GEOLOGIE STRUCTURALE (5) - Robertsix
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Ni dieu, ni maître !
Précédemment, nous avons étudié les dislocations tectoniques continues, en d’autres mots, les
plissements. Aujourd’hui, nous abordons la deuxième famille de dislocations tectoniques, à
savoir les dislocations discontinues, ou de ruptures. On parle de tectonique cassante.
Le terme fracture, souvent utilisé, est un terme général qui désigne toute cassure avec ou sans
rejet de terrains, de roches et même de minéraux.
On peut diviser les dislocations de rupture en deux grands groupes :
On distingue :
– les fissures
– les joints
– les diaclases
– les veines.
Les compartiments ont ici subi un déplacement notable qui se traduit par un rejet dont la
grandeur peut varier de quelques centimètres à plusieurs centaines de kilomètres :
Les fissures sont un phénomène fréquent dans toutes les roches, sauf celles qui sont très
friables ou qui peuvent s’imbibées facilement.
Les caractéristiques d’une fissure, qui peuvent s’appliquer à toute rupture sans déplacement
visible, sont :
– les fissures cachées, non visibles dans la roche intacte, mais qui se manifestent lorsque celle-
ci se fend, suivant certaines directions privilégiées ;
– les fissures fermées, ou joints visibles à l’œil mais ne présentant pas d’ouverture marquée ;
– les fissures béantes, dont l’ouverture est apparente
la longueur
La longueur d’une fissure peut varier de quelques centimètres à plusieurs dizaines de kilomètres.
Dans ce dernier cas, elle se présente souvent sous forme de rupture avec rejet montrant une
dénivellation plus ou moins importante des lèvres. On passe dans le domaine des failles
proprement dites.
La forme
La densité ou la fréquence
Dans l’étude des fissures, leur densité, c’est-à-dire le nombre de fissures sur une distance choisie
conventionnellement et prise dans une direction perpendiculaire à celles-ci (fréquence), à
beaucoup d’importance.
L’orientation
La position dans l’espace est définie par rapport à la direction et au pendage de la couche dans
laquelle la fissure se forme, c’est pourquoi ces caractéristiques doivent être mesurées au même
titre que celles des couches.
Le groupement des fissures
Ainsi, les fissures constituent généralement des systèmes ou familles liés par des conditions de
disposition commune.
Dans les couches bien litées, les fissures se répartissent en deux familles, perpendiculaires l’une
à l’autre et perpendiculaire à la surface des couches.
Parfois dans les roches plissées, une famille de fissures est perpendiculaire au plan axial, tandis
que l’autre a une position variable à travers les plis, mais toujours perpendiculaire à la surface
des couches et parallèle à l’axe du pli.
Le réseau peut comprendre des fissures rayonnantes partant de la même région centrale et des
fissures périphériques qui dessinent des cercles ou des ellipses de forme plus ou moins
grossières (fissures concentriques – fig. 3). C’est souvent le cas des dômes, comme le Dôme
Hawkins dans le Texas (fig.. 4)
Fig. 2 – Réseau de fissures radiales à Fig. 3 Fissures rayonnantes et
fissures
plusieurs directions conjugées périphériques
Les courbes de niveau indiquent la profondeur de gisement du niveau de base en pieds. Les
traits sur les lèvres affaissées marquent le sens du pendage.
Des fissures parallèles entre elles et qui se relient sont appelées fissures en échelons (fig. 5).
Elles sont souvent localisées dans les zones de décrochement.
Fig. 5 – Systèmes de fissures en échelons (Oklahoma) – (d’après I.G.D.A.)
Les bords des lèvres peuvent être lisses, polis ou irréguliers et ébréchés.
