Francis Farrugia-Connaissance Et Libération La Socio-Anthropologie de Marx, Freud Et Marcuse-Jericho
Francis Farrugia-Connaissance Et Libération La Socio-Anthropologie de Marx, Freud Et Marcuse-Jericho
Francis Farrugia-Connaissance Et Libération La Socio-Anthropologie de Marx, Freud Et Marcuse-Jericho
Connaissance
et Libération
La socio-anthropologie
de Marx, Freud et Marcuse
LOGIQUES SO C I A LES
série Socio de la connaissance
Connaissance
et Libération
Logiques Sociales
Série Sociologie de la connaissance
dirigée par Francis Farrugia
Dernières parutions
Connaissance
et Libération
La socio-anthropologie
de Marx, Freud et Marcuse
Du même auteur
Ouvrages individuels
La connaissance sociologique.
Contribution à la sociologie de la connaissance (éd.),
L'Harmattan, 2002.
Le terrain et son interprétation.
Enquêtes, compte rendus, interprétations (éd.),
L'Harmattan, 2006.
L'interprétation sociologique.
Les auteurs, les théories, les débats (éd.), L'Harmattan, 2006.
Emotions et sentiments une construction sociale.
Approches théoriques et rapports aux terrains
(en codirection avec Charmillot, Dayer, Schurmans),
L'Harmattan, 2008.
© L’Harmattan, 2016
5-7, rue de l’Ecole-Polytechnique, 75005 Paris
http://www.harmattan.fr
[email protected]
ISBN : 978-2-343-10470-6
EAN : 9782343104706
SOMMAIRE
Introduction ___________________________________ 11
Bibliographie_________________________________ 149
« En lutte contre cet état social, la critique
n’est pas une passion de la tête, mais la tête
de la passion. Elle n’est pas un bistouri, mais
une arme. Son objet, c’est son ennemi,
qu’elle veut, non pas réfuter, mais anéantir. »
Karl Marx
4 « Elle a été dès ses débuts plus qu’un simple catalogue et qu’une
simple systématisation de faits, car son dynamisme venait précisément de
l’énergie avec laquelle elle attaquait les faits et opposait à l’insuffisance de la
réalité ses potentialités meilleures. Comme la philosophie, elle s’oppose au
verdict de la réalité et au positivisme satisfait. Mais, contrairement à la
philosophie, elle ne puise ses objectifs que dans les tendances du processus
social. C’est pourquoi elle n’a pas peur de l’utopie que l’on dénonce comme
caractérisant l’ordre nouveau. », Marcuse, 1970, p. 158.
5 « Qu’elles qu’aient été, à l’origine, les implications de la conception
grecque du Logos en tant qu’essence de l’être, depuis la canonisation de la
logique aristotélicienne, ce terme se confond avec l’idée d’une raison qui
ordonne, classifie et dirige. […] Le Logos se présente comme logique de la
domination. […] Le Logos de la satisfaction contredit le Logos de
l’aliénation. », Marcuse, 1963, pp. 108-109.
Connaissance et Libération 13
8 Ibid., p. 104.
Connaissance et Libération 15
9 Ibid., p. 157.
10 « C’est ainsi que le discours socratique est un discours politique
puisqu’il contredit les institutions politiques établies. Tenter de trouver la
bonne définition du “concept” de vertu, de justice, de piété, de connaissance,
devient une entreprise subversive à partir du moment où le concept exige une
nouvelle polis. », Ibid., p. 158.
11 « La Raison est le pouvoir subversif ; c’est “le pouvoir du négatif”
qui établit la vérité pour les hommes et pour les choses, à la fois en tant que
Raison théorique et en tant que Raison pratique, c’est-à-dire qu’il établit les
conditions dans lesquelles les hommes et les choses peuvent devenir ce que
réellement ils sont. », Ibid., p. 147.
16 Francis Farrugia
13 Marcuse, 1963, p. 9.
14 « On a défini la nature des choses et de la société de façon à justifier
rationnellement l’oppression et l’exploitation. », Marcuse, 1968b, p. 170.
