Environnement de Travail Dans - Roua BENABBOUD - 3893
Environnement de Travail Dans - Roua BENABBOUD - 3893
Environnement de Travail Dans - Roua BENABBOUD - 3893
Soutenu le : 06/06/2017
Devant le Jury composé de:
Pr. L. AARAB Examinateur
Pr. S. ANANOU Encadrant
Dr. A. EL OUARDI Encadrant
Ainsi mes sincères remercîments, vont aussi à tous ceux qui ont contribué à
L’INH de Rabat se caractérise par son champ d’intervention très vaste et ses nombreux
laboratoires, ce qui lui permet d’agir en tant que support technique des différents programmes
du Ministère de la santé (MS) tel que le programme santé-environnement, la tuberculose, le
programme du paludisme, le programme du VIH (SIDA), le programme des infections
sexuellement transmissibles (IST), le programme de la rougeole, etc.
L’institut a pour mission aussi d’élaborer des normes en matière de biologie sanitaire et
de développer et standardiser les techniques de référence à implanter dans les laboratoires du
MS à l’échelle régionale ou provinciale.
- La première partie est une synthèse bibliographique concernant d’une part les surfaces
de travail et la source de contamination ainsi que les procédures de nettoyage-désinfection et
d’autre part, les différentes méthodologies de prélèvement, de quantification et
d’identification des bactéries de surfaces.
- L’ensemble des parties expérimentales concernant les différents protocoles utilisés dans
ce projet sont présentés dans la seconde partie matériel et méthodes.
2
ETUDE
BIBLIOGRAPHIQUE
3
CHAPITRE 1 : Ecouvillonnage des surfaces
Historique
Pour réduire la population microbienne des surfaces à un niveau tel que le risque de
contamination du personnel ou des produits alimentaires à analysés soit acceptable, des
procédures de N-D sont mises en œuvre dans les laboratoires.
Afin de vérifier la bonne application des opérations de N-D, des contrôles réguliers sont
réalisés pour connaître et estimer la population microbienne résiduelle présente sur les
surfaces. Cette procédure est d’ailleurs un outil important de la gestion de la qualité « 6 »
Malgré la mise en place de procédures agressives, le N-D ne permet pas l’élimination totale
de la flore microbienne des surfaces ouvertes. Certaines bactéries pathogènes comme Listeria
monocytogenes peuvent persister dans les locaux et ustensiles « 7 ». Lors des contrôles
microbiologiques des surfaces, seule la fraction cultivable est dénombrée par les hygiénistes.
2. Source de contamination
Et en l’absence de nettoyage des surfaces, celles-ci sont colonisées par des populations très
variées (bactéries, champignons, protozoaires…) cohabitant parfaitement sous forme de biofilm
accroché aux micro-aspérités. Cette cohabitation se traduit de différentes façons :
Les populations microbiennes superficielles, ainsi qu’une substance gélatineuse sécrétée
par les micro-organismes, protègent physiquement les populations sous-jacentes.
Certaines bactéries peuvent trouver refuge dans les protozoaires, profitant ainsi de leur
résistance aux biocides(produit pouvant tuer les organismes nuisibles, nocifs ou
gênants tels que les micro-organismes) « 9 ».
Des interactions s’instaurent entre populations, certaines libérant des produits de
dégradation dont se nourrissent les autres, certaines libérant des produits toxiques tuant
les autres. Les bactéries peuvent également échanger des gènes de résistance aux
biocides « 9 ».
4
3. Désinfection des surfaces
La désinfection des surfaces permet d’éliminer ou tuer uniquement les micro-organismes
présentent au moment d’emploi préalable au moyen d’un détergent. Toutefois, il existe des
produits couplant les activités détergentes et désinfectantes. Ils peuvent être employés dans
les laboratoires où les surfaces ne présentent pas un grand degré de salissure « 10 ».
Ces produits ne nécessitent pas de rinçage, mais peuvent, à la longue, laisser des dépôts. Pour
les éliminer, il convient de procéder, une fois par semaine, à un nettoyage avec un détergent,
suivi d’un rinçage et d’une application de désinfectant. « 11 »
a) Technique d’écouvillonnage
Cette technique présente l’avantage de permettre des prélèvements dans des endroits peu
accessibles aussi bien que sur les surfaces planes. L’écouvillonnage est à conseiller pour une
recherche qualitative des espèces contaminants.
