L’ancien ministre de l’Intérieur a publié une longue lettre adressée aux forces de l’ordre où il demande la pérennisation des quinze milliards d’euros obtenus sous son autorité.
Deux semaines après sa nomination, le premier ministre Michel Barnier s'apprête à présenter aux Français la composition de son gouvernement, qui devrait compter 38 membres.
EXCLUSIF - Économie, justice, éducation, sécurité, immigration, écologie… Quelles mesures pour la France ? Michel-Édouard Leclerc, Agnès Verdier-Molinié ou encore Patrick Stefanini dévoilent au Figaro leurs recommandations.
Alors qu’une série de noms a été dévoilée jeudi, à l’issue de l’entrevue entre le premier ministre et les forces politiques du centre et de droite, les oppositions déplorent le manque de renouvellement de la liste.
RÉCIT - Le nouveau premier ministre a proposé jeudi au président une équipe de 38 ministres, dominée par une alliance inédite entre les macronistes et la droite LR. Le camp Macron devrait garder les Affaires étrangères et Bercy, quand l’Intérieur doit échoir au patron des sénateurs LR, Bruno Retailleau.
La maire socialiste de Paris pourrait repartir en campagne pour la troisième fois en 2026 après son faible score (1,7%) à la dernière élection présidentielle.
DÉCRYPTAGE - Alors que Michel Barnier peaufine les derniers détails de son gouvernement, Marine Le Pen laisse planer la menace d’une motion de censure.
CONTRE-POINT - L'enjeu désormais pour Michel Barnier est que le courage et l'audace ne soient pas sacrifiés sur l'autel d'un équilibre politique construit au forceps.
INFO LE FIGARO - Alors que son nom était évoqué pour le poste, le président de la République lui a préféré Michel Barnier. En cas de censure, Emmanuel Macron pourrait à nouveau se tourner vers l’ancien socialiste.
Paradoxe du sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, les sympathisants de Macron sont les moins hostiles à une augmentation de la fiscalité alors que le camp du président en a fait une ligne rouge.
Michel Barnier a présenté jeudi soir au président de la République un gouvernement de 38 ministres. Laurent Wauquiez a refusé le ministère de l’Économie.
Le premier ministre reçoit ce jeudi les présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale alors que les difficultés pour former un gouvernement s'accumulent.
Invité sur TF1 mercredi, le vice-président du RN, Sébastien Chenu, a reproché au premier ministre de vouloir «confier les clés du pays à des gens qui font 5% aux élections».
Dans un communiqué, le mouvement de Jean-Luc Mélenchon accuse sans le nommer l’État hébreu d’avoir «touché indistinctement les personnes présentes autour des appareils piégés», dans la série d’attaques qui a touché Beyrouth et ses environs.
Dans une interview au Parisien, la chef de file des députés RN affirme que l’équipe en cours de constitution n’est pas «un gouvernement de cohabitation», mais de «compatibilité macroniste».
Le premier ministre, qui n’a pas fermé la porte à une hausse de la fiscalité, prônait pourtant une baisse drastique des impôts de production lorsqu’il était candidat à la primaire des LR pour la présidentielle de 2022.
DÉCRYPTAGE - Le chef de l’État et le premier ministre ne s’accordent pas sur les «équilibres» de l’équipe, tandis que les macronistes reprochent à Michel Barnier de vouloir augmenter les impôts.
CONTRE POINT - La difficulté à former le gouvernement ne traduit pas uniquement un souci méthodique de Barnier, mais trahit des tensions avec ses partenaires potentiels.
DÉCRYPTAGE - Après avoir fait craindre une «guerre des chefs» en macronie cet été, les deux rivaux se sont entendus pour mettre la pression sur Michel Barnier. Au point de provoquer une crise avec le nouveau premier ministre.
Dans une interview fleuve au Point, l’ancien premier ministre affirme ne pas «être insensible» à ceux qui le désignent comme le digne héritier d’Emmanuel Macron. Et se félicite d’avoir «gagné la confiance» d’«une partie des Français».
DÉCRYPTAGE - Un bras de fer s'est engagé entre Matignon et le président de la commission des finances, qui estime que la Constitution lui octroie le droit de consulter les documents préparatoires du prochain budget.
INFO LE FIGARO - Alors que la composition de son gouvernement semble patiner, le premier ministre a vu le chef de l’État ce mercredi, après une rencontre mardi.
Dix députés de cette instance à majorité de gauche se sont prononcés pour, sept contre. Le texte ira en commission avant une arrivée prévue dans l'hémicycle le 31 octobre.
Alors que Michel Barnier n’écarterait pas une hausse des impôts, les mouvements politiques avancent leurs propositions pour assainir les comptes publics ou améliorer le pouvoir d’achat.
Après s’être fait éconduire la veille à Matignon, le président de la Commission des finances de l'Assemblée nationale et le rapporteur général ont de nouveau tenté d’obtenir les lettres plafond du budget 2025 auprès du ministère de l’Économie.
La déclaration des Républicains intervient après la demande de clarification par le groupe macroniste EPR sur la «ligne politique» de Michel Barnier, notamment sur d'éventuelles hausses d'impôts. Des réunions prévues avec les deux groupes ce mercredi à Matignon ont été annulées.
Le rapporteur général du budget estime que le futur gouvernement ne disposera pas des marges de manœuvre nécessaires pour redresser les finances publiques.
DÉCRYPTAGE - Une étude de Luc Rouban pour le Cevipof confirme que la fonction publique (d’État, territoriale et hospitalière), a cessé d’être le vivier naturel de l’électorat de gauche.