15 « Vous m’objecterez que pour développer les nouveaux besoins
révolutionnaires, il faut d’abord supprimer les mécanismes qui maintiennent
les anciens besoins. Mais pour supprimer les mécanismes qui maintiennent les
anciens besoins, il faut d’abord qu’il y ait le besoin de supprimer les anciens
mécanismes. C’est exactement le cercle en présence duquel nous nous
trouvons, et je ne sais pas comment on en sort. », Marcuse, 1968a, pp. 35-36.
18 Francis Farrugia
21 Ibid., p. 9.
Connaissance et Libération 25
33 Hegel, 1940.
34 Marx et Engels, 1965, p. 106.
Connaissance et Libération 33
35 « Le jugement vrai juge cette réalité non pas dans les termes de cette
réalité, mais dans les termes qui impliquent la subversion de cette réalité. Et à
travers cette subversion, la réalité atteint à sa propre vérité. », Marcuse,
1968b, p. 156.
Connaissance et Libération 35
estimons très haut et par lesquels nous laissons dominer notre vie, ne seraient-
ils pas de nature semblable ? Les principes qui règlent nos institutions
politiques, ne devraient-ils pas de même être qualifiés d’illusions ? », Freud,
1971a, p. 49.
46 Freud, 1971b, p. 209.
44 Francis Farrugia
59 Ibid., p. 88.
54 Francis Farrugia
60 Ibid., p. 92.
61 « L’homme n’est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé d’amour,
dont on dit qu’il se défend quand on l’attaque, mais un être, au contraire, qui
doit porter au compte de ses données instinctives une bonne somme
d’agressivité. Pour lui, par conséquent, le prochain n’est pas seulement un
auxiliaire et un objet sexuel possibles, mais aussi un objet de tentation.
L’homme est, en effet, tenté de satisfaire son besoin d’agression aux dépens
de son prochain, d’exploiter son travail sans dédommagements, de l’utiliser
sexuellement sans son consentement, de s’approprier ses biens, de l’humilier,
de lui infliger des souffrances, de le martyriser et de le tuer. Homo homini
lupus. […] L’agressivité se manifeste aussi de façon spontanée, démasque
sous l’homme la bête sauvage qui perd alors tout égard pour sa propre
espèce. », Freud, 1971c, pp. 64-65.
Connaissance et Libération 55
69 Ibid., p. 108.
70 Ibid., p. 109.
Connaissance et Libération 61
71 Ibid., p. 111.
62 Francis Farrugia
72 Ibid., p. 110.
73 Freud, 1971c, p. 107.
Connaissance et Libération 63
78 Ibid., p. 130.
66 Francis Farrugia
79 Ibid., p. 145.
Connaissance et Libération 67
80 Ibid., p. 150.
68 Francis Farrugia
81 Ibid., p. 83.
Connaissance et Libération 69
qui sont conformes aux intérêts capitalistes ; la majorité n’est qu’une majorité
de domination. […] Dans une telle situation, travailler conformément aux
règles et aux méthodes de la légalité démocratique revient à capituler devant
la structure de pouvoir existante. Et cependant, il serait fatal de renoncer à la
défense des droits civils et des libertés à l’intérieur du cadre établi. […] Le
combat pour la défense de la démocratie se heurtera de plus en plus aux
institutions démocratiques existantes, aux obstacles qui sont inscrits en elles, à
leur dynamique conservatrice. », Marcuse, 1969, pp. 87-88-89.
« Mais il se trouve que cette démocratie n’existe pas, et qu’en fait le
gouvernement est exercé par un système de groupes de pression, d’appareils,
d’intérêts établis, système représenté par des intérêts démocratiques qui ne
sont rien d’autre que l’objet et le moyen de ses agissements. Ces institutions
ne sont pas l’œuvre d’un peuple souverain ; la représentation ne représente
rien, sinon une volonté que les minorités dirigeantes ont fabriquée de toutes
pièces. », Ibid., p. 95.
88 « Aristote utilise le terme de Logos apophantique pour caractériser
une forme spécifique de Logos (le langage, la communication), celle qui
découvre le vrai et le faux et qui est déterminée, au cours de son
développement, par la différence entre le vrai et le faux. », Marcuse, 1968b,
p. 154.