Ce procédé reste le plus pratique, le plus rapide et le plus employé. Il nécessite l’emploi de
boite contact contenant un milieu gélosé qui forme un ménisque en surface : boite Rodac, le
couvercle repose sur un épaulement et ne touche donc pas la surface de la gélose. Pour un
contrôle de surface après désinfection, il est recommandé d’utiliser un milieu gélosé
neutralisant l’activité des désinfectants.
5
Chapitre 2 : Qualité bactériologiques des surfaces
I. Les bactéries contaminant les surfaces de travail
La flore aérobie mésophile aussi appelée flore totale, représente l’ensemble des
microorganismes se développant en présence d’oxygène à une température optimale de30°C
(multiplication active de 10°C à 45°C). Cette appellation peut donc regrouper aussi bien des
microorganismes pathogènes que d’altération. « 12 ».
Bien que, pour la plupart des espèces, ces bactéries ne soient pas dangereuses pour la
santé, leur détection traduit une altération
Une étude à montré que malgré l’absence de corrélation directe entre le nombre de
mésophiles et le nombre de pathogènes, il est constaté que le nombre de pathogènes ne se
manifeste que pour une flore totale élevée. « 13 »
L'étude de la flore totale est donc un outil permettant de garantir une certaine sécurité
hygiénique.
6
Partie expérimentale
7
Chapitre 1 : Matériel et méthodes
I. Présentation des sites de prélèvements
Pour la réalisation de cette étude, des prélèvements ont été effectués de façon aléatoire sur
différents points d’usage au sein de laboratoire de microbiologie et hygiène alimentaire.
X
X
X : Points de prélèvements
8
Tableau 1 : Sites de prélèvements
Unités Activités
Analyses microbiologiques
des aliments, des produits
laitiers, des œufs liquides,
Analyses bactériologiques des conserves, des semi
des aliments conserves, des charcuteries,
des intoxications et
l’identification des souches
bactériennes.
Chargée de la préparation de
Préparation des milieux tous les milieux concernant
de cultures la recherche bactérienne
dans les eaux et les aliments.
Chargée du lavage et
Laverie
stérilisation du matériel
9
Tableau 2 : Prélèvements par écouvillonnage et micro-organismes recherchés
Pseudomonas
10
Total 21
1. Technique d’écouvillonnage
Ce mode de prélèvement est utilisé pour les zones favorables à la prolifération des bactéries
pathogènes « surfaces et installations ». Cette technique présente l’avantage de permettre des
prélèvements dans des endroits peu accessibles aussi bien que sur les surfaces planes.
L’écouvillonnage est à conseiller pour une recherche qualitative des espèces contaminants.
Après que la surface à échantillonner est définie « par 30 cm2 », le prélèvement s’effectue par
un frottement pendant au moins 20 secondes avec un écouvillon stérile en faisant des stries
parallèles, rapprochées, tout en tournant lentement et en répétant ce prélèvement en
perpendiculaire.
L’écouvillon est introduit ensuite dans un volume spécifié de liquide « BHI ». Après agitation
on ensemence dans le milieu correspondant.
La surface de gélose de la boîte de contact a été pressée fermement contre la surface d'essai
pendant 10s, sans décrire de mouvement latéral. D'après la littérature, on sait que les meilleurs
résultats obtenus avec les boîtes de contact nécessitent un temps de contact de 10s et une
pression telle que celle exercée par une masse de 500 g. Ensuite, les boîtes de contact ont été
fermées immédiatement après l'ensemencement et finalement incubées à 36±1°C pendant 18h
à 24h.
Pour le dénombrement de la FMAT, 1 ml de la suspension mère a été mis sur une boite de
pétri stérile, puis 15 ml du milieu PCA ont été ajoutés. Le tout a été mélangé doucement puis
incubé à 36±1°C pendant 18h à 24h. Le principe d’utilisation de ce milieu gélosé repose sur
11
la présence du glucose comme source de carbone, de l’hydrolysat trypsique de caséine
comme substance nutritive et l’extrait de levure en tant que facteur de croissance.
Pour la recherche des Staphylococcus le milieu gélosé sélectif Baird Parker a été choisi, coulé
après préparation dans des boites de pétri stériles.