Fig. 6 – Veines en échelons dans des dykes emballés dans des schistes argileux
Fig. 7 – Fissures dans la zone de décrochement (d’après H. Cloos) : C – cisaillement ; E –
étirement. Les flèches indiquent la direction du couple de forces pour tous les cas. Dans les
exemples 2 à 6 les fissures d’étirement sont à empennages par rapport aux fissures de
cisaillement, parallèles au décrochement. Les replis des fissures d’étirement dans l’exemple 2
indiquent que l’accroissement des fissures se poursuit au cours de la déformation de
décrochement.
Le remplissage
Généralement les fissures n’ont pas de remplissage, à part celui d’éventuels oxydes de fer ou
autres minéraux précipités lors de l’altération superficielle de la roche.
Une linéation apparaît lorsqu’une série rocheuse compétente (difficilement déformable) est
soumise à une contrainte tectonique. Cette série subit dans son déplacement une
désolidarisation sous la forme d’une multitude de petites cassures, sans que la structure
générale de la masse soit modifiée et sans que des déplacements soient visibles le long de ces
discontinuités.
On distingue :
linéation d’intersection, produite par le recoupement de deux familles de plan, tels que le plan de
schistosité avec le plan de stratification (fig. 8-1) ;
linéation d’étirement, matérialisée par l’allongement mécanique d’éléments figurés comme des
galets dans un conglomérat (fig. 8-2) ;
linéation minérale, caractérisée par l’allongement parallèle des minéraux constituant la roche
lors du métamorphisme (fig. 8-3) ;
linéation de crénulation, déterminée par les charnières de microplis serrés et réguliers (fig.8-4).
B. Les joints
Le joint est une fissure qui délimite une surface de discontinuité au sein d’une roche ou d’un
terrain, qui n’est pas un contact anormal avec déplacement, souvent droite et parfaitement nette
Lorsque l’on examine les joints du point de vue de la mécanique des roches, on détermine les
types suivants :
Un joint de stratification est une discontinuité séparant deux couches de même nature
pétrographique.
Caractéristiques :
Le joint tectonique, ou joint de tension, est une cassure sans rejet. Il résulte des contraintes
d’ordre tectonique qui provoquent des tensions dans la roche. Les joints de tension peuvent être :
de traction. Les contraintes de traction s’exerçant sur les facettes orientées dans le sens de la
contrainte de traction et de la contrainte moyenne.
Caractéristiques :
ouverts
sans remplissage génétique
espacés
rugueux (la résistance au cisaillement est fonction du rapport ouverture/rugosité)
perméables
de compression. Les ruptures se font par cisaillement le long des facettes orientées
obliquement par rapport à la contrainte de compression maximum.
Cractéristiques :
fermés
avec ou sans remplissage
fréquents
rugosité des lèvres
peu perméable sauf si c’est du calcaire
épaisseur des zones affectées fonction de la plasticité des roches en contact
schistosité.
Pour rappel, toute roche soumise à une contrainte mécanique subit une déformation qui peut être
continue, ou discontinue.
Dans le cas d’une déformation continue ou plastique, celle-ci s’effectue sans cassure visible et le
corps garde sa forme lorsque la contrainte s’arrête, contrairement à une déformation élastique
où il reprend sa forme initiale.
Par contre, lorsque la limite de résistance du corps est atteinte, la déformation se traduit par des
cassures et elle est discontinue ou clastique. Le corps garde sa déformation après arrêt de la
contrainte.
En fait, le terme « contrainte » correspond à l’intensité des forces rapportée à l’unité de surface
de la section du corps où ses forces sont exercées (par exemple à 1 cm²).
En karstologie, les diaclases peuvent s’élargir du fait de la dissolution de la roche par les eaux
plus ou moins acides d’infiltration. Une galerie se forme sans qu’il n’y ait déplacement des parties
séparées par la cassure. Les réseaux souterrains se forment, schématiquement, verticalement à
partir des diaclases, et horizontalement le long des joints de stratification.
Les diaclases sont généralement réparties en plusieurs familles (groupe de diaclases de même
orientation). Un cas courant est celui des roches sédimentaires disposées en bancs parallèles,
qui possèdent deux familles de diaclases perpendiculaires l’une à l’autre et perpendiculaires à la
surface des couches (fig. 10).