72 Francis Farrugia
89 Ibid., p. 254.
90 « les valeurs établies sont assumées comme leurs par les individus,
l’adaptation devient spontanée, autonome, et la possibilité de choisir entre
plusieurs nécessités sociales apparaît comme la figure même de la liberté. »,
Marcuse, 1969, p. 24.
Connaissance et Libération 73
91 Ibid., p. 251-252.
74 Francis Farrugia
104 Ce concept de novlangue a été produit en 1948 par Orwell dans son
ouvrage intitulé 1984, que l’on peut ranger dans la catégorie anticipation,
ouvrage connu pour la désormais célèbre figure de Big Brother. Voici donc un
extrait de ce texte traitant du novlangue, particulièrement éclairant du texte de
Marcuse : « Ne voyez-vous pas que le véritable but du Novlangue est de
restreindre les limites de la pensée ? À la fin, nous rendrons littéralement
impossible le crime par la pensée car il n'y aura plus de mots pour l'exprimer.
Tous les concepts nécessaires seront exprimés chacun exactement par un seul
mot dont le sens sera rigoureusement délimité. Toutes les significations
subsidiaires seront supprimées et oubliées. Déjà, dans la onzième édition,
nous ne sommes pas loin de ce résultat. Mais le processus continuera encore
longtemps après que vous et moi serons morts. Chaque année, de moins en
moins de mots, et le champ de la conscience de plus en plus restreint »,
Orwell, 1972, p. 79.
Marcuse se réfère d’ailleurs explicitement à Orwell dans le chapitre de
L’homme unidimensionnel traitant de L’univers clos du discours établi :
« Cela donne le langage familier d’Orwell […] Qu’un parti politique œuvrant
à la défense et au développement du capitalisme, soit appelé “socialiste”,
qu’un gouvernement despotique soit appelé “démocratie”, qu’une élection
truquée soit qualifiée de “libre”, ce sont des données linguistiques (et
politiques) familières qui ont existé bien avant Orwell. », Marcuse, 1968b,
p. 113. Précisons qu’Orwell développe ces thèses dans son ouvrage Politics
and the English Language, Orwell, 1946.
88 Francis Farrugia
108 Voir mes travaux à ce sujet, par exemple : Farrugia, 2009 ; ibid.
2010 ; ibid. 2012 ; ibid. 2014a ; ibid. 2014b.
90 Francis Farrugia
répressive119 », la « sur-répression120 » et la
121
« désublimation répressive ». Ce sont là autant de
mécanismes combinés et intégrés du contrôle social,
122 « Est-ce que cela veut dire que la théorie critique doive abdiquer et
abandonner le terrain à la sociologie empirique (la sociologie empirique
refuse d’être tributaire d’une théorie, elle relève seulement d’une
méthodologie, mais elle est victime d’une illusion, elle se sert d’un concret
mal situé ; elle a ainsi une fonction idéologique tout en proclamant qu’elle a
supprimé les jugements de valeur) ? », Marcuse, 1968b, p. 277.
« La philosophie positive étudie au contraire les réalités sociales sur le
modèle de la nature et du point de vue de la nécessité objective. Il faut
préserver l’indépendance des faits empiriques et faire servir le raisonnement à
l’acceptation du donné. La philosophie positive entend de cette manière faire
échec au courant critique inscrit dans la négation philosophique du donné, et
rendre aux faits la dignité du positif. On découvre ici quelle solidarité très
nette unit la philosophie positive et le positivisme moderne : ils partagent,
outre la lutte commune menée contre l’apriorisme métaphysique, l’orientation
de la pensée vers l’état de fait et l’élévation de l’expérience au rang de critère
ultime de la connaissance. », Marcuse, 1968c, p. 375.
Notons la proximité de cette thèse de Marcuse, soutenue en 1964 dans
L’homme unidimensionnel avec celle que défendait déjà Gurvitch dans son
article de 1956 La vocation actuelle de la sociologie, paru dès 1956 dans les
Cahiers internationaux de sociologie : « La majorité écrasante des chercheurs
empiriques américains ne savent pas distinguer l’important de l’accidentel et
n’ont aucune idée des questions auxquelles ils devraient répondre. […]
Sorokin s’est arrêté à la mentalité culturelle et à la théorie des cycles ;
Parsons, à l’analyse structurelle fonctionnelle qui n’est qu’un paravent de
l’absence de la recherche explicative des forces dynamiques de changements.
