
mesure des résultats objectivement parce que le milieu est déjà prêt pour les
meilleurs résultats. Les parents peuvent devenir la motivation pour leurs
enfants, ils les influencent, mais la maîtrise de la situation doit aller
subjectivement des sentiments des apprenants.
Il faut noter que « dans le cadre d´une étude des facteurs
psychologiques exerçant une influence sur l´apprentissage des langues
secondes, le milieu social des apprenants ne doit entrer en ligne de compte
que dans la mesure ou ceux-ci ont assumé ce milieu. Il faut donc examiner ce
facteur en étudiant le milieu tel qu´il est vécu par les apprenants » (Bogaards,
1991, p. 88).
4.1.8 Angoisse
54
4.2 Le rôle d´enseignant
55
L´enseignant s´appuie à ses méthodes d´apprentissage qui renferme
par exemple l´utilisation d´un manuel, l´usage des matériaux correspondants
au sujet actuel dans l´apprentissage, des activités didactiques, des approches
didactiques, des options pédagogiques etc. Les chercheurs discutent toujours
quelle méthode est la plus effective (un accès béhavioriste ou cognitif, une
méthode directe ou indirecte, une théorie ou une pratique). Il existe des avis
qui se penche pour les premiers types de méthodes, les autres sont contre.
Alors quelle méthode est la meilleure et comment s´adapter à elles ? « C´est
au niveau de l´apprenant et, plus précisément, au niveau de son
fonctionnement cognitif, que la méthode pourrait s´avérer constituer une
notion utile » (Bogaards, 1991, p. 111).
L´enseignant en tenant la structure de cours contribue à la stabilité
d´apprentissage. Les apprenants savent ce qu´ils peuvent attendre et ils sont
capables de bien préparer pour travailler avec la langue. Ce qui est important
c´est la même structure, mais l´enseignant doit éviter au stéréotype. Il faut
motiver et captiver l´attention aux élèves.
Il existe plusieurs rôle appartenant aux enseignants dans le processus
d´apprentissage. Chaque rôle cache des activités et des connaissances des
enseignants qui les pratiquent pendant l´apprentissage. Le premier rôle
remplissant par l´enseignant est un rôle d´un penseur qui exige de grandes
connaissances de la langue enseignée, des exigences des tâches.
L´enseignant aussi garde la perception des élèves et des objectifs d´un
programme (Cyr, 1998, p. 116).
Dans le complexe de l´enseignement stratégique qui nous aide à définir
le meilleur apprentissage apparaît le deuxième rôle d´enseignant – un preneur
de décision. En exécutant ce rôle l´enseignant fait ses efforts à amener ses
élèves à utiliser un raisonnement indépendant, à faire des résolutions de
manière auto-suffisante. Dans ce moment, l´enseignement développe un
processus de focalisation, cela veut dire il aide, il montre des choses aux
apprenants, mais sans prendre des tâches en ses mains (Cyr, 1998, p. 117).
56
Le rôle non négligeable d´enseignement dans le processus
d´apprentissage se distingue par la motivation. Les apprenants voient
comment utiliser des connaissances et des habiletés gagnées aussi dans la
pratique, ils sont motivés pour leur vie future. L´enseignant amène ses élèves
au fait que des fautes apparaissantes pendant apprendre la langue nous
servent comme la leçon pour la prochaine fois, il ne tire pas de conséquences
de ces erreurs. Bien sûr il faut avertir des apprenants aux fautes, mais dans le
cas où le professeur utilise des peines pour punir ses élèves, ils vont avoir
peur et cela vient à s´enfermer dans l´apprentissage. Il faut montrer aux
élèves un accès positif (Cyr, 1998, p. 117).
L´enseignant a aussi un rôle de médiateur. Le but consiste à offrir aux
apprenants des possibilités quelles connaissances utiliser pour quelle tâche et
comment éviter des choses venantes aux problèmes dans le processus
d´apprentissage. Les apprenants acquièrent les connaissances et les
expériences de leur enseignant (Cyr, 1998, p. 119).
Enfin, l´enseignant remplit une fonction d´un entraîneur. Son devoir
consiste à arriver des apprenants aux situations, dans lesquelles ils peuvent
apprécier leurs connaissances. Par rapport à la langue de départ, l´enseignant
utilise la langue maternelle pour montrer le processus de la création des
phénomènes grammaticaux etc. Mais tout dépend du personnage
d´enseignement, de son attitude et sa motivation (Cyr, 1998, p. 120).
