Nucléaire iranien: surplace en attendant la reprise des pourparlers à Vienne
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Rafael Grossi, s’inquiète de ne pas avoir encore rencontré de hauts dirigeants iraniens, comme prévu dans un accord conclu le 12 septembre.
Le chef de l’organisme de surveillance nucléaire de l’ONU, Rafael Grossi, s’inquiète de ne pas avoir encore rencontré de hauts dirigeants iraniens, comme prévu dans un accord conclu le 12 septembre avec Téhéran.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) avait alors négocié avec l’Iran un nouveau compromis sur la surveillance de son programme nucléaire, réveillant l’espoir d’une reprise imminente des pourparlers de Vienne pour sauver l’accord sur le nucléaire conclu en 2015, mais suspendus depuis l’élection en juin d’un nouveau président iranien.
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Caméras de surveillance sabotées
«Nous étions convenus que je devais retourner (à Téhéran) pour des échanges politiques parce que mes discussions avaient été purement techniques» jusque-là, a récemment rappelé Rafael Grossi, depuis Washington. Cette rencontre, de «haut niveau», «ne s’est pas encore matérialisée. J’espère que ce sera fait bientôt.» Il a précisé ne pas savoir quels hauts responsables iraniens il rencontrerait. «C’est à eux de décider.» «Ce pourrait être…
Nemesis
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Israël a armé les turco-azéris en 2020 contre l'Arménie (le seul véritable état chrétien de la région) dans le but de faciliter l'invasion turque du sud de l'Arménie, coupant ainsi la frontière terrestre nord de l'Iran. L'Iran n'est pas la dictature islamiste que l'on nous dépeint. Il entretient d'excellente relation avec l'Arménie. Il est urgent que l'Iran fabrique enfin sa bombe de façon à stabiliser la région.