[…] La sociologie est menacée de ne devenir, soit qu’une science auxiliaire,
soit qu’une science exclusivement appliquée, appelée à indiquer les meilleures
voies d’adaptation des groupes récalcitrants à des structures et conjonctures
acquises, ou à élaborer des planifications efficaces dans un cadre social
précis. »
Connaissance et Libération 99
137 « Cette servitude volontaire (pour autant qu’elle est introjectée aux
individus) justifie les maîtres et leur prête un masque de bienveillance ; pour
qu’une pratique politique puisse y mettre fin, il faudrait qu’elle s’attaque aux
fondements mêmes de l’acceptation et du refoulement, à l’infrastructure de
l’homme, il faudrait qu’elle se situe hors de l’ordre établi, le refuse en bloc, et
se propose une transmutation radicale des valeurs. », Marcuse, 1969, pp. 14-
15.
138 Marcuse, 1968b, p. 109.
Connaissance et Libération 111
151 La Boétie, encore une fois présent comme fondation de cette scène
libertaire, fait déjà référence à une avant-garde intellectuelle éclairée, et ce dès
le XVI° siècle : « Toujours en est-il certains qui, plus fiers et mieux inspirés
que les autres, sentent le poids du joug et ne peuvent s’empêcher de le
secouer ; qui ne se soumettent jamais à la sujétion et qui, toujours et sans
cesse (ainsi qu’Ulysse cherchant, par terre et par mer, à revoir la fumée de sa
maison), n’ont garde d’oublier leurs droits naturels et s’empressent de les
revendiquer en toute occasion. Ceux-là ayant l’entendement net et l’esprit
clairvoyant, ne se contentent pas, comme les ignorants encroûtés, de voir ce
qui est à leurs pieds, sans regarder ni derrière, ni devant ; ils rappellent au
contraire les choses passées pour juger plus sainement le présent et prévoir
l’avenir. Ce sont ceux qui ayant d’eux-mêmes l’esprit droit, l’ont encore
rectifié par l’étude et le savoir. Ceux-là, quand la liberté serait entièrement
perdue et bannie de ce monde, l’y ramènerait ; car la sentant vivement, l’ayant
savourée et conservant son germe en leur esprit, la servitude ne pourrait
jamais les séduire, pour si bien qu’on l’accoutrât. », La Boétie, 2002, pp. 28-
29.
152 « D'ailleurs l'unité organique de la pensée et la solidité culturelle
n'étaient possibles que si entre les intellectuels et les simples avait existé la
même unité que celle qui doit unir théorie et pratique, c'est-à-dire à la
condition que les intellectuels eussent été les intellectuels organiques de ces
masses, qu'ils eussent élaboré et rendu cohérents les principes et les problèmes
que ces masses posaient par leur activité pratique, et cela par la constitution
d'un bloc culturel et social. » Et plus loin : « Un des traits caractéristiques les
plus importants de chaque groupe qui cherche à atteindre le pouvoir est la
lutte qu'il mène pour assimiler et conquérir « idéologiquement » les
intellectuels traditionnels, assimilation et conquête qui sont d'autant plus
rapides et efficaces que ce groupe donné élabore davantage, en même temps,
ses intellectuels organiques. », Gramsci, p. 78 et 146.
Connaissance et Libération 121
toutes les formes et produits de la conscience peuvent être résolus non pas
grâce à la critique intellectuelle, par la réduction à la “conscience de soi” ou la
métamorphose en “revenants”, en “fantômes”, en “obsessions”, etc., mais
uniquement par le renversement pratique des rapports sociaux concrets d'où
sont nées ces sornettes idéalistes. Ce n'est pas la critique, mais la révolution
qui est la force motrice de l'histoire, de la religion, de la philosophie et de
toute autre théorie. », Marx et Engels, 1965, p. 26.
158 Horkheimer, 1974, pp. 128-129.
CHAPITRE IV
159Farrugia, 2005.