57
5 La conception des stratégies d´apprentissage d´après
les auteurs mentionnés dans notre travail
59
5.2 La conception d´après Paul Bogaards
60
Le chapitre suivant dans cette publication de Paul Bogaards est
consacré aux caractéristiques de l´enseignant. Ici l´auteur divise un accès des
enseignants aux aspects cognitifs et affectifs. Concernant l´aspect cognitif, il
compare les méthodes entre elles, en liaison avec les élèves et il ajoute des
activités didactiques. Dans cette partie l´auteur utilise plusieurs tableaux avec
les informations des apprenants, où nous pouvons suivre les instruments
d´observation. En conclusion de ce chapitre Bogaards mentionne les
méthodes, comment travailler avec les élèves et quelle chose exigent notre
intérêt.
En général il faut dire qu´un chapitre concernant les caractéristiques de
l´apprenant est très utile et très convenable pour notre travail, tandis que les
informations portantes les caractéristiques des enseignants ont des signes
plutôt théoriques et c´est pour cela que nous préférons travailler avec la
publication de Paul Cyr dans la partie du travail concernante la problématique
des enseignants.
61
Le livre continue par les définitions des notions – stratégies, styles
d´apprentissage, méthodes etc. Les auteurs utilisent des schémas
concernants les stratégies qui sont très bien lisibles pour notre travail.
Certaines informations touchantes les stratégies et pour la plupart les styles
d´apprentissage nous trouvons aussi dans la publication « Styly učení žáků a
studentů »9 de Jiří Mareš. Mais ces informations ne sont pas très convenables
pour notre travail parce qu´il se concentre beaucoup sur les styles
d´apprentissage et leur classement et les stratégies sont seulement
mentionnées marginalement.
Le chapitre suivant dans le livre de Lojová et Vlčková traite des
caractéristiques des stratégies d´apprentissage, où ces auteurs divisent les
stratégies d´après les critères ressemblants aux facteurs influençants des
stratégies. D´autre partie de ce chapitre s´appelle Le but des stratégies
d´apprentissage où nous voyons la base d´utilisation des stratégies. Le livre
continue par les facteurs influençants des stratégies. Lojová et Vlčková
utilisent les mêmes classifications comme les auteurs français. Mais il faut
noter que cette publication Styly a strategie učení ve výuce10 dispose de
plusieurs exemples que les adaptations françaises.
Quatrième chapitre de ce livre nous offre la détermination des stratégies
d´apprentissage cela veut dire la description des stratégies. Et le dernier
chapitre traite d´influence pédagogique. Cela veut dire le point de vue de la
pédagogie, comment elle les prend et comment elle participe à elles. Ici nous
trouvons les méthodes d´apprentissage, l´analyse des parties particulières de
l´apprentissage. Chaque élément est supporté d´un exemple. Ce chapitre
traite aussi d´un personnage d´enseignant dans le processus d´apprentissage.
En conclusion il faut dire que le point de vue français est différent qu´un
regard des auteurs tchèques. Il est possible que cette situation vient d´un
accès de l´apprentissage en général. Les publications tchèques nous mettent
dans la problématique d´apprentissage en totalité. Par contre les informations
9
Les styles d´apprentissage des élèves et des étudiants (traduction de M. Waasová)
10
Les styles et les stratégies d´apprentissage (traduction de M. Waasová)
62
travaillées dans le livre de Paul Cyr sont détaillées, il s´adonne les stratégies
de plusieurs points de vue différents. Les connaissances concernantes des
stratégies d´apprentissage gagnées de la publication de Lojová et Vlčková se
consacrent plutôt à la classification que leur analyse. En comparaison de Paul
Cyr qui se consacre aussi aux caractéristiques des stratégies, ces auteurs
tchèques divisent les stratégies d´après les critères ressemblants aux facteurs
influençants des stratégies. Tandis que la publication de Cyr nous offre les
points de vue des trois chercheurs concernants la problématique des
stratégies. La caractéristique des stratégies dans la publication tchèque n´est
pas si développée, alors nous préférons le traitement de Paul Cyr pour notre
travail. Et la détermination des stratégies d´apprentissage nous donne des
informations de cette problématique meilleures ordonnées et plus complexes
dans la publication de Paul Cyr. La classification des stratégies mentionnée
dans ce livre est pareille que celle de Cyr.
63
6 La partie pratique
Dans cette partie du travail, nous allons nous concentrer sur l´utilisation
des stratégies d´apprentissage en pratique. Chaque maison d´édition propose
beaucoup de matériaux pour apprendre une langue étrangère. Le temps
évolue et les méthodes et les livres aussi. Les stratégies d´apprentissage
aident les élèves à acquérir un bon niveau de la langue par les méthodes plus
concrètes, plus proches qui facilitent le processus d´apprentissage.