Dans une interview à Valeurs actuelles, le président du Rassemblement national «assume» les «signes de progression» ainsi que les «dysfonctionnements» de son mouvement.
Nommé à Matignon il y a deux semaines, le premier ministre devance trois de ses prédécesseurs dans l’étude Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio parue mardi.
DÉCRYPTAGE - En prenant le temps de composer son gouvernement, Michel Barnier fait durer une configuration hors norme. Toujours soumis à lui en théorie, les ministres démissionnaires se libèrent déjà de leur tutelle et laissent de plus en plus la main à leurs administrations pour gérer les «affaires courantes».
DÉCRYPTAGE - La procédure de destitution visant le chef de l’État est vouée à l’échec. Même si le bureau de l’Assemblée nationale l’a jugée recevable, elle pourrait ne pas être débattue en commission des lois.
CONTRE-POINT - Un PS divisé, des Verts alignés et des communistes neutralisés, c'est le bonheur assuré de La France insoumise, persuadée que l'avenir, plus que jamais est à la radicalité.
DÉCRYPTAGE - Épinglées pour la gestion de leurs comptes publics par Bercy, les collectivités territoriales regrettent une «relation abîmée» avec l’État et espèrent un dialogue renouvelé avec le futur gouvernement de Michel Barnier.
Plusieurs interlocuteurs du premier ministre affirment qu'il n'écarte pas une augmentation de la fiscalité des plus hauts revenus et des sociétés. De quoi crisper une partie de la classe politique.
Philippe Brun, reçu à Matignon par le directeur de cabinet de Michel Barnier, Jérome Fournel, déclare avoir décliné la proposition d’être ministre du Budget.
Réuni ce mardi matin, le bureau de l’Assemblée a jugé que la proposition de destitution des Insoumis était «recevable». Celle-ci sera donc bien débattue en commission des lois ainsi qu’en séance publique. Elle n’a cependant quasiment aucune chance d’adoption.
Sur Franceinfo, le coordinateur national de LFI s’est montré confiant sur les chances d’adoption de la procédure de destitution visant Emmanuel Macron.
Le nom de l’ancien ministre de l’Économie revient avec insistance pour un portefeuille ministériel, alors que Michel Barnier espère compter des personnalités de gauche dans son gouvernement.
Si la justice n’a pas retenu les accusations d’ordre sexuel à l’encontre de Damien Cassé, ce dernier est renvoyé en décembre devant le tribunal de Meaux pour harcèlement moral.
DÉCRYPTAGE - Républicains et membres du camp Macron se testent et se préparent à une rude entente, en vue du gouvernement que Michel Barnier prévoit de dévoiler d’ici au 23 septembre. L’ex-majorité met en garde contre un exécutif dominé par la droite.
Alors que ses détracteurs lui reprochent d’avoir cédé aux injonctions d’Ursula von der Leyen en lâchant Thierry Breton, le chef de l’État propose un fidèle de la première heure pour remplacer le démissionnaire.
CONTRE-POINT - S'il n'entend pas froisser le chef de l'État pour la nomination du prochain ministre des Affaires étrangères, le premier ministre compte, comme pour les autres portefeuilles, être maître de ce choix.
RÉCIT - Lors d’une nouvelle réunion qui s’est tenue lundi après-midi à Matignon, Gérard Larcher, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ont exprimé les ambitions de la droite au sein du nouveau gouvernement.
L’élu de l’Orne a déposé une proposition de loi organique pour contraindre les candidats aux législatives à voter dans leur circonscription d'élection.
RÉCIT - À deux semaines de la reprise des débats, à l’Assemblée, de nombreux députés de gauche se préparent à voter la proposition de loi d’abrogation de la réforme des retraites portée par le Rassemblement national.
«Macron envoie son clone», «le clan avant tout», «l’art de recaser les petits marquis déchus de la macronie»... Le choix d’Emmanuel Macron de proposer le ministre démissionnaire des Affaires étrangères en remplacement de Thierry Breton a été abondamment critiqué.
Le président de la République a proposé ce lundi son ministre démissionnaire des Affaires étrangères comme commissaire européen après la démission fracassante de Thierry Breton.
Sur France Inter, le secrétaire national du PCF a défendu un débat apaisé à gauche, tout en insistant sur sa proximité idéologique avec François Ruffin.
INFO LE FIGARO - Les trois parlementaires LR doivent s’entretenir une nouvelle fois avec Michel Barnier, alors que le gouvernement, en voie de finalisation, devrait être dévoilé au cours des prochains jours.
Invité dans l’émission d’un youtubeur le 6 septembre, le député de la France insoumise a livré son analyse sur le conflit entre Israël et le Hamas en reconnaissant ne pas être «trop instruit sur ce sujet».
DÉCRYPTAGE - Depuis les résultats du second tour des élections législatives anticipées, le 7 juillet dernier, les deux têtes d’affiche du Rassemblement national ont l’intime conviction que la situation politique est intenable.
DÉCRYPTAGE - L'ancien « compagnon de route » de Jean-Luc Mélenchon a publié un livre contenant des révélations acerbes sur le fondateur de La France insoumise et désormais rival.
Et pourtant, la publicité personnalisée est un moyen de soutenir le travail de notre rédaction qui s’engage à vous proposer chaque jour une information de qualité. En acceptant les cookies, vous pourrez accéder aux contenus et fonctionnalités gratuites que propose notre site.
À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton “paramétrer les cookies” en bas de page.