Législatives : les «vertiges» des Républicains avant le scrutin de la dernière chance
RÉCIT - La droite LR mise sur l’ancrage local de ses candidats pour tenter de résister aux déchirures profondes de la campagne.
Une question de survie. Avant le premier tour des élections législatives, dimanche, le moral des Républicains est au plus bas. Bon an mal an, ils avaient su résister jusqu’ici à toutes les tempêtes : les assauts incessants du camp Macron depuis 2017, et les pressions du camp nationaliste dans leurs bastions. Mais cette fois, les LR ont abordé ce scrutin dans une atmosphère de panique générale et de crise interne inédite. Avec un goût amer de gâchis monumental. « C’est un vertige », souffle Bruno Retailleau au Sénat.
Un an et demi après l’élection d’Éric Ciotti à la tête du parti, - dont il est toujours président ce week-end malgré les trois tentatives d’exclusion de ses nouveaux ennemis internes -, son mandat se solde par un séisme historique. Focalisé sur ses ambitions niçoises, le chef de la droite LR - qui se représente dans la 1re circonscription des Alpes-Maritimes - a pris la liberté de nouer une « alliance » avec Marine Le Pen. Au mépris des statuts de son propre parti…
Ajosse
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Tout ceci n'a plus aucune importance. Les législatives de 2024 sont un acte de décès.
Gabrielle Marie
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Ils n'ont pas compris qu'il faut faire barrage aux islamos gauchistes de Mélenchon ?
Dietcoke92
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Le seul parti que Macron aura fait disparaître c’est les LR ! Il fallait le faire ! Mais en même temps avec des spécialistes de la trahison comme Le Maire ou Datti il fallait s’y attendre !