A partir de la solution mère, un étalement en surface de ces boites de pétri a été réalisé. Les
colonies de Staphylococcus aureus caractéristiques sont noires, brillantes d’un diamètre 0,5 et
2 ml et entourées d’un liséré blanc opaque et d’une zone claire, les colonies de
Staphylocoques blanc sont grises.
c) Dénombrement de Pseudomonas
12
Chapitre 2 : Résultats et discussion
N.B : Tous les prélèvements ont été réalisés à partir des mêmes points pour chaque
laboratoire. Les résultats présentés ci-dessus représentent la moyenne des trois échantillons
pour chaque paillasse.
I. Résultats
La flore mésophile aérobie totale est considérée comme étant des germes aérobies pouvant se
multiplier dans des conditions ambiantes à 30 °C et ne constituant pas une famille bactérienne
particulière. Cette flore regroupe des Enterobacteriacea, de Bacillus, de Staphylocoques, de
Pseudomonas, des Bactéries lactiques ou d’autres agents éventuellement pathogènes.
Leur présence au-delà des limites définies peut signifier un défaut d’hygiène.
Le dénombrement de la flore mésophile aérobie totale se fait par culture sur le milieu sélectif
gélosé PCA, et varie considérablement entre les différentes surfaces étudiées. Le tableau ci-
dessous représente le taux des FMAT dans les échantillons.
Laboratoire de
microbiologie alimentaire >10
667 7 4 10
UFC/cm2
Equipement Etuve “labo aliment” >10
36 ±1°C 800 - - 60
UFC/cm2
13
Les résultats de dénombrement de la FMAT au niveau du laboratoire des eaux, des aliments
et l’étuve avant désinfection ont montré une non-conformité de 1000 UFC/cm2, 667 UFC/cm2 et
800 UFC/cm2 respectivement. Ces valeurs ont été diminuées à 140 UFC/cm2, 10 UFC/cm2 et
60 UFC/cm2 respectivement dans les trios sites après la manipulation.
La désinfection à l’aide d’un bactéricide et de l’eau de javel montre une conformité
significative.
Au regard des résultats présentés, il parait que la totalité des prélèvements des surfaces « les
surfaces d’environnement de travail au sein du laboratoire des eaux et de laboratoire de
microbiologie alimentaire, ou équipement », présentent de point de vue d’altération charge
élevée de la flore mésophile aérobie total dont le taux de contamination dépasse la norme en
vigueur « 10 UFC/cm2 ».
Concernant les résultats d’analyses des prélèvements par boite de contact en remarque que
seule la surface d’environnement de travail du laboratoire des eaux avant désinfection qui
renferme une charge tolérable de la flore total « 10 UFC/cm2 », les autres sites de prélèvements
sont trop chargés.
2. Dénombrement des coliformes fécaux et totaux :
Les coliformes sont des bactéries recherches dans les surfaces, les aliments etc., car ils sont
des témoignes de la qualité hygiénique non satisfaisante et des conditions d’hygiène
insuffisantes. Leur présence peut être une indication d’une contamination fécale.
Les résultats de dénombrement des coliformes fécaux et totaux de la présente étude sont
représentés dans les tableaux 5et 6.
14
Tableau 5 : Dénombrement des CT sur milieu VRBL
Laboratoire de
microbiologie alimentaire >10
200 80 9 -
UFC/cm2
Equipement Etuve “labo aliment” >10
36 ±1°C 23 - - -
UFC/cm2
Les surfaces analysées avant manipulation et avant désinfection sont chargés en Coliformes
Totaux 70 UFC/cm2, 200 UFC/cm2 et 23 UFC/cm2. Pour le laboratoire de microbiologie
alimentaire cette charge diminue respectivement après la désinfection jusqu'à 80 UFC/cm2, 9
UFC/cm2 et 0 UFC/cm2.
Laboratoire de
microbiologie alimentaire >10
31 - - -
UFC/cm2
Equipement Etuve “labo aliment” >10
36 ±1°C - - - -
UFC/cm2
Pour les coliformes fécaux deux échantillons dépassent la norme en vigueur «>10
UFC/cm2, les surfaces du laboratoire des aliments et laboratoire des eaux présentent avant
désinfection des valeurs qui dépasse la norme, à savoir «31 UFC/cm2 » et « 11 UFC/ cm2 »,
respectivement. Les autres prélèvements sont dépourvus des coliformes fécaux.