160 Marcuse, 1968b, p. 33.
126 Francis Farrugia
175 Ibid.
132 Francis Farrugia
176 Ibid.
Connaissance et Libération 133
3. La voie de la Libération
Un gauchisme libertaire ni spontanéiste ni anarchiste
187 Idem.
Connaissance et Libération 139
190 Idem.
Connaissance et Libération 141
Dernières parutions
Cafés-couples
Noël Alpi
Les mariages civils et religieux entre jeunes de la diversité culturelle sont-
ils le principal vecteur d’un dialogue entre les cultures ? Le film propose une
exploration au sein de ces unions à travers cinq couples mixtes qui se réunissent
périodiquement dans des cafés afin d’échanger sur leur expérience et surmonter
les difficultés rencontrées au niveau des familles des générations antérieures.
Cinq couples ont participé à ce documentaire qui s’est entièrement déroulé dans
le cadre d’un tournage réalisé dans le Grand-Lyon au cours de l’année 2014.
Sont également intervenues dans le film les personnalités religieuses suivantes :
le Cardinal Archevêque de Lyon Philippe Barbarin, le Grand Rabbin de Lyon
Richard Wertenschlag, le Recteur de la Mosquée Othman de Villeurbanne
Azzedine Gaci, ainsi que les sociologues Catherine Delcroix (Université de
Strasbourg) et Beate Collet (Université Paris-Sorbonne).
(20.00 euros) ISBN : 978-2-336-31147-0
Corps et méthodologies
Corps vivant, corps vécu, corps décrit
Sous la direction de Nicolas Burel
Épistémologique, scientifique ou empirique, chaque contribution à cet ouvrage se
replace dans un modèle plus complexe de compréhension du corps : d’un corps
vivant, siège des réactions de notre organisme immergé dans l’environnement,
à un corps vécu, siège de nos ressentis affectifs et émotionnels, vers un corps
décrit, fruit de l’éveil de la conscience. Cet ouvrage cherche à transcender les
cloisonnements disciplinaires classiques pour porter un regard complexe sur le
corps.
(Coll. Mouvements des Savoirs, 25.00 euros, 254 p.)
ISBN : 978-2-343-09796-1, ISBN EBOOK : 978-2-14-001627-1
Chômage
La courbe qui ne voulait pas s’inverser !
Peyrard-Moulard Martine, de la Marandais Jean-François
Le chômage est-il une fatalité liée aux caractéristiques de notre système
économique et social ou un simple dysfonctionnement du marché qui peut
être corrigé ? Beaucoup a été écrit sur le chômage mais le résultat est toujours
le même depuis plus de trente ans : le chômage est massif et durable en France.
L’originalité de cet ouvrage est d’être écrit par deux auteurs aux profils différents
et complémentaires : une enseignante-chercheur en économie et un ancien cadre
d’entreprise. Cette complémentarité leur permet d’aborder le chômage sous des
angles variés et de faire des propositions qui entendent bousculer les idées reçues
avec une seule obsession : contribuer à inverser cette « maudite courbe ».
(Coll. Questions contemporaines, 24.50 euros, 248 p.)
ISBN : 978-2-343-08208-0, ISBN EBOOK : 978-2-14-000676-0
Participation et médiation(s)
Nouveaux regards pour de nouveaux enjeux
Sous la direction de Danielle Pailler et Caroline Urbain
Pourquoi la médiation et quels sont les objets de médiation ? Qu’est-ce qui fait
médiation ? En quoi les médiations sont-elles complémentaires ? Aujourd’hui, le
«consommateur» de culture(s) ne peut plus être compris dans sa seule posture de
réception. Cet ouvrage met un focus spécifique sur les nouvelles et nécessaires
approches de la médiation que ces mouvements imposent, et croise les regards
d’artistes, de publics, d’acteurs culturels et sociaux et de chercheurs.
(Coll. Logiques sociales, 26.00 euros, 266 p.)
ISBN : 978-2-343-08302-5, ISBN EBOOK : 978-2-14-001591-5
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Illustration de couverture :
photo de l’auteur prise lors des manifestations
anti-austérité d’Athènes, en juillet 2011.
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