Les diaclases sont les cassures les plus fréquentes dans les roches. Elles transforment un
massif à l’origine monolithique en une juxtaposition de blocs.
Dans des phases ultérieures, les diaclases peuvent se remplir par recristallisation, ce qui donne
naissance à des veines.
Les veines se rencontrent fréquemment et leur remplissage est varié. Lorsqu’elles contiennent
des minéraux d’importance économique, on parle de veines minéralisées. Souvent le remplissage
reflète la nature des roches encaissantes, ainsi la calcite dans les roches calcaires et les roches
magmatiques basiques, et le quartz dans les grès, les roches siliceuses et dans les roches
magmatiques acides.
La cristallisation des minéraux présents dans les eaux interstitielles se fait de la périphérie vers le
centre de la veine. On peut trouver des zonages dus à la présence d’impuretés ou à la
précipitation de plusieurs minéraux. Ce phénomène est typique des géodes.
Fig. 11 – Coupe dans une carrière montrant les différentes formes de cassures sans rejet
Le terme « faille » vient de l’ancien français « faillir« , manquer, car, après une faille, le mineur ne
retrouve plus le filon ou la couche qu’il exploitait.
<b<
C’est une fracture de terrain avec déplacement bien visible des deux parties séparées. On peut
diviser les failles en deux groupes principaux :
les failles béantes, ou ouvertes ou encore disjonctives (fig. 12-A), dans lesquelles, le
déplacement provoque un écartement significatif des bords d’une fissure ou d’un joint qui
amène à un intervalle béant de grande dimension. La plus grande faille béante connue est celle
du Grand Dyke au Zimbabwé (ex Rhodésie). Cette faille volcanique traverse le pays du nord au
sud sur plus de 500 Km et a une ouverture de près de 10 Km. ;
les failles à rejet (fig. 12-B) qui se caractérisent par un glissement des bords dans des directions
qui leur sont parallèles. On les répartit en failles radiales et en décrochements.
Les failles béantes se produisent généralement lorsque deux plaques tectonique se séparent.
Elles ne se conservent pas longtemps dans l’écorce terrestre, car elles se remplissent de
matériaux plastiques provenant des bancs voisins, ou de produits d’origine volcanique qui
forment alors des dykes, ou se referment par fluage des roches. Toutefois, il existe des failles qui
se sont accentuées grâce à l’érosion d’un cours d’eau. C’est le cas de la faille dans laquelle se
jette le Zambèze aux Victoria Falls ou la Faille des Anglais qui s’ouvre dans le sud du Burundi.
Les failles à rejet couvrent en pratique les accidents verticaux, ou à pendage fort et n’impliquant
pas de recouvrement important.
leur longueur qui eut varier de quelques mètres à plusieurs dizaines, voire centaines de
kilomètres ;
la valeur du déplacement (le rejet) qui est variable selon les points d’une même faille et qui peut
se situer entre le centimètre et plusieurs kilomètre verticalement, plusieurs dizaines de
kilomètres horizontalement.
Les deux parties séparées d’une faille sont appelées compartiments (A et A’ sur la fig.13). La
surface de faille le long de laquelle s’effectue le glissement s’appelle surface de glissement ou
plan de faille. Les surfaces engendrées par la cassure sont les lèvres ou les bords. On trouve
parfois le terme d’épontes. Celles-ci peuvent être polies par le frottement, et lorsque l’érosion les
dégage, elles forment un miroir de faille sur lequel on peut apercevoir des stries qui donnent la
direction du glissement. Si la surface de glissement est inclinée on distingue la lèvre supérieure
et la lèvre inférieure. Le regard de la faille est le côté vers lequel est tournée la lèvre du
compartiment soulevé.