15
On remarque que la plupart des échantillons n’hébergent pas les bactéries indicatrices de
contamination fécales dans les équipements et les surfaces de travail.
3. Dénombrement des Staphylococcus
L’espèce la plus pathogène du genre Staphylococcus, est Staphylococcus aureus, qui est un
Cocci Gram positif, catalase positive, réduisant le tellurite de potassium en tellure noire et
capable de synthétiser deux enzymes une protéase et tardivement une lipase. Le milieu utilisé
pour l’isolement de Staphylococcus aureus est le milieu gélosé sélectif Baird Parker.
Elles se multiplient plus facilement en aérobiose qu'en anaérobiose. Il exige des acides aminés
et des vitamines. Il est mésophile est sensible à l'acidité. Il tolère des concentrations élevées
de NaCl et des Aw relativement basses (>0.90). Elle est responsable d’intoxications
alimentaires et dans certains cas extrêmes de septicémies physiques.
Les résultats obtenus lors de cette étude sont représentés dans les tableaux 7 et 8, toutes les
colonies sont des staphylocoques blancs.
Tableau 7 : Dénombrement des Staphylococcus sur milieu Baird Parker
Laboratoire de
microbiologie alimentaire >10
248 100 22 18
UFC/cm2
Equipement Etuve “labo aliment” >10
36 ±1°C 80 10 - -
UFC/cm2
Les Staphylococcus isolés sont dans la plupart des échantillons sont des Staphylocoques
blancs. Ces germes pathogènes sont incomptables au niveau de laboratoires des eaux. Pour le
laboratoire des aliments ses valeurs ont été diminuées jusqu'à 248 UFC/cm2 pour les
échantillons avant désinfection, 100 UFC/cm2, 22 UFC/cm2 et 18 UFC/cm2 respectivement
pour les différents échantillons. La diminution de la charge des Coliformes est remarquable
après la désinfection par bactéricide.
16
Tableau 8 : Dénombrement des Staphylococcus sur milieu Baird Parker « à partir des boites de
contact »
La recherche des Staphylococcus est négative pour tous les prélèvements réalisés après
désinfection par eau de javel 1/10. Les résultats des autres sites de prélèvement montrent que
les échantillons sont trop chargées 80UFC/cm2, 70UFC/cm2 par les Staphylocoques à titre
d’exemple.
Bacilles à Gram négatif, oxydase +,Aérobies stricts. Dégradant le glucose par respiration
aérobie ou inerte vis-à-vis du glucose. Ils n'attaquent pas les sucres ou les attaquent par voie
oxydative et non fermentative, généralement mobiles, colonies souvent pigmentées.
Ces bactéries, largement répandues dans l'environnement, vivent dans le sol et l'eau. Elles se
retrouvent dans les matières organiques non vivantes. Elles se rencontrent chez l'homme ou
l'animal, au niveau des fosses nasales. Elles constituent, pour la plupart, une flore
commensale. Certaines jouent un rôle pathogène, chez l'Homme et l'animal (avec
principalement Pseudomonas aerogenosa).
Nos résultats indiquent que tous les échantillons ont été dépourvus de Pseudomonas.
17
II. Discussion
Dans un deuxième temps, on souligne la présence des Staphylocoques blancs dans les 22
échantillons prélevés, à l’exception d’un seule échantillon « Etuve 36 ±1°Cdu laboratoire de
l’eau » sur 22 qui renferme un taux relativement faible des Staphylocoques.
La présence des germes avant et après désinfection peut être due à l’effectif des stagiaires au
sein du laboratoire, donc des activités d’analyses énormes par rapport aux normales, alors
plus d’utilisation des étuves programmées pour l’incubation des boites, ce qui explique la
présence des germes revivifiables et pathogène, et le disfonctionnement de la procédure de
désinfection durant le travail. La concentration élevée des staphylocoques peut être également
expliqué par les essais réalisés par les stagiaires qui ont travaillé avec des souches de
Staphylocoque ce qui a engendré une dissémination des staphylocoques dans les paillasses.
