Charles Beigbeder crée un prix littéraire inédit de vulgarisation scientifique
INFO LE FIGARO - L'entrepreneur annonce la naissance du prix «Bourrienne», dédié à la littérature de vulgarisation scientifique. Une première. Le premier lauréat sera dévoilé en juin prochain.
«Expliquer simplement des choses complexes.» C'est par cette courte phrase que l'on peut définir la vulgarisation scientifique. Un créneau qui ne manque pas d'auteurs, ni d'ouvrages. Un bonheur pour les lecteurs qui sont effrayés par la Science… mais qui s'y intéressent néanmoins.
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L'entrepreneur Charles Beigbeder, Centralien, passionné de mathématiques, de physique quantique et également de littérature, a décidé de glorifier les ouvrages de vulgarisation scientifique en créant un prix littéraire dédié ; le prix « Bourrienne » – qui est également le nom du dernier hôtel particulier parisien de style Directoire, qu'il a rénové et dans lequel il a installé le siège de son entreprise, Audacia.
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Ce prix récompensera donc chaque année, un ouvrage qui éclaire l'esprit des lecteurs dans le domaine des Sciences de la nature : Sciences de la terre et de l'univers, de la matière, de la vie et de l'environnement. «L'ambition est de couronner un modèle de transmission du savoir scientifique au…
Dent Bleue
le
Bravo !! et reflète un véritable besoin
Aetius 8
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Excellente idée. Selon un sondage récent, 80% pensent que le CO2 est uniquement d’origine industrielle, qu’il constitue 40% de notre atmosphère et qu'il est le principal gaz à effet de serre (en réalité, il constitue 0,04 % de notre atmosphère, le principal gaz à effet de serre est la vapeur d'eau et 96 % du CO2 atmosphérique est d’origine naturelle).
Il y a du boulot...
Et les écologistes ne vont pas soutenir la vérité, mais uniquement leur propagande...
Nom_de_plume
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La vulgarisation scientifique est incontournable de nos jours. Alors que la science se développe sans cesse à toute vitesse, voilà une initiative qui fait beaucoup de sens. Il est indispensable d’être à l’affût de la connaissance nouvelle si les sociétés veulent avancer à l’aune de la modernité. Autrement, la connaissance deviendra celle d’une minorité de plus en plus exiguë de sachants... Sans compter la difficulté de faire adhérer la population aux innovations.