L’ampleur du mouvement est le rejet. Une faille à rejet se caractérise par la position de la surface
de glissement dans l’espace, la direction du déplacement et son amplitude (rejet)
C. Sens du rejet
Pour connaître le sens du rejet, il est nécessaire de faire les observations suivantes :
1. mise en évidence de repères suffisants pour définir le sens du décalage. Ce dernier peut
correspondre à la somme de plusieurs déplacements successifs ;
stries laissées par un débris situé entre les lèvres (fig. 14–1) ;
écailles formant des gradins dans le sens du mouvement (fig. 14–3) ;
2.2. enduits de calcite qui cristallisent dans les cavités dues aux irrégularités dans la surface de
faille (fig. 14–2) :
2.3. stylolites, structures en forment de colonnettes qui se forment dans le cas d’une
compression dans des roches calcaires ou marno-calcaires (fig. 14– 4).
1. observation d’un rebroussement des couches près du plan de faille (crochon de faille) sui se fait
dans le sens opposé du mouvement relatif du compartiment
Fig. 14 – Détails de miroir de faille : 1 – stries ; 2- enduits de calcite ; 3 – écailles ; 4 – stylolites.
(extrait du « Dictionnaire de Géologie », A. Foucault & J.-F. Raoult)
Si le relief correspond au jeu naturel de la faille, on parle d’un escarpement de faille qui sépare
deux gradins de faille (fig.15-1). Lorsque l’érosion a fait son œuvre, le relief se traduit par un
escarpement de ligne de faille (fig. 15-2). Si le relief est complètement nivelé, il s’agit d’une faille
nivelée (fig. 15-3) et si les terrains du compartiment soulevé sont plus tendres que ceux du
compartiment abaissé, le relief s’inverse et on a alors un escarpement de ligne de faille inverse
(fig. 15-4).
Une faille peut entraîner un redoublement de couche ou un hiatus stratigraphique (fig. 16)
2.3. décrochement, à rejet uniquement horizontal et dans le plan de faille généralement vertical
ou presque (fig. 17-4). La surface de glissement d’un décrochement peut être verticale ou
oblique. On distingue le décrochement dextre et le décrochement senestre (fig. 18). Si
l’observateur regarde le décrochement perpendiculairement à la surface de fracture, le
décrochement est senestre lorsque le compartiment le plus éloigné se déplace vers la droite.
Dans le cas contraire, le décrochement est senestre (fig. 18).
3.1. faille conforme, dont le pendage est dans le même sens que celui des couches (fig.17-5 et
6)
3.2. faille contraire, dont le pendage est en sens inverse (fig. 17– 7 et 8)
4. Selon les rapports de leurs rejets, avec d’autres déplacements (fig. 19)
failles conjuguées, résultant de l’action d’une même contrainte et faisant entre elles un angle
donné (fig.. 20).
Fig. 20 – Groupements de failles en V (a) et en X (b) (d’après Schwan)
6.2. faille listrique. Lorsque la surface de la faille présente une concavité marquée avec un
aplatissement progressif en profondeur vers un plan de stratification où elle s’enracine, il s’agit
d’une faille listrique (fig. 21). On connaît ce type de faille dans différents environnements
géologiques, comme par exemple à l’échelle de blocs basculés, de rifts ou encore dans les séries
deltaïques à fort taux de sédimentation (fig. 21 B). Dans ce dernier cas, on parle de faille de
croissance. Il est clair que leur signification n’est pas la même : dans un cas, il y a distension
crustale le long d’un niveau étiré, dans l’autre, il y a pente tassement et extension par gravité,
mais dans les deux cas, l’amortissement en profondeur se fait sur un niveau de décollement.
Fig. 21 – Exemples de failles listriques – A : faille listrique affectant le socle – B : faille de
croissance synsédimentaire
6.3. faille panaméenne, faille normale dont le pendage d’abord très fort s’affaiblit vers le bas, et
qui correspond à l’effondrement d’une partie d’un versant
Le jeu d’une faille induit une déformation de type ductile, ce qui entraîne la formation de crochons
(fig. 22 A et B). La déformation se traduit par une courbure brusque des couches au contact de la
faille, due au mouvement relatif des deux compartiments. Son étude permet de déterminer dans
chaque compartiment la torsion qui s’effectue en sens inverse du déplacement.