Une étude réalisée par« 14 » a montré que généralement que les bactéries à gram négatif
comme les coliformes, Pseudomonas sont plus facilement inactivés par le N-D que les
bactéries à gram positif à titre d’exemple « Staphylocoques »
La résistance des germes peut être aussi un facteur considérable de la contamination des
paillasses par la formation de biofilm qui se fait en plusieurs étapes, pendant lesquelles les
bactéries adhèrent à la surface des équipements, se protègent grâce à une couche de
polysaccharides, et se développent sous forme de colonies. La destruction de la couche de
protection est très difficile avec les moyens classiques de désinfection. La plupart des
biocides nécessitent un temps d'action ou/et une concentration élevée pour agir à l'intérieur du
biofilm et ainsi attaquer les cellules.
18
Une autre étude réalisée par« 15 » a montré que la résistance aux désinfectants différait de
façon importante selon la relation temps-concentration désinfectant, la nature de la surface, la
structure et l’âge du biofilm.
Le N-D provoque la formation d’aérosols, ces fines particules portent des micro-organismes
susceptibles de recontaminer les surfaces désinfectées en se redéposant. Le pouvoir
contaminant de l’air est multiplié par 10 à 100 environ lorsqu’il y’a formation d’aérosols
surtout pendant le nettoyage à la pression, la charge bactérienne en termes d’UFC retrouvée
sur les surfaces proviendrait de la contamination aéroportée « 16 ».
Dans notre étude, la bactéricide est très efficace par rapport à l’eau de javel dilué 1/10.
On déduit que, le choix de désinfectants et le temps de N-D jouent un rôle important dans un
laboratoire d’analyse microbiologique, pour éviter les contaminations croisées et fausser les
résultats.
19
Conclusion et Recommandations
En vue d’éviter cette non-conformité des mesures préventives doivent être appliqué, dont on
titre : La nécessité de reboucher les flacons ou les pots après usage afin d’éviter toute
dispersion des souches dans les paillasses. Il est recommandé également de respecter la
procédure de nettoyage après et avant chaque manipulation afin de réduire le risque de
contamination.
Afin de minimiser les risques de contaminations, ces tests de contrôle périodique sont
nécessaires dans un laboratoire d’essai microbiologique.
Les phases de N-D avant et après chaque manipulation, les bonnes pratiques et l’évaluation
des risques, s’avèrent nécessaire pour des résultats valides.
20
Références bibliographiques
« 1 »:http://mon.univmontp2.fr/claroline/backends/download.php?url=L0FuYWx5c2VzX7Vi
aW9sb2dpcXVlcy5wZGY%3D&cidReset=true&cidReq=COMICRO
« 2 »: www.inrs.fr/dms/inrs/CataloguePapier/ED/TI-ED-6188/ed6188.pdf
« 8 » : https://www.iaea.org/sites/default/files/43205783742_fr.pdf
« 9 » :www.inrs.fr/dms/inrs/CataloguePapier/ED/TI-ED-6188/ed6188.pdf
« 12» :http://eduterre.enslyon.fr/thematiques/hydro/travailcoop/protocoles/analysesBact/colifo
rme
« 13 » :www.beep.ird.fr/collect/eismv/index/assoc/MEM02-5.dir/MEM02-5.pdf
« 14 » : https://tel.archives-ouvertes.fr/pastel-00003703/document
« 15 » : https://tel.archives-ouvertes.fr/pastel-00770326/document
« 16 » : https://tel.archives-ouvertes.fr/pastel-00770326/document
21
Annexes
22
Milieux de culture
Milieux de Composition Germes recherches
cultures
Gelatin peptone 20
Magnesiumchloride 1.4 Pseudomonas
Cétrimide Potassium sulphate 10
Cétrimide 0.3
Agar 13 ;6
23
Mode Opératoire pour la recherche des
bactéries par écouvillonnage et boites de
contact
Avant manipulation
Après manipulation
Après désinfection
Prélèvement
par eau de javel/ par eau de javel 1/10
Après désinfection
par bactéricide
Avant désinfection
Après désinfection
Pré culture
La pré culture est réalisée sur le milieu BHI
24
Culture
Ensemencement de 0.1 ml de la suspension
mère en surface du milieu PCA
Ensemencement de 1 ml
de la suspension mère par incorporation sur
gélose PCA
Incubation
Incubation à 36 ±1 °C / 18h à 24h
Lecture
Comptage des colonies après incubation
Staphylocoques : 36 ±1°C
Pseudomonas : 42±1°C
25
Les colonies caractéristiques sont
de couleur rouge brique de 0.5 à 2
mm de diamètre.
26