L´objectif de la partie pratique est de relever les stratégies qui
apparaissent dans le manuel Alter ego – méthode de français (Berthet, A.,
Hugot, C., Kizirian, V., Sampsonis, B., Waendendries, M., 2006). Nous allons
analyser ce manuel et repérer la présence des stratégies métacognitives,
cognitives et socio-affectives. Nous allons observer, si et comment sont-elles
utilisées dans les chapîtres particuliers, leur emploi en tenant compte le niveau
langagier des élèves, l´acquisition de la compétence communicative et et
d ́autres facteurs présents dans le cadre de l ́acquisition/apprentissage d ́une
langue étrangère.
64
Faisons le point:
La typologie d´Oxford
La typologie de Rubin
65
- autogestion regroupement - autorenforcement
- autorégulation - prise de notes
- identification d´un - déduction ou
problème induction
- autoévaluation - substitution
- élaboration
- résumé
- traduction
- transfert des
connaissances
(Cyr, 1998, p. 39)
Nous avons constaté dans la partie théorique, que les auteurs tchèques
Lojová et Vlčková utilisent presque les mêmes classifications des stratégies
que les chercheurs dans la publication de Paul Cyr.11 Qui s´éloigne de cette
division c´est Paul Bogaards, notre troisième auteur qui se consacre aux
stratégies d´apprentissage et dont le point de vue nous avons aussi mentionné
dans la partie théorique. Bogaards décrit les stratégies d´apprentissage
d´après l´aptitude, l´intelligence, l´attitude et la motivation, la personnalité,
l´âge, le sexe, le milieu et l´angoisse.
Le manuel Alter ego – méthode de français est divisé en dossiers et
chaque dossier comporte trois leçons. Pour une meilleure orientation dans le
livre, chaque leçon est conçue par le même mode. Au premier lieu il y a la
compréhension orale avec des questions. Ensuite suivent les exercises
concentrés sur la phonétique et la conversation. Dans toutes les deux parties
nous voyons déjà la grammaire qui domine dans les leçons. Alors
premièrement les apprenants rencontrent la grammaire implicitement et après,
presque à la fin de chaque leçon, la grammaire est expliquée encore par un
mode explicite qui assure que tous les élèves ont bien compris les règles
grammaticales. La fin de chaque leçon comporte des exercises pour résumer
toutes les nouvelles informations.
11 Voir p. 35
66
Nous allons essayer de relever les typologies des stratégies
d´apprentissage définies au-dessus et marquer celles qui apparaissent dans
ce manuel, dans les conceptions des leçons.
Leçon 1 (A1)
Stratégies mnémoniques - ex.7 – vrai ou faux (p.
directes 20)
cognitives Dialogue 1 – ex.1,2,3 (p.18)
- ex.6 – jouer la scène
(p.19)
- ex.8 – Lisez et répondez
(p. 20)
- Point langue (p. 20 - 21)
67
compensatoires - ex.4, 5- phonétique
(p.18-19)
- L´usage de tu et de
vous ; Aide-mémoire (p.
19)
- s´exercer (p. 21)
Stratégies métacognitives - ex.10,11 – retrouvez,
mémorisation
Récupération et - pratique Dialogue 1 – ex. 1,2,3,4, 5
68
Aide-mémoire (p. 19)
- ex.7 – vrai ou faux (p. 20)
- ex.8 – Lisez et répondez
(p.20)
- Point langue (p. 20-21)
- s´exercer (p. 21)
Stratégies socio - affectives - ex.6 – jouer la scène
(p.19)
- s´exercer (p. 21)
Leçon 3 (A1)
Stratégies mnémoniques - ex. 3 – réecoutez et
Stratégies métacognitives
indirectes affectives - ex. 5 – Jeux : C´est où ?
(p. 27)
sociales - ex. 3 – réecoutez et
associez (p.27)
69
- ex. 5 – Jeux : C´est où ?
(p. 27)
mémorisation 27,28,29)
- La francophonie (p. 27)
- s´exercer (p. 29)
70
Stratégies socio - affectives - ex. 3 – réecoutez et
associez (p.27)
- ex. 5 – Jeux : C´est où ?
(p. 27)
Leçon 1 (A2)
Stratégies mnémoniques - Courrier (p. 14)
directes
cognitives - Parler d´une relation
amicale :le texte avec
des questions (p. 12-13)
- ex. 1,2,3,4 – écoutez,
répondez (p. 12)
71
- Point langue (p.