A grande échelle, le glissement des couches le long d’une faille listrique entraînera la formation
d’une structure plissée souple qualifiée d’anticlinal de roll-over (fig. 22 C).
Comme nous l’avons vu pour les plissements, les fractures sont rarement isolées et lorsque l’on
change d’échelle – de l’ordre de plusieurs kilomètres, si pas centaines – on observe
généralement des faisceaux de failles ou groupements qui donnent des structures tectoniques
spécifiques, dont voici les principales :
1. graben : cette structure est constituée par des failles normales de même direction qui limitent
des compartiments de plus en plus abaissés lorsque l’on se rapproche du centre de la structure..
Généralement elle se traduit par un fossé d’effondrement ou fossé tectonique (fig. 23). Un des
exemples proche de chez nous est le graben du Rhin (fig. 25). Ce fossé est le résultat d’une
extension de la région où il se forme et est l’un des premiers stades d’une ouverture océanique.
2. horst : dans ce cas, la structure est constituée par des failles normale de même direction,
limitant des compartiments de plus en plus abaissées au fur et à mesure que l’on s’éloigne du
centre de la structure (fig. 24). Sa formation exige également une extension. Elle est le lieu
d’émissions volcaniques.
Fig. 23 Grabben . Le graben du haut est Fig. 24 – Horst
nivellé par l’érosion. Celui du bas est mor-
phologiquement un fossé e’effondrement
Fig. 25 – Schéma simplifié du graben du Rhin entre Bâle et Mayence. Les Vosges et la Forêt-
Noire constituent les horsts
Lorsque l’on établit une coupe à travers une région, on relève une succession de discontinuités
tectoniques des deux types, plissements et ruptures. Celles-ci se succèdent selon différents
systèmes et sont le résultat d’une suite d’événements tectoniques qui ont bouleversé le relief de
la région.
A titre d’exemple, nous donnons une coupe établie entre Aix-la-Chapelle et Cologne le long d’un
axe SO-NE (fig. 27). On y constate différents compartiments séparés par des failles comme :
– des môles, terme désignant une région ayant un comportement relativement rigide par rapport
à d’autres plus souples et subissant un soulèvement ;
– des fossés, qui sont des dépressions allongées, à fond relativement plat et à flancs raides
correspondant souvent à une zone faillée qui s’est abaissée ;
– des plissements fracturés par des failles antithétiques ou synthétiques en échelons. Dans ce
cas, l’ensemble des fractures qui divise les plissements en compartiments est plus jeune que les
couches plissées. A l’origine, ces dernières étaient horizontales et suivaient la règle de
superposition, à savoir, les plus jeunes se superposant aux plus anciennes.
IV. BIBLIOGRAPHIE
Bates D.E.B., Kirkaldy J.F. (1977) – La géologie de terrain, un guide Nathan, F. Nathan.
http://gocad.ensg.inpl-nancy.fr/www/people/files/thesis_magali_lecour.pdf
[1] Automorphe : s’applique à un minéral se présentant sous la forme d’un cristal parfait, ou du
moins limité par des surfaces cristallines planes.
[2] Linéation : terme général désignant dans un roche toute structure acquise tectoniquement, se
traduisant par des lignes parallèles entre elles.
[3] Pneumtolytique : se dit d’un gîte métallifère lorsque le transport dans les fractures des eaux
hydrothermales chargées de minéralisations se produit à l’état de vapeur.
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maintenant je comprends bien les choses surtout les dessins c’est inintéressants
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OK, je vous envoie le texte en PDF. Il existe 4 autres articles sur le même sujet qui
précèdent celui-ci.
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