13,14,15)
- s´exercer (p. 15)
Stratégies métacognitives
indirectes affectives - ex. 10 écrivez un mél
(p.15)
- sociales indirectes
Stratégies métacognitives - Parler d´une relation
amicale :le texte avec
des questions (p. 12-13)
- ex. 5 phonétique (p. 13)
- ex. 1,2,3,4 – écoutez,
répondez (p. 12)
72
- Courrier (p. 14)
Leçon 3 (A2)
Stratégies mnémoniques
directes cognitives - Raconter une
rencontre : le texte,
ex.1,2 (p. 20)
- Point langue (p. 21,23)
- Raconter les suites
d´une rencontre : le
texte, ex.5,6 (p. 22)
- s´exercer (p. 23)
Stratégies métacognitives
indirectes affectives - ex. 4 Imaginez (p. 21)
- ex. 8 Jouez la scène
(p.23)
73
Compréhension - clarification et - Raconter une
74
Le dossier 1 dans le deuxième livre d´Alter ego – méthode de français
finit par la partie Carnet de voyage ... Les amis, les amours et aussi par le
portfolio – comprendre pour agir. Nous pouvons diviser ces deux parties
par un mode suivant :
Carnet de voyage (p. 24 – 25)
- les stratégies d´après la typologie d´Oxford : directes - mnémoniques,
cognitives
- la typologie de Rubin : les processus de compréhension ou de saisie
des données ; d´entreposage ou de mémorisation
- la typologie selon O´Malley et Chamot : métacognitives, cognitives
76
6. 5 Résultats de l´analyse : La représentation de la typologie des
stratégies d´apprentissage selon O´Malley et Chamot représentées
dans le manuel Alter ego – méthode de français
77
6. 6 Les stratégies représentées dans le manuel Alter ego – cahier
d´activité
compensatoires
Stratégies métacognitives
indirectes affectives ex. 9, 10, 11 (p. 7-8)
Compréhension - clarification et
ou saisie des vérification
données - devinement ou
inférence
- raisonnement déductif
78
Entreposage ou - mémorisation ex. 5, 6, 7, 8 (p. 6-7)
mémorisation
Récupération et - pratique ex. 1, 2, 3, 4 (p. 5-6)
- sociales indirectes
Stratégies métacognitives
Stratégies cognitives ex. 1, 2, 3, 4 (p. 5-6)
ex. 5, 6, 7, 8 (p. 6-7)
Stratégies socio - affectives ex. 9, 10, 11 (p. 7-8)
Résultats de l´analyse :
En suivant les typologies des auteurs mentionnés au-dessus nous
pouvons dire que le cahier d´activité d´Alter ego contient surtout les stratégies
directes de la typologie d´Oxford, plus concrètement les stratégies cognitives
et mnémoniques. Concernant la division des stratégies d´après Joan Rubin,
dans ce cahier d´activité se trouvent les stratégies des processus
d´entreposage ou de mémorisation et de récupération et réutilisation, cela veut
dire les stratégies de mémorisation, de pratique, d´autorégulation et sociales
indirectes.
Et finalement la typologie selon O´Malley et Chamot qui est
représentées dans ce cahier d´activité dans les parties traitant du lexique et de
la grammaire par les stratégies cognitives et la partie communicative par les
stratégies métacognitives et socio – affectives.
79
7 Conclusion
81
8 BIBLIOGRAPHIE :
8.1 Bibliographies
82
9. Janíková, V. Výuka cizích jazyků. Grada 2011. ISBN 978-80-247-3512-2
15. Mareš, J. Styly učení žáků a studentů. Portál 1998. ISBN 80-7178-
246-7
83
8.2 Sitographies
5. Hong Kong Language Training Center Ltd. Business English. What the
good language Learner can teach us. disponible sur
http://www.language.com.hk/articles/goodll.html
84
9 RÉSUMÉS
9. 1 Résumé en anglais
The thesis is called The Strategy in education and it occupies with the
strategies in the education FLE from the point of view of czech and french
authors. The dissertation is divided into two principal parts- the practical and
theoretical part.
The theoretical part consists of the introduction, the main part divided
into the big four parts and the conclusion. The first part is dedicated to the
general term « strategies in teaching » and their definitions. It mentions the
necessity of their formation, development and division of strategies from the
point of view of the researchers dealing with this topic.
The second part focuses on the classification of particular strategies
divided into shorter subchapters. These subchapters are sorted according
three authors studying strategies in teaching. The third part gets to the factors
influencing strategies in teaching. Finally, the last part of the body deals with
strategies in teaching from the point of view of three authors of main books
used for his thesis.
The practical part analyses the textbook and the workbook Alter ego-
méthode de français which is employed for the education FLE from the point of
view of the individual strategies mentioned in the theoretical part.
The whole work concerns with strategy types which are used in
teaching. It shows their advantages and disadvantages in various situations
and mentions tips of students, that are enriching for them, and shows in which
situations it is necessary to choose different strategies.
85
9. 2 Résumé en tchèque
86
10 Annexes
87
88
89
90
91
92
93
94
95